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Bienheureux ceux qui me lisent, car le royaume des cieux leur appartient !
Mais en vérité, je vous le dis : plus encore que la porte des cieux, ce nouveau routing vous ouvrira des horizons inédits : rencontres impromptues au bout du monde, levers de soleil sur Le Havre en hommage à l'Impression de Monet, escales décadentes dans des salons où le champagne coule à flot, dégustation de vins de Bourgogne à 34 000 pieds, smoothie-tasting, tempêtes dantesques et bonus à l'avenant.
Le routing qui va suivre (assez simple, vous en avez désormais l'habitude) a été conçu dans la visée de passer quelques jours de vacances à Marrakech (et pas que…) en compagnie de deux amis. Le breton au cuir tanné par le soleil réverbéré par la mer n'ayant pas peur des chaleurs infernales, c'est donc en plein cœur de l'été qu'il se résoudra à effectuer ce voyage. Bref, un dessin valant parfois mieux qu'un long discours (qu'à cela ne tienne, vous aurez eu les deux) :
Mais sans plus attendre, place au premier de cordée de cette série de récits !
Le choix est parfois cornélien lorsqu'il s'agit de choisir un billet composé ; en ce qui me concerne, j'ai le bonheur d'être un être simple d'esprit et cela m'évite de m'attarder sur des considérations byzantines de ce style. Ayant donc le choix, à l'achat de mon BES <-> RAK, entre trois vols dont un m'offrait une escale de 2 heures et quelques, l'autre de 4 heures et le dernier de 7 heures 15, j'ai sans hésiter choisi le troisième. Corollaire : le pré-acheminement s'appelle AF7737, alias le vol de la ultima muerte qui décolle à 6 heures du matin. Sacrifier quelques heures de sommeil pour en gagner quelques autres au salon, cela ne me dérange guère et c'est donc aux alentours de cinq heures que j'ai fait face à mon destin (et seul, étant donné que mes compagnons de voyage et moi avons chacun un pré-acheminement différent).
Notez que le titre de la section a été choisi à dessein, les architectes de cet agréable aéroport lui ayant donné la forme d'une raie, ce dont on n'est à peu près conscient que lors de son survol. Quelle que soit son architecture, il faut bien se résoudre à y entrer : avanti ! J'y retrouve une foule compacte aux bornes Air France. Peu m'en chaut ; j'irai directement enregistrer mon bagage en soute aux comptoirs.
Ces deux automobilistes se sont à l'évidence trompés de parking.
J'arrive donc aux comptoirs d'enregistrement et m'avance, le pas noble et le port altier, dans la file réservée aux demi-dieux… où je retrouve une quasi-foule. MRKRPXZKRMTFRZ ! (jeu-concours en commentaires : si vous avez la référence à cette interjection incongrue, toute mon estime est à gagner.)
Le fait est que de surcroît, tout ce petit monde avance à un train de sénateur. Aux files normales, ce n'est guère mieux.
Un comptoir se libérera enfin, me permettant de déposer mon chargement de produits licites. À noter qu'il ne s'agissait pas d'un comptoir Sky Priority, mais que l'agent a décidé en constatant la difficulté d'enregistrement de certains bagages hors-norme détenus par le passager occupant le guichet dédié, de m'inviter à doubler mes co-pax dont certains ont ostensiblement manifesté leur mécontentement. Qu'à cela ne tienne, je profite de cette offre : le temps presse, j'avais donné rendez-vous pour un café matinal à un estimé et plus qu'estimable contributeur de ce site… et il est déjà arrivé !
C'est donc en tandem que nous montons à la mezzanine pour franchir le PIF. Nos portes sont situées dans deux halls différents, mais le Bagad Café est à gauche : toute la barre à bâbord !
En plus d'avoir eu la gentillesse de venir plus tôt que prévu pour partager ce café, BESMRS me l'offre : double honneur qui appelle des doubles remerciements.
Et ainsi, en exclusivité mondiale, nous vous offrons le premier Airport Meetup à l'aéroport de Brest-Bretagne !
Malheureusement notre réunion au sommet et à l'Ouest est marquée par la fin de l'embarquement de mon vol : direction la porte où je m'offrirai le plaisir insigne d'un embarquement de diva, en dernier et en majesté.
Il y a encore du monde dans le jetbridge…
Et sur le tarmac, avec l'A318 qui s'envolera vers Orly 35 minutes après mon appareil…
En revanche, on ne peut pas en dire autant des présentoirs à journaux. Qu'importe : je ne voyage #jamaissansmonZE.
Une pensée pour Edmond Rostand.
Un pré-instant porte, ou instant automates de contrôle de la passerelle…
Un fuselage-shot (moyen du fait des reflets…)
Mais qu'importe, puisque j'ai un associé dans la place qui me fait parvenir cette superbe photo (crédits : BESMRS) !!
Ceci ne me dispensera pas de vous présenter la porte de Golf Kilo X-ray Sierra.
Accueil courtois, sans plus, des PNC. Allez hop, en 5A !
Bien entendu, la plupart d'entre-vous connaît son Smart&Beyond sur le bout des doigts. Je vais toutefois en faire une revue presque complète. Déjà, le pas :
On continue les hostilités avec la têtière ajustable et le dossier…
… que l'on peut incliner.
La tablette est de bonne taille. J'en profite pour exhiber mes deux prises de guerre so fresh !
L'assise est confortable : mon in-flight Economist s'y plaira. Parce que, ô bonheur misanthrope, je n'ai pas de voisin !
La boucle de ceinture porte la gravure des Saintes Écritures…
Et tout ce petit monde vit sous l'égide de ce plafonnier quasiment dernier-cri.
Un petit coup d’œil par le hublot me permettra de prendre une photo plus nette de l'A318.
Et grâce au crabe finistérien, le repoussage m'offrira d'autres angles de vue…
Pendant que je m'amuse à rendre hommage aux maîtres hollandais avec mes piteuses tentatives de clair-obscur, la cabine est préparée pour le décollage.
Il faut dire que l'on s'aligne !
Et c'est parti, dans le vent brestois qui souffle en rafales à 85 km/h !
Youpiiiiiiiiiiii !
L'agglomération brestoise.
Toujours l'agglomération brestoise.
Et encore elle, mais cette fois-ci il faudra me croire sur parole.
Bon, les nuages ayant décidé de saboter mon report, autant se rabattre sur des valeurs sûres. Une liseuse :
Et un ZE.
En fait, ma lecture sera vite interrompue par le changement de cap qui me permettra d'avoir de belles vues du lever de soleil. Le devoir de FRiste avant tout, voyons ! Quelques reflets résiduels subsistent, hélas…
… je m'essaie donc au réglage de mon téléphone, ce qui donne un côté hublot de 787 bleuté à mon petit GKXS !
Finalement, sans réglages ce n'est pas mal non-plus.
C'est tout de même un spectacle ravissant !
Mirez donc l'entrée en scène de l'astre diurne…
Et mirez aussi cette exquise collation.
À votre santé, camarades !
Et pour fêter cette photo réussie, je déguste une madeleine. D'ailleurs, si j'ai envie de faire la même à la maison, de quoi aurais-je besoin ?
Le couperet tombe : des traces éventuelles de fruits à coque. Amen. Dépité, je chiffonne tout cela dans mon gobelet.
Dehors, le soleil n'en finit plus de se lever. De quoi décomplexer toutes les personnes souffrant de dysanie !
Et il se lève entre autres sur Le Havre !
Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ?
- Je ne vois rien que le soleil qui poudroie, et l’herbe qui verdoie !
Notre descente entamée quelques minutes plus tôt se poursuit alors que nous nous approchons de notre destination.
C'est à ce moment précis que je me pique de passion pour la littérature de bord. Air France Magazine report = on.
Pour ceux qui aiment, il y a aussi des consignes de sécurité.
Quelque-chose me dit qu'on cherche l'alignement sur les pistes du Grand Charles.
Terre !
Un petit coup de destructeurs de portance…
Et l'approche continue !
Touch down !
Notre freinage étant accompli, nous quittons le doublet sud pour rallier le 2F.
GKXS fait la course avec son ombre !!
Je te salue, Air France !
Que ton totem soit glorifié !
Cette promenade champêtre touche à sa fin. Les dérives de cousins se dessinent déjà.
Et pour cause, nous voici au large du 2F…
… qui n'en finit plus d'être en travaux !
La passerelle est connectée. Dark Vador va-t-il s'en extraire ?!
Cela ne semble pas inquiéter mes co-pax qui se lèvent tous pour Danette, ou pour toute autre raison inavouable.
Un coup d’œil sur mon siège :
Et je m'extrais de l'aéronef. Avouez qu'il est beau !
Allez zou, assez rêvé ! C'est que j'ai un salon à reporter, moi !
Mais pour y arriver, il faut se rendre au 2E…
… qui est situé dans la direction générale de par-là. Oh, un fashion chantier !
En continuant sur quelques mètres, on arrive à ce panneau. Et sans surprise, la direction qu'il indique me semble idoine pour la suite de mon périple. On se dit donc au-revoir ici ?
Mais comme vous le savez, Ricercare will return pour ses 7h15 de binge-lounging (Copyright Mogoy)… et ce sera honteusement décadent !
Un bon vol de pré-acheminement, passé dans le confort d'une cabine qui est vraiment impeccable pour un trajet aussi court ; à plus forte raison lorsque l'on a The Economist pour seul voisin. L'équipage était courtois, mais n'a pas cherché d'interactions personnalisées avec les passagers (c'est assez compliqué sur des vols d'une heure à leur décharge, mais pas impossible, l'ayant déjà vu faire à plusieurs reprises). Le lever de soleil a participé à l'agrément de ce trajet et était avouons-le très FR-friendly. Mais l'événement à retenir demeure incontestablement le G2 au Bagad-Café !
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 21 avis concernant 3 compagnies sur la ligne Brest (BES) → Paris (CDG).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air France avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 1 heures et 18 minutes.
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31 Commentaires
Une question me tarabuste : Mais où sont passés les pantalons rouges signature ???
A bientôt.
Question on ne peut plus légitime ; j'étais passé au lin (eh oui, quand je n'en bois pas dans les smoothies d'AF, j'en porte !) pour m'adapter au climat de ma destination. Mais promis, sur le prochain routing on retrouvera une couleur bien rock'n'roll !
À bientôt !
Merveilleuse référence illustrée du monde de la métaphore nautique Belge : https://mrkrpxzkrmtfrz.xyz/ J'adore!!!
Et que dire de ce café partagé. Si les deux compères avaient été de vrais hommes du nord, ils auraient comblé leurs tasses de jus de pommes sans bulles!
Le reste de ce vol banal est sublimé (référence à l'auteur mogoyen de ce terme) par une lumière fantastique qui défie les éléments au décollage pour nous offrir des images d'une absolue clarté. Jeux d'ombres et de mots qui font de chaque lecture un moment de détente dans le brouhaha de mes pérégrinations ferroviaires, oui Messieurs, y'en a qui bossent pendant l'été.
Tout comme Clément, je suis déçu de l'absence du pantalon carmin, signature éphémère de l'auteur. Tout fout l'camp mon bon Monsieur. Tout fout l'camp!
Eh oui des messes secrètes, des messes vaudou, voire des messes noires sous les nefs abritant les grands prêtres des frimas et du blizzard... aucun être vivant n'a cependant été sacrifié. L'okapi est plus que bienvenu dans cette terre païenne pour faire son coucou dès qu'il le souhaite, dans un élan de métamorphose volatile insolite. Mais je suppose que nos chances de rencontre sont optimales au temple du smoothie-tasting !
Superbe trouvaille, grazie mille !
Bon, nous voilà démasqués. Arf, les masques tombent et le parisien en exil se révèle derrière la carapace du breton au pantalon rouge et au ciré jaune. Je tiens tout de même à signaler que j'ai une moitié de sang breton, donc je ne suis pas un imposteur complet.
Merci, que d'honneurs ! Je suis ravi de contribuer à la distraction des déplacements ferrés de notre milanais préféré.
Certes, certes... Tout fout l'camp mais y'a plus d'saisons non plus, donc je m'adapte aux températures volcaniques...
Un vol bien matinal pour imiter le maitre du mogoyage !
Au moins, il y a le plaisir de rencontrer l'illustre contributeur brestois pour un café (et même pas un chouchen... où va la Bretagne ?^^) de si bon matin.
A bord, le confort est correct (somme toute meilleur pour toi que pour l'homme ayant payé ton café du matin, dans sa cabine de 318) et Madeleine toujours présente à l'appel en lieu et place des croissants/pains au chocolat/chocolatine que nous revendiquons fièrement.
A très vite, donc, pour un mogoyage en règle.
Petit-déjeuner sans chouchen en effet (oserais-je dire hélas ?), même si nous n'étions plus à un cliché près sur la Bretagne vu la tempête et les nuages épais qui ont agrémenté ma montée :-)
Même saupoudrée de traces éventuelles de fruits à coque, la madeleine tenait fièrement son poste. J'ai ainsi vengé Hervé qui en avait été dernièrement spolié.
À très bientôt pour la suite !
Le chouchen moyen mais à 5 heures, sans moi ! :o)
Par contre vers 17 heures, rien contre du cidre... ou pire ! :)
le premier Airport Meetup à l'aéroport de Brest-Bretagne ! => la décentralisation (comme l’ENA)
Le devoir de FRiste avant tout => quel sacerdoce
D'ailleurs, si j'ai envie de faire la même à la maison, de quoi aurais-je besoin ? => D’émulsifiant, de glycérides d’acides gras etc : chouette la liste des courses ^^
Tout comme Clément, je suis déçu de l'absence du pantalon carmin => pas moi cela démontre une garde robe variée.
A bientôt pour la suite
On décentralise gaiement en bons irréductibles bretons, il ne manque plus qu'un smoothie corner à Brest et je serais le plus heureux des voyageurs !
Moui, c'est assez peu inspirant. Mais je reste bloqué sur le dernier élément de la liste : je me vois assez mal me rendre chez mon épicier en lui demandant des traces - mais attention, seulement éventuelles - de fruits à coque. Je pense que c'est là que réside le défi.
J'ai effectivement en stock des coloris bien absurdes en termes de pantalons ; mais je laisse le mystère planer sur celui qui sera la star du prochain routing.
À bientôt !
Deux références qui pourraient être utiles aux lecteurs du site:
1°) Sur les "vrais marins d'eau douce":
https://www.defense.gouv.fr/marine/manifestations/la-marine-sur-le-rhin
2°) Sur les joies de la délocalisation:
https://www.letelegramme.fr/finistere/brest/ifremer-paris-brest-pas-du-gateau-06-04-2017-11464554.php
Je dirais plutôt que c'est une pantalonnade !
J'ai prévu de visiter la raie de Brest dans l'année, l'occasion peut-être d'inaugurer un deuxième Meetup là-bas !
J'ai beau bien aimer attendre au salon, me lever aux aurores pour cela est bien au-delà de mes forces !
Le juron semblait tout droit tiré de ce cher capitaine Haddock, mais je dois avouer que j'ai du tricher pour trouver l'album exact (que je ne dévoilerais pas ici, pour ne pas voler la victoire à des personnes bien plus cultivées que moi)...
Un siège voisin libre pour s'affaler, un siège à l'avant de la cabine pour étirer ses guiboles, une madeleine... On se croirait presque dans l'Orient-Express de l'aérien (en fait, non.) !
Curieux, j'ai l'impression que le parcours de correspondance est d'un jaune différent de celui que j'ai l'habitude de voir ! En tout cas, c'est tout aussi moche !
A bientôt !
http://www.denshaotaku365.com/archives/2017/11/14/35867499.html
Ce serait avec joie que je t'accueillerais dans cette terre hostile balayée par les vents et où les droits de l'Homme se sont depuis longtemps effacés devant les droits des ours et des sangliers ! Non, en vérité la région est plus que plaisante.
Tu as tout de même toute mon estime voyons ! Je considère cela comme une victoire.
Hé hé c'est certain que nous sommes loin des fastes de ce qu'était le voyage à l'époque où il n'existait que la première classe dans les airs et où la Compagnie Internationale des Wagons-Lits circulait sur les chemins de fer européens... Mais le produit est malgré tout excellent sur une telle durée. La collation est égale à elle-même... pas de folies mais pas de BoB au moins !
C'est peut-être lié à mon appareil qui avait le mode "HDR" enclenché... mais je souscris entièrement à ta conclusion !
À très vite !
Pas de pantalon rouge ? Mais WTF ? :)
Une rencontre à Brest avec l'illustre Didier, ce fût certainement un très bon moment, qui a été le plus bavard des deux ? :)
A bientôt !
Eh oui, il y a eu un déport du rouge vers mes verres à smoothie...
Un très bon moment, je confirme ! Et un moment de conversation parfaitement équilibrée, nous étions chacun aussi bavard l'un que l'autre m'est avis.
À bientôt pour la suite !
Bavard ? moi ????
La prochaine foi, je ferais un discours à la Fidel Castro !!!
Un véritable best of des moments et instants des FRistes, une véritable encyclopédie "à la manière de"
Heureusement la narration plaisante, drôle et de qualité reste celle de l'amateur de ricercare
A bientôt
Il est vrai, après auto-relecture que l'on a un petit précis des leitmotiv du site – mais somme toute, des leitmotiv pour un amateur de musique baroque et de basse continue, c'est cohérent.
À bientôt !
MRKRPXZKRMTFRZ ?
J’arrive après la bataille mais l’auteur est évidence ! Georges Rémi dans la bouche de ce cher Archibald Haddock.
Ce que tout bon lecteur de l’ouvrage de référence (A. Algoud, Le Haddock illustré : L'Intégrale des jurons du capitaine, Casterman, 1991, 96 p.) ne saurait ignorer.
Espèce de logarithme, de moule-à-gaufres, de bulldozer-à-réaction, etc.
Et oui, certains peuvent sacrifier leur nuit pour aller croiser le café à un horaire mogoyesque de l’ultra muerte.
On restera au café car les « boissons d’hommes » à 5 heures du matin, je passe volontiers mon tour ? surtout quand de la route est prévue plus tard !!!
Ce radome, c’est une péninsule !
Je rappelle que toute utilisation publique ou commerciale de mes photos sans autorisation écrite et préalable est sujette à poursuites… ? ? ? ?
Belles vues sur les raccordements entre la LGV Est et la LGV interconnection et sur la base nautique des pompiers de CDG…
Merci pour le FR ?
Bravo pour l'identification du juron, référencée dans le plus pur style académique :
C'est beau à voir.
Damned ! Si je t'offre un verre en guise de dommages et intérêts, ça passe ? :-D
SNCFment parlant, je t'ai pris des photos sympa à découvrir à l'approche de Charles dans le RAK-CDG à paraître. Et il y a même un instant LISA dans le CDG-RAK mogoyisant.
À très vite !
Rencontre à Brest entre gens bien... ^^
"En vérité je vous le dit" => Les premiers mots de la genèse de l'ancien testament... Yahvé Dieu est passé par là ! :))
Catering alléchant sur ce vol, en vérité je te le dit : AF se fait de plus en plus pingre
De belles photos vu du ciel, et là AF n'y est pour rien...
Merci pour le partage, à bientôt.
Oui, peut-être une volonté inconsciente de me mettre dans l'ambiance pour le KSML à venir sur le segment suivant ? Pulsion de grandeur mégalomane irrépressible ? Je ne sais... mon psychanalyste a encore du pain sur la planche.
Oui mais je t'ai vengé : j'ai eu ma madeleine. J'aurais peut-être dû en demander deux pour te venger entièrement.
À très vite !
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