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Trois jours après mon périple en Italie pour l'inauguration de la ligne TwinJet Lyon - Milan début septembre, me revoilà déjà à l'aéroport de Lyon.
Cette fois, c'est pour un autre périple, plus long et tout aussi inutile ! Le pavé pour (essayer) de comprendre la création du voyage, c'est par là :
Mon lectorat est probablement habitué à mes pavés de routing parfois avec peu de sens. Celui-là est encore pire. Vous voilà prévenus.
Tout commence donc en mars, suite à la lecture d'un report sur Ryanair, je me dis qu'il faudrait quand même que je teste cette compagnie, une fois, pour pouvoir dire "Je l'ai fait" (et me faire ma propre opinion sur la compagnie, accessoirement).
Comme je ne suis pas un grand fan de la compagnie (euphémisme), je cherche à payer pas cher un vol pour découvrir la compagnie. Après 300 ans de recherche, je trouve un Valence - Majorque le samedi 17 septembre, un court vol de 55 minutes qui coûte seulement 10€.
Voilà voilà. Il ne me reste plus qu'à trouver un Lyon > Valence, et Majorque > Lyon. Vous sentez le plan qui va être foireux ?
Je trouve quelques semaines plus tard sur Air France un Lyon > Valence via CDG le vendredi 16 septembre, et retour Majorque > Lyon via CDG le dimanche 18 septembre, en Business, pour seulement 325€, un tarif bien raisonnable pour de la J, toute européenne qu'elle soit.
Sauf qu'arrive septembre et sa grève des ATC le 16 septembre. Mon vol n'est théoriquement pas impacté selon Air France, mais je me méfie d'une annulation de dernière minute. Je change donc mon LYS > CDG > VLC du 16 vers le 15 septembre, avec un léger surcoût (vu que mon vol n'est pas annulé, pas de modification gratuite).
Cependant, la nuit d'hôtel supplémentaire à Valence coûte très, très chère, au dernier moment, pour une raison que j'ignore, à plus de 350€ la nuit dans un des seuls hôtels pas complet.
Je regarde alors, par curiosité, ce que peut me coûter un retour de Valence à Lyon le jeudi 15 au soir, et un Lyon > Valence le 17 au matin. Oui, c'est une idée débile de base, mais BON.
Et là, miracle, je trouve pour le jeudi soir un Valence - Lisbonne - Lyon avec la TAP, avec le Valence > Lisbonne en Eco en ATR 72 White Airways (pas de J sur le vol), et un Lisbonne > Lyon opéré par Bulgaria Air en Embraer 190 en Business, pour 229€, la veille du vol, un tarif bien correct donc.
Et pour le samedi matin, grâce à mes Miles Flying Blue, je trouve un LYS > CDG > VLC, en Business pour 62€ et 34.500 Miles (en éco c'était plus cher…).
Du coup, le routing sans queue ni tête est le suivant : LYS > CDG > VLC > LIS > LYS > CDG > VLC > PMI > CDG > LYS. Le tout à un tarif certes raisonnable pour plusieurs vols en J, mais je rappelle que tout cela est à la base pour tester un vol Ryanair à 10€.
Voilà voilà.
Lors de l'enregistrement en ligne, qui est disponible dès la modification de mon billet (comme je l'ai modifié le 14 septembre seulement), une seule rangée de J sur le vol LYS - CDG. Le choix est donc assez limité dans le placement, si je veux un hublot et pas de voisin, le 01F me tend les bras !
Pour ce premier vol du voyage, rien de bien novateur ou excitant, de la J domestique sur Lyon - Paris, comme un air de déjà-vu… 6 reports créés à ce sujet, dont un par moi (sans compter les vols en J sur 787 du temps où il volait sur la ligne, le contexte était différent alors).
Pour moi, c'est un peu plus marquant niveau stats (oui, j'aime toujours ça, les stats), puisqu'il s'agira de mon 50e vol en A320 ! Il m'aura fallu un peu plus de 11 ans pour cela, puisque mon premier vol en A320 était un Paris CDG - Marseille le 27 mars 2011 !
Depuis, 50 vols donc, un peu plus de 40.000 kilomètres parcourus à bord de ces Airbus A320, pendant un total de 82h40mn (une demie-semaine tout cumulé en gros), sur 10 compagnies différentes (Aeroflot, Air France, Austrian, Azores Airlines, Brussels Airlines, EasyJet, Iberia Express, TAP, Volotea et Vueling) et depuis/vers 32 aéroports différents…
Pour finir sur ça, on a donc une moyenne de 805 kilomètres par vol (le plus long étant Paris - Kiev, un peu plus de 2.000km, le plus court CDG - LHR, 349km), 99 minutes en moyenne par vol, et un vol tous les 84 jours, en A320 !
Voilà, désolé, c'était mon côté matheux. Place au vol !
La veille du départ, pas de miracle, pas de tarif bien avantageux aux parkings de LYS. Je pars donc sur le P4, à 20€ les 24 heures. J'y arrive à 4h45, 1h15 avant le départ de mon vol.
Je profite d'une petite accalmie dans la pluie qui tombe depuis la veille pour prendre le "raccourci" vers le T1, en passant par l'ancienne route qui menait aux terminaux avant la construction du nouveau T1, qui passe à l'extrémité sud de la gare.
Le terminal 1 est resplendissant dans la nuit !
Dans le terminal, c'est calme sans être vide, pas de queue à rallonge pour les comptoirs AF. Sur la droite, en face des ascenseurs, l'espace réservé aux passagers en assistance en attente de leurs accompagnateurs.
Le FIDS est bien rempli, ça fait plaisir de voir l'aéroport repartir aussi fort ! Les passagers pour Santorin ont du se lever encore plus tôt que moi…
TwinJet est toujours là pour Milan, et à 8 heures, l'heure du hub Hop! remplit bien le panneau.
Les comptoirs sont assez occupés, avec du monde en éco (tout en restant raisonnable), moins en SkyPriority mais quand même un peu.
Comme je n'ai pas de bagage à enregistrer, et pas envie de faire la queue, c'est direction la borne libre-service pour récupérer ma carte d'embarquement.
Direction l'étage pour passer le PIF, où il n'y a pas une grande attente, et aucune dans le coupe-file.
Il faudra quand même quasiment dix minutes pour passer l'obstacle, les files n'avançant pas vite. Un passager devant moi s'en plaindra bien fort aux agents, leur disant que "C'est un vrai merdier votre truc" (les agents font ce qu'ils peuvent, mon brave). Puis il rangera ses affaires… Directement sur le tapis, et laissera tous ses bacs, bloquant ainsi la file et contribuant fortement au-dit "merdier".
Je découvrirai plus tard qu'il s'agit d'un pilote AF qui part prendre son service à CDG, et qui sera passager sur mon vol. Sans doute pas la fierté de la compagnie nationale lui…
Bref, après cet instant "Je déteste l'humanité", direction la traversée du duty-free !
Sans arrêt pour moi, j'arrive donc dans la rotonde, avec l'espace enfants qui est délaissé par les bambins (à 5h du matin, c'est peu étonnant je pense).
Et il n'y a pas que les marmots qui préféreraient retourner au lit, moi aussi… Direction donc le salon pour m'y poser au calme.
L'accueil est sympathique, et je note une petite différence dans l'aménagement du salon : Auparavant, les rangées de fauteuils étaient séparés par des parois blanches opaques, qui ont désormais disparu. Le salon parait donc moins intime, et le son porte un peu plus, dommage cette modification…
Je m'aventure dans le petit coin "travail", avec un bureau et deux fauteuils. C'est assez étroit, mais au moins le son est bien coupé du reste du salon.
Je m'installe au fond du trou de hobbit/chalet savoyard, comme à mon habitude…
Tour du buffet, avec le froid : Soda, bière, vin blanc, jus de fruits, lait, yaourts et compote…
Des viennoiseries et du pain…
Petite surprise au côté du solide : En plus des habituels fromages et charcuteries, on trouve un assortiment de mini-sandwichs ! Le saumon fumé n'est par contre pas présent sur le plateau.
Les trois types de sandwichs, assez classiques.
Ma sélection, assez frugale, puisque la journée prévoit d'être généreuse avec mon estomac :
Petit-déjeuner au salon de LYS, snack sur le LYS-CDG, deuxième petit-dej au salon de CDG, troisième petit-dej à bord du CDG-VLC, déjeuner au salon de VLC, peut-être un goûter dans le VLC-LIS, dîner au salon de LIS, et deuxième dîner dans le LIS-LYS…
Je crois que je sais d'où je tiens mes kilos en trop, en fait.
Le BP du jour, mon premier avec la mention FB Platinum !
Petit passage aux sanitaires, qui sont propres, mais toujours en nombre insuffisant…
… D'autant plus qu'un des deux est HS, comme l'indique ce très charmant post-it. On a vu plus pro.
Petit spoil : Deux mois après, début novembre, ces sanitaires sont toujours HS. Vinci n'a visiblement pas les moyens de payer un plombier.
Je quitte le salon un peu en avance parce que je commençais à franchement m'endormir, il serait dommage de louper mon vol…
Mon A320 est bien arrivé la veille au soir, et il est déjà éclairé, signe que l'équipage a pris possession de l'appareil.
Pas trop de monde devant la porte B02 d'où part le vol, les places assises ne manquent pas (et sont équipées de prises électriques et USB).
L'embarquement est lancé à l'heure (quasiment), avec l'habituel respect des priorités.
Instant porte pour les amateurs !
L'appareil est équipé de Wifi, et il s'agit de l'A320 Roissy-en-France, qui rentre donc dans sa patrie de baptême ! Il est également connu sous son immatriculation, F-GKXI, et est dans la flotte Air France depuis 2003, avec un court passage chez la morte-née Joon. C'est un nouveau venu dans mon logbook, joie ! Ca sera mon 16e A320 Air France sur les 39 que comprend actuellement la flotte.
Après un accueil courtois, direction mon siège, au 01F. J'ai le plaisir de découvrir une cabine Smart, que je trouve toujours plus agréable que la cabine Métropole !
Un seul rang de J était prévu sur le plan cabine, mais le rideau est placé au rang 2…
A côté de nous, KLM, un Embraer 190 de TAP Expresss, et des dérives EasyJet et Lufthansa…
Le pas à l'avant de la cabine est toujours plutôt réduit, même s'il me semble légèrement meilleur que sur A321.
Deux passagères assises en 2A et 2B viennent faire remarquer à l'équipage que le rideau semble mal placé, puisqu'elles sont en Eco et non en Business. L'équipage vient donc rapidement avancer le rideau… A leur place, je n'aurais rien dit, sur un malentendu on ne sait jamais !
Reprenons donc notre tour de la cabine, avec le plafonnier, classique des A320 !
La ceinture est siglée. Je me demande si elle est restée au nom d'Air France du temps de Joon…
Le confort de la cabine Smart est amélioré avec ces têtières réglables, et des sièges épais en cuir qui bénéficient d'une petite inclinaison.
Chaque siège est équipé d'une prise USB.
Le contenu de la pochette, avec la safety card et le "sachet confort". J'imagine les journées de réflexion intense pour pondre ce wording qui parle de tout sauf de l'usage principal de ces sachets (et aussi l'argent dépensé pour cela, grâce à l'argent de nos billets).
Mais je divague… Le verso de la notice de sécurité, plutôt.
En fin d'embarquement se présente une femme souffrant d'une entorse, sans fauteuil, l'assistance ne s'étant pas présentée. Et malheureusement pour elle, l'appareil est mal armé (dixit l'équipage), puisqu'il manque la chaise PMR, ainsi que plusieurs rallonges ceinture… Belle organisation que voilà, la pauvre dame douillera bien jusqu'à sa place, malgré l'aide qu'apportera l'équipage en tentant de la soutenir.
La porte est fermée juste avant 6h. Nous serons bien deux en Business, pas de voisin donc !
En Eco, la cabine semble très bien remplie également.
Le commandant prend la parole pour nous annoncer un temps de vol de 50 minutes, et une météo nuageuse pendant notre vol. On repousse juste après, pile à l'heure. A côté de nous, l'Embraer 195-E2 de KLM Cityhopper partira d'ici une vingtaine de minutes pour Amsterdam…
Il n'est pas encore l'heure du hub Hop!, c'est donc EasyJet qui squatte le satellite D, avec au premier plan un A319 qui partira pour Bordeaux dans une heure.
Après quelques minutes de roulage, on s'élance sur la piste 17R…
… Et décollage à 6h10, avec une vue toute floue sur le satellite D !
Les lumières n'ont été que très légèrement réduites pendant le décollage, dur donc de faire des photos de Lyon dans la nuit.
J'en profite pour tester le Wifi en attendant le début du service : Si le suivi du vol marche, la connexion internet n'est elle pas fonctionnelle malheureusement.
On vire vers le nord, offrant une vue sur le beau spectacle du lever du soleil, caché derrière les nuages noirs… Mais les reflets sont toujours aussi présents.
Le service Business commence quelques minutes après le décollage, avec une prise de commande orale pour la boisson, puis la prestation est amenée individuellement par le chef de cabine depuis le galley. Une sorte de "service à l'assiette"… Mais avec une offre toujours aussi misérable pour de la J !
Quelques minutes plus tard, le trolley part faire le service en Y, le CC propose au passage un refill de boissons/snacks. Je prendrai donc un jus d'orange pour accompagner mon chocolat chaud. Je fais l'impasse sur une deuxième madeleine ou d'autres sablés…
Même en prenant mon temps, la prestation est vite avalée…
A noter, l'équipage fera scrupuleusement respecter l'utilisation des WC avant uniquement par les passagers de Business, chose assez rare chez Air France (contrairement à KLM où c'est en général plus institutionnalisé). Une tentative d'améliorer un peu l'aspect "Premium" du vol, parce que ce n'est pas avec ce que prévoit AF de base que je vais me sentir "privilégié".
Je note d'ailleurs que, si je me base sur le communiqué de presse de la compagnie, l'offre J domestique devrait normalement proposer également un oshibori, qui est dans les faits généralement absent…
Un peu plus de vingt-cinq minutes après le décollage, le commandant annonce le début de la descente, pour un atterrissage à 7h et une arrivée au bloc en avance.
Dehors, le spectacle est toujours très beau, avec ces nuages noirs surplombés par les premières couleurs du levant.
Je ne me lasserai jamais de ce genre de spectacle, toujours différents…
On commence notre virage pour nous aligner sur Roissy…
Et toucher des roues à 6h59 sur la piste 26L !
On va suivre cet imposant 777 de la Thaï qui est tracté vers sa porte.
Malheureusement, on effectue notre dernier virage bien rapidement, au 2E-Hall K… Le commandant disait donc vrai, arrivée au bloc en avance, mais il nous avait caché que nous aurions droit à du paxbus, le bougre !
L'appareil doit repartir dans seulement 25 minutes pour Londres, très probablement un changement de dernière minute du planning de vol, je doute qu'Air France se mette à planifier des escales de 25 minutes à la Ryanair…
L'avantage du débarquement au 2E, c'est la possibilité d'admirer ce splendide A330-200 qui vient d'arriver de Lagos… Une bien belle bête qui manque cruellement à mon logbook !
Direction le bus Solaris Urbino 12 qui nous attend au pied de l'escalier. J'ai tout le loisir de m'installer au fond du bus, comme les cancres à l'école, pour regarder par la fenêtre au lieu de travailler !
ADP a été généreux en bus pour notre vol, avec pas moins de quatre bus pour nous ramener au 2F. Le conducteur derrière nous est en train de faire un magnifique créneau pour libérer la voie de circulation !
Après cinq minutes de remplissage de bus, on part pour une petite balade, avec une dernière vue sur l'oiseau du jour !
De l'autre côté du Hall K, deux A320, le premier part pour Tunis, le deuxième en revient…
On est finalement déposés à l'entrée du 2F-Schengen…
J'arrive finalement devant le tableau des correspondance à 7h20, soit dix minutes après l'arrivée prévue au bloc.
Mon vol pour Valence est prévu à l'heure, en porte F47.
Cela me laisse donc parfaitement le temps d'aller au salon ! Un peu de monde au PIF principal du 2F, rien d'insurmontable non plus.
Et voilà l'entrée qui me tend les bras ! Mais la suite sera au prochain épisode…
Je vous abandonne lâchement avec la trace radar du vol, et son altitude de croisière particulièrement basse, seulement 22.000 pieds, qui n'aura malheureusement pas permis d'admirer les paysages, vu la météo (et la nuit, accessoirement).
Merci de m'avoir suivi sur ce premier vol d'une longue série, les prochains opus devraient être plus passionnants !
A bientôt, et merci pour vos éventuels commentaires ainsi que votre lecture !
Encore une excellente expérience en Business domestique, pour peu que l'on recherche la médiocrité à tout prix !
La cabine est confortable pour une J européenne, mais ça reste un siège du milieu neutralisé... J'enlève aussi quelques points pour l'armement incomplet, qui a bien gêné l'embarquement de la PMR.
L'offre est ridicule, comme d'habitude. L'équipage tente de relever le niveau en faisant un service "individuel" et non au trolley, et en réservant les WC à l'avant... Mais bon, ça reste juste nul.
Pas de Wifi, mais le suivi du vol.
A Lyon, une expérience un peu plus mitigée que d'habitude, de l'attente au PIF (à cause des passagers), et malus pour le service vu le "no-show" de l'assistance... Au salon Confluence, la disparition des parois séparant les blocs de sièges est assez dommage, ça fait perdre en intimité. Malus aussi pour les WC HS, surtout quand on voit que ça durera... Par contre, les petits sandwichs présents le matin sont un ajout sympathique à l'offre !
L'arrivée à CDG est moins efficace que d'habitude avec le paxbus, mais c'est les contraintes opérationnelles... Et ça a été bien géré, avec suffisamment de bus et un parcours assez rapide.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 78 avis concernant 1 compagnies sur la ligne Lyon (LYS) → Paris (CDG).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air France avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 1 heures et 9 minutes.
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8 Commentaires
Super interessant le routing! hâte de lire la suite!
Un petit départ à l'heure de la muerte, ça doit piquer!
J'adore le passager qui se pleint du merdier, lui-même en causant un beau..
je n'avais pas fait gaffe pour les cloisons au salon, tu as raison d'en parler ça fait un peu moins intimiste.. était-ce donc à cause du convid?
Côté restauration c'est bien rempli
LOL pareil, d'où le fait que je me rabatte sur les fruits ahah
16 A320 de la flotte sur 40 c'est un beau score
Je ne savais pas que KLM venait enfin à LYS avec les nouveaux E190-E2
L'équipage aurait été mal reveillé, à leur place j'aurai fait le naïf aussi.. quoi qu'on verra qu'au final c'est pas la prestation de ouf qui change quelque chose..
En parlant de ça on se demande si Air France ne boss pas secrètement pour la SNCF sur cette liaison LYS-CDG, parcequ'elle fait tout pour nous inciter à prendre le train!
Bizzare cette arrivée au 2E..
On s'habitue à force... Au moins ya pas trop de monde sur la route à 4h du matin :P
Peut-être, ou bien est-ce pour permettre aux employés de mieux voir ce qui se passe/ce qu'il y a à débarrasser ?..
Je n'en suis pas encore arrivé à ce stade, je me contente de ne plus prendre de beurre :P
Et je n'ai pas compté les A320 désormais en-dehors de la flotte ^^
Depuis quelques temps maintenant oui, le vol du matin est très souvent en E2 désormais !
J'avoue qu'il vaut mieux tenter le coup en J européenne ^^
En vrai, si AF pouvait baisser les tarifs du TGV Air du matin, ça m'irait bien, le TGV LPD > CDG me ferait gagner une heure de plus de sommeil x)
A bientôt !
Et bien tout ça pour aller voler chez Ryanair. Il faut vraiment vouloir :) En plus avec les soucis pré-vol il le faut encore plus, et à te lire je pense que tu n'es pas au bout de tes surprises.
Le salon remplit bien son job, il aura fallu attendre longtemps pour l'avoir !
A bord, bon bien c'est la business domestique d'Air France, une farce, mais ça on le connait :)
A bientôt !
Il faut bien se faire plaisir avant de souffrir !
Il est moins charmant que celui d'EAP, mais il est bien fichu oui. A voir si AF fait son salon perso comme annoncé par certains employés ou non...
La J domestique est toujours aussi amusante, tant qu'on arrive à oublier qu'on a payé pour ça :)
A + !
La J domestique est une blague, et le tarif du surclassement est là pour arnaquer le voyageur qui ne s'y connait pas... Mais c'est un coup à dégoûter les cobayes de revenir chez AF ensuite, donc se tirer une balle dans le pied...
Je pense que ça les démangeais fortement... J'ai du lâcher un "abruti" ou quelque chose dans le genre en passant à côté de lui, me connaissant x)
Le prix est effectivement bien élevé pour l'offre... A part dans le cas d'un séjour prolongé dans l'aéroport, ça ne vaut vraiment pas le coup. Et encore, LYS est confortable sans salon aussi...
Théoriquement les vols en Airbus devaient être aussi dans le terminal principal, mais ils ont tous finis au hall D. Alors que du temps du T2, les vols en Airbus étaient bien reliés en passerelle au terminal principal...
J'ai tendance à acheter un vol qui m'intéresse, puis bâtir le routing autour... Là ça a donné un peu n'importe quoi xD
Merci pour l'info, j'avais loupé ça ! Malheureusement en effet, les correspondances ne sont plus assurées...Comme pour la ligne pour Zürich, que Swiss a abandonné et qui a été reprise par T7, les correspondances avec le réseau Swiss ne sont plus assurées, la ligne perd donc beaucoup d'intérêt...
Eh si, mais jusqu'au 30 novembre, un dernier CRK effectue encore des vols sur LYS ! Son programme quotidien est MRS-AMS-MRS-LYS-MRS-LYS-MRS.
A bientôt !
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