#50 sur 95 Compagnies Un minimum de 10 flights-reports sur les deux dernières années est nécessaire pour apparaitre dans le classement.
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Premier report d'une série de 4 qui me permettra de visité cette très belle ville de Lisbonne.
Chapitre I : Café, sieste, apéro et Madrid aeroporto
C'est avec retard certain voir un certain retard que je m'attelle à ce flight report qui ne déchaînera pas les passions comme un concert d'André Rieu après avoir goutté toutes les spécialités viticoles et ambrées un soir de nouvel an.
C'est la tête aussi fraîche qu'un rosé ayant trainé au soleil un jour de barbecue (comprendre après une série marathon de nuits au boulot) que je me décide de repartir en city trip pour trois jours d'orgies et de festivités à Lisbonne patrie de Vasco De Gama et de Lio.
Finissant une petite heure et demi avant l'heure de décollage, je demande à mon collègue de venir me relayer un peu en avance pour ne pas être ric-rac à l'arrivée à Bruxelles airport.
C'est donc après une nuit bien remplie que j'arrive en train à Zaventem et ou je franchis les portiques automatiques séparant le chemin de fer de la route des airs.
Ce n'est pas encore la cohue dans le hall des départs.
Petit coup d'oeil sur tableau des départs du jour, mon vol est en tout cas toujours annoncé à l'heure.
Après avoir récupéré mon boarding pass et surtout m'être délesté de ma valise dans un délai compris entre deux et trois minutes si on tient en compte le temps de retrouver ma réservation.
C'est donc avec célérité que je passe Pif sans Paf pour cette fois et sans…bref me voilà airside.
Les décorations de Pâques sont de sorties
Passage obligé par le paradis des vices et des fausses promo du jour.
Et c'est toujours aussi endormi, que je part à la recherche du lounge au travers du concourse A. Ce qui me permet de voir ma porte d'embarquement mais aussi de me rappeler que le lounge ce trouve peu après la fusée de ce bon vieux professeur Tournesol et qu'il va me falloir une bonne dizaine de minutes pour y retourner. Alors qu'il ne reste que 30 min avant le début de l'annonce d'embarquement l'appel de la caféine ce fait le plus fort et je me décide d'y faire quand même un tour et puis marcher m'évitera de ronfler sur place.
Passage donc ultra rapide dans cet endroit de luxures et de débauches de nourritures….bon j'exagère un peu et à part du froid et quelques viennoiseries qui semblent ce demander ce qu'elles font là, il n'y a rien de bien intéressant sauf…une machine à café.
Petit tour rapide et mon choix tout aussi rapide:
Direction ma porte d'embarquement mon appareil du jour est toujours bien en place.
Embarquement avec respect des priorité et direction cette superbe passerelle à moitié aveugle où comme on peu le voir on ne doit pas fumer et on doit bien gardé son toutou en laisse (ou alors j'ai raté l'explication du panneau :D)
Ze "moment porte"
Installation à mon siége 1 F, la vue directe sur la playstation est pas top top
Heureusement l'espace pour les gambettes rattrape ce soucis qui pour vous est peut être un détail mais qui pour moi veux dire beaucoup…
Une fois l'embarquement terminé le commandant fera une annonce en espagnol, anglais mais aussi français pour nous dire que nous alons partir avec une bonne vingtaines de minutes de retard à cause du trafic surchargé par une seule piste disponible à MAD.
Petit tour du propriétaire et des bolides qui le composent en ce matin.
Du local, du moins local et de l'exotique:
C'est parti pour le décollage:
Une fois dans les air, nouveau message du commandant de bord pour de nouveau s'excuser et pour annoncer le timing à l'arrivée. Le tout toujours dans les trois langues.
C'est une petite demi heure après notre départ que le service petit déjeuner commence:
C'est pas le top surtout ce pauvre croissant qui à tellement l'air de souffrir déjà comme ça que je n'oserai pas y toucher, mais ça nourrit et c'est le principal.
Petit tour du propriétaire et fiche de sécurité. Niveau propreté on repassera.
Notons aussi que des prises usb sont disponibles sous le siège. Bonnes idées en apparence mais encore faut-il que celle-ci fonctionnent.
Nous arrivons au dessus de la capitale Espagnole. Nouvelle annonce du commandant de bord pour nous remercier et de nouveau s'excuser pour le retard avec en bonus un petit point météo.
Atterrissage en douceur et petit tour de taxiway plus tard me voilà en porte:
C'est après un petit tour de toboggan que je me dirige dans ce très beau T4 de MAD vers le salon Iberia afin de:
1) me reposer
2) me sustenter
3) faire du patin à glace
(biffer la mention inutile) et on se retrouve bientôt pour la suite….
Bruxelles:
Difficile de ce faire un avis objectif sur le lounge de Brussels airport mais il a fait son job: me fournir en caféine.
Le vol:
Pour le vol en lui même rien à dire avec des annonces en espagnol, anglais et français tous le long du vol. Par contre au niveau propreté et de la prestation cela pêche un peu surtout du côté de croissant qui doit avoir honte lui même de s'appeler comme ça.
Madrid :
Rien à redire j'aime beaucoup l'architecture de ce T4
4 Commentaires
Un horaire bien matinal.
Cette pauvre omelette esseulée , certes c'est un plat chaud pour un petit déjeuner mais on a le sentiment qu'il manque quelque chose.
A bientôt
Horaire matinal et continuité de la nuit de boulot ;-)
Cette pauvre omelette m'a tellement fait pitié que je me suis sacrifié pour la manger.
Effectivement cette omelette fait pitié à voir, le pdj n'est que trop rarement un bon moment de catering mais là, c'est particulièrement pauvre !
A bientôt !!
Je dois dire que c'est la première fois que j'ai été aussi déçu par un petit déjeuner en avion même si ne m'attendais pas à un buffet 5 étoiles non plus ;-)
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