Si en voyant la carte ci-dessus, ce vol entre deux îles bien loin de l'archipel principal japonais vous intrigue, c'est que vous n'avez pas lu les FR précédents, Voici mes suggestions de saine lecture après celle de ce récit :
NH1896 - Economique - Hachijojima → Tokyo - Airbus A320A venir
AF279 - Economique - Tokyo → Paris - Boeing 777-200ERA venir
Le salon d'Aogashima
Mon ami japonais est de nature prudente avec les horaires, mais je le suis encore plus que lui, car non seulement j’ai encore moins que lui envie de nous retrouver coincés sur l’île après avoir raté l’hélicoptère de retour, mais je ne veux rien perdre de l’action, pour moi… et aussi pour vous, mes lecteurs !
Il est donc 8h37 quand nous arrivons avec une marge extravagante à l’héliport pour le vol de 9h45 : c’est le calme plat au terminal dont on admirera l’architecture et le soucis du détail dans la décoration extérieure,
C'est aussi le calme plat sur l’hélipad où il n’y a rien ni personne.
Etirement vertical de la photo précédente pour faire apparaître le marquage
Calme plat, il faut le dire vite, car le vent souffle en rafales (voyez la manche à air) et la météo se dégrade : mieux vaut ne pas s’éterniser ici.
Voici l’intérieur du terminal recto (on notera quand même qu’un PAX est arrivé avant nous) ,
Et verso : il y a largement de quoi asseoir les 9 PAX quotidiens
Pour ce qui est du divertissement dans le salon d’Aogashima, il y a un écran diffusant l’image d’une webcam braquée sur le quai du port où le ferry est à nouveau annulé.
L’horaire est simple : arrivée en provenance de HAC à 9h40, départ à 9h45. Avec 7 minutes de turnaround hier, l’hélico a pris du retard.
Le comptoir fait dans le dépouillé, avec la même balance pour les bagages des PAX qu’à HAC, quelques bagages déjà enregistrés et un extincteur dans sa boite rouge au fond à droite. Devant le comptoir sont affichées les conditions générales d’exploitation, encore plus soporifiques en japonais qu’en français.
Turnaround à Aogashima
Neuf heures précises : le policier de l’île arrive dans sa voiture de service
Il aide une employée à retenir le chariot de fret dans la descente. L’employée comme le policier ont mis des tenues de pluie.
Le policier attend, et moi aussi, dans le cheminement pour les PAX à droite
En se retournant, voici le terminal, un peu déformé par le montage panoramique de deux photos en contre-plongée. Tiens, là aussi, il y a un cimetière à côté du terrain d’aviation !
Rentrons, car il ne fait pas bien chaud et il pleut. A côté de l’écran (cathodique !), l’armoire passablement rouillée contient le matériel d’urgence (緊急用具 )
Passage du PIF, qui consiste à passer un détecteur de métaux ainsi. Les bagages à main sont pesés comme à l’aller, mais on ne nous demande pas notre poids, présumé n’avoir pas beaucoup changé depuis la veille.
Un vrombissement éloigné
C’est l’hélicoptère qui arrive
Il a déjà sorti le train d’atterrissage
En approche finale
Il finit de s’orienter, pendant que l’employée court à son poste
Léhlicoptère descent maintenant doucement
Encore moins de deux mètres
Train principal posé
Machine posée
Deux employés vont immédiatement approcher le chariot de fret et l’escalier mobile
Ouverture du chariot à bagages
Le CdB en tenue orange a fait le tour de l’appareil
Et ouvre la porte. Ai-je mentionné qu’il y a du vent et qu’il pleut ?
Un deuxième chariot de fret arrive
C’est le CdB qui charge sa machine
Vue générale
C’est à nous !
Comme à l’aller, c’est une course aux bons sièges : je décroche la médaille d’argent, la prise de cette photo ayant été fatale dans le sprint avec le PAX de dos, celui-là même qui était arrivé avant nous au terminal, comme l'a justement remarqué AirBretzel.
Siège 1A dans un hélicoptère
Mais je ne perds pas au change : le PAX prend le 1C, moi le 1A, et Mme le siège milieu qui est beaucoup moins étriqué que dans le triplet d’un monocouloir ordinaire; Wikipedia m'a appris que cet appareil peut transporter 12 PAX, en trois rangs de 4, contre 3 rangs de 3 ici. (Montage panoramique de deux photos)
C’est surtout moi qui ai gagné, car le siège 1A relève en fait d’un siège en issue de secours, avec un pitch royal, digne d’une J domestique
Le siège du CdB, devant moi. Je n’ai pas rephotographié la notice de sécurité qui n’a donné aucun signe de vouloir tomber de son aumônière.
Instant porte
Instant F-OITN
Un extincteur à mes pieds
La ceinture de Mme est non logotée
J’ai photographié la planche de bord avant que le CdB ne rejoigne son siège.
Et Mme a mitraillé depuis son siège pendant le vol. Il a fallu faire un tri sévère de ses clichés, car les vibrations de la machine rendait l’exercice photographique très difficile.
Le CdB monte à bord et referme la porte avant gauche
En approche de Hachijojima
Les portes de l’hélicoptère sont tellement peu étanches que pendant le vol, le CdB n’arrête pas d’essuyer l’eau qui tombe sur son accoudoir. (Ai-je oublié de mentionner qu’il pleuvait ?)
Hachijo-kojima (la « Petite Ile Hachijo) est en vue à travers un rideau de pluie
C’est ensuite Hachijōjima
Avec le terrain reliant les deux volcans au centre de l’île; la piste de HAC est derrière la charnière de hublot à gauche.
Il fait mauvais temps, mais le Mt Fuji de Hachijō n’est pas dans les nuages
La piste apparait par la fenêtre de la porte gauche
Quasiment dans l’axe
Atterrissage piste 08, encore que cela aie moins de sens en hélicoptère
L’hélicoptère va se poser à la croisée de la piste et du taxiway menant au terminal
Le terminal, au loin
Le voici en entier
Posé tout aussi doux qu’à l’aller, puis roulage jusqu’au point de stationnement plus près du terminal, ce qui est bienvenu car – j’ai peut-être oublié de le préciser – la pluie tombe dru.
Hac sous la pluie
Le CdB descend et va ouvrir la porte des PAX, côté gauche cette fois-ci
Evidemment pas de passerelle, et ce n’est pas Taïwan : il n’est pas prévu de parapluies pour les PAX
Pendant ce temps, nous arrivons dans la petite salle de livraison des bagages
Comme à notre arrivée à HAC deux jours plus tôt, une employée met d’aplomb les bagages enregistrés qui sortent du toboggan, quand bien même il y en a neuf au plus, de dimensions réduites et de 5 kg maximum, sauf achat de supplément, bien sûr.
A l’arrière plan, ce panneau bilingue japonais anglais fournit les heures limites : - enregistrement jusqu’à STD-20’ - passage du PIF jusqu’à STD-15’ - embarquement jusqu’à STD-10’ On notera la moitié gauche du panneau, insistant lourdement sur le fait qu’il faut se présenter à la porte d’embarquement au moins DIX MINUTES avant le départ. Les habitués des vols européens apprécieront.
Sortie de la salle de livraison des bagages : la même employée vérifie les contremarques d’enregistrement
… lesquelles sont minimalistes, mais au départ d’Aogashima, il est possible de descendre à n’importe quelle escale desservie par TAL, puisque l’hélicoptère va d’île en île jusqu’à Ōshima, avant de revenir également d’île en île à Hachijōjima qui est écrit en gros idéogrammes : 八丈島.
Landside, il n’y a quasiment personne, ni côté enregistrement
Ni côté boutique
Une curiosité quand même : le FIDS boucle entre des affichages en japonais, anglais, chinois et coréen, et annonce un vol charter en provenance de Shizuoka. On notera aussi que notre vol a été annoncé en retard de 11 minutes, et aussi que le vol ANA en provenance de HND est sous réserve météo (« Weather check »). On reparlera de cette réserve à l’occasion du segment suivant (suspense !)
Le vol de Fuji Dream Airlines (tout un programme !) n’est pas exceptionnel : nous en avons spotté un le matin de notre départ de l’île, mais nous étions trop dans l’axe de la piste à ce moment-là.
C’est Mme qui a pris la moins mauvaise photo, quand il est reparti
C'était un E-175; j’ai préféré vérifier sur le champ (ou plutôt sur la côte rocheuse) pour éviter un coup de fouet
Il y a eu aussi un Dash 8 ce matin-là. Un trafic infernal ce jour là à HAC : trois vols réguliers, deux charters, plus quatre mouvements de l’hélicoptère !
Revenons au terminal : le PAX en gris fait toujours la course en tête
Il y a un unique taxi devant le terminal
La file centrale ci-dessous sert de dépose-minute ; le parking gratuit est juste derrière la haie basse.
Mon ami va chercher sa voiture (inutile qu’on se fasse arroser tous les trois par quelques uns des 3000 mm de pluie annuelle), et nous repartons chez lui, en passant en tunnel sous la piste qui est sans surprise surélevée par rapport au terrain aux deux extrémités, car le territoire entre les deux volcans a été créé par la coulée de lave du plus récent des deux volcans, et la piste se trouve en fait au col entre les deux sommets.
Il est temps de revenir au point de départ, avec le deuxième bonus que je vous ai promis.
Bonus : Travailler à Aogashima
Bonus : Cliquez pour afficher masquer
De quoi vit-on sur cette île isolée ? Il y a d’abord les emplois publics et parapublics : le policier, quelques employés sans doute à temps partiel assurant les services à l’héliport, d’autres aussi au port quand la météo permet de l’utiliser, des enseignants à l’établissement scolaire qui permet d’aller jusqu’au collège inclus sans quitter l’île. Le bureau de poste exploite probablement les trous dans l'emploi du temps des uns et des autres.
Dans le privé, il y a une loueuse de voiture dont le bureau présente ce sympathique fouillis des établissements où la séparation entre le familial et le professionnel est mal définie.
Qui dit voiture, dit station service, où mon ami a refait le plein pour quelques centaines de yen, et peut-être épicerie. Il y a surtout très exactement cinq minshuku民宿, c’est-à-dire des gîtes ruraux, , comme celui-ci où nous avons passé la nuit.
Le nôtre était à 9 000 yen par personne en chambre double, en demi-pension complémentée d’un pique-nique pour le déjeuner : ils se tiennent tous dans la même gamme de prix, un peu élevée pour le Japon rural, ou plutôt bon marché si l’on prend en compte les contraintes logistiques du lieu. Bien évidemment, c’est à payer en liquide : le Japon rural ignore l’usage des cartes bancaires.
Le pique-nique était à faire cuire soi-même sur les fumerolles dans le centre de la caldera.
Non, pas celles-ci ci-dessus, mais à proximité sur ce fourneau au bilan carbone garanti zéro, car alimenté par lesdites fumerolles.
Il suffit de soulever les couvercles maintenus par des pierres, et mettre dans des paniers séparés les œufs préemballés dans des boites de plastique
… les patates douces
… les saucisses (pas très locales)
… et le poisson volant coupé en deux dans le sens de la longueur (très local)
Ensuite, ouvrir les vannes de chaque autocuiseur à vapeur naturelle, et attendre le temps affiché pour chaque aliment, le plus long étant les patates douces.
Les onigiri お握り (boulettes de riz) étaient les seuls aliments à être consommés froid
Le tout allait avec un thermos de thé
La promenade autour du cratère central fait découvrir des fougères arborescentes
Et d’autres moins grandes, mais tout aussi esthétiques
Une bâche bleue au milieu de la végétation ?
Plutôt un filet de plastique bleu, qui constitue la couverture de l'une des serres dispersées ça et là. Dommage que le fournisseur de ces filets n'ait pas de référence de couleur verte qui se fondrait mieux dans le paysage.
C’est l’une des ressources méconnues d’Aogashima : la culture de palmiers d’ornement qui seront vendus selon la taille de 30 000 à 90 000 yen l’unité (plus frais de transport) à des hôtels ou des résidences huppées.
Au sommet du cratère intérieur, un petit sanctuaire dédié au dieu du volcan, dont l’accès était autrefois interdit aux femmes ayant leurs règles ou relevant de couches, et à toute personne en deuil.
Retournons vers le lieu du pique-nique, où l’on se rend compte à quel point les bords de la caldera constituent des murailles naturelles aussi infranchissables de l’intérieur que de l’extérieur.
C’est un long tunnel qui les perce pour accéder au port que j’ai présenté dans le bonus du vol aller; mieux vaut que le trafic soit limité, car il est beaucoup trop étroit pour que deux véhicules puissent se croiser.
Juste à côté, alimenté par les sources chaudes, se trouve un petit onsen, ou bain chaud public. Comme il est de règle quasiment partout au Japon, il n’ouvre qu’à 16h.
Ce n’est que lorsqu’on est rigoureusement seul(e) que l’on peut se risquer à prendre des photos dans un onsen (où les usagers sont tous dans le plus simple appareil), et c’est à Mme que vous devez celles-ci, représentatives de n’importe quel onsen au Japon ; dans l’écrasante majorité des cas, les installations des côtés masculin et féminin, respectivement, sont identiques. C’est assis sur de minuscules tabourets de plastique que l’on se lave et se rince abondamment, avant de se délasser, dans le bain (très) chaud au second plan. Le bain tout au fond, est en revanche (très) froid.
Une salle commune nous a permis d’attendre Mme après un long délassement.
Après les emplois publics, les services, l'agriculture, voici enfin la zone industrielle d'Aogashima, avec la fabrique de sel située en contrebas de l'onsen décrit plus haut. Le sel est obtenu par évaporation d’eau de mer, chauffé par les sources naturelles.
Ayant fait le tour du tissu économique de cette île, et aussi de son territoire aussi réduit que bien délimité par sa géographie si particulière, il est temps de revenir au minshuku. Tiens, je n’ai pas pris de photo du dîner ? A défaut, voici le petit déjeuner, des plus classiques dans un minshuku.
De haut en bas et de gauche à droite : de l’omelette, du poisson cuit et froid, un bol pour le riz à volonté, un bol de soupe au miso et aux champignons ; puis quelques légumes, du nattō, deux saucisses, un beignet dont j’ai oublié le contenu et des feuilles d’algues séchées pour emballer délicatement du riz avec d’autres ingrédients. (Le nattō, c’est du soja fermenté, un aliment très sain mais dont le goût le réserve à des consommateurs avertis. "Son aspect gluant ainsi que son odeur fermentée-ammoniaquée peuvent le rendre assez repoussant pour les étrangers non habitués.", dixit Wikipédia, une source fiable)
Après ce repas roboratif, il ne restait plus qu’à aller restituer la voiture de location, et revenir à l’héliport, au début de ce récit.
Merci pour votre lecture !
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Verdict
Toho Air Service
8.2/10
Cabine10.0
Equipage8.0
Divertissements10.0
Restauration5.0
Aogashima - XX1
9.5/10
Fluidité10.0
Accès10.0
Services8.0
Propreté10.0
Hachijojima - HAC
9.8/10
Fluidité10.0
Accès10.0
Services9.0
Propreté10.0
Conclusion
Siège en issue de secours, avec un pitch surdimensionné et hublot dépassant tout ce que l'aviation classique peut offrir, dans des sièges comme on n'en voit plus guère que dans un A320 ANA : le confort était au maximum, si l'on veut bien oublier le bruit et les vibrations (on s'y fait vite, en fait) L'équipage navigant a fait son travail, y compris celui de charger les bagages. Le divertissement ? Le paysage, bien sûr ! Pas de restauration, mais qui en attendrait pour un vol de vingt minutes ?
La fluidité et l'accessibilité au départ comme à l'arrivée sont évidemment optimales. J'accorde un bonus de service à HAC pour la disposition des bagages sur le tapis de livraison
16 LIKESLIKER POUR REMERCIER L’AUTEURMERCI ! FLIGHT-REPORT LIKÉ
Merci pour ce beau FR retour ! L’aérogare est une vraie cage à poules. Je retiendrai le ”FIDS” manuel et la webcam du port qui sont particulièrement drôles Effectivement, il pleut et il y a du vent. Vu les conditions météo que subit cette île, le service en hélicoptère fait sens ”On notera aussi que notre vol a été annoncé en retard de 11 minutes” : La ponctualité Japonaise est légendaire. Ce détail aurait surement été passé sous silence par plus d’un aéroport Le bonus est tout aussi insolite et excellent que le vol ! Les lecteurs connaissent maintenant tous les secrets d’Hachijōjima ou presque A bientôt
Neuf PAX et quelques personnes au sol : il n’y a pas besoin de plus de m², et il aurait été coûteux de construire un bâtiment plus esthétique, compte tenu des contraintes logistiques. Un coup de peinture ne ferait pas de mal, mais en fait, personne ne s’attarde là. Entre la photo d’accueil du site internet et la webcam du port, toute la communication de TAL semble être fondée sur le contraste avec le bien réel caractère aléatoire de la liaison maritime. La ponctualité japonaise, et aussi l’information quand elle n’est pas respectée à la minute près. Tous les secrets d’Aogashima, et non de Hachijōjima ^^. (La plongée sous-marine est impossible à développer au départ de l’île, faute de port protégé.) A bientôt !
C’est de l’aviation où tout est visible, au sol comme à bord, et c'est par ailleurs aux antipodes de l’hélicoptère comme transport de luxe. Même par météo médiocre, le paysage est exceptionnel. Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR original à souhait, la salle d'attente de l'hélicoptère est vraiment sans prétention dirons nous ahah. Pour le reste c'est un vol qui change des habitudes et c'est très appréciable.
En dehors des sentiers battus, les infrastructures peuvent être très sommaires au Japon, mais pas dégradées par manque d'entretien ou vandalisme. Là, on était très très en dehors des sentiers battus; environ une visite d'étranger(s) par mois, m'a-t-on dit sur place, c'est dire ! Tiens, on n'a pas mangé un seul bento, au cours de ce voyage ! Merci pour le commentaire !
Merci François et Françoise pour ce FR. un PAX est arrivé avant nous => L’extrême prudence Détecteur de métaux !! => on ne sait jamais ! je décroche la médaille d’argent, la prise de cette photo ayant été fatale dans le sprint avec le PAX de dos. => le même qui était en avance On reparlera de cette réserve à l’occasion du segment suivant (suspense !) => que va t'il encore arriver ? Merci pour le superbe bonus, une immersion totale sur cette île. A bientôt
Mme prend parfois des photos pour mes FR, quand elle seule peut les prendre.
C'était la première fois que je ne voyais aucune interdiction de photographie à un contrôle de sûreté. Un contrôle d'ailleurs assez symbolique, en l'absence de zone stérile dans cet héliport.
Ce PAX tenait en effet à être systématiquement le premier.
Il ne faut jamais sous-estimer le côté obscur de la Force météorologique de Mme !
Merci infiniment François pour ces 2 récits exceptionnels ! La taille du terminal, le vent et la météo ne sont pas sans me rappeler les aérodromes des Orkneys, avec ses airs de bout du monde.
Tiens, là aussi, il y a un cimetière à côté du terrain d’aviation !
On se croirait dans le sketch de Fernand Raynaud "je vous le donne dans le mille ! La première chose que l'on voit en décollant d'un terrain d'aviation : un cimetière !"
Combien de temps dure la traversée en Ferry (lorsque la météo veut bien laisser passer les bateaux ^^) ?
Hachijo-kojima (la « Petite Ile Hachijo) est en vue à travers un rideau de pluie
Splendide, avec ce rideau de pluie ! La mer démontée en contre-bas permet de mieux comprendre pourquoi le ferry ne navigue pas. Il ne ferait pas bon d'avoir une panne moteur en cet endroit.
Merci pour ce beau bonus d'une île fascinante dont je ne soupçonnais l'existence jusqu'à maintenant ! Je compte fouler les terres japonaises dans les prochaines années et voilà une idée qui arrive à point nommé !
La taille du terminal, le vent et la météo ne sont pas sans me rappeler les aérodromes des Orkneys, avec ses airs de bout du monde.
Il y a en effet de cela, le volcanisme en plus, car le relief rend difficile l’implantation d’une piste d’aéroport.
Combien de temps dure la traversée en ferry ?
Trois heures, cinq fois par semaine (maintenance le jeudi et repos le dimanche) : http://www.izu-syotou.jp/route01/
Merci pour ce beau bonus d'une île fascinante dont je ne soupçonnais l'existence jusqu'à maintenant ! Je compte fouler les terres japonaises dans les prochaines années et voilà une idée qui arrive à point nommé !
Je recommande la location d’une voiture (et donc la traduction en japonais du permis de conduire par la JAF, le permis de conduire international délivré par la France et une demi-douzaine d’autre pays n’étant pas reconnu par le Japon), car la desserte en bus est clairsemée et les distances trop longues à pied. Sauf aller-retour dans la journée, avec visite de l’intéressant jardin botanique qui est juste de l’autre côté de la piste.
Et ce retour sous le vent et la pluie (je ne sais pas si vous l'avez mentionné ?)
Un terminal adapté au traffic. Une salle d'embarquement avec caméra live sur l'embarcadère pour conforter les pax dans leur choix de l'hélicoptère
Un vol court mais sous le vent et la pluie(je ne sais pas si cela a été déjà dit) qui obligent le CDB à écoper.
"et ce n’est pas Taïwan : il n’est pas prévu de parapluies pour les PAX" Mauvais point pour les japonais (après celui de la rouille sur l'armoire premiers secours du terminal)
"On reparlera de cette réserve à l’occasion du segment suivant (suspense !)" Ne me dites pas que le FR suivant serait lui aussi sous le signe du vent et de la pluie !!!(même si cela était plutôt un non dit dans celui là)
" le PAX en gris fait toujours la course en tête" Le Mètre s'est fait distancer malgré ses qualités de coureur
Très intéressant bonus
" d’autres aussi au port quand la météo permet de l’utiliser" Ceux là doivent avoir un rythme de travail tranquille
"un peu élevée pour le Japon rural," Effectivement mais la fréquentation ne doit pas en être importante
"Comme il est de règle quasiment partout au Japon, il n’ouvre qu’à 16h." J'ai pourtant eu l'occasion d'aller dans des onsen de très bonne heure
"J'accorde un bonus de service à HAC" Qu'est-ce qu'il lui a valu ce -1 alors ?
C’est l’hélicoptère ou une longue attente d’une mer d’huile, semble signifier la webcam aux PAX qui ont été terrorisés lors du trajet aller. Avoir un vêtement incompatible avec la pluie quand on va à Hachijōjima est une sérieuse prise de risque, vues les statistiques annuelles.
Ne me dites pas que le FR suivant serait lui aussi sous le signe du vent et de la pluie !!!(même si cela était plutôt un non dit dans celui là)
Je crains que cette série de FR ne fera rien en faveur du tourisme balnéaire de Hachijōjima .
Le Mètre s'est fait distancer malgré ses qualités de coureur
Je sais prendre des photos pendant un marathon sans impact sur mon classement. Sur un 100 mètres, c’est plus difficile
la fréquentation (des minshuku) ne doit pas en être importante
Il faut prendre en compte les longs séjours des PAX attendant un ferry de retour.
J'ai pourtant eu l'occasion d'aller dans des onsen de très bonne heure
Oui, mais pas en milieu de journée. L’hôtel où nous avons séjourné à Tokyo avait un onsen ouvert jusqu’à 10 h du matin.
Qu'est-ce qu'il lui a valu ce -1 (en note de service à HAC) alors ?
Je pars d’une base de 8 pour un service standard.
Merci pour ce commentaire relevant au passage une pluviosité qui mériterait d’être plus mentionnée ! ^^
J'attendais ce FR avec impatience te n'ai pas été déçu, (je le savais avant de le lire...) Le cimetière à côté de l'héliport n'est pas très rassurant ^^ L'air marin a raison jour après jour de la structure de l'édifice servant de salle d'enregistrement et d'embarquement On voit Madame les bras écartés semblant dire, "je n'ai rien fait Monsieur l'agent !" :)) Quelle météo défavorable ! Un engin très moderne avec une planche de bord qui l'est tout aussi Place royale derrière le pauvre CDB obligé d'essuyer son accoudoir pendant le vol ! Le bonus est riche en enseignement sur le mode de vie des insulaires.
Merci François pour ce superbe partage, à bientôt. (Et mes félicitations à Madame qui t'as dignement épaulé en produisant ces belles photos)
Merci François pour cette suite dans l'improbable.
Le béton lépreux de l'aérogare ne fait a priori pas penser à une infrastructure japonaise.
"on notera quand même qu’un PAX est arrivé avant nous" ===> prudence est mère de sûreté.
"il y a largement de quoi asseoir les 9 PAX quotidiens" ===> pour la déco intérieure, j'hésite entre casernement des années 60 et établissement privatif de liberté.
"L’employée comme le policier ont mis des tenues de pluie." ===> on se croirait en chemin vers la criée.
"Tiens, là aussi, il y a un cimetière à côté du terrain d’aviation !" ===> dans le contexte climatique et avant de prendre place à bord d'un appareil vibrant, est-ce la présence la plus rassurante?
Un grand merci à Madame pour sa participation à l'enrichissement iconographique du reportage.
"Les portes de l’hélicoptère sont tellement peu étanches que pendant le vol, le CdB n’arrête pas d’essuyer l’eau qui tombe sur son accoudoir." ===> un peu comme dans les bus de ramassage scolaire des années 70 !!!
"l'ai-je bien descendu?" ===> la descente de madame est digne des arrivées des souverains pontifes en voyage apostolique ! A-t-elle baisé la terre qui l'accueillait?
Un grand merci pour le passionnant bonus.
Seul bémol de ce reportage, Mètre Marathon à systématiquement été défait à la course par le pax fil conducteur du reportage !
Le béton lépreux de l'aérogare ne fait a priori pas penser à une infrastructure japonaise.
C'est l'improbable jusque dans les derniers détails
On notera quand même qu’un PAX est arrivé avant nous" => prudence est mère de sûreté.
Un insomniaque, peut-être.
Pour la déco intérieure, j'hésite entre casernement des années 60 et établissement privatif de liberté.
Je pense plutôt au vestiaire d’un terrain de sport en zone défavorisée, dont j’ai plus l’expérience.
on se croirait en chemin vers la criée.
Il y a de cela, comme un rappel de ce qui attendrait les PAX préférant l’hypothétique option ferry.
dans le contexte climatique et avant de prendre place à bord d'un appareil vibrant, la présence (du cimetière) est-elle la plus rassurante?
C’est la preuve d’une prévoyance couvrant jusqu’aux éventualités les plus improbables.
Un grand merci à Madame pour sa participation à l'enrichissement iconographique du reportage.
Remerciements transmis derechef à l’intéressée !
Les portes de l’hélicoptère sont tellement peu étanches que pendant le vol, le CdB n’arrête pas d’essuyer l’eau qui tombe sur son accoudoir, un peu comme dans les bus de ramassage scolaire des années 70 !!!
Ou comme dans le vestiaire du terrain de sport déjà évoqué.
Madame a-t-elle baisé la terre qui l'accueillait?
La pluie et l’absence de parapluie n’incitaient pas à des actes de piété sur le tarmac.
Seul bémol de ce reportage, Mètre Marathon à systématiquement été défait à la course par le pax fil conducteur du reportage !
Se faire doubler sur le tarmac d’Aogashima après avoir guetté sous la pluie l’arrivée de l’engin, malgré les suggestions de tous d’attendre à l’abri dans ce douillet terminal !
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22 Commentaires
L’aérogare est une vraie cage à poules. Je retiendrai le ”FIDS” manuel et la webcam du port qui sont particulièrement drôles
Effectivement, il pleut et il y a du vent. Vu les conditions météo que subit cette île, le service en hélicoptère fait sens
”On notera aussi que notre vol a été annoncé en retard de 11 minutes” : La ponctualité Japonaise est légendaire. Ce détail aurait surement été passé sous silence par plus d’un aéroport
Le bonus est tout aussi insolite et excellent que le vol ! Les lecteurs connaissent maintenant tous les secrets d’Hachijōjima ou presque
A bientôt
Entre la photo d’accueil du site internet et la webcam du port, toute la communication de TAL semble être fondée sur le contraste avec le bien réel caractère aléatoire de la liaison maritime.
La ponctualité japonaise, et aussi l’information quand elle n’est pas respectée à la minute près.
Tous les secrets d’Aogashima, et non de Hachijōjima ^^. (La plongée sous-marine est impossible à développer au départ de l’île, faute de port protégé.)
A bientôt !
Le cagibi de l'héliport est sympa, j'aime bien la webcam sur le quai du ferry !
Quel mauvais temps ! Essuyer l'eau qui rentre à l'intérieur par le pilote est quand même drôle !
Merci beaucoup pour cette suite du bonus sur une île ou je ne mettrai certainement jamais les pieds même si l'envie ne me manque pas :)
A bientôt !
La cabine de l’appareil qui prend l’eau, ça m’a surpris, quand même.
Il ne faut jurer de rien : il y a dix ans, je n’aurais pas parié un yen que je mettrais un jour les pieds sur cette île ;)
Merci pour le commentaire; à bientôt !
La "salle d'embarquement" reste un must et les conditions spartiates pour rejoindre l'hélico font rêver tout fan d'aviation !
Un IFE naturel sans commune mesure.
Bon weekend à toi et à bientôt
Merci pour le commentaire !
Merci doublement ;-)
Merci et à bento (la mauvaise blague pardon).
Là, on était très très en dehors des sentiers battus; environ une visite d'étranger(s) par mois, m'a-t-on dit sur place, c'est dire !
Tiens, on n'a pas mangé un seul bento, au cours de ce voyage !
Merci pour le commentaire !
un PAX est arrivé avant nous => L’extrême prudence
Détecteur de métaux !! => on ne sait jamais !
je décroche la médaille d’argent, la prise de cette photo ayant été fatale dans le sprint avec le PAX de dos. => le même qui était en avance
On reparlera de cette réserve à l’occasion du segment suivant (suspense !) => que va t'il encore arriver ?
Merci pour le superbe bonus, une immersion totale sur cette île.
A bientôt
C'était la première fois que je ne voyais aucune interdiction de photographie à un contrôle de sûreté. Un contrôle d'ailleurs assez symbolique, en l'absence de zone stérile dans cet héliport.
Ce PAX tenait en effet à être systématiquement le premier.
Il ne faut jamais sous-estimer le côté obscur de la Force météorologique de Mme !
Merci pour le commentaire, à bientôt !
La taille du terminal, le vent et la météo ne sont pas sans me rappeler les aérodromes des Orkneys, avec ses airs de bout du monde.
On se croirait dans le sketch de Fernand Raynaud "je vous le donne dans le mille ! La première chose que l'on voit en décollant d'un terrain d'aviation : un cimetière !"
Combien de temps dure la traversée en Ferry (lorsque la météo veut bien laisser passer les bateaux ^^) ?
Splendide, avec ce rideau de pluie ! La mer démontée en contre-bas permet de mieux comprendre pourquoi le ferry ne navigue pas. Il ne ferait pas bon d'avoir une panne moteur en cet endroit.
Merci pour ce beau bonus d'une île fascinante dont je ne soupçonnais l'existence jusqu'à maintenant ! Je compte fouler les terres japonaises dans les prochaines années et voilà une idée qui arrive à point nommé !
A bientôt !
Il y a en effet de cela, le volcanisme en plus, car le relief rend difficile l’implantation d’une piste d’aéroport.
Trois heures, cinq fois par semaine (maintenance le jeudi et repos le dimanche) : http://www.izu-syotou.jp/route01/
Je recommande la location d’une voiture (et donc la traduction en japonais du permis de conduire par la JAF, le permis de conduire international délivré par la France et une demi-douzaine d’autre pays n’étant pas reconnu par le Japon), car la desserte en bus est clairsemée et les distances trop longues à pied. Sauf aller-retour dans la journée, avec visite de l’intéressant jardin botanique qui est juste de l’autre côté de la piste.
Merci pour le commentaire !
Et ce retour sous le vent et la pluie (je ne sais pas si vous l'avez mentionné ?)
Un terminal adapté au traffic.
Une salle d'embarquement avec caméra live sur l'embarcadère pour conforter les
pax dans leur choix de l'hélicoptère
Un vol court mais sous le vent et la pluie(je ne sais pas si cela a été déjà dit)
qui obligent le CDB à écoper.
"et ce n’est pas Taïwan : il n’est pas prévu de parapluies pour les PAX"
Mauvais point pour les japonais (après celui de la rouille sur l'armoire
premiers secours du terminal)
"On reparlera de cette réserve à l’occasion du segment suivant (suspense !)"
Ne me dites pas que le FR suivant serait lui aussi sous le signe du vent et de la pluie !!!(même si cela était plutôt un non dit dans celui là)
" le PAX en gris fait toujours la course en tête"
Le Mètre s'est fait distancer malgré ses qualités de coureur
Très intéressant bonus
" d’autres aussi au port quand la météo permet de l’utiliser"
Ceux là doivent avoir un rythme de travail tranquille
"un peu élevée pour le Japon rural,"
Effectivement mais la fréquentation ne doit pas en être importante
"Comme il est de règle quasiment partout au Japon, il n’ouvre qu’à 16h."
J'ai pourtant eu l'occasion d'aller dans des onsen de très bonne heure
"J'accorde un bonus de service à HAC"
Qu'est-ce qu'il lui a valu ce -1 alors ?
A bientôt
Avoir un vêtement incompatible avec la pluie quand on va à Hachijōjima est une sérieuse prise de risque, vues les statistiques annuelles.
Je crains que cette série de FR ne fera rien en faveur du tourisme balnéaire de Hachijōjima .
Je sais prendre des photos pendant un marathon sans impact sur mon classement. Sur un 100 mètres, c’est plus difficile
Il faut prendre en compte les longs séjours des PAX attendant un ferry de retour.
Oui, mais pas en milieu de journée. L’hôtel où nous avons séjourné à Tokyo avait un onsen ouvert jusqu’à 10 h du matin.
Je pars d’une base de 8 pour un service standard.
Merci pour ce commentaire relevant au passage une pluviosité qui mériterait d’être plus mentionnée ! ^^
Le cimetière à côté de l'héliport n'est pas très rassurant ^^
L'air marin a raison jour après jour de la structure de l'édifice servant de salle d'enregistrement et d'embarquement
On voit Madame les bras écartés semblant dire, "je n'ai rien fait Monsieur l'agent !" :))
Quelle météo défavorable !
Un engin très moderne avec une planche de bord qui l'est tout aussi
Place royale derrière le pauvre CDB obligé d'essuyer son accoudoir pendant le vol !
Le bonus est riche en enseignement sur le mode de vie des insulaires.
Merci François pour ce superbe partage, à bientôt. (Et mes félicitations à Madame qui t'as dignement épaulé en produisant ces belles photos)
Cela devrait rassurer les héritiers quant aux frais de transport du corps
C'est plutôt de la moisissure sur le béton brut. En revanche, l'armoire à équipements de sécurité rouille dangereusement
En cas de besoin de fouille d'un PAX, il doit falloir évacuer tout le local, faute d'isoloir.
Il y a eu pire lors de ce séjour.
Acheté neuf il y a dix ans tout juste par Toho Air Service
Combien de CdB chargent les bagages lors de l'escale et font le ménage en vol ?
Je soupçonne que la contribution nette de l'île à l'économie du pays est négative
Les éloges sont transmis à qui de droit, merci, et à bientôt !
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Le béton lépreux de l'aérogare ne fait a priori pas penser à une infrastructure japonaise.
"on notera quand même qu’un PAX est arrivé avant nous" ===> prudence est mère de sûreté.
"il y a largement de quoi asseoir les 9 PAX quotidiens" ===> pour la déco intérieure, j'hésite entre casernement des années 60 et établissement privatif de liberté.
"L’employée comme le policier ont mis des tenues de pluie." ===> on se croirait en chemin vers la criée.
"Tiens, là aussi, il y a un cimetière à côté du terrain d’aviation !" ===> dans le contexte climatique et avant de prendre place à bord d'un appareil vibrant, est-ce la présence la plus rassurante?
Un grand merci à Madame pour sa participation à l'enrichissement iconographique du reportage.
"Les portes de l’hélicoptère sont tellement peu étanches que pendant le vol, le CdB n’arrête pas d’essuyer l’eau qui tombe sur son accoudoir." ===> un peu comme dans les bus de ramassage scolaire des années 70 !!!
"l'ai-je bien descendu?" ===> la descente de madame est digne des arrivées des souverains pontifes en voyage apostolique ! A-t-elle baisé la terre qui l'accueillait?
Un grand merci pour le passionnant bonus.
Seul bémol de ce reportage, Mètre Marathon à systématiquement été défait à la course par le pax fil conducteur du reportage !
A bientôt !
C'est l'improbable jusque dans les derniers détails
Un insomniaque, peut-être.
Je pense plutôt au vestiaire d’un terrain de sport en zone défavorisée, dont j’ai plus l’expérience.
Il y a de cela, comme un rappel de ce qui attendrait les PAX préférant l’hypothétique option ferry.
C’est la preuve d’une prévoyance couvrant jusqu’aux éventualités les plus improbables.
Remerciements transmis derechef à l’intéressée !
Ou comme dans le vestiaire du terrain de sport déjà évoqué.
La pluie et l’absence de parapluie n’incitaient pas à des actes de piété sur le tarmac.
Se faire doubler sur le tarmac d’Aogashima après avoir guetté sous la pluie l’arrivée de l’engin, malgré les suggestions de tous d’attendre à l’abri dans ce douillet terminal !
Merci pour le commentaire, à bientôt !
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