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1057 avis
Bienvenue dans cette série de deux vols pour le retour à Paris depuis Londres.
L'enjeu du voyage à Londres est maintenant derrière moi.
Commence alors la deuxième partie plaisir du routing sur ce très bref A/R.
Il s'agit de quitter Londres par LCY sachant qu'en théorie une telle occasion ne devrait pas se représenter de si tôt pour moi.
Si la partie LCY-AMS s'est plutôt bien passée malgré le stress passeport à l'enregistrement, voyons ce que donne le second segment avec une correspondance très courte au départ et in fine étendue par un retard opportun.
Rappel du routing
Dans le FR précédent, nous nous sommes quittés ici, soit au dépose pax bus.
Il est 11h42.
L'enjeu maintenant est la distance à parcourir pour atteindre les portes C (j'avoue ne pas bien réussir à l'estimer) mais aussi la taille de la foule à la PAF. Je ne me lance pas dans une course effrénée puisque désormais, j'ai je pense une petite demi heure de rab.
Cela devrait donc bien se passer même si je ne suis pas 100% serein.
Je fais surface aux environs des portes D.
En toute logique, le C ne devrait donc pas être loin.
La marche continue à la recherche de la PAF.
Coté non Schengen, il y a du monde.
Je suivrai mes panneaux "C" prestement, ce qui soutient le léger flou façon vitesse des vues à suivre.
Enfin, j'arrive à la PAF.
La première vue n'est pas encourageante…
Mais, d'un coup d'oeil à gauche, que vois je? Des sas automatiques !
Amen ! Inutile de dire que je passerai en 10 secondes.
Alors, oui c'est très flou mais c'est qu'en avançant prestement, je me suis demandé si une telle photo était possible. LOL
Ça aurait pu finir avec une fissure de plus au smartphone cette affaire.
Le plus important est là : je suis du bon coté de la frontière et il est presque …. 11h46 !
Autant dire que maintenant, je suis officiellement large.
Mon avion est toujours annoncé en C5, donc, la cible ne change pas.
Ci-après l'image du questionnement :
- ai-je le temps de passer au lounge ?
- puis-je faire du shopping ?
- est-ce bien raisonnable ?
Au final, je choisis de poursuivre la route vers ma porte mais désormais avec un rythme sénatorial.
En arrivant en porte à 11h52, on ne peut pas dire que ce soit glorieux pour mon challenger.
Il aurait été à l'heure que j'aurai pu le prendre facile : mon BP disait début embarquement à 11h57.
Finalement, je me suis stressé pour rien hier à CDG.
Finalement, l'avion arrivera peu après. Petit contrôle de PAF en porte pour les pax à l'arrivée pendant que je regarde dehors.
L'avion du jour est le PH-BXU, pas tout jeune lui non plus.
Je pense que vous imaginez tous maintenant la situation en porte.
Avion concerné en retard et vol suivant annulé = notre vol sera archi full et tout le monde est déjà agglutiné avec un certaine impatience doublée d'une petite pression.
Quelques annonces sont faites me semble-t-il pour rechercher des volontaires pour basculer sur le vol de 18h…
J'avoue avoir réfléchi au plaisir d'un petit billet pour financer un autre voyage mais près de 6h d'attente en plus, non, je passe mon tour.
12h30 est là, l'embarquement commence enfin.
Impossible bien sûr qu'avec un vol plein on parte à 12h39.
Application stricte des règles SP (vérification du BP par agent) et donc d'abord, que les zones 1.
Cafouillage car dans la ligne SP y a du 1 du 2 mélangés, bref, c'est le boxon mais ça décante.
Enfin, les zones 2.
Je bondis pour me retrouver avant la foule.
Un tertris d'anthologie attend les PNC.
En arrivant à l'avion, un peu las de toutes ces émotions et autres piétinements, j'effectue machinalement les incontournables.
Mais ce détail m'interpellera de suite.
Wifi sur 738 KL ? => Bingo nouvelle cabine (enfin, nouvelle pour moi).
Y a une justice.
Mon premier contact avec la cabine finit de dissiper tout éventuel doute résiduel.
Par contre, avant d'en profiter, il faut que je remonte toute la cabine puisque je suis à l'avant-dernier rang.
This is it !
Plus que d'être loin, ce qui me perturbera le plus c'est d'être en F au lieu de A…
Amusant de ressentir cette gêne physique liée à l'habitude.
Petite revue de l'environnement.
C'est épuré et fonctionnel.
Pas de carte sécu sur ma rangée.
Port USB à tester bientôt ainsi que le wifi.
Dehors, ça charge.
Moi aussi je tente alors au sol (ca fonctionnera durant le vol nickel).
Faire rentrer les plus de 180 pax avec leurs bagages sera une épreuve olympique.
A 13h09, enfin, c'est fini.
13h11, Armement des toboggans et pushback dans la foulée.
On recule.
Même le perspective coté droit me trouble ! :D
Le taxi sera effectué rapidement. Avec la fatigue qui arrive, j'avoue ne même pas avoir cherché à savoir de quelle piste on part.
Mais notre tour sera après easyjet.
On est lancé. 13h22 in the sky.
Ca devrait aller vite maintenant.
Petite galerie des vues sur 7 minutes de vol / montée.
13h31, le service démarre.
En attendant, je tente le wifi.
Plus cher que AF nos amis de KL…
Tiens, autre désagrément du jour, tout derrière on ne s'entend plus respirer avec les moteurs.
On est bientôt on top.
Le casse croute arrive, ou plutôt, l'apéro.
Les petits biscuits sont appréciables.
Mon voisin au E, d'émotion peut être, fera exploser son sac en tenant de l'ouvrir.
Après le geyser de biscuits, il renversera son verre d'eau…
bref, tout le monde est en mode "shit happens".
Ensuite de 13h49 à 14h05, je suis en roule libre.
Annonce faite à 13h53 pour l'arrivée peut après 14h.
Des photos de la vue en mode random
Mais 14h05 veut aussi dire que Roissy n'est plus très loin: "Cabin Crew, take your seat!".
14h08, on roule. Petites secousses, rien de méchant.
On fera un long roulage mais mené grand train.
14h15, on est enfin au parking, et là, ce n'est plus de l'instant danette, c'est un geyser de danette.
Je vais probablement mettre un temps infini à sortir.
Ce sera chose faite à 14h32.
Bye blue bird.
Maintenant, c'est cheminement vers la sortie.
Limite la partie la plus rapide puisque à 14h42, je suis dans la voiture.
Quasi moins de 10 min de la porte de l'avion à la voiture, pas mal.
Fin du périple.
Une petite trace FR24 pour être complet.
Et ensuite, glande à la maison pour se refaire.
Prochain vol, ce sera le diner gold !
tchuss.
Fin du périple et sans dommages in fine.
L'expérience AMS a été un chaud froid car si j'ai béni mon passage de PAF en un éclair, de piétiner en porte C5 ne m'a pas fait rêver (mais c'est plus au crédit du retard de KL).
L'embarquement aura été poussif mais le désordre est ici plus au crédit des pax que de KL.
Tout a été ok en vol, malgré une foule de tous les diables.
Les nouvelles cabines KL sont sympas.
Faut que je me renseigne plus sur l'avancement des rétrofits de la flotte alors pour envisager plus souvent l'alternative KL dans la chasse aux XP en cas de destination europe plus lointaine que Londres.
Au bilan, un bon vol et un objectif particulier rempli, toutefois au prix d'un peu de stress, de fatigue et de temps perdu.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 141 avis concernant 2 compagnies sur la ligne Amsterdam (AMS) → Paris (CDG).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air France avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 1 heures et 29 minutes.
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4 Commentaires
9,1 pour CDG... on est loin du récurrent ADP-bashing! Parfois justifié ?
A bientôt !
Les planches à repasser en cuir sont agréables à regarder.
Merci pour le partage et à bientôt.
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