37 avis
Bonjour à tous, ce FR est la suite de mon voyage au Canada.
Je vous avais laissé à Niagara Falls, je vous retrouve à Toronto, ville que j'ai rejointe en bus.
Après de belle découverte en Ontario, c'est l'heure pour moi de me diriger vers le Québec et plus particulièrement la ville de Québec.
J'ai opté pour la compagnie AirCanada qui effectue plusieurs trajets directs entre Toronto et Québec avec sa filiale Air Canada Rouge.
La veille de mon vol j'ai pu effectuer mon check-in, soumettre ma preuve de vaccination et payer pour ma valise en soute.
Le jour du départ, c'est en bus que je rejoins l'aéroport Pearson, l’aéroport Canadien le plus fréquenté.
Le bus me dépose juste devant le terminal après 30 minutes de route depuis North York.
En entrant je suis assez étonnée car il n’y a rien en dehors d’un guichet de dépose bagage.
Il faut en fait rejoindre les étages supérieurs pour trouver les zones d’enregistrements.
Mon vol est bien annoncé à l'heure :
Dans la zone de check-in on ne peut pas rater AirCanada qui règne ici en maitre.
Sur le FIDS il est indiqué que mon check-in doit être effectué en zone 2, où je me rends de suite.
L’aéroport est divisé en 3 zones, une zone pour les vols domestiques, une zone pour les vols vers les USA et une zone réservée à l’international.
La zone 2 est celle réservée aux vols nationaux.
Mon vol étant domestique cela devrait être simple pour moi, mais j’ai tout de même suivi les recommandations d’arriver 3H avant. Cet aéroport fait la une de la presse aéronautique depuis quelques semaines pour ses grands retards au départ et à l’arrivée suite à un manque de personnel.
Il y a effectivement un peu de monde :
Le check-in se fait uniquement à la borne mais deux hôtesses sont présentes pour aider en cas de problème.
Voilà mon boarding pass :
On me propose même d’accrocher mon tag valise afin de me faire gagner du temps.
Une fois le boarding pass et le tag bagage retiré à la borne, direction le guichet de drop off.
Encore une fois, personne n’est présent, il suffit de poser sa valise sur le tapis. Cette dernière sera automatiquement pesée et scannée et on vous fera savoir que vous pouvez vous diriger vers la zone d’embarquement.
Pour rejoindre les portes, un premier filtrage a lieu, pour le contrôle du boarding pass, puis un second juste avant le PIF.
Le PIF d’ailleurs, parlons-en. Je voyais bien que ça prenait du temps devant moi malgré une file d’attente relativement courte. Je comprends rapidement que les deux tiers des bagages sont mis de côté pour une inspection manuelle. Évidemment je n’y coupe pas, mes deux caisses sont mises de côté.
J’attendrai une bonne vingtaine de minutes avant que mes sacs ne soient vérifiés.
Cette fois ça y est, c’est bon, me voilà airside. Il est alors 10H15.
Petit aperçu de ce magnifique FIDS.
Mon vol est annoncé en porte D32 je n’ai pas loin à aller car il s’agit d’une des premières salles en sortent de la sécurité.
Parenthèse, je ne savais pas qu'il y avait des vols entre Toronto, ON et London, ON, la distance de vol doit être relativement courte !
Les salles dédiées aux vols domestiques sont situées dans le hall D.
Le hall n’est pas très grand et en dehors d’un restaurant et de deux boutiques il n’y a pas grand-chose à y faire. Les appareils au contact sont tous des appareils d’AirCanada bien évidemment.
Je me pose et prends un déjeuner en salle d’embarquement alors qu’il n’y a pas grand monde.
L’aéroport est plutôt calme, les annonces concernant le port du masque et le respect de la distanciation sociale sont faites en Français et en Anglais.
Mon avion est déjà là :
C’est à 12H05 comme prévu que le boarding est appelé. Les annonces sont également effectuées en Anglais et en Français et cela me fait relativement bizarre. Ça me met dans le bain pour la suite de mon séjour au Québec.
Direction Québec… enfin direction l'avion tout d'abord.
Je prends place en 21A après un accueil souriant dans l’appareil.
Retour en classe éco pour ce vol, snif !
Le boarding se poursuit :
Durant l’embarquement, la chef de cabine principale présente toutes ses collègues présentes sur ce vol et indique que des turbulences auront peut-être lieu après le décollage.
Petit tour du siège :
A 12H30 l’embarquement est terminé, il ne reste que quelques valises à charger et nous pourrons partir.
Il est demandé que le « couvre visage » soit porté durant tout le vol, c’est leur façon d’appeler le masque, ça m’a fait sourire. Il est également demandé à ce que toutes les trappes d’aération soient ouvertes durant le décollage. Je n’ai jamais eu ce type d’annonce et je ne sais pas pour quelle raison (mesure covid ?).
Les consignes de sécurité sont dictées oralement par la chef de cabine alors que ses collègues effectuent les démonstrations.
Il est 12H45 quand nous partons au roulage,
Un gros mérou Dubaïote au loin :
Nous décollons quelques minutes avant 13H.
Nous faisons un demi tour au dessous d’une grande ville faite de building et nous voyons également au loin la skyline de Toronto qui se dessine avec le lac Ontario en fond.
Durant le vol la distribution d’un kit sanitaire a lieu. Il comporte des lingettes désinfectantes et un masque chirurgical.
Pendant ce temps dehors :
Une dizaine de minutes après, c’est le service de boisson qui débute. Je choisis un verre de jus d’orange qu’on me délivre avec un paquet de pretzel.
Mon voisin opte pour un Ginger Ale et l’hôtesse lui demande s’il veut une seconde cannette après qu’il ait terminé rapidement son verre. On peut dire qu’ils sont généreux chez Air Canada !
Je vous présente l'originale plaquette de sécurité :
Et la pub pour la CB Aéroplan.
A 13H30, nous ne sommes pas encore débarrassés qu’on nous annonce déjà le début de la descente. Dehors, les nuages ont fait leur apparition, je sais qu’il ne fait pas très beau à Québec donc cela ne m’étonne pas vraiment.
Après être rapidement débarrassés, la consigne des ceintures se rallume et nous nous préparons à l’atterrissage sous une fine pluie.
Il est tout juste 14H lorsque nous nous posons à Québec City.
Notre roulage sera très court, en moins de 5 minutes nous serons stationnés.
La passerelle mettra quelques minutes de plus à nous rejoindre puis le débarquement pourra commencer.
Le cheminement est rapide, l’aéroport n’est pas très grand et nous débarquons directement dans le terminal.
YQB = Québec City Jean Lesage Airport
Un petit coup d’œil par la fenêtre :
Direction les arrivées.
J'arrive très vite au carrousel de bagage. Le mien arrivera peu de temps après.
En sortant de l’aéroport, je tente de réserver un Uber comme ce que j’avais prévu mais, surprise ! Aucun chauffeur n’est disponible. Je réessaye plusieurs fois mais rien à faire. Uber s’excuse et m’offre $5 mais toujours pas de chauffeur.
C'est donc avec 2 bus que je rejoindrai mon Airbnb situé aux portes du Vieux-Québec.
Je vous retrouve très bientôt pour les vols retour vers la France.
Cabine : Dur retour en éco, mais siège convenable pour cette durée.
Équipage : Bien ! Même dans des procédures automatisées comme lors du check-in et du bag-drop, il y avait tout de même du personnel disponible. A bord, ils était aussi au petit soin.
Divertissements : Rien.
Restauration : Ok pour un vol de cette durée.
4 Commentaires
Pas de BOB mais un service qui ressemble beaucoup à celui d'AC.
Merci pour ce Fr
Le manque de personnel dans les aéroports est problématique et il faut anticiper par sécurité. Si cela passe rapidement on se pose tranquillou sinon au moins on ne stresse pas. Jamais trop tôt toujours trop tard ! Vol AC Rouge avec prestation offerte en voilà une bonne chose. Où est maintenant la différence avec AC ? Joli bonus qui me rappelle d'agréables souvenirs.
Connectez-vous pour poster un commentaire.