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Bonjour à tous et bienvenue sur ce vol conclusif de cette escapade asiatique de printemps. Il est temps de retrouver la Premium Economy d'Air France pour ce long vol de jour à destination de CDG puis de TLS. Le dernier segment ne sera pas reporté faute de photos mais je l'évoquerai en conclusion.
Rappel du routing :
Après une courte nuit passée dans l'Aérotel du terminal 1 où le mètre carré est parfaitement rentabilisé, nous nous mettons en marche vers la zone d'enregistrement d'Air France repérée quelques jours plus tôt à l'occasion de notre départ pour Samui. En chemin, nous rencontrons le Jewel.
Nous touchons au but.
Nous prenons place dans la courte file d'attente SP. Notre éligibilité n'est pas contrôlée.
SIN est équipé de banques d'enregistrement ultramodernes où le pax peut tout faire lui-même.
Ce que nous ne faisons pas, préférant rester en relation avec nos congénères humains. J'en profite pour demander s'il existe des possibilités de surclassement en J. Le préposé consulte sa tablette ; la réponse est affirmative : 1 599 euros par passager… pour une cabine Nev4 puisque nous retrouvons l'Antiquité qui nous a amenés une semaine plus tôt ! Air France ne manque pas d'air !
Comme toujours à SIN, les formalités sont d'une fluidité extrême. De quoi prendre de mauvaises habitudes et faire oublier la mocheté sans nom de la moquette.
Nous nous mettons en route vers le contrôle des passeports.
Tous les portails sont ouverts et cela fonctionne à merveille. Les décideurs d'ADP gagneraient à visiter cet aéroport (en oubliant le Saint-Maclou local).
Nous nous mettons en quête du salon.
Accueil aimable.
Il n'y a pas foule à notre arrivée et nous n'avons que l'embarras du choix pour nous installer.
Les habitués indiquent une propension du mobilier à l'usure rapide.
Nous décidons d'aller prendre notre petit déjeuner. Il est à peine 8h et nous avons largement le temps même si nous n'ignorons pas que le PIF est situé en porte.
Voici quelques images de l'offre, tout à fait classique.
Les solides.
Viennoiseries et fruits.
Les boissons. Notez qu'il existe la possibilité de prendre de l'eau. Je vous fais grâce de la machine à café.
Pour ceux à qui cela pourrait être utile.
Restaurés, nous quittons les lieux, direction la porte-PIF.
C'est une nouvelle occasion d'admirer les moquettes.
Une très longue file d'attente est formée devant la porte. Heureusement, les pax SP bénéficient d'un poste dédié.
Notre vieille connaissance est arrivée à l'heure de CDG.
Nous n'aurons pas besoin d'attendre dans la salle post-PIF exiguë pour l'emport d'un 777 puisque les pax prioritaires sont priés d'embarquer.
F-GSQE n'a pas eu droit à son retrofit.
Instant PS et P furtif.
La petite cabine J, en Nev 4. Bien sûr, on y serait plus à son aise que dans la cabine W, certes le catering doit y être de meilleure qualité, mais 1599 euros ! Foutaise ! Les pigeons n'ont pas dû être nombreux, pas plus que les GP car la cabine ne fait pas le plein.
La cabine W sera complète.
Notre duo de sièges.
Mon siège pour les 13 prochaines heures.
L'IFE est toujours aussi antique et peu réactif. Le pas convient pour un vol de jour.
Ceux qui voudront retrouver la présentation détaillée de la cabine, de la trousse de confort, consulteront avec profit le FR du vol aller. https://flight-report.com/fr/report/62267/air-france-af182-paris-cdg-singapore-sin/
A notre gauche, ce 787 ANA.
Merci.
L'embarquement dure et nous repoussons avec une trentaine de minutes de retard.
Le CBD salue les passagers en mode humoristique. L'équipage est souriant, cela augure mieux que le vol aller.
A321 Scoot.
B-737 My Indo.
A380 en attente de jours meilleurs.
Le roulage est une nouvelle fois long.
Ce malheureux A-380 a été reconverti en rond-point.
Enfin, nous nous arrachons au tarmac de la Cité-Etat.
Quoique le temps de vol soit un peu plus court qu'annoncé, nous ne parviendrons pas à rattraper notre retard.
L'ouest de la Malaisie voisine.
Une fois les PNC détachés, le CCP vient saluer les pax Platinum et nous prie de ne pas hésiter à demander ce qui nous ferait plaisir.
L'ascension se poursuit.
La cabine W est donc pleine. Devant moi, une jeune ingénieur français travaillant à SIN. Au premier rang, à gauche sur la photo, la dame brune aura toutes les peines du monde à faire fonctionner son IFE. Il en fut de même une semaine plus tôt pour l'occupant de la même place. Vive la maintenance AF ! Pour son plus grand bonheur, l'équipage a réussi à le faire fonctionner tant bien que mal.
Nous jouons à cache-cache avec les nuages.
Un PNC traverse promptement notre cabine en direction de la cabine Y, un plateau chargé de verres de champagne.
Le CCP passant par là, je teste la sincérité de son offre antérieure.
Le détroit de Malacca.
Quelques minutes plus tard, voici ce que mon ami et moi recevons avec le sourire.
Le service principal commence. La PNCette s'adresse prioritairement à nous afin que nous ayons le choix. Un refill du champagne de la J est proposé… et accepté.
Le plateau tel que déposé. Dommage qu'il soit sous-dimensionné : la tablette est bien assez grande.
Ce pain emballé étant peu emballant, je demande du rab qui m'est amené de la J. Apparemment, les PNC ne disposent pas de pain supplémentaire pour les pax panivores.
Côté boissons.
Pour l'apéritif. La rencontre, en Bretagne, du piment d'Espelette et du Cantal est-elle conforme à l'idéal de sobriété énergétique.
Par la faute du PIF en porte, nous devons nous contenter de ces ersatz de couverts beaucoup moins environment-friendly que ce que l'on veut bien dire.
Le coq au vin s'avère bon. Les cassolettes sont certainement recyclables (j'en doute quand j'observe comment les PNC ne trient rien lors du débarrassage) mais AF a renoncé à la porcelaine contrairement à de nombreuses compagnies en W.
Le vin de Pays d'OC n'est pas mauvais. Et surtout, il ne provoque pas de brûlures d'estomac.
L'entrée est plus quelconque.
Le dessert est bon.
Pour terminer ce repas, un café et un Armagnac importé de l'avant de l'appareil pour tenter de faire une petite sieste.
Nous survolons l'Océan Indien lorsque ces agapes au goût fort convenable s'achèvent.
Il nous reste encore près de 11h de vol.
Nous sommes à mi-chemin entre Singapour et les côtes indiennes.
J'occupe mon temps avec quelques films, un peu de lecture et quelques sommes.
Les PNC passent distribuer quelques en-cas.
Dans cette première partie de vol, le CBD annonce les turbulences et invite même les PNC à s'attacher… sans que jamais nous ne soyons secoués.
Profitant d'une accalmie, je me rends aux toilettes et bien sûr, je ne suis pas le seul. J'attends donc mon tour lorsque une nouvelle fois retentit la consigne d'aller s'asseoir. Sur ces entrefaites, un PNC jaillit comme un ressort de sa boîte et se met à hurler sur les pax qui n'obtempèrent pas assez vite à son goût. Je lui fais remarquer qu'il peut être ferme dans son action et courtois dans sa forme, ce qui l'excite un peu plus. Je lui indique calmement que je vais en référer au CCP.
Le hasard fait, que, regagnant mon siège, je croise ce dernier. Je tiens parole et lui décris son collègue. Sa réponse : "je vois."
Un peu plus tard, je retourne, enfin avec succès, aux lieux d'aisance, puis me rends au galley du fond de l'avion en quête d'un Perrier. N'en trouvant pas, je m'adresse à mon très cher PNC, particulièrement radouci. L'incident est clos.
Par le hublot, je saisis ces quelques paysages du Pakistan.
Un peu plus tard, nous survolons l'Iran.
Quelques sommets enneigés.
Le vol se poursuit tranquillement dans une certaine torpeur.
Un peu moins de deux heures avant l'arrivée, le second service débute. Il doit être un peu plus de 16h30 en France, un peu plus de 22h30 à Singapour. Assez étonnamment, il s'agit d'une formule petit-déjeuner. Ce que confirme le choix de boissons proposé. On remarque que les couverts sont désormais en plastique.
Cette seconde prestation, identique à celle de la Y, fait de AF la risée de la profession : non seulement c'est inapproprié, mais ce n'est pas bon et cela génère une quantité étonnante de déchets qui ne sont pas triés. Zéro pointé.
Les haricots rouge sont immondes.
Le dessert quelconque. La PNC aura la bonté de me quérir un verre de Bordeaux de la classe avant.
Avec plus de deux heures en perspective au salon, nous pourrons y dîner plus correctement.
Notre arrivée à CDG est désormais proche.
La météo n'est pas engageante.
Atterrissage sans encombre, roulage, nous sommes en vue du 2E.
Nous stationnons en bout de terminal. Le débarquement est assez rapide, la marche jusqu'à la PAF assez longue. Evidemment, nous n'y expérimentons pas la même fluidité qu'à SIN, mais cela reste raisonnable d'autant que nous échappons au PIF. Dernier regard sur notre aéronef.
Le passage au salon nous permet de dîner. Le vol retour vers TLS souffrira un retard de près de 2h. L'embarquement terminé, nous apprenons qu'il faut changer une roue et que cela va prendre 30 minutes. Les travaux effectués, le CBD nous informe que les facéties gréviste du contrôle aérien en cette veille du 1er mai génèrent au moins 40 minutes d'attente supplémentaires. Pendant ce temps, dans une cabine comble et mal aérée, les PNCettes, mode Mamy, maugréent mais n'ont jamais l'idée de proposer un verre d'eau.
A bientôt !
Toujours la déception de jouir d'une cabine en fin de vie, de se voir proposer un soft product très peu qualitatif.
Contrairement au vol aller, l'équipage, à une exception près qui m'empêche me mettre 10, était content d'être là et prenait plaisir à faire plaisir aux pax. Cela change tout.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 78 avis concernant 2 compagnies sur la ligne Singapore (SIN) → Paris (CDG).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Singapore Airlines avec 8,7/10.
La durée moyenne des vols est de 13 heures et 35 minutes.
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16 Commentaires
Avec l'arrivée des énièmes nouvelles cabines, AF devient une compagnie avec beaucoup (trop) de produits J. Mais vous reprendrez bien un peu de NEV4 pour la route ? ;)
Le petit-déjeuner en seconde prestation d'un vol de jour, il fallait le faire. ;)
La journée devait être longue jusqu'à destination !
A bientôt.
Le LC passe assez vite au fond et de nuit je n'aurais de toute façon pas vraiment dormi dans cette coque. Par contre, l'avarie sur le vol de post-acheminement était de trop.
Avec ces antiques cabines, AF se moque clairement du monde, de même qu'avec sa seconde prestation.
A une exception près, l'équipage à sauvé l'essentiel.
A bientôt !
C'est mon seul reproche à SIN. La moquette, elle est redoutable quand tu as une valise à roulettes (surtout les petites roulettes). Tu tires comme un âne pour avancer tel un saumon à contre courant.
j'abonde dans ce sens, un YUL-CDG et un AR CDG-KIX, trois fois l'IFE en rade sur A350, c'est une honte.
J'ai expérimenté le même problème sur CDG-KIX en J ... Complètement aberrant par contre là, la PNC a récupéré un pain : https://flight-report.com/fr/report/61957/air-france-af0292-paris-cdg-osaka-kix/#LEVOL
Sur la Premium Eco, ton petit déjeuner pique vraiment les yeux.
Quel bestiaire !^^
Je vois que l'excellence dans la maintenance ne concerne pas que les cabines antiques. C'est d'autant plus scandaleux.
Le produit est franchement médiocre. Certains PNC font de leur mieux pour le rendre acceptable mais ils ne peuvent donner que ce qu'ils ont. D'autres par contre ne le font pas.
A croire que "l'effet Ben" a disparu.
Pour terminer en apothéose !
A bientôt !
Je n'en attend pas moins de vous.^^
Forcément vu l'auteur !^^
Redevenons sérieux : si les Nev4 et autres antiquités sont soldés : je comprends et puis être intéressé car c'est toujours pus confortable que de la Y ou de la W. Mais au prix fort, c'est scandaleux.
Concernant l'écologie : "Il est des vices à la mode et tout vice à la mode passe pour vertu" (Molière, Dom Juan)
Sinon : les préacheminements par TGV pourraient avoir du sens à condition que les bagages soient pris en charge à l'enregistrement en gare et que des solutions de parking pour les malheureux voyageurs ne résidant pas dans les grandes métropoles (il en reste) soient mises en place. Il faudrait aussi que la SNCF ne soit pas dans une compétition de grèves avec les contrôleurs aériens... Donc ailleurs qu'en France, cela marchera certainement un jour.
J'eus pu écrire cela il y a quelques mois mais mes dernières expériences AF montrent plutôt le retour en force des "Monique" et de leurs aler ego masculins.
A bientôt et bonnes et saines lectures ! ;=))
Il n'y a pas que des passagers de Nouvelle Calédonie qui empruntent ce vol et face aux bulldozers du golfe et l'excellence des compagnies asiatiques comme justement Singapore Airlines, c'est un peu impudent, si ce n'est, une honte, de proposer une telle antiquité sur une route si concurrentielle.
La logique m'échappe.
"Les pigeons n'ont pas dû être nombreux, pas plus que les GP car la cabine ne fait pas le plein. "=> ça alors, même les GP n'en veulent pas. Ca veut tout dire
"N'en trouvant pas, je m'adresse à mon très cher PNC, particulièrement radouci. L'incident est clos. "=> il existe et il existera toujours des brebis galeuses. Mais il suffit juste d'un simple bâton du berger pour que les bêtes se remettent dans le droit chemin.
Je suis curieux de savoir ce que pensent les Néo-Calédoniens de l'escale à Singapour, surtout les pax Business. Car il me semble que le NEV a disparu sur Tokyo Narita.
Merci Franck
Je ne peux qu'approuver ton 1er paragraphe.
Pour info, il existe deux sortes de pax en provenance de NOU : ceux qui ont voyagé le samedi sur un code share avec Qantas : ils arrivent à SIN à 21h et doivent y passer la nuit. (J'en ai rencontré quelques uns.) Il y a aussi ceux qui partent à 1h du matin de NOU avec Air Calin et qui arrivent à SIN à 7h du matin.
Après une embellie suivant l'arrivée de Ben et une câlinothérapie au bénéfice des pax à statut dans les mois Covid, il semble que les forts taux de remplissage et la hausse des prix aient donné à pas mal de PNC le sentiment de revenir à l'époque Air Inter...
A bientôt !
Tomber à l’aller comme au retour sur les NEV4, c’est vraiment pas de chance…
J’étais censé voler dessus il y a quelques jours et un changement de dernière minute en nouvelle cabine a eu lieu par hasard …
A bord, pas grand de chose de premium visiblement…
Repas servis dans des barquettes en plastique, couverts en bois…
Ça en fait des déchets ! La portion du repas principal semble également petite.
Servir un sac bon appétit en W sur un vol de tel longueur est vraiment incompréhensible… no-comment !
AF est vraiment capable de mieux …
Heureusement qu’il ne reste plus que 2 B777 encore avec la config NEV4 actuellement…mais quand je vois qu’ils vont régulièrement à PVG ou même NRT, je me demande à quoi joue AF.
A bientôt !
Il doit effectivement y avoir le karma qui fait des siennes.
Ben Smith aurait-il perdu la main?
A bientôt !
Seules les attentions statutaires du chef de cabine et de la PNC en charge de la rangée ajoutent une note premium. Ces éléments-là n'étant pas contractuels, on peut en conclure que la classe Premium éco d'AF est un mensonge sémantique.
Quant à la production dé déchets sous prétexte vert... no comment.
Le sac oxymore Bon Appétit permet aux PNC d'expédier le second service en un tournemain. Conquête syndicale?
Eh bien à la lecture de ton FR, je ne te cache pas être un peu refroidi. Certes on sait que la Premium Eco a toujours du mal à se positionner, et qu'on est plus près d'une Y que d'une J. Mais tout de même...
Heureusement qu'il y a quelques bonus issus de la classe avant (même si le verre de champagne en verre devrait être la règle).
Je pense que le vol de jour aide à faire passer le confort de la W, mais quelle honte tout de même d'aligner un vieux COI sur une destination "premium" (c'est le cas de le dire !) comme SIN. J'apprends par Bernard que ces vols sont surtout destinés aux pax de et vers NOU, mais sans doute pas que.
La seconde prestation fait vraiment chiche, surtout quand on voit ce que propose LX par exemple.
A bientôt !
Raisons possibles pour choisir cette W : avoir un statut à renouveler et être en quête de XP ; avoir un statut et bénéficier du bagage supplémentaire, des accès salon. Dans tout autre cas, il y a mieux ailleurs.
Comme dit plus haut, les seuls éléments "premium" du vol ne sont pas contractuels mais liés au bon vouloir des PNC.
Le produit en lui-même est franchement médiocre. Je me demande quelle est la différence de catering avec la Y.
Le vol de jour aide à faire passer la pilule mais la seconde prestation n'en est que plus inadaptée.
Si on additionne : la cabine mise en service, la nature intrinsèque du produit et l'équipage de l'aller, AF scie la branche...
A bientôt !
1'599€ pour passer en NEV4 depuis la W en plus, quelqu'un au yield doit s'être touché sévère pour imaginer que ça allait être vendeur.
A bord, l'interaction avec le PNC est d'un niveau, tu as bien fait d'en référer au CCP, couché panier frère de Monique.
Quant à la prestation W, si on enlève toutes les attentions qui arrivent de la J, c'est pitoyable, l'entrée et le dessert sont soit disant améliorés par rapport à l'Y. Je me demande bien ce qu'ils ont pu avoir derrière alors. Le plat principal et ses couverts en bambou, sans commentaires.
Et que dire de la seconde prestation, effectivement la risée de toutes les premium éco au monde, qui en plus devient un pdj sur un vol entièrement de jour.
Enfin bref, du Air France comme seule Air France sait le faire avec un excellent management de la cabine, des attentions pour les clients Platinum et tout le reste juste bon pour être mis à la poubelle.
A bientôt !
Je serai curieux de voir qui est cette personne et dans quel état elle est.^^
C'est la question que je me pose également. Il me souvient à mes heures malgaches, d'une entrée similaires à celle de la J (à la présentation près) et de quelques efforts de service. Il semble que ce soit devenu "l'entrée de la Y sans efforts de service " !!!
Triste que les seuls éléments premium ne soient absolument pas contractuels.
Par la faute du PIF en porte, nous n'avons pu importer des couverts du salon comme à l'aller.
Ceci dit, le repas était objectivement meilleur.
Sur ce vol retour c'est le cas, mais ce ne le fut pas à l'aller.
A bientôt l'ami !
Avoir plus de pain est possible, une corbeille W/Y est chargée à cet effet, peut-être le pnc qui vous a servi ne le savait pas, et tant mieux puisque vous avez eu du pain J.
Concernant la cabine hors d'âge, encore un peu de patience et elle aura définitivement rejoint le paradis des cabines oubliables.
Les PNC du vol aller comme du vol retour ignoraient l’existence de cette panière.
Le problème n’est pas tant la cabine hors d’âge que les tarifs pratiqués. La compagnie devrait mettre en adéquation son produit et ses tarifs.
Ce sac servi en guise de 2nde prestation est un pur scandale quel que soit son contenu. Indigne d’AF
Le plat chaud du 1er service était très correct.
À bientôt !
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