Avis du vol Transavia Ibiza → Paris en classe Economique

Bonjour,

Après le FR du 12/06/2017 d'ORY à IBZ, voici le retour le vendredi 16/06/2017.

Même compagnie, Transavia, après un premier vol "aller" avec eux qui avait révélé plein de points positifs et satisfaisants pour cette low-cost (voir FR en question)

Aéroport d' Ibiza

A noter l'accès facile et peu onéreux en taxi depuis le centre-ville.

Une première vue avec les PAX "sagement" alignés. A noter que le site limitant le "poids" des photos, les vols annoncés en partance sont peu lisibles, ayant dû diminuer la qualité desdites photos. Peut-être une piste pour le site, soit dit en passant, vu que les mobiles font des photos de plusieurs mégapixels. Le souci de voir en détail, que ce soit au sol ou en vol, faisant partie de l'intérêt des FR. Fin du petit hors sujet "suggestif"



Les vols annoncés.
A noter : utile et tout simple, le temps d'attente avant l'annonce de la porte d'embarquement est indiqué.


Sont présents dans les parages, de droite à gauche…
- Sunweb (connaissiez-vous?)
- Ryanair
- Vueling
- Global Jet Luxembourg (j'y reviendrai plus bas)


Pas de surprise sur le type d'appareil pour les compagnies !

Embarquement

Celui-ci se fait par PAXBUS.
Le B 737 arbore l'ancienne livrée de Transavia, à l'inverse de celui qui nous avait transportés à l'aller.



Coup de cœur et amusement

M'accordez-vous une parenthèse pour préciser quel plaisir visuel j'ai eu à voir un A 319, certainement avec une des plus belles livrées qu'on puisse imaginer.

Personnellement je trouve que ça lui donne un air de "dauphin". Voici deux photos, malheureusement pas excellentes :



Je me permets d'insérer une photo après recherche sur Google pour mieux présenter l'appareil. -> Crédit photo : Monsieur Guillaume Besnard.



Et alors, pour le coup… ce qui est amusant… C'est que cet Airbus est immatriculé " R-BUS ! Ca ne s'invente pas !

Franchement ça change des livrées tape-à-l'œil. Je n'en fais pas plus mais je voulais faire un insert à son sujet !

Retard !

Tout était bien parti pour décoller à l'heure dite… Jusqu'au moment où nous avons constaté comptage, re-comptage, re-re-comptage… Entre le nombre de passagers prévus, et le nombre de passagers présents, il y avait une différence d'une personne.

Il semblerait, que le bagage ait été orienté vers notre avion par erreur, alors que le passager était certainement dans le vol prévu pour lui. Une indiscrétion a laissé supposer, de la part d'une hôtesse, qu'une carte d'embarquement manuelle serait à l'origine de l'erreur. La sécurité ne pouvant souffrir d'aucune exception, l'histoire a duré 45 minutes, avec intervention de tout le monde : personnel de l'aéroport, CDB… Allées et venues…

CDB qui d'ailleurs, tiendra au courant et présentera ses excuses, dans un phrasé direct mais courtois et franc.


Le vol

Le pitch est nettement moins sympathique qu'à l'aller : d'ailleurs une des rares fois, quelle que soit la compagnie, que nous avons les genoux "dans le siège de devant". La photo parle d'elle-même. Sur Ibiza / Paris, ça passera, mais je ne ferai pas 7 heures ainsi !



Au revoir Ibiza…



Petite commande pour se restaurer et s'abreuver, ceci se faisant asssez rapidement après un ddécolage franc.

C'est l'assiette de tapas qui sera choisie, avec un vin rosé.

Rapport qualité/prix très correct. C'est très bon, ça ne fait pas trop "léger". Ca cale bien et c'est "goutû".
Phénomène bien connu lors des vols : les goûts sont modifiés, d'où l'appétence des passagers pour le jus de tomate… Nous concernant, la "compote" de tomate donnait l'impression d'un goût (pas désagréable au demeurant) tirant sur la groseille ! Le vin "fait le job" : pas un goût de piquette, il accompagne bien. Rien à redire.



Une phrase concernant le personnel de Transavia : encore une fois tout sourire, disponible. Un passager, plus âgé, rangée 5, avait besoin d'un peu d'aide pour le service, ou pour aller aux commodités… Mais aussi pour parle avec eux (elles) tout simplement : toujours réactifs et sans se forcer. Tout à fait au niveau de ce qu'on appellerait une compagnie "traditionnelle". Qu'ils en soient remerciés.

Passage au dessus de la région d'Angoulême. Au loin, on distingue l'embouchure de la Gironde. Plus précisément, l'endroit le plus large de l'estuaire, avec la ville de Royan à l'entrée de celui-ci.


Atterrissage à ORY qui ne plaît pas forcément à ceux qui aiment le "bisou sur la piste" : oui ça a rebondi "et alors".

Le CDB présente ses excuses pour le retard involontaire, tandis que le roulage est fort long… Ceci aurait-il porté malheur, on ne le saura jamais, car nous finissions à l'arrêt avec le CDB intervenant de nouveau pour indiquer qu' "aucune place de parking n'est disponible", et qu'il faut patienter.

C'est ainsi que le retard se transforme en une franche heure.

On roule de nouveau et croisons un aéronef de FlyGps…


Corsair à ORY


ORY

Très courtois au-revoir : au micro, du CBD, puis, en débarquant, de la part des PNC. Une fois encore rien à redire concernant le service Transavia.

L'on croit le voyage fini (hors bagages)… mais le retard allait s'accentuer.
Ainsi qu'on le voit en photo, bloqués sans indication lors de la sortie de l'appareil…



Ceci aura tout de même duré une dizaine de minutes. Des personnels de ADP (pardon Paris Aéroport) sont passés… pas une info, rien.

Il s'avère qu'on sera bifurqués sur des PAXBUS en sortant par un escalier à gauche, alors que nous pensions aller directement vers l'aérogare.

Nous sommes donc à Orly Sud, dans la partie la plus au loin de son centre historique. C'est propre mais, mon dieu, que nous sommes loin de la chaleur et de la "vivacité" de certains aéroports. Je pense aux aéroports scandinaves mais chacun aura souvenir d'endroits où l'on est heureux d'arriver. Pour le business ou pour les vacances… Là, ce ne sont pas trois tableaux de "bienvenue à Paris" qui vont émerveiller, il faut bien en convenir…



Les vols à l'arrivée



Et enfin une mention spéciale au génie qui aura réglé le s tapis bagages dans le mauvais sens… Voyez la photo, les bagages sont livrés, mais, au lieu d'avoir un tapis allant de gauche à droite, permettant au plus grand nombre de récupérer lesdits bagages, il va… à gauche, engendrant immanquablement un entonnoir de passagers,, voulant, à juste titre, récupérer leur bien avant que celui-ci ne repasse de l'autre côté et ne refasse le grand tour !! "C'est ça la France" comme dit la phrase taquine…