#53 sur 94 Compagnies Un minimum de 10 flights-reports sur les deux dernières années est nécessaire pour apparaitre dans le classement.
134 avis
Bonjour à tous chers lecteurs,
Cette fois-ci, je vous emmène pour une virée express avec pour destination le Maroc. J'avais déjà eu l'occasion en 2004 de visiter ce joli pays à la population accueillante ; je m'y étais rendu en train et en bateau ce qui faisait un long périple. Cette fois-ci, je choisis la voie des airs sinon, ça n'aurait pas trop d'intérêt que je vous raconte ça ici. Ce report est cossu en terme photographique puisque j'atteins les 150 photos ; cela est dû aux conditions anticycloniques qui se sont installées sur l'Europe depuis quelques semaines. Je ne regrette pas d'avoir réservé une place côté hublot.
Dans les buts que je m'étais fixés, il y avait celui d'ajouter deux nouvelles compagnies à mon actif : la RAM (Royal Air Maroc) et Air Arabia (qui seront respectivement mes 43e et 44e compagnies). J'avais prévu aussi de faire deux nouvelles plateformes : c'est chose faite avec CMN (Casablanca) et TNG (Tanger) ; j'atteins le chiffre de dix après m'être posé à TUN, ALG, NBO (Nairobi), LUN (Lusaka), JNB, CAI, LXR et BVC (Boa Vista - Cap Vert).
Entre CMN et TNG, ce sera le train avec le réseau de l'ONCF, de loin le meilleur chemin de fer du continent africain. Je prendrais Al Boraq, le TGV local. Pas de soucis de ce côté-ci.
Seule déconvenue, le fait que je voulais voler sur le Dreamliner marocain, mais il ne volait pas le jour en question. J'aurais pu me consoler avec un 737 Max-8 (toujours pas dans mes tableaux), mais je devrais me contenter d'un simple -800, dont c’est mon quinzième vol sur cet appareil.
Programme chargé pour un séjour d'à peine plus de 24 heures dans le royaume chérifien, mais je ne disposais pas de plus de temps. Le calendrier était aussi calé sur le vol hebdomadaire Tanger - Lyon, prévu les mardis à cette période.
Le décor est planté, direction Orly pour ce premier vol.
Pour rejoindre Orly depuis mon domicile lyonnais, j’ai choisis un itinéraire un peu hors des sentiers battus, qui n’est même plus vraiment indiqué dans les différentes alternatives pour rejoindre depuis la capitale l’aéroport du sud-parisien.
Trajet tout ce qu'il y a de plus classique en TGV jusqu'à Paris, bien à l'heure. Je traverse alors la Seine pour rejoindre la gare d'Austerlitz d'où je prendrais la ligne C du RER jusqu'à une gare qui porte le joli nom de Pont-de-Rungis-Aéroport d'Orly. J'ai lu la veille que les navettes bus ont disparu et qu'il faut marcher 4 minutes pour rejoindre l'arrêt du bus 183 qui rejoint Orly4. Ça tombe plutôt bien, c'est du T4 qu'est installé la RAM.
Ça fait bien longtemps que je n'ai pas pris cette combinaison RER C + bus. Le trajet ferroviaire fut irréprochable, mais la gare plante déjà un peu le décor qui attend le courageux voyageur ayant choisi cette alternative.
la suite mérite d'être narrée ou plutôt d'être illustrée. Laisser un cheminement dans cet état obligeant les voyageurs (en général bien chargés) à marcher sur la chaussée - et donc se mettre en danger.
Je prends donc le bus 183 qui est loin d’être surchargé. Il m’aura donc fallu précisément une heure et quinze minutes pour arriver ici.
Ce n’est pas une performance spectaculaire en terme de temps de trajet mais sur le site ratp.fr on retrouve des durées du même ordre. Bref, tout ça pour dire que Paris m’aime pas tant que ça (et pas que moi d’ailleurs) et que vivement l’arrivée de la ligne 14 à Orly, ce qui révolutionnera indéniablement l’accès à la plateforme d’Orly.
C’est une première pour moi. Je n’avais jusqu’à présent mis les pieds qu’à Orly-Ouest ou 1,2,3. C’est donc une découverte pour moi qui ait tant à apprendre dans le milieu du transport aérien.
Ma première impression est mitigée, ça manque un peu d’espace, surtout pour le passage des PAX.
Le FIDS du jour, limité au T4.
J’ai le temps mais je n’ai pas envie de le perdre à retirer ma carte d’embarquement. J’opte alors pour l’option sur une machine qui porte le nom d’une première ministre.
Sans plus attendre, je décide d’aller affronter tous les contrôles qui en rebutent plus d’un mais qui pour nous n’est qu’une contrainte admissible avant de pouvoir retrouver le plaisir de s’envoyer en l’air.
Voici au passage les comptoirs de la RAM.
Je trouve que la signalisation n’est pas vraiment claire. Pour celui qui ne prend que rarement l’avion, ce n’est pas forcément évident. Mais le personnel d’ADP s’empresse de guider les brebis égarées, et avec le sourire.
Pour le passage du PIF, il est affiché 10 minutes. Je trouve ADP fait preuve d’un optimiste pour le moins débordant. Mais attendons de voir.
C’est mal organisé, le personnel (qui est aimable) pour gérer la file est insuffisant. En tout et pour tout, il m’aura fallut vingt-cinq minutes, soit quinze de plus que le temps initialement indiqué. Paris vous… ment !
Direction la PAF. Ici, ce sont cinq minutes qui sont estimées. Les portiques PARAFE semblent fonctionner. Tous ? Non, faut pas exagérer quand même. Ce sont deux sur six qui laissent passer au compte-goutte les citoyens de l’espace Schengen - un tiers donc.
Le passage de la PAF aura duré finalement sept minutes. Ça va… Mais la fiabilité et la disponibilité des portiques PARAFE pose question. Direction le temps du commerce qui ne réussira pas encore cette fois à me faire lâcher un seul centime.
Direction les chi#####. Le terme est volontairement choisi puisque ici, j’ai le tiercé gagnant : poils, traces de pneu, gouttes de pisse. En sortant, j’ai croisé le personnel de nettoyage qui allait s’affairer à remettre ça en état. À cinq minutes près, je faisais les éloges des toilettes d’Orly. Comme quoi…
En attendant, je trouve ces sièges où je serais bien pour spotter un peu…
…et pour surfer sur notre site préféré, dont voici la une à cet instant.
Cette belle base de Transavia voit un balai presque incessant de Boeing 737-800 de la filiale Air France - KLM. D'une vocation "loisirs", la compagnie va prendre définitivement l'ascendant sur la maison-mère à Orly dans quelques mois et ainsi absorber des lignes aujourd'hui sous la bannière d'Air France (à l'exception de celles à destination de la Corse, en délégation de service public). Autre évolution majeure chez TO, l'arrivée prochaine dans la flotte d'A320 et A321 en version Neo.
En attendant ces chamboulements, le F-HTVO, qui a déjà fait une rotation vers BIQ (Biarritz), s'apprête à repartir vers OPO (Porto) en vol TO7604 et finira en soirée par un aller-retour DUB (Dublin).
Cet anonyme 737-800 immatriculé en Croatie (9A-KOR) qui fait du béton pour quelques jours avant de retravailler pour Transavia.
L'A330-200 de la Présidence de la République, immatriculé F-RARF (immatriculation non-apposée d'ailleurs) qui s'en va se mettre en place avant d'aller à Hambourg. (source https://flottepresidentielle.com/vols/2939)
Belle livrée pour cet A350-900 F-HNET d'Air Caraïbes s'en va se reposer après avoir assuré le vol TX571 en provenance de Cayenne.
Ç'aurait pu être le mien, à une lettre près, mais ce Boeing 737-800 de la RAM CN-RGH arrive de CMN (Casablanca) en AT760 et repartira vers RAK (Marrakech) en vol AT749.
En provenance du Maghreb également, cet autre 737-800, algérien celui-là, 7T-VKI arrive de sa base d'ALG pour un aller-retour parisien sous les codes AH1010/1011
Autre A350-900, sous les couleurs de French Bee cette fois-ci, qui arrive d'EWR (Newark - NJ) sous le code BF721. Un peu plus tard, il s'élancera vers LAX (Los Angeles) en BF730.
Et la je vois que mon vol est déjà en last call alors qu'il devrait encore y avoir de la marge. Petit sprint en perspective.
Avec recul, je m'aperçois que ma maigre récolte (à contre-jour) de spotting aurait pu m'attirer des ennuis. Mais dans les faits, je pense qu'ADP avait un peu anticipé l'affichage last call.
Je ne suis pas le dernier, loin de là.
Ce qui me permet même les instants porte…
… et fuselage. L'honneur est sauf !
Accueil chaleureux et enjoué. On nous remet cette lingette.
Et là, bien venu dans le hammam, le four, le sauna, je vous laisse choisir. L’APU ne sera lancé qu’à 13h05. En attendant, c’est la fournaise. Pourquoi ? ORY dispose d’installations dé pré-conditionnement. Sont-elles hors service ou c’est notre 737 qui ne peut plus accepter d’être branché. Pour le moment, on est en mode cuisson. Un avant-goût du climat marocain ?
Je rentre dans une cabine vieillotte aux sièges en apparence cossus.
Installation. C’est assez confortable.
Pas correct sans être extraordinaire.
La tablette. Le nettoyage mériterait d’être un peu plus approfondi.
Vu sur les accoudoirs. On se demande bien à quoi sert la commande intégrée, si ce n’est pour rendre un peu plus désagréable l’assise de l’avant-bras.
Une charmante Française viendra s’installer sur la même banquette que moi. Je dirais que le vol est occupé à plus de 90 %.
L’instant F-OITN.
La pochette qui n’est plus d’une première jeunesse… mais qui arrive à contenir au moins tout ça. Une safety card qui a des heures de vol et un catalogue.
Les tous derniers bagages sont chargés, les portes sont verrouillées.
Les annonces sont diffusées en arabe et en français seulement. L’anglais n’est utilisé que pour les communications de sécurité de l’équipage.
On repousse à 13h11´et à 13h16, taxiing pendant lequel on passera à côté de ce 777-200 CS-TSW d’Euroatlantic qui a été acheminé ce matin même depuis Lisbonne et qui va assurer le vol Corsair 1924 pour Fort-de-Fance.
Vous, vous n’êtes pas les bienvenus ici. Gare au faucon !
Line-up et take-off à 13h28.
Zou !
Cette première vue fait un peu froid dans le dos. Et s’il s’était passé quelque chose de grave autour de CDG ? Renseignements pris à l’arrivée, il ne s’agissait que du simple incendie d’un entrepôt au Blanc-Mesnil. Impressionnant quand même cette colonne de fumée.
Le cœur de l’agglomération parisienne sous une chape bien grise après de nombreux jours sans pluie.
Antony et Wissous à la frontière Hauts-de-Seine - Essonne.
Nous survolons le sud-ouest parisien.
Le plateau de Saclay avec ici l’École polytechnique…
… et ici l’université de Paris-Saclay. On distingue bien le viaduc de la future ligne 18 du métro qui reliera dans quelques années Massy-Palaiseau à Versailles.
Publicité à destination des passagers du transport aérien. Cette débauche de moyens est-elle bien utile ? Combien de passagers lèvent le nez de leur écran pour profiter du paysage ?
Entre Essonne et Yvelines.
Lieu bien connu d'un bison qui se prétend futé.
Morne plaine. Bienvenue dans la Beauce.
La base aérienne 123.
L'agglomération orléanaise.
Le val de Loire
La vallée du Cher et ses maisons troglodytes. Si si, il y en a !
La RAM vous offre une géolocalisation d'une autre dimension, d'une autre précision. Le système finira d'ailleurs par planter.
La vallée de l'Indre dans le département éponyme.
Je n'avais jamais entendu parler de cette installation. Le voyage aérien permet de parfaire ses connaissances, y compris nationales.
Dernier regard sur l'Indre.
Puis c'est le département de la Vienne.
Nous arrivons à mon département natal où j'ai vécu mes dix-sept premières années.
Le chantier de la mise à 2x2 voies de la N141 est bien visible.
Et voici donc Saint-Claud, ex-chef-lieu de canton, 1047 habitants où j'ai habité une dizaine d'années. Mes parents y résident toujours.
Ici, on voit Chasseneuil-sur-Bonnieure, où j'ai fait ma 6e, 5e et 4e.
L'agglomération angoumoisine. Mes deux années au lycée et mon service militaire, c'est dans la préfecture de la Charente que je les ai faits. Voilà, c'est avec une petite émotion que je survole le territoire de mes premières années.
Un peu plus bas, voici le plus grand département français (de métropole), la Gironde.
La confluence de la Garonne et de la Dordogne, au niveau du bec d'Ambès qui donne naissance à l'estuaire de la Gironde.
L'agglomération bordelaise.
Le bassin d'Arcachon et la dune du Pilat.
Puis c'est le début de la côte landaise.
L'intérieur des terres où l'on peut voir que la forêt landaise ne couvre pas toute la surface.
À la frontière entre les Landes et les Pyrénées-Atlantiques.
Puis c'est une autre frontière, entre deux états cette fois-ci.
Le Pays basque espagnol.
Ça faisait un petit moment qu'une odeur planait dans la cellule de notre Boeing. Le service a déjà débuté.
Si je n'ai toujours pas de pain encore en main, je ne perds pas une miette du paysage.
La Rioja.
Me voilà servi.
J'ai choisi le poulet (l'autre plat était le bœuf). On ne va pas se mentir, c'était pas extraordinaire. La viande était un peu sèche, les légumes un peu trop gorgés d'eau. Mais quand même, sur un vol de cette longueur, en Europe, on n'a plus rien. Alors je ne vais pas faire la fine gueule et merci à Royal Air Maroc de m'avoir fait redécouvrir une sensation que je n'avais pas eu en classe économique depuis fort longtemps !
Nous survolons désormais la Castille-et-Léon.
Le prix du mètre-carré doit être peu élevé ici.
Puis les villes se font de plus en plus grandes pour n'en former qu'une. Aucun doute possible quant à cette plateforme. Il s'agit de Barajas (MAD).
La capitale espagnole dans son ensemble.
On continue vers le sud de l'Espagne.
Air to air magistral avec un autre 738 de la RAM. Il s'agit du vol Orly - Marrakech que j'ai vu tout à l'heure à ORY.
Là, j'ai mis du temps à trouver cette ville sur Google Earth.
Et puis cette métropole andalouse au loin.
C’est enfin la Costa de la Luz qui se pointe avant une looooooongue traversée de la Méditerranée. Adios España.
Assalamu alaykum Maroc !
La capitale marocaine séparée de sa ville jumelle Salé par un fleuve dont je tairais le nom, bien trop offensant pour moi.
Pour ne pas assoiffer la grande agglomération casablancaise, qui compte quand même 4,5 millions d'habitants, la région compte plusieurs barrage.
Dur dur de trouver le nom de ce bled…
Ce barrage en construction qui va condamner à l'exil les habitants de plusieurs villages.
À la croisée des autoroutes A3 et A4, non loin de Berrchid.
Quand l'ombre se rapproche.
La ville de Deroua au second plan.
Touché ferme.
Passage non loin du 747-400 royal CN-RGA.
Quand je vois tous ces Dreamliner qui font du béton et que je me suis "tapé" un 737 ! Ça sera pour la prochaine fois pour sûr !
Vu notre point de stationnement, c’est un transfert en PAXbus qui se profile, l’occasion de prendre deux trois photos peut-être…
En attendant, c’est royal Danette. Cependant, c’est bien à l’extinction du signal que cette levée des corps a eu lieu.
C’est parti pour le circuit de sortie.
On chemine, on s'achemine…
Passage de la PAF. Il y a pas mal de monde mais c'est bien organisé. Après cinq minutes environ, le personnel s'active et invite les détenteurs de passeports européens à faire aussi la queue au niveau des guichets maroccan passports. Il me faudra environ 25 minutes pour passer cette étape..
Et après, tout va très vite.
Pour me rendre en ville, j'opte pour le train. C'est rapide, confortable. Le seul hic, c'est le cadencement : seulement un train par heure.
Et voilà l'automotrice que certains amateurs ou usagers belges du train reconnaitront. Il s'agit d'une "Break".
Le diagramme de vol selon FlightRadar24.
Merci de m'avoir lu !
RAM : pour une première, c'est plutôt pas mal. Le personnel est vraiment serviable et souriant. J'ai mis 9/10 au repas, non pas à cause de son excellence mais plutôt par rapport à son existence en éco, sur un vol aussi court. Et pour moi, ça compte. La cabine est vieillotte et pas vraiment impeccable en ce qui concerne le nettoyage ; néanmoins, l'assise est confortable.
ORY : Orly 4, pas top. Les cheminements ne sont pas aisés et le PIF est mal organisé.
CMN : je n'y ai pas moisi, mais j'ai trouvé que c'était plutôt bien fout. Le passage de la PAF, malgré l'affluence, a été bien géré par le personnel.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 15 avis concernant 3 compagnies sur la ligne Paris (ORY) → Casablanca (CMN).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Royal Air Maroc avec 7,1/10.
La durée moyenne des vols est de 2 heures et 55 minutes.
Plus d'informations
24 Commentaires
Une cabine vieillotte, une propreté approximative, MAIS une prestation repas, qui deviens un vrai luxe sur les vols européens.
Merci pour ce cours de géographie, emprunt d'une certaine nostalgie (on l'a bien senti) pendant le survol de Saint-Claud.
aberrant de laisser la végétation prendre le dessus au détriment de la sécurité.
Malgré l'apparence accueillante de ces sièges, j'ai toujours une appréhension quand je vois ce simili-cuir donnant une sensation de froid quand il fait frais et de "transpiration collante" quand la température monte.
Merci pour ce partage à bientôt.
Bon vol.
On est bien d’accord. Sans forcément servir un entrée + plat + fromage + dessert, les passagers de la classe éco mériteraient autre chose qu’un verre d’eau ou un modeste chocolat.
C’est justement parce qu’il n’y avait rien à faire à Saint-Claud (et ça se voit sur la photo) que j’ai commencé à mettre le nez dans les atlas dès l’âge de six ans. C’est de là que vient cette passion pour les voyages et cette connaissance pointue due la géographie mondiale en général et plus particulièrement du territoire français.
Même pas sûr que ça soit nettoyé pour les JO. C’est un territoire à l’abandon. Triste image mais surtout triste réalité.
Bons vols.
Y'a longtemps (en 2009) j'ai eu l'occasion de faire cette liaison avec la RAM mais c'était sur un B767 (les autres trajets c'était à partir de CDG avec AF)... Je me souviens du temps interminable passé à l'enregistrement puis à la PAF (personne pour contrôler !). Bref j'avais dû doubler tout le monde à la PIF.
Pour être très rigoureux, Orly 3 n'existait pas. Il a été créé lors de la refonte de l'aéroport.
A bientôt ! ?
Le 767 mais aussi le 747, il aurait fallu que je me bouge un peu plus avant, mais voilà, on se dit toujours qu’on a le temps…
Les temps changent… euh non en fait !
Oui, tout à fait, mais c’est pour ça que j’avais fait le distinguo entre Orly-Ouest et après 1, 2, 3. Orly 3, j’y ai été que depuis la refonte.
Bons vols.
A très vite camarade ;)
Il a fallu que j’ai 21 ans pour prendre l’avion de mon côté. On était une famille de quatre gosses et seule la bagnole avait le droit de cité. Point de train… quant à l’avion, il ne faisait pas partie du vocabulaire.
Ça fait une grosse différence, c’est évident.
À bientôt
Le spotting est superbe mais t'a mérité un last call ! Après vu le sauna, hammam, étuve dans la cabine tu n'as rien loupé ^^
A bord, le catering est gratuit et le plat chaud un luxe mais on voit un profond cost cutting sur la RAM car il n'y a pas si longtemps en entrée il y avait de la truite de l'Atlas et un vrai dessert, plus d'entrée et un yaourt à la place. Assez triste :(
A bientôt !
PS :
Trop fort !
Mon dernier last call, c’était à LHR, il y a fort longtemps, entre deux vols. En principe, je suis très discipliné.
Gratuit n’est pas le terme qui convient, mais plutôt inclus. C’est vrai que de la truite de l’Atlas, j’aurais pas dit non.
Merci. Des fois, je ne sais pas d’où je sors ce genre de choses…
À bientôt
Même si ce n'est pas la liaison la plus utilisée pour rejoindre ORY, et au regard du panneau "Passage piéton obligatoire", cette situation demeure inadmissible
Après un petit sprint et une clim absente, c'est le double effet Kiss Cool en arrivant dans une cabine défraichie
C'est pas 150 mais 149 photos car celle après ce texte semble introuvable
A bientôt
Philippe
On est bien d’accord. Dans la région la plus riche de France, donc une des plus riches du monde, ça fait clairement tiers-monde. On sent ici la bataille sur la responsabilité supposée du donneur d’ordre : ville de Thiais, SNCF, conseil départemental du Val-de-Marne… Qui fait quoi, et surtout, qui paye ?
Y a un bug, je l’ai enlevée. Par contre ça m’avait supprimé une photo à l’arrivée à CMN que j’ai remise. On revient bien au taquet, c’est-à-dire 150 photos.
Bons vols.
Un "beau trajet piéton" pour aller prendre le bus ... malheureusement les branches dans la "gueule" ça devient de plus en plus courant .... avec toutes les collectivités locales ... "ce pas nous ... c'est l'autre" !!!
Orly T4..ex Orly Sud de mon adolescence et un peu adulte aussi ... pas trop de changement lol
RAM en dehors des sièges "vieillot" ... repas en "éco" en plus des PNC "souriant" ça rend le vol agréable,
Merci pour ce cours de géo "d'en haut" de La France "hexagonale" !!!
Bonne Journée,
Jusqu’au jour où un obsédé de la loi avec des relations au barreau de la cour de chépaoùa va faire un scandale là-dessus.
Ça donne une bonne expérience au bout du compte, et c’est ça qui compte !
Content que ça plaise.
Bons vols.
La RAM est une valeur sûre entre la France et le Maroc, les tarifs sont par contre plus aléatoires avec parfois des additions très salées^^
A bientôt !
Quand je viserai le 787, je ferai attention à ne me pas ruiner. Mais c’est sûr qu’il y a des dates à éviter.
Bons vols
Tu es dur avec la géovision à bord, personnellement j'aurais été ravi de l'avoir, surtout dans ce format un peu vintage qui rappelle de bons souvenirs de longs-courriers :)
A bientôt !
Il n’y a pas que la concurrence low-cost qui offre un service dépouillé ; c’est devenu la norme chez les legacies et vraiment l’exception chez de trop rares compagnies.
J’ai bien aimé ce côté rétro de la géolocalisation. Mais c’est le plantage du système que je pointais.
Bons vols
Attention le PNR est visible sur le BP.
La gare RER d’Orly était en sursis depuis l’ouverture du VAL ; la guéguerre entre RATP et SNCF a fait qu’elle a survécu dans cette fonction jusque-là. Le COVID aura eu la peau de la navette mais dans quelques mois cela sera fini car la 14 sera là.
Je ne vais pas dire ce que j’en pense mais vous aurez l’une des rares voies de France où l’on roule à gauche ?
Orly Sud ou une certaine nostalgie de la France des années 60 : manque plus qu’une Caravelle et un 707 intercontinental vu depuis les terrasses (qui sont fermées depuis).
PIF/PAF by ADP toujours aussi risibles (je n’ose évoquer l’obligation de personnes physiques pour ouvrir les PARAFE)…
Si « COTAM unité » n’a pas son immatriculation civile de visible, c’est parce que c’est un avion militaire ! L’article L.6111-1 du CT autorise cela et l’arrêté du 3 mai 2013 prévoit bien en son article 6 que : « Les aéronefs militaires mentionnés au 1° de l'article 1er du décret n° 2013-367 du 29 avril 2013 susvisé ne sont pas tenus de porter les marques de nationalité et d'immatriculation qui leur ont été attribuées. Les marquages portés par ces aéronefs sont définis respectivement, pour les aéronefs qu'elles exploitent, par les autorités d'emploi et l'autorité technique. Ils peuvent comporter tout ou partie des marques de nationalité et d'immatriculation attribuées à l'aéronef. »
L’air frais est payant chez ADP et l’APU est interdit au contact… bref micro-ondes à bord !
Le Centre de Rosnay est là pour guider les SNLE (trois centres sont utilisés à cette fin : un second à Sainte Assise et un troisième ailleurs ... qui est mobile) et transmettre un éventuel ordre de tir nucléaire à un bâtiment en plongée. Il peut être suppléé par les systèmes satellitaires ou classiques mais qui imposent une exposition de l’engin. Pas le genre d’endroit pour faire du spotting.
Après pour le reste tout a été dit (plateau chaud devenu rare par chez nous, etc.).
J’attends le compte rendu du TGV ? ? ? ?
C’est souvent que je commets cette erreur. Merci pour la remarque.
Je ne vais pas dire ce que j’en pense mais vous aurez l’une des rares voies de France où l’on roule à gauche ?
Je ne sais pas si la grille horaire d la ligne C sera refondue. Dans l’idéal, il faudrait arrêter les ROMI et mettre que des MONA ce qui éviterait une desserte à la demi-heure de Pont-de-Rungis à Masssy. Ainsi que de rouvrir la gare de Wissous. Mais la ligne est saturée.
Eh bien je ne connaissais absolument pas cette particularité réglementaire. Merci pour ces précisions légales.
Oui, j’imagine que cette prestation est payante mais je ne pensais pas qu’elle était optionnelle.
Eh bien j’apprends beaucoup de chose là. Mais ça se trouve où Sainte-Assise ? Je ne trouve rien.
Je me doutais. Il sera dans le report TNG - LYS mais sera succinct à l’image du trajet Kénitra - Tanger, bien trop rapide.
Bons vols.
Il est situé en Seine et Marne à l'ouest de Melun, tu peux les apercevoir depuis le hublot en lisant cet excellent FR CDG TLS
https://flight-report.com/fr/report/63417/air-france-af7406-paris-cdg-toulouse-tls/
Excellent report que ce CDG - TLS, que j'avais bien lu en son temps.
L'ouverture de la ligne T12 le 9 décembre prochain va mettre un terme aux merveilles missions circulaires, véritable pièges à touristes, qui faisaient Versailles RG <-> Versailles Chantier via... Juvisy !!! Ensuite le prolongement dudit T12 vers Versailles va sacrément alléger la configuration d'exploitation. Des travaux sont en cours à Massy en ce sens pour permettre à terme un renforcement de la desserte de Massy via Orly...
Et puis le M18 arrivera aussi, la fin d'Orlyval s'esquisse (elle n'est pas décidée à ce jour... on verra APRES les JO semble-t-il)...
Quand je pense que des "crânes d’œufs" avaient imaginé de prolonger le RER d'Issy à la Défense pour soulager le RER A :) :) :) :) :)
Orly difficile d'accès en attendant la ligne 14 et une fois arrivé, ca ne s'arrange guerre surtout à Orly 4.
Perso, j'aurai bien échangé le plat chaud contre un branchement permettant de ne pas cuir en attendant la mise en route.
Cabine vieillotte mais quand même plus confortable que la planche à repasser ou le NEK.
Un grand bravo pour la leçon de géographie et le soin apporté à la signalisation sur les photos.
A bientôt.
Ça dépend de la saison. Au mois d'octobre, j'aurais dû ne pas cuire, mais il a fait tellement chaud ce jour-là... Peut-être que la RAM paye pour le conditionnement pour d'autres parties de l'année.
Par rapport à un NEK, y a pas photo !
Merci beaucoup pour le compliment.
Bons vols
Effecrivement rotation assez courte. Merci pour la visite virtuelle d'orly 4, je n'y ai jamais foutu les pieds non plus.
25 min pour pif c'est trop oui.
Jolie seance de spotting.
Cabine vieillote oui.
Ah mme GregLys a du souci à se faire !
Donc au final bravo a RAM.
Connectez-vous pour poster un commentaire.