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Nous ne sommes pas retournés aux États-Unis depuis le Covid, et d'ailleurs nous n'avons pas non plus fait de long-courriers. Ce voyage sera l'occasion de visiter à nouveau la Californie, et aussi de dépenser quelques miles qui commençaient à s'accumuler sur le compte Flying Blue.
Un routing assez classique pour la Californie, avec un vol direct de Paris vers LAX et un vol retour de San Francisco à Bruxelles, le leg CDG-ZYR, débloquant, via un married segment, un billet retour à 100k miles pour deux. Nous n'avons pas acheté le vol retour en même temps que le vol aller, nous ne voulions pas dépenser plus de 100k miles chacun et les tarifs étaient plutôt autour du triple ou du quadruple. Nous avons eu notre instant chance et deux sièges se sont libérés. Au pire nous serions allé à JFK et nous aurions continué avec un vol transcontinental (OOP), mais au même prix pour aller à JFK ou LAX — 50k miles par pax — les miles sont tout de même mieux investis pour un voyage vers la côte ouest. Bizarrerie tarifaire tout de même que tous les vols US en miles soient au même prix plancher en miles (alors qu'en € ce n'est pas le cas).
Le routing subira énormément de modifications, et nous profiterons de la possibilité (par téléphone) d'annuler sans frais n'importe quel billet émis depuis moins de 24 heures.
Nous n'aurons pas eu à payer de frais, mais juste avant notre départ, les frais de modifications/annulation passeront de 50€ à 70€.
Les plus observatrices et observateurs noteront un vol UA au milieu. Nous ferons des infidélités à Delta car la compagnie a récemment durci ses conditions d'accès au salon. UA est la seule compagnie qui permet encore de rajouter une option salon à son billet, le prix est assez raisonnable ($50 par pax et par voyage). Nous donnerons nos dollars à United pour ce vol de repositionnement.
Hasard du calendrier, la veille de notre départ sera le premier jour de blocage de Paris par les agriculteurs en colère. Le point de blocage sur l'A1 est juste au nord de CDG, un autre point de blocage est sur l'A4 de l'autre côté de notre entrée sur l'autoroute. Nous aimons arriver la veille de toutes façons, cette fois-ci nous arriverons un peu plus tôt pour nous assurer un transfert sans encombre. Le matin ma femme me fera remarquer que les taxis se joignent également pour une grève spontanée, heureusement le trajet se déroulera sans accrocs et nous serons déposés au Sheraton.
Pour une fois, notre chambre ne sera pas encore prête, mais ce n'est pas grave car nous avions prévu d'aller manger chez Ladurée. Je reprendrai l'avocado toast au saumon avec une salade d'épinards — que j'avais déjà testés le mois dernier — et ma femme prendra un club sandwich. Tout était très bon, mauvais point pour l'œuf poché qui était un peu trop cuit, hélas (alors que la dernière fois il était parfait). En dessert nous prendrons des macarons que nous consommerons au lounge du Sheraton.
De retour à l'hôtel nous prenons nos valises et nous dirigeons vers le 2E pour les déposer chez Air France. En effet, les conditions ont changé pour les vols vers les États-Units, il est désormais possible de déposer ses valises la veille (sauf pour les vols tardifs car il faut se rendre au guichet moins de 24 heures avant le début du vol, et que ceux-ci soient ouverts).
La zone de dépose bagage n'est pas des plus pratiques car au fond du terminal. Il n'y a pas de zone matérialisée Sky Priority bien que cela ne soit pas nécessaire car il n'y a pas d'attente (et peut être que le greeter aurait fait passer directement les pax éligibles). Nos valises sont rapidement enregistrés et nous recevons nos cartes d'embarquement.
Les cartes sont sublimes, il s'agit du nouveau design. Je ne savais pas qu'il y avait eu un nouveau design ni depuis combien de temps il existe mais nous échangerons avec l'agent qui les trouve également magnifiques et remarque que, voyageant en business, il est plus que normal que nous ayons de belles cartes car cela fait partie selon lui de l'expérience du voyage. Nous opinons et apprécions ce moment de partage.
Je ne retrouve pas la photo du recto de mon BP, à defaut je poste celui de ma femme. Le liseré Air France en haut est du plus bel effet.
Nous rentrerons à l'hôtel les bras légers, profiterons du lounge de l'hôtel pour terminer la journée de travail et effectuer quelques calls le temps que le buffet du soir soit installé. Toujours un moment agréable, et après avoir bien mangé il sera l'heure de venir au lit.
Je n'ai pas fait de photos du lit mais pour une fois l'hôtel nous a bien donné un lit double. Il faut croire que toutes les fois précédentes nous avions été surclassés. C'est petit, un lit double, le supplément de 30€ pour un lit King est un peu gagne-petit mais se questionne au vu du prix du voyage et du gain de confort.
Nous nous réveillons après une nuit de sommeil, prêts à passer airside. Ma femme tient à profiter un peu de la chambre avant de se préparer, je la met en garde pour la réservation du soin Clarins (hélas).
La PIF est traversée en quelques minutes (comme de routine, pas de Parafe ouverts côté SkyPriority ?) et nous rejoignons le hall L pour accéder au salon.
Première visite depuis la rénovation, l'aménagement intérieur est une réussite avec différentes zones qui proposent une variété d'assises. Toutefois il n'est pas commode de prendre l'ascenseur pour le rejoindre et le flux de déplacement unique n'est pas commode non plus. Je préfère toutefois le salon du hall M (et je ne parle pas du salon du 2F mais situé dans Schengen).
Ma femme ira chercher une réservation Clarins mais effectivement c'est déjà trop tard. Une employée notera son numéro en cas de désistement (il n'y en aura pas) et précise que le dernier créneau du matin a été pris à 7 H 30.
Je suis assez déçu par l'offre du petit-déjeuner, car celle-ci est une réduction de l'offre déjà pas bien grande du 2F… il manque a minima les deux smoothies, les pommes de terre, le lait végétal n'est pas présenté et il faut le demander au personnel — qui heureusement est avenant (et peut-être moins désagréable avec les pax qui parlent anglais). Il manquera également l'une des deux boissons infusés du bar détox. Je note qu'une fois que la bouteille de lait végétal me sera apportée, celle-ci sera abandonnée à côté d'une machine, à température ambiante. J'espère que ma bouteille n'avait pas subie le même sort la veille et que le personnel du catering a quelques notions de chaîne du froid.
J'ai une carte Week-End+ et ni le site ni l'application n'autorisent d'acheter un billet avec réduction en cabine Business, seul l'achat en Economy est possible en ligne (pas faute de le signaler mais personne chez Air France ne semble intéressé par l'information). Je chercherai une agence commerciale airside pour m'aider pour mon prochain vol, mais hélas les seules sont situées landside et je n'ai pas envie de refaire le parcours. Tant pis cela sera pour plus tard. Je demanderai poliment si je peux sortir redescendre par l'entrée pour faire un tour chez Hermès, juste en bas, ce qui me sera accordé et me laissera l'occasion de quelques emplettes avant le déjeuner.
Par chance, ce jour là Air France opère deux vols vers LAX et nous avons réussi à trouver des billets Prime pour le deuxième, ce qui nous permet de profiter d'un repas léger avant d'embarquer. Là encore, déception par rapport au 2F car il n'y a que deux plats signatures, signés Ducasse, dont l'une est une salade de lentilles et petit pois… honnêtement celle-ci n'aurait même pas méritée la signature Sodebo. Heureusement, l'autre plat est le burger végétal qui est une vraie tuerie — il faut juste ne pas s'attendre à manger un steak car ça n'en est pas, et ça ne prétend pas en être, c'est juste un autre goût qui s'accompagne d'un pain et d'une sauce tous les deux très bons. Je ne me ressers pas car le vol est pour bientôt mais je n'aurais pas été contre que celui-ci soit retardé pour prolonger ma collation.
Pour compléter l'offre solide, il y a également en plat chaud un coq au vin qui est simplement réalisé mais réussi.
Le personnel passera pour assurer la distribution de Champagne, avec un assortiment de canapés. Je prendrai la version végétarienne qui est très rafraîchissante, ma femme testera aussi la version à base de viande mais préfèrera la végétarienne. Pour le dessert, je prendrai le dessert signature au chocolat, qui ne casse pas trois pattes à un canard.
Niveau boisson, pas de surprise, il y a toutes les références habituelles de Air France, y compris le Mas Amiel. Mauvais point pour le Perrier, celui-ci ne sera distribué qu'au moment du déjeuner. J'aurais peut-être pu en demander avant mais cette passion d'Air France pour réduire les coûts est quand même assez pénible. L'écologie a vraiment bon dos.
Nous partirons du salon un peu avant l'embarquement, le temps de profiter une dernière fois des boutiques. L'embarquement aura déjà commencé et quand nous arrivons sur place, la zone 3 sera appelée, aucune attente pour nous donc.
L'oiseau du jour se nomme Papeete, le presque bien nommé (pas de continuité vers PPT mais un retour à la base avec AF69).
L'instant fuselage.
L'instant porte.
Nous avons pris les sièges du milieu pour ce vol. Par chance la rangée 3 était disponible, nous aurons la chance de découvrir la configuration BEST dans la zone J en avant. Première fois pour nous que nous avons ce fauteuil, jusqu'au bout nous avons profité de l'A380 et des NEV3/NEV4 qui nous semblaient plus avantageux voyageant en couple, et permettant un hublot. C'est une réussite même si ce n'est clairement pas pensé pour des couples, si on veut se voir pour se parler il faut impérativement que l'un des deux s'incline sur son fauteuil. Pour notre prochain long courrier d'ici quelques semaines nous testerons la configuration L+F.
Je ne rentrerai pas dans le détail ni de la trousse ni du hard product qui ont été déjà maintes fois reportés ici. Déception que celle de ne plus avoir de chaussons, heureusement que c'est une toujours obligation pour les hôtels que d'en proposer. Plus qu'à trouver un fabricant de chaussons qui accepte de mettre un logo AF sur des jolis chaussons bleus pour faire changer Ben d'avis…
Petite parenthèse, si la France est le pays des vins et des fromages, Air France est assurément la compagnie des plans de cabine.
À ce jour la compagnie propose :
• une cabine rétrofitée, avec des portes coulissantes, sur A350-900 en configuration 48J — le graal en rangée 1 ou 9
• la même cabine sur B777-300 ER en configuration 48J, avec un écran un chouïa moins grand — on va dire, le mini-graal, et pareil, rangée 1 ou 9 pour avoir l'ottoman présidentiel
• une configuration BEST sur B777-300ER en quatre classes (4 F/58 J/W/Y) — celle de ce FR
• en voie de disparition des configurations historiques, dont une configuration loisirs (on ne parle plus de COI)
• et pour les chats noir, F-GSQE, le tout dernier des tout dernier dont la J est encore équipée en NEV4
Nonobstant qu'il faut un doctorat en cabine pour s'y retrouver dans ce dédale, je trouve que AF est gagne-petit à faire miroiter sur son site web le siège business avec « sa porte coulissante (qui) préserve votre intimité durant le voyage » sur tous les vols B77W, alors même que la majorité n'en ont pas. C'est un détail bien sûr, mais le diable s'y loge. En faisant ainsi non seulement AF trompe le client, mais aussi et c'est là où c'est le plus dommage à mon sens, laisse à penser que la configuration BEST n'est pas source de fierté. Or, même si le siège commence à dater il n'en reste pas moins que c'est un excellente produit et que Air France n'a rien à cacher sous le trolley. (J'ai conscience que c'est plus facile à dire qu'à faire car, informatiquement, le texte est associé au modèle de l'avion, et publié aux GDS, mais au moins sur son propre site…)
L'IFE oblige à diffuser un ou deux pre-rolls avant de pouvoir accéder au contenu. Un peu gagne-petit là aussi surtout que ce n'est pas de l'auto-promo. (Si au moins cela finançait davantage de Perrier au salon. Je digresse.)
Après la distribution des trousses et la prise en charge du vestiaire, la boisson avant le décollage sera rapidement distribuée et la nous partirons presque à l'heure.
Le menu est élégant, personnalisé sur la destination et de grand format. Une partie de moi se dit tout de même que c'est du poids inutile. À titre personnel si le choix m'était proposé je ne serais pas offusqué d'avoir un menu électronique et le retour des chaussons. Mais je n'utilise pas l'IFE pour autre chose que la carte interactive alors je ne suis peut être pas le bon public.
Sur ce vol, nous n'avons pas eu le choix du plat de la prestation repas. Nous pensions que AF ne l'avait pas proposé sur ce vol mais entendrons le personnel de cabine confirmer auprès des pax enrôlés qu'ils conservent leur choix initial. Pas trop d'inquiétudes pour nous, en rangée 3 nous serons les premiers à donner notre choix et ne risquons pas d'avoir une sélection réduite car le reste aurait déjà été pris. Notre sélection sera enregistrée sur une tablette et nous choisirons le plat à base de viande, qui est aussi le seul « signature ».
La bouchée nous sera proposée, avec sa traditionnel boîte de gaufrettes au fromage. J'avais lu sur un autre FR qu'Air France avait arrêté cette prestation, cela aurait été dommage.
Le plateau suivra, il sera apporté directement depuis le galley, et sans les couvercles en plastique, ce qui est toujours un plus.
Les boissons seront, elles, servies au trolley.
Le plat de ma femme sera servi avant le mien. C'est le défaut de cette configuration en 1-2-1, pour pouvoir manger ensemble, un couple doit se placer en A et E ou F et L. Heureusement, en rangée 3, l'attente était plutôt courte — entre cinq et dix minutes — mais sur l'autre cabine business cela peut facilement être plus long, surtout qu'il peut être difficile de deviner si le service commencera par l'avant ou l'arrière.
L'entrée était plutôt bonne. Bon point pour la PNC qui proactivement m'a proposé du poivre au moulin sur mon foie gras (c'est une habitude que j'ai aussi au sol, mais en vol c'est assez nécessaire pour développer le goût).
Le plat était bon mais pas au niveau de ce que propose d'habitude AF. J'ai mangé de meilleures choses au 2F et ServAir m'a déjà proposé des plats excellents en long courrier. Attention je ne dis pas que ce n'était pas bon, si le vol avait été opéré par une autre compagnie le plat m'aurait conquis, je place juste la barre un peu plus haut chez la compagnie à la crevette car je sais qu'ils peuvent exceller sur ce domaine.
Le fromage était traditionnel. Dommage qu'il n'y ait pas davantage de choix. Et je me prend à rêver, si la France est le pays des fromages, serait-ce stupide de proposer une sélection avant embarquement ? Ben, le coût serait sûrement marginal mais l'impact en terme d'image absolument dément, non ?
Pour le plat, je suis servi, au sens propre comme au sens figuré. L'opéra est depuis des années clairement mon dessert préféré chez Air France. Il est proposé avec une sélection de glaces dont un sorbet chocolat. Je reste raisonnable (pour l'instant) et ne prend que l'opéra.
Pour terminer, une infusion pour digérer. Dommage pour moi, Air France ne propose plus l'Herboriste (et tant mieux pour Air France car c'est l'une de mes préférés, et pouvait allègrement m'en enfiler 5 ou 6 par vol au minimum). Je prendrai un Rooïbos des vahinés (pas de chance pour Air France c'est la préférée de ma femme — toutefois contrairement à moi elle sait être raisonnable sur la boisson).
Le vol passera ensuite en éclairage de nuit et les passagers commenceront la sieste.
(Saurez-vous deviner la nationalité du pax en L, qui est le seul de la cabine à avoir laissé son hublot ouvert ? Perdu, c'est un Américain. L'exception qui confirme la règle que tout bon Américain voyage toujours hublot baissé.)
Je reprendrai un opéra et une boule de glace chocolat, puis un armagnac. Il s'agit de la même sélection que celle du lounge, un Château Laubade. Ce n'est pas gênant car c'est un excellent choix (et un peu anachronique qu'il soit proposé au lounge, Air France a la main décidemment un peu lourde sur les bouteilles des salons).
L'IFE présente les attractions majeures de la destination, dont Disneyland à Anaheim. Ça tombe bien, c'est justement là où nous allons. Walt Disney aurait sûrement une petite toux à lire que presque rien n'a changé depuis l'ouverture (une de ses citations célèbres est justement que, tant que tant qu'il restera de l'imagination dans ce monde, Disneyland ne sera jamais terminé.)
Petit aparté, il est notoirement connu que les rangées 1 et 9 sont les meilleures sur les nouvelles cabines (avec les portes coulissantes). Petit coup de cœur me concernant pour la rangée 3 de la configuration BEST.
Ce n'est pas sur l'ottoman que cela se joue, car il a la même taille (et c'est dommage)…
…mais la construction de la cabine fait que l'espace devant le siège, au dessus, est beaucoup plus grand, et donne accès à un espace très pratique pour poser son iPad, des magazines, son plateau repas, son sac…
La disposition des racks fait également que la rangée 3 possède son propre rack personnalisé. Non pas que le risque d'un gate-check en business soit plausible, mais c'est toujours confortable de ne pas avoir le pax d'à côté qui joue au jigsaw pour caser ses carry-on oversize sans avoir l'illumination que peut-être cela pourrait gêner les autres passagers.
Je ferais une petite sieste, pour commencer à me caler sur l'heure pacifique. C'est l'avantage de ces vols vers la côte ouest à mon sens, un vol vers New-York est toujours trop court et ne permet pas d'arriver en pleine forme.
Ma femme testera le croque-monsieur (qui sera bien réchauffé, elle aura même droit à une nouvelle fournée).
La seconde prestation sera servie avant l'arrivée. C'était plutôt bon (et pour le plat aussi bon que la première prestation qui décidément était un cran en dessous).
L'atterrissage se fera presque à l'heure à Los Angeles, et le passage de CBP sera on ne peut plus fluide. La plupart des vols arrivent un peu plus tôt, c'est un autre avantage de ne pas utiliser AF66 pour se rendre à LAX.
Petite particularité à LAX, il n'y aucune zone de pickup devant les terminaux. Il faut obligatoirement prendre une navette, pour se rendre à une sorte de grand parking ouvert où il y a plusieurs files selon le fournisseur (Lyft, Uber, taxi…)
C'est assez mal foutu et pas forcément pratique, d'autant que les navettes ne sont pas spécialement dimensionnés pour accueillir des vols longs courrier et leur flot de valises. Quel est le génie qui a inventé ça. Je ne note pas souvent zéro dans le verdict, mais là c'est amplement mérité, surtout que la signalisation est très légère, un petit panneau devant la zone curbside. Cela aurait amplement mérité des grandes affiches dans le terminal sur le long couloir vers CBP pour informer, et soyons fou, des greeters pour guider les touristes.
J'apprendrai plus tard que Paris Aéroport a la même lubie pour l'aéroport d'Orly, voulant fermer l'accès à toutes voiture ou VTC au contact des terminaux et condamner le parking VIP. Tout cela ne servant qu'à se laver les mains de toutes émissions carbone, les voitures étant relégués en dehors du terminal le bilan CO2 devient géant vert et les écolos ravis. Triste époque.
Pratique de pouvoir déposer ses bagages la veille pour un vol vers les USA. Le Sheraton de CDG sera fidèle à lui-même. Déception pour le salon 2E L, quel dommage d'avoir autant réduit l'éventail des produits proposés. Très bon service en vol avec un petit bémol sur le plat signature qui mériterait un retravail de la recette. Comme toujours, personnel très attentif. La cabine BEST est un bon produit, toujours un plus de voyager dans la petite zone à l'avant, et d'autant plus quand on peut trouver un tarif à 50k miles.
Mention spéciale pour la nouvelle version du boarding pass, de toute beauté.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 81 avis concernant 4 compagnies sur la ligne Paris (CDG) → Los Angeles (LAX).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air Tahiti Nui avec 7,6/10.
La durée moyenne des vols est de 11 heures et 42 minutes.
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2 Commentaires
La cabine est vraiment reussie.
Les repas ont belle allure, même si la première prestation vous as déçu.
Juste un petit truc très personnel : Les photos sont plus parlantes que les très longs textes, qui souvent ne capte pas l'attention du lecteur...
A bientôt !
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