Avis du vol Air France Paris → Vienna en classe Economique

Bienvenue dans cette dernière rotation 2023.
Et oui, après cet aller retour à VIE, on range les valises pour attendre 2024.
Petit routing donc très simple pour conclure l'année. 

CDG - Landside

Pour rejoindre CDG et ce bref voyage, je fais confiance à une approche en RER.
J'aurai de la chance en attrapant un train direct mais de jeunes voyageurs (français) à mes cotés, non habitués aux subtilités de tarification de l'île de France, en seront bons pour une petite amende pour cause de billet non valable pour CDG… (35 euros le plomb).
L'arrivée à la gare de CDG 2 se fait sans encombre.
Je note que les portiques habituels de la SNCF semblent être voués à être remplacés par des bornes de validation (mieux pour la fluidité). 

L'emblème du passage du rail aux airs.

Ensuite, une fois la bonne direction choisie pour le 2F, à moi les longs couloirs.

Arrivé au 2F, il ne semble pas y avoir foule.

A peine une dizaine de pax me précède aux contrôles.
Celui ci sera néanmoins un peu longuet. 

airside et lounge

Une fois passé du côté pas si obscur de la force, direction le salon où je prévois de déjeuner car j'arrive tout droit du bureau sans être passé par la case cantine.

Pas de bouchon à l'entrée.

Ni de cohue à l'intérieur.
C'est tout de même bien fréquenté. 

Avouons quand même que cela semble calme. 

Je décide de rester au rez de chaussée et m'installe sans mal dans l'espace restauration.
Avant de choisir le plat chaud, rapide coup d’œil aux desserts et aux options liquides.

Je choisirai le poulet sauce acidulée et clairement, ce fût très bon.
Il est intéressant de noter que malgré mon heure d'arrivée tardive (vers 14h), il y a toujours du choix.

Pour finir, bien sûr, je ne pouvais pas faire l'impasse sur ce rhum martiniquais HSE !
Toujours faire honneur à la maison ! (j'avoue toutefois avoir nourri une certaine attente pour le rhum vanille vu à Orly fin octobre…).
Le petit gâteau à la poire (dont l'esthétique laisse à désirer mais qu'importe) était aussi fameux.
Bien plus que le duo choco fruit rouge.

Etant près du buffet et de la sortie des cuisines, j'entends plusieurs échanges entre personnels cherchant à savoir qui s'occupe de l'espace ultimate.
Je me dis que faudrait quand même que je la trouve cette porte des étoiles avant d'y avoir accès (vain espoir, mais cela fait vivre ! LOL).
L'enquête sera rapide et la porte aux étoiles, quasi anonyme.
Mais qu'importe de savoir où elle est puisqu'on doit pouvoir y être guidé prestement. 

Une fois rafraîchi, je quitte le salon sans pression pour rejoindre la porte.

embarquement

Il n'y aura pas long à marcher pour rejoindre la F34.

Je serai le premier à me présenter au ruban pour entamer la file de SP.
A 15h15 tapantes, début de l'embarquement.
Le jet bridge est à moi. 

L'instant porte n'aura jamais été aussi dégagé.

Gris, tout est toujours gris à Paris.

Qui dit pole position dans la queue dit cabine vide à l'arrivée. 

Passé les 5 rangs de J, je retrouve mon 7A. 

Revue rapide de l'espace personnel.

et vérification propreté.
La pochette commence à fatiguer on dirait. 

L'aspirateur n'a pas attrapé le papier (non gras) rebel réfugié dans les dessous.

A coté un voisin sans surprise et notre agent ravitailleur à l'oeuvre.
Qu'on nourrisse la bête ! 

Mais au fait, c'est qui la bête ? C'est F-HEPF qui est dans sa 10e année.

L'embarquement se poursuit sans encombre et je serai rejoint sur mon triplet par un couple partant en WE à Vienne.
Le courant passera plutôt bien, et nous bavarderons ensemble quasiment tout le vol. 

taxi et decollage

Mais bien sûr, il ne faut pas oublier son devoir (que je leur aie d'ailleurs expliqué). 
Push back à 15h50. 

Notre agent "crabier" confirme la fin de sa manoeuvre.

Et la route, enfin le taxi, est à nous.
Direction le doublet nord. 

Alors, pas besoin d'être fin connaisseur pour se rendre compte qu'on va devoir attendre…

Mais pour y arriver, il y a encore un petit bout à faire.

Nous serons au final numéro 6 au décollage (annonce faite par le captain).
J'immortalise ainsi 2 nord américains sur le départ. 

Bien sûr, un cousin ST.
Je fus à un poil de la photo de l'année si je n'avais pas cliqué trop vite et coupé la queue de ce bel oiseau. 

Mais vous verrez quand même ce qui a été coupé, point de censure ici. ?
Au fond à droite, ça atterri aussi. 

Nous entrons en piste à 16h11 et décollons dans la foulée.
Avec le T1 plein cadre. 

Après, c'est le Bourget et la dame de fer…

Mais comme tout est gris, très vite, on ne voit plus rien.

Même si cela peut rester inspirant.

vol

Passé notre virage à droite pour pointer vers l'est, le protocole habituel se met en route.
Dans les annonces, on apprendra par ailleurs que le wifi est NOK mais l'usb OK (ce qui est amusant, c'est qu'au retour, ce sera tout pile l'inverse). 

Comme il n'y a point de wifi et que bien sûr je n'ai rien sous la main, je n'enfile point des perles mais tape la discute avec mes copax.
Dehors, le bleu est là.

Les service est là à 16h35.
Deux sandwichs au choix : poulet ou fromage.
Ce sera fromage à l'aller. 

Les agapes seront rapides.
Mais pas plus que le jour qui décline. 

Enfin, ne parlons pas trop vite.
17h17, annonce de début descente. 
La lumière décline sévèrement dehors. 

arrivée

Difficile de distinguer quelque chose dans la nuit noire, mais le captain est formel, on est en approche pour VIE.
On lui fait confiance. 

17h34, atterrissage annoncé comme imminent.
L’atterrissage sera du velour.
Le taxi sera bref vers les portes, lesquelles semblent bien désertes. 

Dernier virage.

Parking mode.

Le débarquement sera rapide.
et à l'image des parking vides, les couloirs ne sont pas les plus animés. 

Le portrait de notre avion en se jouant des reflets.

Puis, la traditionnelle marche (plutôt longue) jusqu’à la sortie et ses 2 belles portes rouge et verte selon ce qu’on doit déclarer ou pas.

Le léger flou de la photo précédente vient du fait qu'en réservant mon uber, il m'est rappelé qu'il faut aller au niveau départ pour le trouver.
et d'un coup, je me souviens que l’ascenseur n'est pas pile à la sortie et qu’il faut donc que je me grouillasse … => passage en mode hyper vitesse.

Pour finir ce vol sans encombre, notre route FR24.

A bientôt.