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Bonjour à toutes et tous et bienvenue dans ce FR qui relate, avec quinze mois de retard, un vol que je n'aurais pas vraiment dû prendre.
Maintenant votre curiosité piquée pour les quinze prochaines secondes (du moins je l'espère), je vais tenter, en dix lignes, de vous expliquer le pourquoi du comment.
A la fin de mon séjour en Roumanie de janvier à juillet de l'an dernier, trois amis viennent me rejoindre à Bucarest pour un voyage d'une vingtaine de jours en quatre étapes: dix jours de roadtrip en Transylvanie et dans le Nord de la Roumanie (1), quatre jours à Budapest (2), une journée et demi à Bratislava (3) et deux jours à Vienne (4). Ce voyage ne mobilise que des moyens de transport terrestres (voiture de location, bus et train) mais il me faudra, à son issue, retourner de Vienne à Bucarest afin d'y assister à un événement et d'y récupérer mes bagages–vous pensez bien que je ne me suis pas embarrassé de deux énormes valises pour trois semaines–avant de rentrer en France.
Le choix de vol avait été vite fait: Wizzair, pour moins de 20€, proposait un vol direct avec des horaires parfaits (départ en fin de journée, mais arrivée suffisamment tôt pour pouvoir assister à l'événement auquel je me rendais à Bucarest). Pour 15€ supplémentaires, j'avais ajouté un bundle valise cabine et Priority Boarding: que demander de plus? C'est évidemment sans compter sur le fait que, huit jours avant le vol, je reçois un mail de Wizzair m'informant de son annulation. Évidemment, aucune solution de repli ne m'est proposée (j'imagine que le vol n'est pas quotidien): j'en serai donc pour mes frais, même si je compte bien sûr sur un remboursement de la différence de tarif entre le nouveau billet et l'ancien et, surtout, sur une indemnisation forfaitaire de 250€.
Un tour rapide sur un comparateur suffira à ce que je me rende compte que, vu mes contraintes (arriver pas trop tard à OTP et partir pas trop tôt de VIE), peu de choix s'offrent à moi. Aegean, à un peu moins de 400€, est la seule option qui me permet d'arriver à OTP suffisamment tôt. Avec une escale de 5h à ATH, cependant, ma deuxième journée à Vienne se trouve réduite à néant–alors que deux jours à Vienne, ce n'était déjà pas grand-chose. Bref, je n'ai de toutes façons guère le choix et je réserve avant que le prix n'augmente encore (nous sommes tout de même en plein été).
Le résultat des courses est peu reluisant: un séjour à Vienne raboté, un voyage rallongé et un portefeuille considérablement allégé.
Un an plus tard, je n'ai reçu que 150€ de la part de Wizzair au titre de la différence de prix entre les deux billets (il me semblait pourtant que 400-30 faisaient un peu plus que 150, mais il est vrai que mes souvenirs de l'école primaire ont maintenant plus de dix ans). Cerise sur le gâteau, je suis (par le truchement bienvenu d'un ténor du barreau de chez Air Help), en procès avec Wizzair devant un tribunal autrichien pour récupérer mes 250€.
J'ai donc échoué (sans surprise) à faire tenir mon explication en dix lignes, mais voici un résumé graphique du routing qui résulte de toutes ces avanies.
Je ne reporterai pas le deuxième vol, qui (sans surprise) aura ressemblé comme deux gouttes d'eau au premier–et, vous le verrez, ce n'est pas forcément une mauvaise chose. J'en dirai en revanche quelques mots en fin de FR, à défaut de bonus touristique (cette fois, mon périple à travers l'Europe de l'Est/centrale aura été trop long pour que j'aie le courage de le bonussifier).
Je vous retrouve en ce matin de 14 juillet, dans le S-Bahn qui m'amène de Wien Mitte à l'aéroport. C'est propre, net et ponctuel.
Arrivé à l'aéroport…
…Je vais me chercher de quoi petit-déjeuner chez ces deux énergumènes.
Une fois (temporairement) restauré, je monte à l'étage des départs. J'y trouve un hall relativement fréquenté…
…Et une vue imprenable sur un 767 couleurs locales.
J'arrive ensuite dans l'antichambre du PIF, dont les lustres et la hauteur sous plafond feraient passer Schönbrunn pour un abribus.
Le PIF est loin d'être aussi grandiose que ce prélude n'aurait pu le laisser imaginer, mais au moins a-t-il le bon goût d'offrir un passage fluide et bien organisé.
La déconfiture atteint son paroxysme en arrivant au duty-free, à l'architecture manifestement davantage inspirée des caves de Schönbrunn que de ses salles de bal.
En s'approchant des portes, on découvre à nouveau des espaces nettement plus agréables–je trouve cette rotonde particulièrement réussie, dans un style un peu seventies, qui rappelle un peu le TWA Hotel (où je n'ai jamais mis les pieds, pas davantage d'ailleurs qu'à New York, mais toutes les occasions sont bonnes pour asséner des affirmations péremptoires).
Je m'installe quelques instants à deux ou trois minutes de marche de ma porte…
…Où attend sagement l'A320 qui m'emmènera à Athènes.
Le revoici, quelques minutes plus tard, d'un peu plus près.
Davantage que le plaisir d'admirer un A320 sur toutes ses coutures, c'est la perspective d'un embarquement imminent qui m'a fait me rapprocher de la porte.
Mon flair ne m'a pas trompé puisque nous sommes invités à embarquer quelques instants après mon arrivée sur les lieux–il faut dire que mon intuition de fin limier a été bien aidée par la gadgeto-montre, le gadgeto-FIDS et le gadgeto-Boarding Pass.
La gadgeto-valise, en revanche, manquera de tout faire capoter: lorsque je présente ma carte d'embarquement à la préposée, elle se rend compte (et moi avec elle) que mon tarif Eco-extra-light-ultra-basic-maxi-cheap-giga-saver ne me permet pas d'emporter de valise cabine. Or manque de chance, j'en ai une (et elle pèse bien son poids puisqu'elle contient mes affaires pour trois semaines–même si j'ai fait quelques lessives en chemin)… et j'ai poussé l'outrecuidance jusqu'à me trimballer avec un sac à dos.
Voilà donc Monike qui, d'un air mécontent, me dit de patienter le temps qu'elle aille chercher son terminal de paiement. Je me demande à quelle sauce je vais être mangé mais, fort heureusement, c'est sans compter sur l'intervention d'une Monike-en-chef qui accourt pour sermonner son adjointe: "Schnell, schnell! Es gibt kein Zeit!" (selon une traduction libre de votre serviteur bilingue niveau A1 dans la langue de Gheûte, cela donne: "rapide, rapide! ça ne donne pas de temps!").
Monike n'a donc plus qu'à remballer la machine à carte, non sans me prévenir que j'aurai moins de chance la prochaine fois, et moi à me diriger fièrement vers le jetbridge.
Encore une photo de notre avion (que je ne vous présenterai pas car je n'ai pas d'assez bons yeux pour voir l'immatriculation)…
…Et pouf, comme par magie, me voici à bord (certainement après avoir été poliment accueilli par un équipage cordial; à vrai dire je ne m'en souviens plus mais l'inverse serait étonnant).
La cabine est en tous cas loin d'être pleine, malgré ce que le tarif acquitté aurait pu laisser imaginer (j'ai dû payer pour au moins 10 sièges vides).
Une fois assis à mon siège (là encore, je ne me souviens plus du numéro mais les deux ou trois prochaines photos constituent autant d'indices concordants qui m'amènent à conclure qu'il devait se terminer par la lettre A), je découvre une seatback pocket en capilotade…
…Une vue sur l'aile, que j'espère plus solidement accrochée que ladite pochette…
…Et, surtout, une issue de secours, qu'Aegean offre certainement en remerciement au pigeon qui a déboursé 400€ pour s'offrir un Vienne-Bucarest en Eco light (ultra-mini-super-riquiqui-hyper-restricted etc etc…).
Le pitch est, lui, sans conteste, maxi-génial.
A peine ai-je eu le temps de découvrir mon proche environnement que le CdB et la cheffe de cabine se sont déjà succédés au micro pour nous accueillir à bord et nous annoncer un temps de vol conforme aux prévisions (à vrai dire, ce ne sont là encore que des supputations faute d'avoir gardé un souvenir précis de l'épisode, mais il eût été surprenant qu'ils nous agonissent d'injures et qu'ils nous annoncent un temps de vol de 18 minutes).
Bref, nous roulons sans encombre…
…Puis nous nous alignons en piste 62…
…Et nos quatre réacteurs Pratt & Whitney Trent 115-B nous propulsent à notre vitesse de décollage de 650 km/h dans un vrombissement de tondeuse à gazon. Quelques instants plus tard, nos ailes delta en acier trempé nous portent au-dessus de la campagne autrichienne…
…Et les écrans sont déployés, juste à temps pour nous informer que nous entamons un virage plein Nord au cap 470°. Il sera suivi d'un bref looping, après quoi nous nous stabiliserons à notre altitude de croisière de 64 000 pieds (si je me souviens bien).
Après quelques instants de répit, je me remets à mon devoir de FRiste pour vous présenter le service de la "kolatsio". Nous n'avons pas, à ma connaissance, de terme équivalent en français mais A3 précise utilement, à l'adresse de ceux qui manient la langue de Chèquespire, que "c'est un mot que nous utilisons en Grèce" et promet, point d'exclamation à l'appui, que cela va nous permettre de "faire le plein".
Face à cette dénomination pour le moins mystérieuse, la meilleure chose à faire est d'ouvrir la boîte…
…Dont le contenu est nettement plus fourni que que ce à quoi on s'attend habituellement sur un MC européen, avec un riz au lait, une barre de céréales "spéciale digestion" (peut-être s'agit-il de pallier les éventuelles conséquences de l'ingestion du riz sus-mentionné) et un petit bonbon (voir photo suivante).
Le tout sera parfaitement accompagné d'un thé noir.
Le reste du vol sera occupé à lire (et probablement à dormir un peu). Il faut dire que les paysages ne sont pas renversants: nous survolerons, pour l'essentiel, la plaine du Danube et les paysages potentiellement plus intéressants du Nord de la Grèce seront cachés par un voile nuageux.
Le début de descente est annoncé (si ma mémoire ne me joue pas de tours etc etc; je ne vous refais pas la chanson) et nous nous trouvons vite à proximité d'Athènes.
En réalité, le circuit d'approche est si long que nous sommes encore très haut quand nous survolons la ville.
On voit peut-être l'Acropole quelque part là-dedans mais, comme diraient les Dupondt, autant chercher une aiguille dans une fotte de boin. On voit en revanche très bien l'aéroport sur lequel nous nous apprêtons à nous poser.
On voit aussi l'ancien aéroport d'Ellinikon, qui avait tout pour plaire avec ses pistes en bord de mer et à 3 mètres et demi des maisons.
Le revoici, vu depuis l'Est, alors que nous sommes en finale pour la piste 03L après être allés faire de grands virages au-dessus de la Méditerranée (cette fois c'est vrai; j'ai écrit assez de clowneries pour la journée).
Cet aéroport est vraiment au milieu de nulle part.
Qu'à cela ne tienne, il y a du goudron (voire du béton) et nous nous y posons sous un temps radieux.
Nous roulons ensuite jusqu'au terminal, qui a le bon goût d'être proche des pistes. Nous côtoierons un collègue tout ringard dans sa vieille livrée, un A320 de Saudia et un 77W d'AC.
La cabine éparse se vide aussitôt la passerelle apprêtée. Je serai l'un des derniers à sortir…
…Non sans avoir été salué par l'équipage en porte.
Voici une dernière vue de notre coucou après 2 heures de bons et loyaux services.
Il ne me reste plus qu'à tuer quatre heures en salle d'attente…
…Avant de remonter dans un coucou en tous points similaires à destination de Bucarest.
Ce second vol sera tout aussi convenable, avec une prestation que je trouverai même légèrement supérieure (même si, cette fois, ce n'est plus une kolatio).
C'est ici que se termine ce FR (un peu abruptement, j'en conviens) et que je vous laisse, avant de vous présenter le dernier épisode de la série roumaine de 2022 et de vous emmener vers des destinations plus lointaines en Asie et en Amérique du Sud. A bientôt!
Une cabine au confort adéquat pour 2h de vol; c'est dans la bonne moyenne de ce qui se fait en Europe. 8.
Un équipage dont je déduis de ma relative absence de souvenirs qu'il devait être professionnel et cordial. 8.
Il me semble qu'Aegean propose une app de divertissement mais, faute de l'avoir téléchargée, difficile de la noter. 7.
L'offre de restauration, sans être pantagruélique, représente sans doute ce qui se fait de mieux pour des vols de 2h en Europe (sans compter TK bien sûr). En comparant à ce qui est comparable, 9.
L'un dans l'autre, une très bonne prestation d'A3, la seule véritable ombre au tableau (outre le prix, mais la concurrence ne faisait guère mieux) étant la politique restrictive sur les bagages cabines--à laquelle j'ai fort heureusement échappé. Sachant que l'immense majorité des vols d'Aegean ne dépassent pas 3h, je trouve tous les autres aspects du produit très solides par rapport à ce que proposent les majors européennes.
VIE m'a paru fluide et agréable ce jour-là, malgré une fréquentation plutôt élevée.
ATH ne joue clairement pas dans la même catégorie, avec des espaces moins agréables, qui m'ont paru un peu saturés, et pas grand-chose à faire pendant quatre heures. Je sais par ailleurs d'expérience que l'accès au centre d'Athènes n'est pas des plus aisés, d'où la note "accès".
24 Commentaires
Tu as raison de ne pas lacher même pour 250eur, les compagnies malhonnêtes comptent dessus pour ne pas indemniser comme il se doit.
Le coup de l'abribus m'a bien fait rire.
Ahahahah pourtant pas si peu cher!
La monike en chef t'aura sauvé !
Pitch genial mais siege ultra saver.
La boiboite pour de l'eco c'est pas mal du tout.
C'est vrai qu'au-delà du tarif restrictif le siège n'est pas hyper moelleux mais pour une compagnie qui ne vole guère au-delà de 3h je trouve ça pas mal!
À plus!
Je découvre avec toi cette politique de A3 concernant les bagages cabines sur le tarif le moins cher... Effectivement le tarif ne prévoit que 8kg sur une seule pièce...
Dans ce genre de situation embarquer en dernier est généralement la meilleure chose à faire car les personnels d'escale sont objectivés avant tout sur le départ à l'heure du vol, et non pas la facturation d'excédents bagages.
A +
Absolument, c'est une habitude qui a plusieurs fois failli me faire louper mon vol mais en ces temps où les politiques bagage sont de plus en plus restrictives, le jeu en vaut la chandelle :)
À plus!
Effectivement tu m'en apprends sur la politique bagages Aegean, un peu sur le modèle de Finnair... Je suisallé me renseigner sur le site de A3, tu as en fait le droit à un article personnel à placer sous le siège OU une valise de 8kg en cabine avec le tarif Light. Heureusement le service à bord sauve l'honneur de la compagnie grecque. A très bientôt pour la suite du routing !
Manifestement je n'étais pas le seul à ne pas être au courant; cela le rassure! Fort heureusement comme vous le dites le service à bord est dans le haut du panier; il y a encore un petit intérêt à privilégier A3 par rapport à des LCC pour du point à point.
À +!
Le tarif est délirant, mais manifestement il n'y avait pas mieux. C'est aussi pour ça que j'évite les LCC, quand ça se passe mal c'est compliqué.
Intéressant le coup du bagage, je ne savais pas qu'A3 avait une politique si restrictive.
A3 est une valeur sûre, même si la kolatsio du premier vol est un peu étrange (que du sucré).
A bientôt.
C'est un pu toujours le dilemme, cet arbitrage entre payer moins cher et prendre le risque d'en être pour ses frais en cas de pépin et payer plus cher pour un SAV un peu meilleur. Le souci est que même les legacies ne sont pas toujours des exemples en la matière (sauf AF/KL qui je trouve est au-dessus du lot là-dessus)... mais c'est vrai que depuis cette expérience avec Wizzair je ne prends des LCC que si la différence de prix est vraiment très élevée.
À bientôt!
merci pour le FR
cest un changement recent , ou A3 a revu sa politique tarifaire , maintenant seul le tarif le plus eleve en eco inclut un bagage en soute et le moins cher n'inclut meme pas de valises cabines classique
sinon oui 400€ cest abuse , mais cest le probleme des vols directs avec peu de concurrence , donc peu de motivation a baisser les prix surtout en ete
Effectivement, entre VIE et OTP les options sont malheureusement limitées; de toute évidence je n'aurais pas payé si cher pour aller à FRA ou CDG.
A bientôt.
Je traduirais "schnell, schnell" plutôt par "vite, vite", mais ce ne sont que mes souvenirs d'allemand seconde langue coef 1 au bac au dessus de 10/20. ^^
Merci pour le partage dont j'ai adoré le style rédactionnel !
J'en ai bien peur; je pense quand même que l'élément qui sauve le passager est que cette multitude de tarifs différents devient difficilement lisible pour le personnel au sol (surtout quand ce n'est pas du personnel de la Cie), qui du coup laisse parfois davantage passer les "abus". Je pense que dans ce cas, le fait que la règle ait été relativement nouvelle a dû jouer pour quelque chose dans le fait que je me fasse "arrêter" car j'imagine que les personnels avaient été sensibilisés peu de temps avant.
Pour ma part, j'ai abandonné l'allemand bien avant le bac ^^
À plus!
Ne jamais lâcher surtout quand il s'agit d'argent, client vs compagnie aérienne :)
Monike #2 a été ton agent sauveur, heureusement qu'elle était là !
Alors là tu m'as tué :p
Je rejoins partiellement Marathon plus haut, schnell, c'est rapide ou vite. Mais dans ton cas, c'est bien vite :)
A bientôt !
Monique est un loup pour Monique pourrait-on dire ^^
À bientôt !
A bord la version ancienne des cabines Aegean et un vol agréable.
Je ne savais pas que c'était l'ancienne version; elle n'a en tous cas pas l'air dépassée.
À bientôt!
A 400€ le vol et tu as un tarif ultra light, cela fait peur pour les tranches supérieures.
Les annulations peu de temps avant le départ, c'est toujours une grande angoisse.
Et Wizz Air ne semble pas être la compagnie la plus facile pour faire valoir ses droits.
Heureusement qu'il fallait que les agents s’activent, tu as échapper à l'addition supplémentaire.
la "kolatsio" est étonnante, entre le riz au lait et la barre digestive , c'est un catering atypique.
A bientôt
Je confirme; à vrai dire je n'ai même pas regardé car je ne soupçonnais pas ce problème de bagage mais il y avait sûrement de quoi tomber à la renverse.
Pour le moins, mais finalement c'est consistant (et manifestement facile à digérer); que demander de plus lol
A bientôt!
Un bon vol à l'exit tout de même, cela m'aurait suffit. Pour ce tarif là tu aurais avoir droit à des égards plus appuyés... :-)
Le corollaire de ces prix très faibles est la haine des pax (dans les 2 sens) même si globalement les legacies ne sont pas irréprochables et même si les coreligionnaires LC peuvent générer des économies substantielles.
C'est la faute à pas de chance.
Sont-ce des sandwiches à la dinde en exposition dans le frigo?
Je vois que tu es un spécialiste de la grandiose Abbaye du Centre Ville... :-)
Séier, séier, et gëtt keng Zeit! Dat ass a Letzebuerg (ech mengen).
Comme les hommes bornés, elle voulait avoir le dernier mot au lieu de prendre ça de manière badine et de plaisanter avec toi. Je ne sais pas les gates agents touchent des commissions sur ces extractions supplémentaires.
Mais le MHC était en option...
Si tu perds une aile en vol tu peux encore faire 2000 kms en rond mais si tu perds les deux, tu en feras 10 mais de haut en bas.
On a pas dû suivre les mêmes cours de grec que toi :-)
Là où tu as fait ton air-to-air avec Inmarsat qui t'a rendu célèbre à Las Vegas?
Collaboratsio c'était en 1940 mais ici le mot collation ne s'applique pas évidemment tant la phonétique semble éloignée.
A bientôt
Fred
Comme je le disais plus haut à Stéphane, c'est un arbitrage toujours un peu délicat entre moins cher avec SAV moins performant et plus cher avec (en théorie) moins de risques d'en être pour ses frais en cas de pépin. C'est vrai que j'y regarde maintenant à deux fois auand la différence de prix n'est pas délirante...
La Société des Amis des Dindes (SAD) pourrait trouver à y redire; Dean and David ne s'y risqueraient pas!
Tu dois faire erreur, dans mon souvenir il s'agit d'un pavillon de banlieue...
Plaît-il?
J'espère pour elle que non!
Ça aurait fait une belle photo de couverture
C'est le problème de ces langues qui sont dérivées du français mais qui s'en sont tellement éloignées qu'on ne comprend plus rien...
A +!
Le catering est pas mal, mais il fut un temps pas si lointain où A3 proposait des plats chauds dans les lunchbox, dommage que ça ait disparu même si on reste effectivement dans le haut du panier européen.
A bientôt !
Non, rien du tout! Comme quoi c'est le problème de ces règles qui je pense rendent les choses illisibles pour le personnel au sol (mais en l'occurrence tant mieux pour moi!)
Ils ont dû disparaître dans le même ouragan que les bagages cabine :/
À bientôt!
Pour le coup tu as eu de la chance ^^
Belle vue d'Athènes!
Merci pour ce Fr
Je ne savais pas du tout! Mais je pense que si j'avais ainsi été contraint à payer en porte j'aurais été capable d'en faire une question de principe et de suivre la procédure, même fastidieuse, pour obtenir un remboursement.
A bientôt!
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