Avis du vol Volotea Nantes → Toulouse en classe Economique

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Bonjour et bienvenue à bord de ce report retour d'un week-end entre amis dans la ville de Nantes.

introduction

Nous sommes à la fin du mois d'août quand nous sommes invités par une amis Nantaise à la rejoindre avec notre bande d'amis Toulousain afin de passer un week-end dans sa ville de naissance et nouvelle ville de résidence sur les bords de la Loire.

Il n'y a pas 36 solutions pour rejoindre Nantes depuis Toulouse et pour mon plus grand plaisir c'est l'avion qui tient la corde avec des tarifs plutôt doux pour ce deuxième week-end d'octobre, nous choisirons le challenger sur cette ligne à savoir Volotea qui aura l'avantage d'avoir des horaires plutôt bon et le meilleurs tarif à savoir 70€ A/R par personne à environ 1 mois du départ. Et nous serons 8 de la bande à faire le déplacement, signe d'un week-end bien animé entre potos.

Il y a eu un peu de changement en cet fin d'année sur la ligne entre Toulouse et Nantes, après un été ou cette ligne a uniquement été opéré par les low-cost Volotea et Easyjet (j'exclu les vols Air Corsica opéré exclusivement pour Airbus et non reservable par le passagers lambda) une petite nouvelle arrive sur le marché avec Chalair qui a basé un ATR42-500 à Toulouse avec pour objectif la clientèle affaire des destinations délaissés par le groupe AF et Transavia à savoir Marseille, Rennes et Nantes opérée 1 fois par jour du lundi au vendredi.
Niveau report on trouve essentiellement du Easyjet et du HOP (quand la ligne était encore opéré)

NTE un dimanche Aprem

On arrive en milieu d'après-midi depuis Bouguenais à l'aide du bus 98 qui passe à Neustrie (Terminus de tram). Bonne opération les transports Nantais sont gratuits les week-ends, ce qui fera gagner un bonus non négligeable à l'aéroport de Nantes (spoiler il y en a bien besoin ^^)

Le ciel bleu à été au rendez-vous tout le week-end 

Nous arrivons dans le terminal déjà bien plein en ce milieu d'après-midi et la file d'attente pour l'enregistrement chez Volotea démente malgré un nombre important de comptoirs ouverts.

Le FIDS en témoigne avec de nombreux vols loisirs au départ assuré par les bases des low-cost local Transavia, Easyjet et Volotea.

En chemin on croise ce modèle réduit reproduction d'une célèbre attraction des machines de l'ile, si LYS avait son lion NTE à son éléphant.

Volotea à désormais pris possession du terminal 4 de Nantes, et malgré un petit soucis d'affichage nous rejoindrons cette zone de l'aéroport elle aussi sous dimensionnée par rapport au trafic.

Le passage par le PIF dédié sera effectué en environ 10 minutes un temps plutôt correct.

Dans ce petit terminal les services sont réduits à leur plus simple expression avec le seul point de restauration (brioche dorée) fermé, les seuls services offerts seront donc les toilettes et les distributeurs automatiques. Dommage avec le terminal plein nul doute que l'unique commerce de bouche aurait pu faire le plein. Seul consolation le mobilier du snack sera accessible aux passagers rajoutant un nombre de sièges et table bienvenue dans le terminal. 

Seul petit élément de décoration ce mobile inspiré lui aussi des création du collectif des machines de l'ile

Pas mal de vol Volotea au départ en cette fin d'après-midi, cet Airbus A320 (que nous avons pris 2 jours plus tôt) s'envolera pour Faro.

L'embarquement commencera à l'heure.

BP en version téléphone portable

Notre vol sera effectué par cet Airbus A319 immatriculé EC-NHP, nommé « Volotean Rhapsody » il est âgé d'un peu plus de 16 ans et a eu une carrière jusque-là bien remplie au service Iberia ou Aigle Azur de avant de rejoindre les rangs de la low-cost Espagnole.

Embarquement en faux contact sous le beau soleil Nantais, pour une mi-octobre nous avons plutôt bien réussi notre week-end !

Passage par la porte arrière et accueil avec le sourire par la PNC en porte. On notera au passage ce sticker publicitaire pour la région Espagnole de Cantabria qui d'après la publicité est une terre de surf.

Fuselage shoot !

A bord on retrouve les habituelles siège gris du fabricant Acro, cabine standard sur les Airbus rétrofités par Volotea (il y a quelques machines avec des cabines plus exotiques comme les EC-NDG/DH anciennes cabines Germania, EC-NOL/QN où l'on trouve d'anciennes cabine Aigle Azur.) Le style très sobre est bien relevé par de belles têtières colorées. 

Le pas est plutôt bon pour une compagnie low-cost cela est due principalement à la faible épaisseur des sièges ainsi que la configuration limitée à 150 passagers due à l'unique sortie de secours au niveau de l'aile.

Un peu à l’image de Ryanair la safety card est ici collée sur le verso de la tablette. Tant pis pour les collectionneurs.

La cabine se remplit progressivement avec un taux d’occupation des sièges qui sera dans les 90% à vu d’œil.

L’instant plafonnier pour Cyrille, on est sur l’une des première génération sur famille A320.

La vue depuis le siège 15F donne quand même bien sûr l’aile, merci au passage à ma chérie de m’avoir fait (une nouvelle fois) cadeau du hublot.

Repoussage parfaitement à l’heure, alors que les consignes de sécurité sont présentés par l’équipage.

Nous commençons notre roulage pour un départ en piste 21 ce qui nous fait longer le terminal 4 et ses dérives Volotea.

Une preuve de plus qu’il a été nécessaire de pousser les murs à Nantes, avec un emplacement de stationnement à même été créé devant les hangars abritant l’aviation générale.

A Nantes aussi il y a une usine Airbus à proximité, même si ce ne son que des morceaux qui sorte de la fabrique Nantaise.

Après ce court roulage nous entrons en piste sans plus attendre. On peut voir que l’état du tarmac n’est pas de première jeunesse et qu’à certains endroits il semble même rafistolé.

Nos 2 moteurs CFM56 nous arrache facilement du sol Nantais dans leur bruit caractéristique (qui fait un peu casserole lors de la pleine puissance)

Notre montée initiale sera progressive et sans l’ombre d’une turbulence au dessus du bocage Nantais

Une fois notre altitude de croisière atteinte les flots de l’Atlantique sont visibles au loin, même si je suis en full contrejour ce qui explique aussi la qualité médiocre des clichés.  

A noté que le système de divertissement à bord via wifi est devenu gratuit, plutôt sympa même si aucune prise n’est disponible pour recharger les appareils support.

Une vingtaine de film type blockbuster sont disponibles ainsi qu’une sélection de musiques d’artistes mondialement connus.

Il y a même une application géovision pour suivre le vol incluant une vue 3D plutôt réussie.

L’application de géovision semble cohérente avec la trace issue de flightradar, altitude de croisière de seulement 29.000ft pour un temps de vol de 46 minutes.

Côté vente à bord ce sera un bide je ne suis pas certain que le trolley ait fait un arrêt lors de son passage. L’ambiance en cabine sera calme lors de ce court vol.

Notre descente est entamée au dessus de la campagne Garonnaise, notre posé en piste 14 raccourcira d’ailleurs sensiblement notre temps de vol.

Posé tranquille et freinage doux pour cet atterrissage sur la 14L, nous ne tardons pas à libérer la piste pour les suivants.

Le roulage sera court et nous serons stationné, non pas sur la zone fret comme la photo pourrait faire penser mais bien à l’extrémité du hall A du terminal de Blagnac.

Sans plus attendre les opérations de débarquements commencent par les portes avant et arrière de l’appareil.

Pour ma part ce sera une sortie par la porte avant qui me permettra de vous offrir le fuselage shoot pile après le fuselage shoot face lors de ma montée à bord. On peut voir au passage que le soleil Nantais nous a suivi jusqu’à Toulouse.

Notre voisin est un Airbus A320 d’Easyjet Europe arrivé lui aussi depuis Nantes (et non pas Faro comme écrit sur la carlingue) quelques minutes avant nous.

Bye, bye Hôtel Papa

Il me faut suivre le flux des passagers qui se dirige en direction du hall A, terminal le plus récemment réaménagé de l’aéroport Toulousain.

Il s’agit d’une jetée prévue pour les vols low-cost avec 4 points de stationnements en faux contact et que je trouve extrêmement bien conçu pour ce type d’opération sans pour autant être désagréable pour les passagers qui l’empruntent. Du coup pour les arrivées c’est cheminement ouvert mais couvert pour rejoindre les tapis bagage. Très agréable avec cette belle météo d’octobre mais sans doute pas en plein mois de janvier quand il pleut.

Autre avantage on peut avoir une belles vues sur les appareils stationné, avec les 2 vols en provenance de NTE mais aussi cet Airbus A320 sans sharklet assurant lui une rotation depuis Lyon.

Passage par la zone de récupération des bagages qui sera sans arrêt pour notre groupe parti uniquement pour un court week-end.

Nous sommes rapidement ground-side au niveau de la sortie proche du starbucks.

Quelques mètres plus loin nous voilà en dehors de l’aéroport le temps de se souhaiter un bon retour avant que nous rentrions chacun dans nos pénates.

J’espère que ce court report vous aura intéressé et je vous retrouve très vite pour la dernière série des reports de 2022 à savoir notre voyage vers Madère.