Avis du vol entre Sydney et Christchurch en classe Economique avec Emirates

Bonjour à tous,
Le tour du monde se poursuit avec un vol Emirates là où on ne les attend pas forcément, bien qu’ils aient beaucoup de vols en 5ème liberté. Sydney/Christchurch est leur dernière ligne entre l’Australie et la Nouvelle Zélande, alors qu’il y a quelques années on pouvait voir de nombreux A380 d’Emirates en même temps à Auckland, avec des lignes vers Dubaï via Sydney, Melbourne et Brisbane. Maintenant Emirates dessert Auckland en direct et via Bali, ainsi que Christchurch via Sydney.

Le routing de ce tour du monde

Quelques statistiques de ce routing.

sydney airport

Après un sympathique citytrip à Sydney, nous quittons notre hôtel de Mascot pour un quart d’heure de marche avant de rejoindre le terminal domestique. De là nous prenons la première navette du matin pour le terminal international, qui part vers 6h du matin.

L’enregistrement Emirates n’est pas très rempli, à croire que la majorité des pax se sont déjà enregistrés, ou alors sont en provenance de Dubaï.

On nous enregistrera après avoir vérifié notre billet de sortie de la Nouvelle Zélande, en nous donnant des sièges hublot, mais aux issues de secours et des 2 côtés de l’appareil.

Le PIF et l’immigration seront passés assez rapidement, notez qu’ils sont plus tatillons sur les vols internationaux que sur les vols domestiques.

Comme nous n’avons pas d’autre projet de voyage en Australie dans l’immédiat (enfin qui sait), nous dépensons nos dernières ferrailles australiennes au duty free qui est plutôt cher, on a dû payer 3 ou 4AUD pour un Kit Kat !

Puis nous nous posons sur ces tabourets en attendant l’embarquement.

Ce 777 de Qatar Airways se prépare à partir pour Doha, via Canberra.

Notre vol vers l’église du Christ est logiquement en codeshare avec Qantas.

C’est le baptême en mérou des airs pour Mademoiselle et le 3ème vol pour moi, après un Sydney/Dubaï/CDG en 2010, qui ont été mes premiers FR, ça ne me rajeunit pas ! L’appareil n’est pas très photographiable à SYD, ce sera mieux à CHC.

De nombreuses files à l’embarquement, on se croirait presque au péage de St Arnoult !

à bord du mérou

Quand vient notre tour, on embarque à bord du géant aux 3 passerelles. Malheureusement, nous ne prendrons pas celle du pont supérieur.

L’instant fuselage est logiquement obstrué par la passerelle des riches !

Afin de ne pas entretenir le doute, nous avons eu une nouvelle cabine (enfin je ne sais pas si c’est la dernière version ou s’il y en a une encore plus récente), ça change de celle des premiers 77W qui font régulièrement le LYS/DXB, ligne qui n'a plus de secret pour vous suite aux nombreux FR de Noëllie !

Le siège de Mademoiselle est celui de droite, sans voisin sur l’avant. J’ai le même de l’autre côté.

Sa vue.

Même sur les sièges normaux le pas est très bon.

Un menu et une carte d’arrivée nous sont distribués.

2 choix au petit déjeuner, choix entre des œufs et des œufs !

Guide de l’IFE, enveloppe pour la fondation Emirates et safety card.

Retour sur la safety card.

Pushback, avec un autre avion d’Emirates à proximité, un 777 qui fait escale à Bangkok avant de rejoindre DXB, la ligne vient d’ailleurs d’être fermée.

Safety video de l’avion aux 16 issues de secours.

Quelques heavies, dont l’unique compagnie européenne qui se pose encore en Australie : BA.

Jumbo meeting.

décollage

Décollage.

Vue depuis la caméra.

Vue de mon côté

Un vol bien court pour un A380, on ne vas pas tellement avoir le temps d’explorer l’IFE.

Traversée de la couche

Avant de se retrouver au-dessus des nuages.

ife

Quand le signal lumineux s’éteint, je pars rejoindre Mademoiselle, qui n’a pas de voisin sur son trio. Beaucoup de mer à survoler.

L’écran de Mademoiselle (et le mien avant de changer de place) est situé dans l’accoudoir.

Explorons l’IFE, ou plutôt l’ICE comme l’appelle Emirates.

Bonne idée de donner l’immatriculation de l’avion dans lequel nous volons.

Les choix ne manquent pas pour occuper les pax.

Le casque, qui sera récupéré par les PNC en fin de vol.

L’écran de la télécommande a la taille de certains écrans d’IFE (je pense aux A340 non rétrofités d’Air Mauritius par exemple^^).

à table

Les plateaux repas nous sont ensuite distribués, pour les besoins du FR on testera les 2 plats proposés.

Omelette, saucisse, patates et tomates pour Mademoiselle, qui échangera plus tard avec moi.

Et œufs brouillés, patates et beans pour moi, je ne suis pas fan de ces légumes, surtout en avion !

Couverts en métal évidemment, on n’est pas sur AF !

Fruits frais.

Autopsie de la barre de céréales.

Banana bread, sur Air Canada ça aurait été l’unique élément solide du petit déjeuner !

Et un petit thé au lait pour faire glisser le tout.

Manger permet de faire passer le temps, on en est déjà à plus de la moitié du vol à la fin du repas !

Petite promenade en cabine, avec l’escalier menant aux quartiers des hautes sphères de la société !

La cabine est assez clairsemée.

Petit passage aux toilettes.

Quelques accessoires disponibles.

fin du vol

La Nouvelle Zélande se rapproche.

Plus que quelques minutes de vol

Je regagne mon siège hublot pour l’atterrissage. L’approche sera turbulente.

Les immenses volets se déploient entièrement.

Approche finale.

Atterrissage un peu brutal.

Roulage rapide jusqu’à notre porte.

Une porte aux dimensions de cet avion.

Tour habituel de la cabine en débarquant.

La petite touche bling bling EK, les hublots ornés de faux bois !

Une cabine très confortable et bien équipée.

Instant fuselage.

Jolie pente pour la passerelle du pont supérieur !

Il faut maintenant faire mes adieux au gros mérou, je ne sais pas si j’aurai l’occasion d’en reprendre un, l’avenir de cet appareil étant plutôt sombre, sauf peut-être chez Emirates, mais cette compagnie fait rarement partie de mes choix de voyage.

L’immigration sera rapide avec des bornes automatiques, donc malheureusement pas de tampon. La douane mettra un peu plus de temps, mais rien de trop long non plus.
Il faudra ensuite changer des € contre des NZD aux arrivées à un taux peu intéressant.

On quitte ensuite le terminal pour prendre un bus pour le centre-ville, bus dont le chauffeur sera une grand-mère fort sympathique !

bonus de Sydney

Pour finir, un petit bonus sur Sydney pour terminer ce FR, nous ne sommes pas sortis des sentiers battus mais c’est une ville qui nous a bien plu.