Arrivé de Paris-Orly au T4 et repartant du même terminal, je me rends au salon Dali.
Le salon est vaste et agréable. Il y a du monde mais je trouve une place pour m'asseoir sans difficulté.
Au centre le bar qui propose des boissons alcoolisées.
Le buffet est encore en mode petit déjeuner mais passera vite en mode déjeuner.
De nouveaux plats sont déposés.
Je viens de prendre un petit déjeuner à bord, aussi je me limite à un pan con tomate et un peu de fromage.
L'espace du salon permet de profiter de l'architecture du terminal.
L'activité a bien repris à Madrid.
Comme dans tous les terminaux, la partie réservée aux boutiques est incontournable. A noter cependant quelques boutiques fermées certainement suite à la pandémie.
Notre avion, un Airbus A319, est en porte.
Il ne porte pas la livrée complète mais seulement le nom de la compagnie.
L'embarquement est lancé à l'heure par zones.
Accueil aimable en porte par le CC et un steward. La cabine est différente de celle de l'A320.
Consignes et sac.
La cabine J sera pas mal remplie. Comme vous le voyez les masques sont encore obligatoires dans les transports en Espagne.
Les derniers bagages sont chargés à bord. Il y pas mal de passagers sont en correspondance sur notre vol.
Après les annonces de bienvenue du commandant et du chef de cabine, nous sommes repoussés. L'équipage procède aux démonstrations de sécurité.
Le roulage est assez court et nous décollons rapidement.
Le wifi fonctionne.
L'équipage s'active en cabine pour servir la collation et les boissons.
Jamon y queso avec des crakers.
Que j'accompagne d'un coca.
L'équipage qui repasse en cabine me sert un vert d'eau, le tout avec le sourire.
Nous amorçons rapidement la descente et passons au dessus de l'océan.
La cote basque apparait.
Une petit boucle s'impose
De nouveau la cote mais cette fois au niveau de Saint Jean de Luz.
La pointe d'Ondarribia apparait.
Nous survolons la plage d'Hendaye avec la Bidassoa qui marque la frontière entre la France et l'Espagne.
Le port de plaisance
Nous y voila. Atterissage ferme sur cette piste courte.
Nous faisons demi tour sur la raquette pour revenir vers le terminal.
Le débarquement se fait en faux contact et en escalier.
Carte qui permet de mieux comprendre la topographie des lieux.
Merci de votre lecture et à bientôt pour les vols retour !
Les très belles vues de notre hôtel situé sur le Mont Igueldo qui domine la baie.
La plage de la Concha.
La ville
Un vol court mais agréable avec un équipage présent et souriant tout le long du vol.
6 Commentaires
Tu es tombé sur l'A319 qui porte encore les anciennes cabines. EC-KUB je crois. Je l'ai eu il n'y a pas très longtemps entre Lisbonne et Madrid. Le positif est un legroom excellent sur les premiers rangs, le négatif est un siège pas super confortable et l’absence de prises de courants (encore qu’on peut s’en passer sur un vol d’1h).
Ça fait un moment que je veux aller à San Sebastian. Rien que pour la gastronomie ça vaut la peine.
Merci pour ce Fr
Heureusement qu'entre le premier vol et le salon tu n'avais pas très faim, car la collation à bord est vraiment minimaliste !
Je me souviens effectivement avoir été à Hendaye et à me dire que les avions de/vers Biarritz passaient bien bas. Perdu, c'était en réalité le trafic d'EAS !
A bientôt
Sympa cette approche sur un aéroport assez peu reporté.
c'est léger pour la collation mais mieux que la petite boîte de chocolat que l'on a chez nous en J domestique.
A bientôt
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