Avis du vol easyJet Sevilla → Toulouse en classe Economique

Bonjour à tous et bienvenu dans ce report concernant le vol retour de notre week-end Sévillan.

Pour le routing et la constitution je vous invite à consulter le Fr du vol aller

TLS-SVQ 14/01/16 Easyjet (UK) A319 classe Y A toi ma belle Andalouse…[url=http://flight-report.com/fr/report-12913
.html]c’était là.

Ce vol est une semi exclusivité, en effet la ligne n’a été reportée qu’a une reprise par Sierra Golf en 2012 sur Air France à l’époque des bases de provinces.

« No madeja do… indiferente »

Dim 16/01/16 SVQ-TLS Easyjet UK Airbus A319 (G-EZIR) classe Y.

Après un très bon week-end Andaloux il est temps pour nous de rentrer à la maison, l’horaire du vol n’est pas idéal (milieu de journée) mais reste correcte.

Nous avions commandé un taxi à l’hôtel histoire d’être serein pour un retour à la maison en douceur, malheureusement ce dernier s’est trompé d’hôtel et arrivera avec plus d’un quart d’heure de retard (heureusement nous avions prévu le coup). Ce dernier ne nous fera pas de cadeau sur le prix pour autant et ne me rendra pas la monnaie. Autant vous dire que je n’ai pas une grande estime des chauffeurs de taxi Sévillan.



Après ce départ un peu chaotique nous rentrons dans l’aéroport de Séville plutôt original avec toutes ses arches il a été rénové en 1992 lors de l’exposition universelle. Il est plutôt grand mais accuse tout de même son âge.



Le FIDS avec les vols du jour, heureusement que tous les codes-shares sont indiqués séparément sinon il serait bien vide.



Le PIF est passé très rapidement car l’affluence est plutôt faible en ce week-end hivernale, il ne doit pas en être de même en haute saison. La zone de contrôle débouche sur le Duty free qu’il faut traverser pour rejoindre la porte.



Pour nous ce sera porte 8 une des plus lointaines d’un terminal tout en longueur articulé autour d’un long couloir orné d’alcôves qui contiennes les salles d’embarquements plutôt grandes.



Malheureusement le bâtiment commence visiblement à montrer des signes de faiblesse.



Aperçu des appareils présents sur le tarmac ces 2 A320 de Vueling qui prendront leur service plus tard dans la journée.



Close up sur EC-HTD qui partira sur Ténérife dans l’après-midi.



Comme à Toulouse, de l’autre côté de la piste se trouve les usines Airbus sauf qu’ici on fabrique des avions pour les militaires. On peut y voir un A400M et plusieurs Casa en cours de fabrication.



Quand soudain, au loin, surgie de l’usine Airbus un A320neo d’essai il s’agit du 5ème A320 utilisé pour la campagne d’essai du dernier né d’Airbus équipé de moteur LeapX.



Il décollera peu de temps après au programme un petit vol vers la base aérienne de Moron situé à quelques kilomètres au Sud Est de Séville.



Quelques minutes plus tard le pré embarquement est appelé suivi par l’arrivée de notre destrier du jour il s’agit d’un A319 (G-EZIR) âgé d’un peu plus de 10 ans.



Pas de chance pour nous à la loterie Easy nous sommes chacun d’un côté du couloir



Les passagers débarquent pendant ce temps-là un B737 de Ryanair en provenance de Barcelone arrive.



C’est à notre tour d’embarquer, pas de passagers prioritaires aujourd’hui, nous serons donc parmi les premiers à embarquer ça tombe bien nous sommes au fond.
Passerelle semi-vitrée qui donne une bonne vue sur la rampe des 737 de Ryanair.



La cabine orange,



Aperçu des sièges c’est encore l’ancienne cabine.



Pendant qu’on y est le pa(ëla)



La safety pour les addicts



L’embarquement se poursuit, petit à petit l’avion se remplis jusqu'à atteindre un bon 90% de remplissage et coup de chance je n’ai personne sur mon bloc de siège !

L’embarquement est terminé, je demande au steward si avec Ma chérie nous pouvons rejoindre les sièges A et B au lieu de C et D, il me dit avec humour qu’il n’y a aucun problème à part si Mme ne veut pas.

Terminal côté face, nous rejoignons nos nouveaux sièges en A & B 20 secondes après nous être assis la dame de devant nous demande d’arrêter de mettre nos pieds dans son dos d’une manière pas vraiment aimable alors que nous ne touchions pas du tout le siège ?
Son mari constatera que nous ne nous appuyons pas et que la douleur dorsale n’est pas de notre fait et s’excusera.

Après cet incident, nous commençons immédiatement notre roulage, pas de repoussage, la passerelle recule suffisamment pour permettre un départ face au terminal.



Nous passons en revue les troupes de Michael O’Leary avec ce 737 pour Santiago de Compostela.



Celui-ci pour Beauvais



Et ce dernier au repos aujourd’hui arrivé de Barcelone la veille



Cet A320 de Vueling partira lui pour Las Palmas.



Puis c’est le décollage en piste 09, passage devant le terminal passager bien vide.



Rotation, nous sommes en l’air passage devant des hangars appartenant à Airbus defense & space.



Derrière le bâtiment rouge qui accueille l’usine Coca-cola, les champs ou un A400M c’est malheureusement crashé il y a quelques mois.



Dernier regard sur l’aéroport alors que notre avion vire ensuite vers le nord au-dessus de la campagne Andalouse.



Puis nous survolons le parc naturel de la Sierra Norte de Sevilla et la retenue d’eau de l’Embalse del Huesna.



Nous poursuivons notre montée mais ça se couvre…



De temps en temps le voile se déchire ce qui permet de voir de temps à autre le sol, même si cela reste brumeux. Ici la retenue d’eau de l’Embalse de la Serena.



En cabine l’ambiance est sereine



Puis nous passons à l’Est de Madrid malheureusement je n’étais pas du bon côté, mais voici tout de même la ville de Collado Villalba.



Et quelques instants plus tard les sommets enneigés du parc de la Cuenca Alta del Manzanares.



Alors que nous survolons les Pyrénées la couche se déchire à nouveau, ce qui donne une vue sympathiques sur les sommets enneigés des Pyrénées atlantiques.



Voici le chemin emprunté lors du vol altitude de croisière 38000 ft.



Puis nous survolons Tarbes alors que la descente commence.



On voit apparaitre le lac artificiel de la Gimone qui marque la frontière entre les trois départements (Gers, Hautes Pyrénées et Haute Garonne).



Puis sous notre aile apparait la Garonne, au loin, Toulouse.



Nous, nous alignons pour une finale en piste 32 Droite. Avec un virage qui nous permet de voir une bonne partie de la chaine des Pyrénées.



On retrouve la Garonne désormais grossie des eaux de l’Ariège.



Spatioport … euh non Oncopôle (Dire Canceropôle si vous parlez à un Toulousain).



Les tours de la Reynerie au premier plan, au second plan (beaucoup plus intéressant) la piste de l’ancienne base militaire de Francazal.



Atterrissage devant les locaux des essais en vols où trône l’A350 n°2, visiblement au repos ce dimanche.



Freinage toute ferraille dehors ce qui trouble nullement ce banc de Belugas dans leur repos dominicale.



Petit coucou à la tour.



Le Hall D plutôt remplis en ces temps troublés.



Un visiteur peu commun cet A330-300 de XL Airways France en provenance de Paris CDG qui fait une escale à Toulouse avant de rejoindre les plages de Punta Cana.



Nous sommes parqués devant le hall C car notre appareil repartira vers Lille.
Le débarquement ce fera via paxbus pour rejoindre la zone non Schengen état d’urgence oblige.



Dernier regard sur notre destrier India Roméo



Plutôt original les bus sont garés derrière l’appareil ce qui permet un angle de photo peu commun aux Friste.



Vous noterez la présence de ce Boeing 737 de Travel Service Hungary qui assure un charter vers Fuerteventura il partira peu de temps après pour Marseille. L’A319 de LH partira lui pour Francfort.



XL Airways a déployé son avion le plus récent aujourd’hui côté pile et face.



Contrôle d’identité assez lent bien que tous les guichets soient ouverts.



Puis nous sortons dans la zone de livraison bagages sans intérêt pour nous ce jour-là.



Coté arrivé du hall D et sa girafe volante ! Je crois que je vais en faire ma signature ^^



Sortie sous un grand soleil de Janvier.



Puis tramway pour rejoindre la maison.



Encore une fois une prestation correct livrée par Easyjet, je ne vois pas où Iberia aurait pu mieux faire. Séville est une superbe ville très chaleureuse et vivante, un très bon souvenir. De plus en ce mois de Janvier l’Ibère n’est pas rude. (Désolé fallait que la fasse ^^)

Dernier bonus Sévillan la Giralda.