Ce FR est le deuxième segment de notre petit voyage pour assister à un mariage en Chine début juin. Plus d'information à ce sujet se trouve dans le FR du premier segment :
CDG - PVG : MU370 (A332) Les poteries d’Yixing
PVG - CGO : FM8389 (B738) Les temples de Kaifeng (vous êtes ici)
CGO - PEK : CA1326 (B738) L’allée des Mig
PEK - TYN : train à grande vitesse
TYN - PVG : MU2402 (B738) Meilleurs vœux de bonheur !
PVG – CDG : MU569, vendu comme AF3767, non reporté
Ce FR commence dans la ligne 2 du métro qui relie les deux aéroports de Shanghai. Le Maglev va certes plus vite, mais sa desserte au quart d’heure et la correspondance à son terminus rendent un peu aléatoire le gain de temps, surtout si l’on part d’une station de la ligne 2.

« Vous êtes ici » : cette légère erreur de traduction ici m’a toujours amusé (en chinois, il est écrit « Votre localisation », ce qui se réfère à l’indication de droite, mais c’est bancal en anglais).

Une particularité des deux aéroports de Shanghai : les PAX doivent passer par une détection de traces d’explosif (avec un coton passé rapidement sur les bagages), et sont bloqués dans un sas que vous voyez ici le temps que les cotons passent dans la machine qui les analyse – ce temps s’exprime en secondes.

La voûte plantée d’aiguilles du Terminal 1 de PVG

Il ne faut pas moins de six écrans pour afficher raisonnablement les vols domestiques au départ de ce terminal.

Pas de souci au sujet du vol MU9389 vers Zhengzhou. Le hasard veut qu’à la même heure, il y a un autre vol MU, en partage de code avec AF, en direction de Taiyuan, le but de ce voyage.

Il n’y a pas de file dédiée aux groupes, et un groupe de Chinois en Chine, c’est la plaie. Ils cherchent systématiquement à doubler tout le monde pour rester ensemble. Vous voyez à gauche de la photo, une PAX isolée avec sa valise qui a du mal à passer parce que deux membres d’un groupe cherchent à passer sous les barrières à enrouleurs, et à droite une employée en corsage clair qui fait la police, assez efficacement. Tout ce monde
s’interpelle avec vigueur.

Grâce à cette employée qui maintient l’ordre, la file avance vite et bien : en cinq minutes, l’affaire est réglée,

et il ne reste plus qu’à rejoindre le PIF en suivant ces PNC.

La carte d’embarquement, avant qu’elle ne soit tamponnée de rouge au contrôle (systématique en Chine) avant le passage du PIF.

J‘ai tout juste le temps d’une petite séance de spotting en restant dans le champ visuel de la porte d’embarquement, et surtout de Mme qui connait ma propension à l’abandonner dans les aéroports chinois.
Il y a du bien et du moins bien dans ce terminal pour le spotting. Le bien, c’est la très forte inclinaison des baies vitrées, ce qui limite le risque qu’elle soient maculées par la pluie. Le moins bien, c’est qu’on en est trop loin, ce qui gêne la photographie d’appareil au contact.

L’exemple en est donné par l’avion dans lequel nous allons embarquer :

L’immatriculation pour les fans

Départ d’un A340 Swiss

Arrivée d’un 738 Hainan Airlines.

J’ai eu un peu de mal à identifier cette petite compagnie aérienne que je ne connaissais pas : il s’agissait de Fuzhou Airlines.

Shanghai (PVG et SHA) étant le hub principal de MU, il y a pléthore d’appareil de cette compagnie

A320 wingletté avec l’ancienne livrée et A321 sharkletté en livrée Skyteam

L’embarquement commence pile à l’heure

La passerelle est ici aussi griffée 汇丰 et HSBC


Le hublot de la passerelle ne me permet pas de saisir en entier le nom de 上海航空

Passage à travers les deux rangs de la J en 2+2

Et arrivée dans la cabine Y, ici avant que les rangs autour de nous ne se remplissent.

L’appuie tête est orné de publicité

Le pitch est standard (environ 27 cm de l’assise du siège à la pochette devant), et donc correct


Un détail de la moquette. C’est propre, à cet endroit qui a tendance à accumuler les petits débris.

Ces deux bâtiments sont un hôtel plutôt luxueux et un motel situés entre les deux terminaux de PVG. Les rares fois où j’ai regardé, le motel affichait complet.

Les appareils FM et MU pour les vols domestiques suivants

La carte de sécurité recto-verso


Le plafonnier, très classique

Un autre appareil FM vient de repousser et va rejoindre la piste

Repoussage à notre tour : il est 10h41, soit une petite minute de retard sur l’horaire


Démonstration de sécurité sur IFE pendant ce temps

L’extrémité « intérieure » du terminal, dédiée aux vols domestiques

Détail de la passerelle griffée 汇丰 (HSBC en chinois)

Le personnel de piste montre la banderole de pin de blocage de roulette avant

… et salue longuement les PNT et les PAX dans l’avion qui s’ébranle

Passage du côté piste du terminal, là où les vols internationaux sont au contact

Le nouveau logo de MU, derrière l’ancien

Une sorte de poteau blanc au milieu de la photo :

C’est un épouvantail dont je ne sait pas s’il est plus efficace que dans les champs pour éloigner les oiseaux ; il y en a plusieurs disposés dans l’espace entre les pistes de roulement et d’atterrissage.

Atterrissage d’un appareil China Airlines, certainement en provenance de Taipei

C’est à notre tour

L’orientation de la piste ne permet pas de voir les terminaux au décollage ce jour là

Une zone de stationnement au loin

Une zone de maintenance ?

L’air est comme toujours brumeux (plutôt moins que d’habitude)

Une curiosité météorologique : l’avion va traverser une ultime et très fine couche de nuages avant d’atteindre le ciel bleu.

C’est très brumeux sur la plus grande partie du parcours

Je n’ai pas cherché à identifier ce paysage

Début du service

Voici le repas, tel que déposé sur la tablette

Et après déballage

Chat noir échaudé craint l’eau froide, et Mme ne touchera pas à ce repas. J’en ai vu (et mangé) d’autres, et ce riz friz avec des légumes et assez peu de viande est correct.


Les sièges s’inclinent de manière symbolique…

mais pas le mien, dont le bouton d’inclinaison a disparu

Descente dans les nuages vers Zhengzhou

Le plafond est très bas, même si la couverture nuageuse n’est pas particulièrement dense


Il y a trois appareils (MU, CZ et CA) qui attendent que nous ayons atterri

Deux appareils CZ et un appareil FM au contact

Capital Airlines n’avait que des CRJ-200 quand je l’ai emprunté en 2010. Cinq ans plus tard, elle a des A319 comme celui-ci.

Deux villes voisines de Hong-Kong sont représentées ici, avec Shenzhen Airlines (A320)

Et Air Macao (A321)

Stationnement à côté de cet A321 CZ

Dernier coup d’œil à l’avion après le débarquement

Des employées munies de hauts parleurs rappellent l’emplacement des tapis à bagages de chaque vol. C’est très « Chine profonde » et assez fatigant.

En attendant la livraison de notre bagage, je vais aux toilettes. On n’a pas encore inventé la photographie des odeurs et cela vaut mieux pour le confort des lecteurs de ce FR. Le sol est aussi très glissant en raison des flaques que je veux croire être d’eau des lavabos.

Nous n’allons pas à Zhengzhou, mais à Kaifeng, à 70 km de là. Si nous n’avons pas atterri à Kaifeng, c’est que la seule piste à Kaifeng est celle de sa base aérienne, aperçue ici depuis le sommet de la pagode Po.

A l’extrême droite de la photo ci-dessus, un unique appareil dont l’avant est bâché, que voici immortalisé à fond de zoom optique et numérique. Il n’était pas très facile d’identifier ce Y-7, copie chinoise de l’Antonov 24, la rupture des relations sino-soviétiques ayant interrompu un transfert de technologie.

Pas de possibilité d’arrivée en avion, donc, et il faut prendre un bus

Comme toujours, le tarif est dérisoire (40 RMB), mais pas de chance, nous avons raté le bus de 13h, et le suivant est à 14h30 (la dernière colonne est l’horaire de retour).

Il y a un wifi gratuit, mais comme partout en Chine, il faut fournir un numéro de code reçu par SMS sur un numéro de portable chinois, car la police veut savoir qui nuit à l’harmonie de la société en propageant des informations n’entrant pas dans sa définition d’un internet sain (ces termes reviennent perpétuellement dans les medias officiels chinois).

Landside, l’extrémité du terminal est en fait la salle d’attente des bus de grande ligne

Inutile de stresser : toute l’information se trouve sur ce BIDS (et non FIDS^^)

De gauche à droite : le numéro du service, l’horaire de départ, la destination, le remplissage (有票 = il y a des billets [à vendre]), la ponctualité (正点 = à l’heure), le tarif en RMB et le numéro d’immatriculation du bus. On retrouve la plupart de ces informations sur le billet que j’ai acheté.

Inutile de guetter dehors : une employée annonce l’embarquement à H-10’ environ, évidement en mandarin uniquement. Pas d’incertitude : c’est bien le bus immatriculé?BHK516.

Le confort est un peu sommaire, mais ça ira, malgré un pitch réduit. Mesuré à ma manière, l’espace entre siège et dossier précédent est de 21 cm, contre typiquement 26-27 cm en éco standard.

Le confort est un peu sommaire, mais ça ira

Et le pitch, toujours mesuré de la même manière, est réduit.

Pourquoi aller à Kaifeng ? Certainement pas pour retrouver les traces de la plus grande communauté juive en Chine au XI° siècle, établie sur la Route de la Soie à l’époque où Kaifeng était la capitale des Song du Nord. Il n’en reste qu’une minuscule association dans une ruelle, près de l’emplacement de la synagogue qui a totalement disparu.


Rien de commun en effet entre Kaifeng à l’époque des Song :

… avec son palais dont il ne reste rien

Et Kaifeng aujourd’hui, à quelques temples près que l’on peut retrouver dans ces superbes maquettes dans la Maison de la Guilde Shanshaanguan.

Les remparts actuels (qui apparaissent en bas de la photo ci-dessus) datent de la dynastie Qing (1644-1910)

Les restes des remparts des Song sont sous 8 à 9 mètres d’alluvions, car la ville ancienne était perpétuellement victime des crues du Fleuve Jaune.

Les maquettes de la ville anciennes méritent à elle seules la visite de la Maison de la Guilde Shanshaanguan, qui comme son nom l’indique était l’association des marchands originaires des provinces actuelles du Shanxi (capitale Shijiazhuang) et du Shaanxi (capitale Xi’an), toutes deux au nord de Kaifeng.

Le temple Yaqing, un sanctuaire taoïste remontant à 1233, mérite la visite

… surtout pour ses sculptures de bois peint sous les auvents des toits


Partout ont été noués des rubans rouges de vœux de bonheur par les visiteurs

On vient aussi y prier, de manière classique, en tenant un nombre précis de bâtonnets d’encens

… ou de manière un peu moins classique : cet homme a remplacé l’encens par des cigarettes

… qu’il va planter exactement comme les bâtonnets d’encens !

Mais aujourd’hui, le plus beau monument de Kaifeng (qui n’en a plus guère, et cette ville est désormais délaissé par le tourisme) est le Temple du Grand Ministre, qui date dans son état actuel du XVII° siècle.

Dès le pavillon d’entrée aux belles charpentes peintes

… c’est une perspective majestueuse qui s’offre au visiteur,
mais le temple est bien plus vaste que ce que vous voyez ici, car plusieurs bâtiments successifs sont dans cet alignement

On franchit par un petit pont un bassin

Le bassin est orné de chaque côté de sculptures

Kaifeng est un endroit où survivent encore des traces du chinglish, ce savoureux sabir de traductions mot à mot du chinois en anglais

Ici aussi, on peut acheter pour dix yuan un ruban rouge porte bonheur, et le personnaliser

Il y a de dix modèles différents, appelant le bonheur dans la famille, le succès dans les études ou le travail, la naissance d’un enfant en bonne santé, etc… J’ai estimé qu’il y en avait plus de dix mille accrochés sous ces treilles !

Qui vient-on y prier ? Bouddha, ou plus exactement les trois Bouddhas du passé, du présent et de l’avenir, ici de gauche à droite.

De l’autre côté se trouve une majestueuse statue de Guanyin, le bodhisattva de la miséricorde

Le trésor de ce temple, et de Kaifeng, se trouve dans ce pavillon octogonal, à l’extrémité du temple

Cette statue exceptionnelle en bois de Guanyin aux mille bras a demandé 58 ans de travail.

Habituellement, les représentations de Guanyin à mille bras n’en comporte que quarante (chacun pouvant voir et secourir vingt-cinq détresses), mais ici, il y en a bel et bien 1048, et pour arriver à ce total, la statue a deux faces symétriques.

Guanyin nous aura-t-elle été secourable dans la suite de notre périple ? C’est ce que vous lirez dans les FR suivants.
Merci pour ce magnifique FR (du moins le bonus).
Un vol tout à fait correct sur FM avec un catering assez copieux mine de rien (le plat chaud).
Le bonus est vraiment sublime et ce temple doit valoir le détour.
Petite question concernant le transfert en bus : Comment conduisent les chinois ?
A bientôt,
Ha ha ha...je confirme pour la conduite des chinois, à notre arrivée à Beijing, notre taxi ne semblait pas avoir de freins, du coup devant chaque obstacle on slalomait à gauche ou à droite en se prenant la valise dans la figure! ^^
Merci pour ces précisions !
Catering très satisfaisant pour moi, en qualité comme en quantité pour de l’éco domestique.
J’ai été agréablement surpris par les quelques monuments historiques de Kaifeng, qui ne mérite cependant pas plus d’une journée, ce qui explique je n’y étais encore jamais allé.
La conduite en Chine relève du jeu vidéo grandeur nature : presque la même absence de respect du code de la route et presque le même taux d’accident. Je ne vois pas de changement notable de comportement depuis une dizaine d’années.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR!
Prestation tout à fait honorable et vol à l'heure ce qui est rare avec les contrôleurs aériens chinois. Par contre ce plat chaud ne donne pas trop envie...
A bientôt!
J’ai mangé un plat de riz très similaire dans un restaurant chinois de base, dans la suite de mon parcours. C’est du standard local.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce Fr!
Belle prestation de FM!
La cabine ressemble à celle de CA :)
SUPERBE bonus!!!! :D
Les monocouloirs domestiques se ressemblent beaucoup en Chine. Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR.
Vol classique domestique en Chine avec catering copieux pour cette durée.
Merci pour cette découverte de Kaifeng
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR qui me rappelle mes voyages hebdomadaires
Bizarre ce contrôle d explosif à l entrée du terminal. Ça ne m est jamais arrivé à ce stade, seulement avant les controles de securite.
Vous avez effectivement eu de la chance d être à l heure, C est peu commun en Chine.
Très beau bonus.
A bientôt.
BombieFlyer commente dans la version anglaise de ce FR que ces contrôles sont mis en place de manière saisonnière, ce qui confirme votre témoignage.
Jusqu’ici, je n’avais souvenir d’un contrôle de ce type qu’à Shanghai.
En effet, la ponctualité est le point noir du transport aérien en Chine.
Merci pour le commentaire !
Un vol tout à fait honnête avec ce plat chaud copieux... Pour qui aime la nourriture Chinoise comme tu le précise.
PVG n'est pas vraiment terrible, et lorsque la météo est mauvaise c'est pire !
Les Chinois dans les files c'est l'enfer, Madame ou Monsieur je pousse tout le monde. Heureusement que l'employée veillait.
Effectivement, ça doit être très pénible pour ne pas se perdre dans le terminal bus, ou toutes les infos sont en idéogramme !?
Merveilleux bonus comme toujours, une petite question qui me turlupine : Quelle est la signification de cette sorte de croix gammé sur la poitrine du Bouddha, j'ai déjà vu ça au Vietnam et je me suis toujours la question ?
Merci pour ce partage
Tout était en chinois à l’extrémité « gare de bus » du terminal de l’aéroport, mais je n’avais pas besoin de chercher des renseignements en anglais : c’est un confort appréciable que me procure mon niveau en chinois. Je reconnais cependant aux Chinois une bonne volonté générale pour trouver quelqu’un qui connait le minimum nécessaire d’anglais pour débloquer une situation, et dans un aéroport, ce genre de personne se trouve.
La croix gammée est un très ancien symbole bouddhiste. Sur les plans japonais, c’est le symbole qui repère un temple. C’est aussi un idéogramme, qui en japonais n’est utilisé que dans une seule expression : ? ? « tomber en tourbillonnant ».
Le fait que les nazis aient choisi ce symbole (en l’inversant) perturbe les Européens, mais pas les Extrême-Orientaux qui ne savent souvent rien du nazisme, et pour lesquels ce n’est qu’un symbole religieux que j’ai vu régulièrement sur des bijoux qui seraient impossibles à porter en Europe.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR
Plat chaud qui a le mérite d'exister
Très beau bonus complet de Kaifeng
A bientôt
Merci pour le commentaire !
Le retour de François aux affaires.
Un vol domestique chinois peut encore arriver à l'heure, la preuve !
Prestation ma fois correcte.
Très intéressant bonus hors des sentiers battus.
Merci pour ce FR !
En fait, le taux de vols en retard n’est « que » de 50% en Chine, ce qui fait quand même beaucoup, et même beaucoup trop.
Merci pour le commentaire !
Merci pour le partage et pour le beau bonus.
Le catering sur un vol domestique est un bon point.
Merci pour le commentaire !
Merci François Marathon pour ce FR à bord d'une compagnie où tu as dû te sentir un peu à la maison.
Un vol somme toute correct à bord d'un avion dont les équipements intérieurs commencent à pâtir d'une certaine usure.
La prestation servie, à défait d'être appétissante, a le mérite d'exister.
Comme à l'accoutumé, un FR de FM participe à l'éveil culturel de son lecteur. Cette fois-ci encore, c'est très réussi.
Que Guanyin vous garde !
En effet, il y a un je ne sais quoi de familier dans les compagnies aériennes chinoises, d’autant qu’elles sont quand même très formatées en vol domestique.
Merci pour ces vœux et ce commentaire !
Merci François pour ce très beau bonus!
@tous : merci collectif d’avoir marqué votre appréciation pour le bonus, toujours moins facile à constituer que le récit beaucoup plus linéaire du vol.
Merci François pour ce super FR. Le bonus est franchement top, j'ai l'impression d'avoir vu une autre Chine dans vos photos, Chine que je n'ai absolument pas vu lors de mon séjour malheureusement. Que dire des chinois sinon que vous avez un immense atout de pouvoir parler avec eux. Mon expérience avec les chinois fut plus que glaciale, j'étais pour eux tantôt une attraction (jusqu'au point de venir me toucher) et tantôt un alien ^^