Pour ce week-end allongé à Berlin, j'avais choisi de passer à l'aller par AMS uniquement parce que cela permettait de quitter mon travail une demi-heure plus tard que si nous prenions le vol AF direct. Evidemment, cela faisait arriver beaucoup plus tard à l'hôtel, mais nous n'allions de toute façon rien faire de la soirée. En revanche, pour le retour, le vol AF direct permettait de profiter de profiter d'une bonne partie de l'après-midi en ville. D'où ce routing qui n'était pas d'une grande créativité.
KL1835 - Economique - Amsterdam → Berlin - Boeing B737-800Vous etes ici
AF1535 - Economique - Berlin → Paris - Embraer E190A venir
AMS, porte D59
Le FIDS situé à la racine de l'aile C où notre vol précédent est arrivé au contact demande d'aller dès à présent à la porte 59 : l'atterrissage sur la Polderbaan de notre vol en provenance de CDG n'était pas à lui tout seul un problème critique.
La porte D59, c'est par là
Passage à l'étage supérieur en dominant cet établissement où je n'ai jamais mis les pieds
Passage devant l'entrée du Crowne Lounge : la correspondance est trop courte pour y entrer
La porte D59 est par ici
Elle est en bas de cet escalier
L'écran (surexposé dans la photo précédente) affiche que la porte est affichée non accessible
Quelques PAX attendent sagement sur la dizaine de sièges qui se trouvent là
Inaccessible, la porte D59 ? Pas du tout !
Nous avons même le temps de remonter pour aller aux toilettes qui sont toutes proches
Si vous faites une crise cardiaque en entendant le gazouillis des oiseaux dans le nichoir ci-dessus, un défibrillateur est positionné juste en-dessous.
Embarquement : la cabine du 737 KLM
Embarquement dans le respect des priorités; la porte de l'avion est au bout de cette longue passerelle aveugle
Instant porte, et aïe, le PNC en porte se décale au mauvais moment. Il m'intercepte au passage, et je l'assure que je n'avais aucune intention de photographier l'équipage, dont je floute toujours les visages. Mes excuses sont acceptées sans difficulté; je m'excuserai à nouveau à la descente et le PNC m'assurera que l'incident était déjà clos.
Fuselage shot
La cabine en début de remplissage
Les PAX au hublot ont les pieds encombrés d'un boitier électrique qui aurait une prise électrique en face avant (je n'ai jamais vérifié, mais je devrais).
Et tous les PAX ont un siège plus étroit de deux centimètres et demi qu'à bord du vol précédent : la famille A320 a une carlingue plus large que celles des 737.
En revanche, le pitch est correct
Le hublot est très mal aligné
Mais au rang 10, il n'y en a carrément pas à gauche : c'est une raison supplémentaire pour préférer Airbus à Boeing en monocouloir.
La carte de sécurité recto-verso
Les dossiers peuvent s'incliner un peu, et dans ces conditions, l'absence de PAX juste devant soi est un plus, à défaut d'avoir un siège vide à notre demi-rang.
En vol
Départ du terminal à l'heure
Alignement…
… et décollage
Les PNC distribuent des lingettes désinfectantes; pour une fois, j'en aurai l'usage pendant mon séjour.
Pour ce qui est de la distraction à bord, je préfère de loin les magazines offerts en téléchargement gratuit par AF.
Un biscuit, et pour ce qui est de la boisson, ce sera comme d'habitude un verre de café (supprimé par AF sur le vol précédent) et un verre d'eau.
Aperçu d'éclairages urbains allemands dans la descente
Premier aperçu de BER, un aéroport qui est entré dans l'histoire du transport aérien allemand par les malfaçons, les dépassements de budget et les retards dans la construction de son terminal.
BER, en fin de soirée
Stationnés au large : Ryanair et une compagnie que le flou de ma photo d'origine ne me permet pas d'identifier
Easyjet et Air Berlin
Deux Easyjet et un A321 en livrée blanche
Renseignement pris, YL-LCQ appartient à Smartlynx Airlines
Le personnel de nettoyage en descend
Instant Danette
Long cheminement dans un couloir aussi large que désert
Par ici à la sortie
En traversant une salle de livraison des bagages tout aussi vide
Aucun contrôle de documents sanitaires à l'arrivée
Un aperçu de la décoration du niveau Départs, à l'étage supérieur
Tous ces espaces sont très vides et pour cause : il n'y a plus qu'un vol au départ
Où va ce train ?
La station de S-Bahn est au niveau inférieur. Il n'y a pas beaucoup de distributeurs de billets, pas beaucoup d'acheteurs non plus. J'avais fait mes recherches auparavant, car ce qui suit ne se devine pas : ce qui nous conviendra, c'est un passe de 7 jours pour l'un de nous, car il est valide pour une deuxième personne le soir à partir de 22h ainsi que le week-end. Il nous suffira d'un passe de la journée pour le lendemain, vendredi, pour circuler librement dans la ville et revenir à BER le dimanche.
Ce que je n'avais pas pensé à vérifier, c'est le train à prendre, or j'ai le souvenir douloureux d'avoir pris la mauvaise ligne au départ de MUC, consommant d'un coup toutes mes marges et compliquant le rendez-vous avec des collègues lors d'un déplacement professionnel. Au plus près de l'escalator, il y a beaucoup d'information générale, mais rien sur les stations desservies.
Il faut aller beaucoup plus loin sur le quai pour trouver un plan du réseau, pas meilleur que celui que j'ai trouvé en même temps en ligne sur mon téléphone, que ne fait que me confirmer qu'à BER, comme à MUC, il y a deux lignes de S-Bahn au départ de l'aéroport (au bord inférieur de cette photo sur le plan). Et aussi que notre hôtel est au-delà de la bifurcation.
Mme monte dans le train qui est à quai avec nos affaires, et me laisse investiguer, de plus en plus inquiète de voir les portes se fermer avant mon retour.
OK, ce train effectue une mission de la ligne S9, terminus Spandau, mais est-ce que c'est celle sur laquelle se trouve Jannowitzbrücke, trois stations au-delà de la bifurcation à Treptower Park ?
Un aller-retour vers le niveau d'échange de la station, là où se trouvent les distributeurs, ne m'apporte aucune information supplémentaire. Par ailleurs Citymapper, mon application de navigation urbaine favorite, ne m'est d'aucun secours, parce que la localisation GPS ne risque pas de me localiser dans ces infrastructures souterraines. Et pendant ce temps, le chrono tourne, et l'inquiétude de Mme grimpe.
Evidemment, j'aurais pu voir beaucoup plus rapidement sur le plan à l'autre extrémité du quai que la gare centrale se trouvait bien au-delà de Jannowitzbrücke sur cette ligne, à condition bien sûr d'éplucher visuellement le plan pour la trouver sur le plan général. Je savais aussi bien sûr que "Berlin Hbf" (sur le panneau indicateur du quai) est synonyme de Hauptbahnhof ("gare centrale", ce qui n'est pas forcément évident pour les non-germanistes), et j'aurais donc pu déterminer beaucoup plus rapidement que c'était bien le bon train qui était à quai, mais une fois de plus, comme à AMS, comme à CDG, j'ai trouvé la signalétique insuffisante pour un primo-arrivant.
Mais j'ai finalement réussi à me convaincre que c'était le bon train, une minute avant son départ du quai, et à arriver à bon port avec Mme, sans perdre de temps par rapport aux habitués de BER pour et par lesquels la signalétique est conçue.
Merci de m'avoir lu !
Bonus : L'aéronautique au Deutsches Technikmuseum Berlin
Bonus : Cliquez pour afficher masquer
L'aviation n'est que l'un des domaines couverts par le Deutsches Technikmuseum Berlin (Musée allemand des techniques de Berlin), mais le Douglas C-47 "Dakota" exposé sur le toît suffit à rappeler que ce n'est pas l'un des moindres. Construit à plus de 10 000 exemplaires pendant et après la seconde guerre mondiale, le C-47 est mythique pour les Berlinois, car ce fut le cheval de bataille du pont aérien lors du blocus de la ville en 1948 par les Soviétiques. Les C-47 (et les Douglas C-54 quadrimoteurs utilisés par la suite) furent affectueusement surnommés "Rosinenbomber" (Bombardiers de raisins secs) par les Berlinois, en référence au largage par les pilotes de sachets de friandises pour les enfants massés à l'extrémité des pistes de l'aéroport de Berlin Tempelhof.
Prototype d'aile volante développé dans les années 1930, le Horten Ho II L "Habicht" était un moto-planeur dont le pilote devait être allongé pour tenir dans les 70 cm de hauteur maximum de l'engin. (Il est ici un peu déformé par le montage panoramique de deux photos, faute de recul suffisant.)
Bien abîmée, l'épave d'un Junkers 87 Stuka ayant effectué un atterrissage d'urgence en Russie en juillet 1942. A l'époque des bombes non guidées, ses performances de bombardement en piqué étaient remarquables, au prix d'un voile noir pour l'équipage en sortie automatique du piqué.
Un Messerschmitt Bf 109, l'un des chasseurs allemands emblématiques du début de la seconde guerre mondiale
Plus motorisé, plus puissant, mieux armé, mieux protégé que le Me Bf 109, le Me Bf 110, un redoutable chasseur lourd biplace. L'épave du Me Bf 110 utilisé par Rudolf Hess pour son vol vers l'Ecosse en mai 1941 intéressa beaucoup les Alliés.
Hélicoptère ultra-léger pouvant être assemblé et démonté rapidement, le Focke Achgelis Fa 330 "Bachstelze" a été développé pour décupler (de 5 à 50 km) la distance de l'horizon pour un sous-marin en surface, auquel il était relié par un câble largable. Son utilisation était cependant très dangereuse, tant pour le pilote que pour le sous-marin qui devait rester en surface, tout particulièrement en cas de houle importante.
Le Fieseler Fi 156 "Storch" fut pendant la seconde guerre mondiale un appareil apprécié pour ses performances exceptionnelles… en lenteur. Capable d'atterrir en 20 mètre et de décoller en 50 sur des terrains sommaires, grâce à ses amortisseurs à la course surdimensionnée (évoquant les longues pattes d'une cigogne, d'où son surnom), ce fut l'appareil de choix des opérations spéciales derrière les lignes ennemies. C'est dans un Fieseler Storch surchargé qu'Otto Skorzeny évacua Benito Mussolini du sommet du Gran Sasso où son commando venait de le délivrer en septembre 1943.
L'industrie aéronautique allemande fut remarquablement créative à la fin de la guerre, mais il était beaucoup trop tard pour en inverser le cours. Le Heinkel 162 "Volksjäger" a été développé en un délai record, en grande partie en bois en raison de la pénurie de métaux. Ses performances étaient certes inférieures à celles du biréacteur Messerschmidt 262 "Schwalbe", mais faute de temps et de pilotes expérimentés à la fin de la guerre, il n'eut qu'un succès d'estime.
Certes non guidé, le V-1 peut être considéré comme l'ancêtre des missiles de croisière. Sa conception remarquablement efficace, avec des ailes de contreplaqué et un pulsoréacteur dépourvu de partie mobile lui a assuré un excellent rapport coût/efficacité par rapport aux bombardiers classiques.
Le R1 "Rheintochter" n'a pas dépassé le stade des prototypes, mais ce n'en est pas moins le tout premier missile à deux étages jamais construit.
Un Junkers 52/3m en configuration civile et livrée Lufthansa de l'après-guerre; la version militaire a été l'avion cargo standard de la Luftwaffe pendant la guerre.
Face à face, deux adversaires de la guerre de Corée : un Mikoyan-Gurevitch MiG-15, de fabrication soviétique…
… et un North American F-86 Sabre
La configuration inhabituelle du Rhein Flugzeugbau RW 3 Multoplan, avec son hélice arrière intégrée à une fente dans la dérive, fournissait une excellente vue au pilote. Curiosité supplémentaire de cet avion produit à la fin des années 1950 : les ailes de 10,40 m d'envergure pouvaient être allongées de 5 mètres par des extensions, pour l'utiliser comme un motoplaneur.
Toujours produit aujourd'hui depuis 65 ans, le Cessna 172 détient le record du monde du nombre d'exemplaire construits pour un avion : plus de 44 000 exemplaires ! Celui-ci est entré dans l'Histoire en mai 1987 quand Mathias Rust, un jeune Allemand pilote allemand aussi inexpérimenté qu'instable réalisa l'exploit de pénétrer en toute illégalité dans l'espace aérien soviétique au départ de Helsinki et d'atterrir au centre de Moscou, à deux pas de la Place Rouge, grâce à une invraisemblable accumulation d'erreurs de communication et de "trous dans la raquette" de la défense aérienne soviétique.
Ce bonus ne présente qu'un échantillonnage du matériel exposé; la sélection a été sévère !
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Verdict
KLM
7.4/10
Cabine7.0
Equipage8.0
Divertissements7.0
Restauration7.5
Amsterdam - AMS
8.9/10
Fluidité9.0
Accès8.5
Services8.0
Propreté10.0
Berlin - BER
8.8/10
Fluidité10.0
Accès7.0
Services8.0
Propreté10.0
Conclusion
La cabine d'un 737 est un peu plus exigüe que celle d'un A320, un volumineux boîtier électrique encombre un peu, et les hublots sont assez mal alignés. Le magazine de vol n'a pas grand intérêt à mes yeux, mais l'offre de presse en ligne d'AF y suppléait largement. La restauration est minimaliste, mais avait le mérite d'inclure une boisson chaude, contrairement au vol précédent CDG-AMS avec AF.
Pas de critique sur la fluidité, un cheminement pas trop long pour cette correspondance entre deux avions au contact. La signalétique est correcte pour les portes (en revanche, rien ne permet de deviner quel salon est celui de KLM, pour qui veut y aller).
C'était l'un des tous derniers vols de la soirée à BER, où la fluidité était de ce fait excellente. La liaison ferrée de BER est correcte, avec deux directions possibles, mais comme trop souvent, la signalétique est insuffisante pour celui qui ne connait pas le réseau des transports de Berlin.
2 LIKESLIKER POUR REMERCIER L’AUTEURMERCI ! FLIGHT-REPORT LIKÉ
Sans vouloir dire de bêtises, il n'y a jamais eu d'IFE sur les 737-800 KL, seulement sur les 737-700. Ce boitier sert pour l'alimentation des prises courant de l'autre côté :)
Une rumeur insistante sur un certain réseau social veut qu'il y aurait des prises électriques au siège dans les 738 KL, mais personnellement, je n'en ai jamais vu. Bon, j'ai toujours oublié de vérifier sérieusement :) Je corrige !
Sinon, le site : https://www.bvg.de/en aurait normalement donné la solution (la Berliner Verkehrsbetriebe ou BVG étant à Berlin ce que dame RATP est à Lutèce…).
Je note la présence -inhabituelle et rare en Allemagne d’une svastika- sur les appareils dans le musée berlinois qui bénéficient ici d’une « tolérance » légale à des fins historiques au regard de l’application généralement très stricte de l’article 86a du code pénal allemand (Strafgesetzbuch section 86a)….
le site : https://www.bvg.de/en aurait normalement donné la solution
J'ai téléchargé dès notre arrivée à l'hôtel l'application de BVG qui a bien facilité nos déplacements et notre retour à BER
Je note la présence -inhabituelle et rare en Allemagne d’une svastika- sur les appareils dans le musée berlinois
Tout à fait, cela m'a également frappé; je n'ai pas inclus dans mon bonus les nombreuses svastikas apparaissant dans les uniformes et décorations exposées, ne voulant pas être suspect de complaisance envers le symbole. A contrario, j'avais noté que la svastika manquait sur l'empennage du Me-262 exposé au Flugwerft Schleissheim (l'annexe spécialisée dans l'aviation du Deutsches Museum de Munich) et qu'elles sont également absentes des décors du Miniatur Wunderland à Hambourg.
J'aurais téléchargé l'application avant même de décoller de CDG :)
La Cour constitutionnelle est très chatouilleuse sur les organisations anti-constitutionnelle et le parquet fédéral également, le contexte historique est quand même spécifique...
Merci François pour ce FR. Il vaut mieux ne pas aller au salon et avoir sa connexion. les pieds encombrés d'un boitier électrique qui aurait une prise électrique en face avant => je confirme pour l’avoir testé. Je suis surprise par le catering qui est nouveau. L’application BVG permet également d’acheter son billet ou pass week-end, c’est très pratique. A bientôt
Je me suis rendu compte avec retard que Nicobcn a posté ici le 10 000° commentaire à mes FR mis en ligne depuis un peu plus de dix ans. Merci à tous pour votre intérêt, vos correctifs et vos compléments d'information !
Si vous faites une crise cardiaque en entendant le gazouillis des oiseaux dans le nichoir ci-dessus, un défibrillateur est positionné juste en-dessous.
Il yamême des bruits de vaches et de chiens qui abboient!
La cabine en 737 n'est pas la plus confortable du monde c'est vrai. Je n'avais jamais fait attention qu'elle était moins large qu'un a320.
A terme, les 737 de KLM seront remplacés par les A320 qui viennent d'être commandés, mais il faudra sans doute être patient. Merci pour le commentaire !
Bonjour, il semble que vous utilisez un bloqueur de publicité.
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14 Commentaires
Sans vouloir dire de bêtises, il n'y a jamais eu d'IFE sur les 737-800 KL, seulement sur les 737-700. Ce boitier sert pour l'alimentation des prises courant de l'autre côté :)
A bientôt !
Bon, j'ai toujours oublié de vérifier sérieusement :)
Je corrige !
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Sinon, le site :
https://www.bvg.de/en
aurait normalement donné la solution (la Berliner Verkehrsbetriebe ou BVG étant à Berlin ce que dame RATP est à Lutèce…).
Je note la présence -inhabituelle et rare en Allemagne d’une svastika- sur les appareils dans le musée berlinois qui bénéficient ici d’une « tolérance » légale à des fins historiques au regard de l’application généralement très stricte de l’article 86a du code pénal allemand (Strafgesetzbuch section 86a)….
J'ai téléchargé dès notre arrivée à l'hôtel l'application de BVG qui a bien facilité nos déplacements et notre retour à BER
Tout à fait, cela m'a également frappé; je n'ai pas inclus dans mon bonus les nombreuses svastikas apparaissant dans les uniformes et décorations exposées, ne voulant pas être suspect de complaisance envers le symbole. A contrario, j'avais noté que la svastika manquait sur l'empennage du Me-262 exposé au Flugwerft Schleissheim (l'annexe spécialisée dans l'aviation du Deutsches Museum de Munich) et qu'elles sont également absentes des décors du Miniatur Wunderland à Hambourg.
Merci pour le commentaire !
La Cour constitutionnelle est très chatouilleuse sur les organisations anti-constitutionnelle et le parquet fédéral également, le contexte historique est quand même spécifique...
Il vaut mieux ne pas aller au salon et avoir sa connexion.
les pieds encombrés d'un boitier électrique qui aurait une prise électrique en face avant => je confirme pour l’avoir testé.
Je suis surprise par le catering qui est nouveau.
L’application BVG permet également d’acheter son billet ou pass week-end, c’est très pratique.
A bientôt
Il faut décidément que je fasse plus attention à l'aménagement des cabines dans lesquelles je voyage ^^
Mais pas très passionnant pour autant
En effet, et elle propose systématiquement les principales options de billet, à chaque demande d'itinéraire, ce que je trouve bien conçu.
Merci pour le commentaire, à bientôt !
J'avais également galéré à BER pour trouver la bonne ligne de S Bahn vers le centre-ville... En plus le trajet est sacrément long.
A bientôt
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Il yamême des bruits de vaches et de chiens qui abboient!
La cabine en 737 n'est pas la plus confortable du monde c'est vrai. Je n'avais jamais fait attention qu'elle était moins large qu'un a320.
Merci pour le commentaire !
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