Ayant fini plus tôt que prévu à Paris, il est temps de revenir à l'aéroport par RER. Au passage le FIDS de CDG 2 très particulier: tellement d'informations à en perdre la tête.
Direction le terminal 2F. En arrivant, je tombe sur cet "athlète". Il fait quoi comme discipline déjà? 100m ou saut en longueur?
Ayant acheté un billet modifiable avec frais, je demande à voir pour prendre un vol plus tôt mais 120€ de frais et plus beaucoup de sièges disponibles ont suffi pour ne pas donner suite. Je vais donc traîner 3 heures dans l'aéroport. Visiter le 2E aura drainé une petite heure avant de passer le PIF.
Passage au PIF. Malgré une queue formée depuis un moment, on passe assez rapidement. Passage sous le portillon, je me fais siffler, c'est parti pour un simple quota des mains. Après analyse, c'est tout bon. J'estime ce comportement très paresseux de la part des agents de sûreté surtout avec l'état d'urgence en vigueur. De plus, ce contrôle n'est rien comparé à NCE où les palpations sont systématiques.
Peu de spotting ce soir à cause de certaines photos de mauvaise qualité.
KL au départ.
La porte d'embarquement.
J'aime bien cet écran car il présente les informations utiles durant le vol. Pour ceux qui aiment les immatriculations, l'avion du soir est le F-GHQM, 25 ans de vol, 1er vol en juillet 1991.
Quoi? pas d'italien? Incredibile. NCE a beau être française, il y a beaucoup d'italophones dans la métropole azuréenne.
Embarquement. Je profite que la passerelle est encore pleine pour une brochette de Skyteam (AF,AZ et UX) avec un 777-300ER AF.
Accueil cordial à bord sans plus. Direction le siège, même endroit par rapport au réacteur à l'aller.
Repoussage à l'heure. Une dernière photo pour la route d'une compagnie à faire une fois.
Vol un peu plus bruyant que l'aller alors j'ai mis les Quies dans les oreilles.
La safety card.
En attendant le snack, autant lire le nouveau magazine d'AF qui met le Costa Rica sur le devant de la scène. Et qui dit nouveau magazine dit…
… l'arrivée du Dreamliner tricolore. Il était d'ailleurs arrivé à sa nouvelle base peu avant moi dans la matinée.
Avant la distribution des snacks, une annonce est faite pour informer les passagers que l'équipage ne servira pas de boissons chaudes. D'autant plus qu'on ne pouvait pas choisir entre salé et sucré.
Les petites baguettes n'étaient vraiment pas terrible mais le jus de tomate rattrape la note.
Le service fait, les PNC vont tirer le rideau et repasser récupérer les snacks 10 minutes avant l'atterrissage.
Atterrissage kiss-landing avec 10 minutes d'avance. On se garera à côté de deux camarades dont un qui a atterri juste avant nous.
Merci de m'avoir lu et à bientôt :)
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Verdict
Air France
6.5/10
Cabine7.5
Equipage6.5
Divertissements7.0
Restauration5.0
Paris - CDG
6.9/10
Fluidité8.0
Accès6.0
Services6.0
Propreté7.5
Nice - NCE
8.8/10
Fluidité9.0
Accès10.0
Services8.0
Propreté8.0
Conclusion
Un vol mitigé sur cette route ce soir. Les PNC étaient moins souriants que sur le vol aller. Le catering un peu imposé ne m'a pas trop plu d'où la moyenne.
CDG: aéroport immense. Je sanctionne assez fermement l'absence de panneaux d'indications pour les passagers qui ne connaissent pas l'endroit.
NCE: aéroport très fluide, très facile d'accès. D'un autre côté, c'est une arrivée d'un vol de nuit.
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