Avis du vol Air France Paris → Nice en classe Economique

Bonjour à toutes et tous, bienvenue sur ce report ayant pour objet le vol aller d'une petite escapade autour de Nice dans le courant du mois d’août. Ayant découvert ce site en me renseignant avant mon départ, je me devais d'y revenir pour partager mon expérience sur ce vol (et éventuellement le vol retour dans un second temps).

Le voyage commence par une arrivée à Orly via la navette Orlybus RATP, au départ de la place Denfert-Rochereau à Paris. Ayant rencontré un problème de validation de titre avec la carte Navigo Easy (que l'agent RATP n'a su résoudre) et le bus étant bondé et sans climatisation, le trajet aurait pu mieux se dérouler mais ce n'est pas l'objet de ce report.

Je me rends ensuite dans l'aéroport et me dirige vers Orly 3, là où l'enregistrement à lieu. La sécurité ainsi que l'embarquement ont lieu quant à eux côté terminal 2, puis porte C pour l'embarquement.

Un peu de monde aux comptoirs d'Air France, je me rends sur une borne pour obtenir ma carte d'embarquement papier, en complément de celle sur le téléphone reçue après l'enregistrement en ligne. On me demande, dès l'identification sur la borne, si je souhaite enregistrer mon bagage cabine pour le mettre en soute car la place pourrait manquer dans les rangements en cabine. Je préfère le garder avec moi pour l'instant, on verra plus tard si cela sera nécessaire ou non. 

Carte d'embarquement en poche, est maintenant temps de se diriger vers le terminal 2 pour passer la sécurité. Il y avait peu de monde et assez de personnel, le passage s'est fait en moins de 10 minutes sans aucune attente. J'arrive donc sans encombres en zone d'embarquement, après un passage aux toilettes qui étaient très propres. 

La zone est spacieuse et il n'y a pas trop de monde, des places assises se trouvent facilement proche de sa porte ou bien dans le grand hall. Étant arrivé bien à l'avance, il était temps de se promener autour des portes pour un peu de spotting.  

B777-328(ER), F-GZNF, utilisé en cette période à destination de l'Outre-Mer et également de la Corse pour le pic estival.

A320-214, F-HZGS, utilisé vers la Corse depuis plusieurs villes françaises ainsi que Bruxelles.

Arrivée à la porte C12 peu avant 15 heures pour un départ prévu à 16h05, où notre avion du jour (F-GRHY) est déjà stationné en attendant l'embarquement à 15h35. Celui-ci débutera même quelques minutes avant, les zones 1 à 5 vont se succéder assez rapidement. Une annonce sera faite pour demander si des volontaires souhaiteraient mettre leur bagage en soute, le vol étant indiqué complet.

Étant en dernière zone je ne me presse pas pour faire la queue devant la porte, il est ensuite temps d'accéder à l'avion. Les places en avant de la cabine sont accessibles via la passerelle à l'avant gauche de l'appareil, les places en arrière (comme la mienne en 20A) en descendant sur le tarmac avant d'accéder à l'avion par un escalier sur la porte arrière gauche.

Aperçu au passage de cet A320 stationné juste à côté, à destination de Toulouse. 
 

J'arrive donc en cabine parmi les derniers passagers, et il y aura finalement assez de place (ou assez de volontaires) pour ranger les bagages dans les coffres. Je m'installe place 20A, du côté gauche de l'appareil (côté choisi délibérément, à voir ensuite), place qui n'est cependant pas parfaite car pile entre deux hublots, ce qui oblige un peu de contorsion pour bien voir à l'extérieur de l'appareil. L'espace aux coudes et aux  jambes est correct, pour peu qu'on ne soit pas trop grand. Ci-dessous une photo des hublots. 

Bien qu'étant sur un vol domestique, la cabine est de type Smart comme pour les vols moyen-courriers, ce qui sera également le cas sur le vol retour à bord de ce même avion (F-GRHY) quelques jours plus tard. Une photo de la cabine est visible en fin de report, prise lors du débarquement. Il s'agit d'une configuration en classe unique Economy. 

L'embarquement se termine désormais avec 3 minutes d'avance, et l'avion sera repoussé très peu de temps après.

Nous passons devant ce B737 de Transavia, avant de se diriger piste 24 pour le décollage.

Passage en revue des consignes de sécurité, le décollage est désormais proche. L'avion s'élancera immédiatement après avoir quitté le taxiway, nous nous retrouvons très vite dans les airs.
À bord le Wi-Fi fonctionne bien, et le prix des forfaits (gratuit pour les applications de messagerie, 3€ pour du surf, 10€ pour du stream) me semble raisonnable. J'opte pour le forfait à 3€, celui-ci fonctionnera sans encombres pendant toute la durée du vol. 

Vue sur l'autodrome de Linas-Montlhéry lors d'un virage à gauche. 

Nous passons au dessus des nuages à environ 18000ft. Le ciel se dégagera au fil de l'avancée de notre vol, avec successivement une vue sur le lac de Saint Croix (photo #3), le lac de Saint Cassien en début de descente (photo #4) et sur la ville de Mandelieu-la-Napoule (photo #5).

Le service en cabine a débuté peu après la montée, l'hôtesse arrive à l'arrière de la cabine environ 30 minutes après le décollage pour nous proposer boissons et une petite collation, ce qui est très appréciable.

Le vol va désormais toucher à sa fin alors que la descente poursuit son cours, c'est à ce moment que le choix d'un siège côté gauche permettra d'avoir une magnifique vue sur la côte d'Azur avant d'atteindre Nice. On y verra successivement la ville de Cannes, puis la ville d'Antibes et le Cap d'Antibes que nous contournons. 

Nous arrivons rapidement en finale vers Nice, piste 04L, avec un atterrissage tout en douceur suivi par un stationnement à une porte du terminal 2 quelques minutes après. Nous atterrissons à 17h18, pour une arrivée prévue initialement à 17h30. 

Il est maintenant temps de débarquer, ce qui nécessitera un peu d'attente en étant situé à l'arrière de la cabine, aucun escalier n'étant positionné à l'arrière comme lors de l'embarquement à Orly. Voici maintenant une photo de la cabine Smart comme promis plus haut.

Dernier aperçu de notre avion, sans savoir à ce stade qu'il s'agira du même pour le vol retour.

Pas de bagage en soute à récupérer, on termine donc ce report par une vue sur le terminal de l'aéroport de Nice et une arrivée au dépose minute (très) ensoleillé.