Avis du vol easyJet Geneva → Brussels en classe Economique

L'essentiel de mes vols se fait sur Easyjet, au départ de Genève.

J'essaie pour ce report d'être le plus exhaustif possible.

Pour ce vol j'ai hésité avec Brussels Airlines, mais au final, avec un bagage en soute, Easyjet restait le plus intéressant. Le retour s'est fait en plusieurs étapes et par le train.

J'utilise la navette bus mise en place par le Conseil Départemental de la Haute Savoie pour me rendre à l'aéroport, mais cette nouvelle année présente une surprise : l'aller Annecy - Genève aéroport passe de 10,50 € à 21 €. Par contre si l'on s'arrête à Charmilles (à 5 km de l'aéroport) le tarif est de 10,50 €. Je n'ai pas d'explication pour ce surcoût. Ayant le temps je descendrai à Charmilles pour prendre le bus des TPG.



Le pitch n'est pas très bon.



Et le temps est maussade.



Clin d'oeil ;)



La durée du trajet est effectivement un peu plus longue que le bus direct mais l'économie est intéressante.




Le FIDS.



Le vol est annoncé à l'heure.



Et l'aéroport est encore en mode fêtes de fin d'année, avec beaucoup de monde vers midi.



L'attente pour la dépose bagage est de 20 minutes, mais la file avance régulièrement donc ce n'est pas un problème.




Je me dirige vers le PIF. Habituellement je prends mon repas dans un restaurant de l'aéroport, mais j'ai souhaité tester l'offre de l'aéroport de Genève Priority Lane + accès au salon Swissport Horizon, pour un montant de 40 Francs Suisses.



Passage rapide Airside.



Le salon ne possède pas de sanitaires, j'y passe avant d'accéder au salon, la propreté est très moyenne.



Une zone pour les enfants.



Une salle d'attente en principe plutôt tranquille.



Et l'entrée du salon.



L'accueil est courtois, avec remise des codes d'accès internet, qui permettent la photo corporate.



Documents de voyage.




L'offre petit déjeuner est maintenue, la seule offre chaude est originale, des hot-dog, et côté boissons tous les vins (rouges, blancs, pétillants) sont Suisses.



Ma première sélection.



Deuxième.



Troisième.



La presse est en libre accès mais les exemplaires ne doivent pas quitter le salon (ce qui explique ma note divertissement, c'est pratique de pouvoir finir sa sélection de lecture dans l'avion). La quiétude était parfois perturbée par certains Pax turbulents.

FIDS dans le salon.



Et il est temps de se rendre en porte d'embarquement, le chemin d'accès est très long.



Et la salle d'attente dans le satellite est très remplie.



L'avion du jour, premier vol le 28 juin 2011.



Spotting.



L'embarquement commence. N'ayant qu'une besace qui pourra être posée à mes pieds, j'attends patiemment, et je profite du spectacle dans un premier temps des Pax qui doivent reconditionner leurs bagages cabines pour n'avoir qu'une pièce, et dans un deuxième temps quand il n'y a plus de place dans les coffres, sortir des valises qui seront mises en soute leurs affaires qui sont nécessaires au vol.



Le vol est presque complet (un siège sera vide entre moi et ma voisine).



Il est à noter qu'au dernier rang il n'y a pas d'hublots.



Décollage avec 20 minutes de retard.

Le pitch est très moyen, la pochette filet garantit un test horatius réussi.



Meyrin



Jura



Lecture proposée.



Et le ciel se dégage.



Luxembourg et son aéroport.



Arrivée à l'heure.



Basilique du Sacré-Coeur de Bruxelles (Koekelberg).



Atomium.



Le temps entre la descente de l'avion et l'accès aux tapis à bagages prendra 20 minutes, l'avantage c'est que j'aurai qu'à tendre ma main en arrivant pour prendre ma valise …



Je me rends à la gare pour prendre le train.