Bonjour à tous,
Petit flash back vers le mois de mai 2018 en ce début d'hiver, mais comme il s'agit de l'hémisphère sud, j'ai considéré que ce FR était quand même de saison :-), n'ayant pas eu le temps de le rédiger jusqu'ici.
Il s'agissait d'un voyage de près de 4 semaines effectué au printemps (de l'hémisphère nord…) en Nouvelle-Zélande et en Australie, dont le but principal n'était pas les avions mais le tourisme. Un itinéraire aérien des plus simples pour une telle durée et de telles distances, sachant que la partie transports s'est surtout effectuée en voitures de location, camping-car et bateaux divers et variés, surtout dans la baie de Sydney bien évidemment.
Pour la partie aérienne, le but était de faire simple, économique et adapté à un voyage en famille, le corollaire de ces choix aboutissant sur le plan AvGeek à un bien piètre bilan pour 25 jours de vacances : "seulement" 13 étapes et 7 "nouvelles entrées" (*) au palmarès de votre serviteur comme vous pouvez le constater ci-après. Dans une autre vie, j'aurais sans problème multiplié ces chiffres par 4, surtout le deuxième.
En cette matinée du 10 mai 2018, je m'accorde donc une 2é demi-journée de liberté en solo, après celle de Sydney quelques jours plus tôt m'ayant permis de faire un A/R express vers Canberra afin de voler essentiellement sur B717 Qantas Link, à l'aller, et accessoirement sur Q400 de cette même compagnie, au retour.
A défaut de prendre tout ce qui vole en AU/NZ, deux pays où je n'avais pas mis les pieds depuis 20 ans, j'avais donc fixé mes priorités d'AvGeek en les limitant à assurer ce qui ne sera peut-être plus d'actualité très bientôt, à savoir, outre le B717 précité, deux F100 qui sillonnent encore l'ouest du pays et qui sont "prenables" en une matinée, réduisant le plus possible l'impact sur le programme familial.
Alors que tout mon petit monde dort encore à l'hôtel à Freemantle, à 25km de là, je suis déjà au Terminal 1 de l'aéroport de Perth avant 6 heures du matin.
La zone d'enregistrement de VIRGIN AUSTRALIA est très accueillante, moderne, futuriste et tout ce que l'on veut, ce qui contraste singulièrement avec le but de ma présence ici : prendre tant qu'il est encore temps un vieux Fokker 100 de cette compagnie.
Je récupère mon BP en quelques instants, après voir sélectionné un siège à l'avant afin de sortir parmi les premiers, car je n'ai en théorie que 50 minutes à Geraldton avant de prendre le vol suivant qui me ramènera à Perth.
Le départ est prévu à l'heure, dans 56 minutes à cet instant, et je "go" donc "to gate 46".
Ces escaltors permettent d'atteindre le 1er étage. On notera le logo VIRGIN "autralianisé" sur le pilier. Sir Richard n'est pas très loin !
Le PIF est désert et son franchissement ne prendra que quelques secondes.
Le tarif que j'ai payé (130 AU$, billet acheté la veille) et l'absence de quelque statut que ce soit ne me donnent évidemment pas le droit d'accéder au salon.
Je me rends donc directement en porte 46…
… où un F100 de VIRGIN AUSTRALIA est là. C'est le VH-FSQ, un vieil oiseau datant de 1993, qui a roulé sa bosse aux USA et au Népal avant d'arriver en Australie en 2009. Bien positionné, dérive éclairée, portes de soute ouvertes, PNT présents dans le cockpit. Bref, jusque là tout baigne.
Nous nous retrouvons quasiment au même endroit à… 6h54, soit 4 minutes après l'horaire de départ, le vol étant supposé "fermé" alors que je suis toujours en salle d'embarquement… Mais que ce passe-t-il donc ? En vérité l'enregistrement est peut-être fermé mais l'embarquement n'a pas commencé et l'estimée affichée de 6h50 est donc totalement erronée. La raison ? Nous attendons un PNC qui doit remplacer au débotté un de ses collègues absent. C'est bien ma chance : je m'accorde deux petites 1/2 journées de liberté Avgeek dans un voyage de 25 jours au bout du monde et mon carrosse va se transformer en citrouille car si j'arrive à Geraldton trop tard pour rentrer dans la foulée à Perth avec le F100 QF Link que j'ai visé pour le vol retour, j'aurai le choix entre la peste et le choléra : soit reprendre ce F100 Virgin Australia en achetant un billet en dernière minute pour autant que cela soit possible car le vol retour sera fermé quand je débarquerai là bas, soit passer la journée complète à Geraldton, une ville sans intérêt, afin d'attendre le vol QF Link suivant qui est le soir, ce qui gâcherait non seulement ma journée mais celle de toute ma famille qui m'attend à l'hôtel à Freemantle en fin de matinée pour que nous allions visiter la ville et les environs.
Entre temps le jour s'est levé, le chargement du F100 s'est achevé et le push back est même en place, comme si tout était prêt au départ, si ce n'est que l'équipage présent à bord (2 PNT + 1 PNC) refuse de lancer l'embarquement tant que le 2é PNC n'est pas là, alors qu'en de telles circonstances on accélère souvent le mouvement en fermant la porte dès lors que le PNC de réserve arrive et on pushe dans les instants suivants.
Je me dis donc que Luke est bien unluncky sur ce coup là et je m'apprête à renoncer à partir afin de ne pas m'embarquer dans une galère quand le fameux 2é PNC arrivera, s'il arrive un jour, quand, tout à coup, l'embarquement commence ! Las d'attendre une réserve qui ne vient pas, la régul de Virgin Australia a visiblement "piqué" un PNC à un autre vol afin de compléter l'équipage de notre F100. Ils auraient pu y penser avant…
Il est alors 7h et je tente le tout pour le tout, en faisant de savants calculs pour arriver à la conclusion que si tout va bien, il me restera environ 30mn pour passer d'un avion à l'autre à Geraldton, sachant que ce ne doit quand même pas être le T5 d'Heathrow question surface et complexité des flux entre arrivées et départs. On note au passage la variété des types d'appareils de Virgin Australia sur cette photo : Fokker 100 bien sûr mais aussi, ATR72, B737-800 et plus récemment A320.
Ayant attendu jusqu’au dernier moment avant de prendre la décision d'y aller, je suis le dernier à embarquer.
Il est 7h10, la passerelle est retirée et nous allons enfin pouvoir partir. C'est vraiment une course contre la montre en ce qui me concerne, car parallèlement je suis sur flight radar 24 la rotation du F100 de QF Link qui part lui aussi à Geraldton dans cette tranche horaire et qui, comme il se doit, est parfaitement à l'heure puisqu’il nous a précédés de 10 minutes alors que cela aurait dû être l'inverse…
Nous roulerons dans les instants suivants, avec 20 minutes de retard au final, ce dont il faut bien convenir que ce n'est pas la mer à boire. J'étais sans doute le seul pax à stresser autant, chaque minute ayant son importance dans le programme très tendu qui était le mien, alors que pour la cinquantaine des autres passagers, arriver à destination à 8h10 au lieu de 7h50 n'avait vraisemblablement aucune importance.
Décollage face à l'est.
Puis virage à gauche et montée rapide qui permet d'apercevoir la ville de Perth sur la droite.
On rejoint la côte de l'Océan Indien en ayant toujours une jolie vue sur Perth. Le Cdb prend alors la parole pour expliquer les raisons du retard, présenter les excuses de la compagnie et… indiquer que le temps de vol ce matin ne sera que de 35 minutes, ce qui fait que nous arriverons quasiment à l'heure à Geraldton. Je peux alors pousser un grand ouf de soulagement !
Le service est du type AF/A5 sur un vol similaire : boissons chaudes et/ou froides + un accompagnement solide (barre de céréales ici). C'est apprécié car vous vous doutez bien qu'avec un départ hyper matinal de l'hôtel et une attente des plus incertaines à l'aéroport de Perth, je n'avais pas eu le temps d'avaler quoi que ce soit depuis la veille. La mention "relax" figurant sur le choc chaud est donc fort appropriée…
Le vol est tellement court que les consignes "ceintures attachées" n'ont pas été éteintes. Qui plus est, le vol est un peu agité sans doute en raison du fort vent arrière qui nous pousse encore plus vite que prévu vers l'arrivée. Je fais donc l'impasse sur les photos de la cabine et éventuellement des toilettes, ce dont je vous prie de m'excuser. Nous voici déjà en approche.
Comme sur 95% du territoire australien, on notera que -hormis quelques pistes pour 4x4- il n'y a aucune trace de présence humaine aux environs de Geraldton, ville de 27.000 habitants située sur la côte ouest du pays, à un peu plus de 400km au nord de Perth.
On aperçoit la ville au loin, en bord de mer. La ressource principale de cette région est la pêche de la langouste.
On se pose à 7h50, l'heure initiale prévue pour l'arrivée de ce vol et on arrive au parking dans les minutes suivantes.
Le contre-jour m'empêche de photographier le F100 de Qantas Link qui doit me ramener à Perth 45 minutes plus tard et qui est bien entendu déjà là. Je fais donc cette photo du F100 que je viens de prendre avant de me diriger dare dare vers l'aérogare.
Je serai finalement dans les temps à l'enregistrement du vol QF Link supposé repartir à Perth à 8h35 mais on verra dans le FR suivant que cela ne se passera pas tout à fait comme prévu…
Dans l'immédiat, afin de me faire pardonner le côté très succinct du récit qui a précédé, je vous propose sous forme de bonus de partager ce qui a été le véritable "clou" aéronautique de ces vacances en famille en NZ/AU : le survol des glaciers du Mount Cook en Pilatus PC-6, quelques jours plus tôt dans l'ile du sud de la Nouvelle Zélande.
26 avril 2018 : Survol des glaciers Fox et Franz Jozef à bord du Pilatus PC-6 ZK-MCN de "Mount Cook Ski Planes & Helicopters"
Nous arrivons en début de matinée au charmant aéroport du Mount Cook.
L'aérogare est assez petite mais très fonctionnelle; Bien évidemment, elle s'inscrit parfaitement dans le paysage !
Pendant que ma petite famille patiente dans la voiture, je suis au comptoir -où du café est disponible gratuitement- afin de prendre des renseignements : Y-a-t-il un moyen de se glisser dans un Pilatus qui survolerait le Mount Cook aussi tôt que possible ?
Oui, il va y avoir un départ dans la 1/2 heure suivante à bord de ce magnifique PC-6, le MCN, dont on notera que le préfixe ZK n'a pas été reproduit et pour cause : vu la géographie du pays, il y a peu de chances qu'un avion de cette catégorie puisse voler hors de Nouvelle-Zélande !
Il ne reste que 2 places disponibles, à 199 NZ$ (120€) l'unité, sans réduction enfant. Il s'agit du package le moins cher de toute la gamme, incluant 30 minutes de vol sans "glacier landing". Nous nous mettons d'accord avec mon épouse pour que ce soit le fiston et moi qui en bénéficions, tandis qu'elle nous attendra avec la petite Miss à l'aéroport pendant ce temps, en échange d'une concession inverse d'ici la fin du voyage à leur bénéfice. Nous roulons quelques minutes plus tard à bord de notre petit avion…
Nous sommes assis au 2é rang, tandis qu'un heureux privilégié a la chance de partager le cockpit avec l'unique pilote.
Décollage puis montée dans la vallée. Quelle chance d'avoir une aussi bonne météo alors que l'île du Sud de la NZ est réputée très arrosée fin avril.
Les cinq premières minutes du vol sont consacrées au survol de l'extrémité nord du Lac Tasman.
Une fois cette remontée achevée, alors que l'on prend toujours de l'altitude, on peut avoir une idée de la taille des lieux en se retournant.
L'un des "highlights" du spectacle est déjà devant nous, alors que l'on vole depuis environ 10 minutes : le sommet du Mount Cook, aussi appelé Aoraki, point culminant de toute la Nouvelle Zélande, avec ses 3.754 mètres, et même de l'Océanie si l'on place le Puncak Jaya indonésien (4.884 mètres) en Asie, mais il y a débat sur le sujet…
Quelques gros plans sur son versant est.
On passe alors côté ouest, pour découvrir la partie la plus haute du splendide Fox Glacier, à une quinzaine de kilomètres seulement à vol d'oiseau de la Mer de Tasmanie.
Quelques instants après c'est son jumeau, le Franz Josef Glacier que nous avons la chance de pouvoir contempler.
Retour vers le centre de l'île. On vole depuis 15mn et je suppose alors que l'on va faire le chemin inverse qu'à l'aller en admirant une deuxième fois les mêmes splendeurs.
Pas du tout ! Nous commençons à descendre le long du versant nord du Mount Cook !
Je crois bien que nous allons avoir droit à un petit supplément au programme…
Les autres pax les savaient déjà car ils avaient payé le prix fort de 299NZ$ pour ce vol incluant un "glacier landing", mais Lucky Luke et son fiston qui sont venus se greffer en dernière minute aux 7 autres passagers ont donc eu cette jolie surprise tout en ayant payé le tarif réduit. Chut !
Nous redécollons après quelques secondes sur la glace moteur tournant, cela va de soi.
Le pax assis dans le cockpit a sûrement les meilleures photos de tout ça.
Mais je n'échangerais pour rien au monde ma place avec la sienne !
Après le décollage du glacier, le pilote, décidément pas avare, va nous gratifier d'une montée en haute altitude afin de prendre encore plus la mesure de l'immensité des lieux.
On redescend ensuite la grande vallée…
On survole de nouveau l'extrémité du Lac Tasman.
Et on atterrit après 40 minutes de vol, glacier landing compris.
Court roulage en direction de l'aérogare…
.. où notre comité d'accueil est en place !
C'est quand même chouette les vacances en famille !
La conclusion concerne bien évidemment le seul vol PER-GET en F100 VIRGIN AUSTRALIA et pas le bonus touristico-aéronautique néo-zélandais qui représente pourtant une grande partie de ce FR.
Le retard au départ aurait pu être résorbé avec un peu plus d'anticipation, un PNC absent ne se remarquant pas au moment de l'embarquement mais une heure avant ! Ensuite, tout a été pour le mieux grâce au vent arrière, le service à bord étant lui aussi satisfaisant.
En résumé, un vol "utilitaire" pour les pax présents ce jour là, sauf pour l'Avgeek de service qui, après quelques émotions, en a eu pour son argent.
35 Commentaires
Quel stress mais en même temps c’est la rançon de la gloire d’AVGeek !!
Superbe bonus glacé ! L’atterrissage sur le glacier doit être un grand moment !
A bientôt !
Ah, c'est sûr qu'en tant que chasseur de joiles prises Avgeek; j'ai souvent eu à faire mienne de la formule "il n'y a pas de joie sans souffrance"...
Tu verras que ce sera pareil au retour...
A bientôt.
Fantastique bonus qui fait rêver, j'ai appris un tas de chose sur la NZ car j'ignorais qu'on y trouvait des glaciers et des sommets aussi élevés. Les paysages sont splendides, la nature préservée c'est beau à voir. Espérons que ces glaciers tiennent le coup, en tout cas mieux que ceux de cordillère des Andes qui souffrent énormément.
A bord une prestation classique sur un avion qui vole bien loin de son pays de production. Il n'y a aucun moyen de transport efficace au sol en NZ de type TGV en Australie qui rivalise avec l'avion sur ce type de vols courts ?
Bonne soirée !
Je comprends parfaitement le stress que tu as subir entre les deux vols. Au moindre retard cela pouvait un peu compromettre le reste de ton routing et la suite de ton voyage en famille. Tout est bien qui fini bien sur ce vol, pour la suite... j'ai hâte de voir ça :p
Le bonus est à couper le souffle!!
A bientôt!
S'il y avait une raison supplémentaire de me donner envie de me rendre dans cette merveilleuse contrée, je crois bien que ce serait ce FR !
Pour résumer la magie du vol en montagne, je ne puis que citer le pionnier Henri Giraud : "Montagne si belles, je vous aime. Et puisque vous ne pouvez venir à moi, permettez que j'aille vers vous".
Ah AIr Alpes, cette compagnie a aussi bercé mes jeunes années, mais un peu plus au sud de Chambéry : à la fin des années 70 j'avais accumulé avec eux les vols en Beech 99 et Twin Otter qu'ils exploitaient l'été entre le Sud Est et la Corse, y compris sur le terrain de Propriano qui n'est plus desservi en lignes régulières depuis bien longtemps. LP a grandi ensuite et a pris des F-27 et des F-28 mais ça a longtemps été une compagnie en pointe dans le ciel français. Je n'ai donc pas connu à l'époque les Pilatus d'Air Alpes et j'ai donc du attendre 2018 et ce voyage en NZ pour en prendre un, idem pour le "glacier landing". On est bien d'accord, c'est magique. A bientôt.
Tu n'as pas listé ce "1/2 vol" dans ton logbook. Ca doit fausser les stats de ne pas avoir un nombre équivalent de décollages et atterrissages, non ? Je rigole bien sûr. Merci pour ton commentaire et à bientôt.
Le Fokker 100 est encore une belle prise, c’est un avion qui ne court plus les taxiways
Un peu dommage pour le couac matinal du au PNC fantôme, heureusement sans incidence pour le vol suivant
Même si il n’y a pas l’air d’avoir grande chose à faire, les photos de l’approche donnent envie de faire un petit saut à Geraldton et d’y déguster une langouste
Le bonus et ses photos sont superbes ! On a l’impression de toucher les sommets, un très beau spectacle que seule la nature sait offrir. Et quel chance d’avoir partagé ça avec le fiston, toutes les chances sont de son coté pour qu’il devienne un bon avgeek ^^
A bientôt
Merci pour ce FR et plus particulièrement le bonus, sublime qui fait juste rêver !! Merci !
Un coup de stress, pour finalement un premier trajet qui se passera bien, attendons la suite pour connaitre l'épilogue de cette journée.
C'est quand même chouette les vacances en famille ! => c'est le genre de partage que j'adore faire avec ma fille même si elle est bien plus grande que les mini Lucky Luke.
A bientôt
C'est vrai que le routing est assez "light" vu les nombreuses possibilitées Avgeek en Australie et en Nouvelle Zélande mais je note quand même quelques belles entrées que sont les Fokkers 100 XR/QF et le 717 QF. Au moins vous avez une bonne raison d'y retourner ^^
Les vues lors du survol des montagnes sont tout simplement a couper le souffle... Et que dire de cet atterrissage sur le glacier ? Une expérience aussi unique qu’inattendue que vous n’êtes pas prêt d'oublier.
J'aime beaucoup le PC6 même si le seul vol que j'ai fait a son bord s'est terminé au bout d'un parachute a proximité de l'Atlas marocain ^^ Excellent souvenir mais je ferais bien un "vrai" vol et la Nouvelle Zélande semble être la destination parfaite.
A bientôt pour la suite !
Décidément ce site regorge de parachutistes. Tous mes compliments messieurs !
Merci pour le commentaire et à bientôt.
C'est plutôt court ce transfert à GET mais en expert, tu t'en es sorti et tu as pu te relaxer à bord :)
Le bonus est à couper le souffle, fantastique.
A+
C'est aller bien loin pour voler en Fokker 100 mais ta passion ne souffre pas d'exception.
Car passion il s'agit car tu as tout de même tenté un pari risqué qui t'aurait coûté bcp de "crédit conjoint"^^.
Super vol en bonus avec surclassement de prestation, le top.
Mention spéciale pour le Pilatus PC-6 grâce auquel, comme Akivi, j'ai plus de décollages que d'atterrissages à mon actif !
Et puis c'est tellement mieux de partager les bons moments.
Merci pour ce report superbement illustré.
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