Nous ne sommes pas les seuls à arriver à CDG-2 en RER
L'emblématique FIDS de CDG-2
… qui m'indique que le vol est au départ du terminal 2G (je le savais bien sûr déjà)
Les bus navettes sont clairement indiqués, le 2G n'étant pas accessible à pied depuis les autres terminaux (en revanche, il est tout près d'un parking longue durée : c'est une option à ne pas négliger quand on ne va pas être absent longtemps).
L'attente n'aura pas été longue : environ cinq minutes
Trajet en bus
Arrivée devant l'entrée du terminal 2G
Skypriority ou pas, tous les comptoirs d'enregistrement sont vides. Nous avions déjà nos BP grâce à l'enregistrement en ligne, et pas besoin d'enregistrer un bagage en soute; je suppose que c'est possible de manière automatisée ?
Airside, après un PIF où l'attente est négligeable.
Accès au salon, et aussi à une pièce fumeurs, à l'extrémité du terminal
La salon du terminal 2G
Photo générale du salon que j'ai hésité à poster, tant elle est floue (prendre une photo au vol tout en marchant n'était pas une bonne idée).
Un aperçu du buffet :
Softs et bières au frais
Alcools
Distributeur de glace, que j'ai trouvée décevante
Bref, voici mon choix
Et celui de Mme
Un peu de spotting depuis les baies vitrées du salon A321neo Middle East Airlines
A380 Qatar Airways
A319 Air France, à ma connaissance le plus gros module exploité à ce terminal (Edit : BESMRS me signale que des embarquements en bus d'A320 y ont lieu)
Embraer 170 Hop!
777-300ER Air France, en livrée Skyteam avec un nez blanc
Direction la sortie du salon
Dans la salle d'attente qui a surtout une allure de hangar, une tentative d'œuvre d'art
Faut-il interpréter ces poubelles déguisées en trolley comme une allégorie du catering pour les vols au départ de ce terminal ?
Long corridor qui masque les avions aux PAX n'ayant pas accès au salon AF
Voiture pour les PAX ayant accès à plus que le salon AF
Embarquement
Corridor éclairé de couleurs différentes par des vitres teintées
Embarquement à pied sur le tarmac
L'escalier au pied de l'avion
Fuselage shot d'en bas
Instant porte, de rigueur pour un vol vers EAP
Fuselage shot d'en haut
La cabine d'un E-190 AF
L'avion va être bien plein, sinon complet
La largeur entre accoudoirs est de 47 cm, ce qui est supérieur à celui des A32x
Le pitch est lui aussi très confortable, avec 31 cm de l'assise à l'aumônière
C'est beaucoup plus généreux que dans les A32x d'AF (comptez entre 23 et 27 cm) : rien ne justifie pour nous de payer 35 € de plus, ou de griller 7 000 miles.
Fiche de sécurité recto-verso
Un peu de géographie francilienne
Décollage : la zone de fret au sud-ouest du périmètre de CDG
Le circuit moto Carole, facile à identifier par sa forme en cœur
Le parc du Sausset, le long de la N104
Zoom sur le triple château d'eau
L'échangeur entre l'A104 et l'A1 (au premier plan) et la bifurcation A3 (vers le fond) et A1 (vers la droite)… et l'un des champs les plus proches de Paris vers le nord-est.
L'aéroport du Bourget (LBG)
L'Ile aux Cygnes et la Tour Eiffel
Au premier plan, la boucle de la Seine à Gennevilliers
Passant de gauche à droite, l'A86 juste derrière le Stade de France, et le boulevard périphérique, à peu près au milieu de la photo. Dans le sens perpendiculaire, l'autoroute A1 et le faisceau de voies aboutissant à la Gare du Nord (dans le coin supérieur gauche, les voies aboutissant à la Gare de l'Est).
L'autoroute A1 tourne autour du Stade de France, puis rejoint Paris en ligne droite. Il n'y a pas d'échangeur avec l'A86 qui la croise à angle droit et passe derrière le Stade de France
L'îel de Puteaux sur la Seine, et le quartier d'affaires de La Défense
Vue générale de Paris
Zoom sur la zone centrale, avec les Invalides dans le quart inférieur droit, et au centre la Tour Montparnasse, dont la plateforme d'observation fournit la plus belle vue de Paris, parce que c'est le point de vue où on ne la voit pas.
Zoom sur la Tour Eiffel
La rive droite de Paris dans le quart supérieur droit de la photo, avec le Bois de Vincennes au fond, et la banlieue nord au premier plan
Gros plan nettement meilleur que précédemment, parce qu'on est plus près, sur le Stade de France, cerné par l'A1, l'A86 et le canal de St Denis.
Le cimetière parisien de Pantin
Doublé d'aéroports, avec LBG au premier plan et CDG à l'arrière-plan
zoom (relatif) sur LBG
Et zoom sur CDG
Zoom sur CDG-1
Vue générale de CDG
Zoom sur le terminal 2-F où nous avons embarqué
Zoom sur CDG-2
On s'éloigne
Instant BESMRS avec le raccordement à Messy entre la LGV Est européenne (de haut en bas) et la LGV Interconnexion Est (de gauche à droite) Et à côté, la décharge de Fresnes-sur-Marne – pardon, il faut parler d'un CET ("Centre d'Enfouissement Technique"), ou d'une ISDI ("Installation de Stockage de Déchets Inertes").
Arrive maintenant le panorama qui aura compté le plus pour moi
Voici Meaux
Et son aérodrome, Meaux-Esbly (LFPE), dont les quatre pistes en herbe sont habituellement particulièrement difficile à distinguer. Cette fois-ci, elles apparaissent avec un contraste naturel étonnant : peut-être une question de saison ? A moins qu'ils n'aient repeint récemment leurs marquages ?
Un dernier coup d'œil à Meaux et à son aérodrome si souvent furtif
Suite du vol
La collation : une madeleine et un café, avec un verre d'eau en option
Devant le rideau…
… il n'y avait que deux rangs, soit au plus huit PAX
Justement, le PNC ouvre le rideau
Descente sur EAP
Passage sous la couche de nuages
L'aérodrome de Bremgarten (EDTG), de l'autre côté du Rhin
Du mauvais temps en vue également
L'usine Stellantis (ex-PSA, ex-Peugeot) de Mulhouse, contournée par l'A36 qui relie Mulhouse à l'Allemagne
La ligne courbe au centre de la photo est le canal latéral et le Rhin, frontière entre la France au premier plan et l'Allemagne à l'arrière-plan
En finale pour la piste 15
L'échangeur de Barthenheim sur l'A35
Posé à 18h moins quelques secondes
Vue générale du terminal
Arrivée à EAP
Arrivée à la porte
Débarquement
737-800 Turkish Airlines au contact
Arrivée en salle de livraison des bagages
D'où viennent les bagages attendus ici ?
Sortie vers le parking
… vers la navette pour notre hôtel à Saint-Louis
Merci de m'avoir lu !
Bonus : le camp de concentration du Struthof
Ce site historique était l'un des buts de ce petit voyage. Autant prévenir mes lecteurs : je n'ai pas cherché à édulcorer mes textes et mes photos, car l'Histoire n'est pas toujours belle à voir.
Bonus : Cliquez pour afficher masquer
Seul camp de concentration nazi installé sur le territoire français, le camp de Natzweiler – Struthof a été éclipsé dans la mémoire populaire mondiale par les camps plus anciens, plus grands, ayant fait plus de victimes, tels Treblinka, Dachau, Auschwitz-Birkenau et tant d'autres.
Comme ailleurs, les bâtiments du camp, construits de manière légère n'ont pas résisté longtemps après la fin de la guerre, mais très exceptionnellement, ce camp a été découvert intact par les Alliés le 25 novembre 1944 : les Allemands l'avaient évacué pour se replier initialement vers la vingtaine de camps secondaires situés outre-Rhin, puis vers le camp de Dachau, situé dans la banlieue de Munich.
Par beau temps, l'endroit peut sembler idyllique, mais qu'on ne s'y trompe pas : à près de 800 mètres d'altitude, le froid y est sévère en hiver
Pire, et contrairement aux autres camps de concentration, le camp du Struthof était installé sur le flanc d'une montagne. Hiver comme été, monter et descendre ces escaliers particulièrement raides était épuisant pour les prisonnier sous-alimentés, au point qu'ils devaient prendre leur élan pour gravir chaque marche.
La dénivelée du camp était de 40 mètres, mais il fallait monter encore plus haut pour travailler à la seule force humaine dans la carrière de granit rose qui était la raison d'être de ce camp à cet endroit-là.
Cerné d'une double clôture électrifiée,
…surveillé par des miradors équipés de puissants projecteurs, le camp était une prison étanche.
De toute l'histoire du Struthof, seule une tentative d'évasion fut réussie, par quatre prisonniers de nationalités disparates (dont un Alsacien connaissant très bien la région) qui avaient réussi à voler des uniformes et un véhicule des SS, ainsi que des vêtements civils.
Le seul qui fut repris fut un Allemand : le Struthof a notamment accueilli des opposants et des "asociaux" allemands. Après avoir été torturé, il subit le sort des nombreux condamnés à mort du Struthof, d'abord enfermé pendant trois jours sans eau ni nourriture dans l'un des cachots de la prison du camp. Prévue pour un dispositif de chauffage qui ne fut jamais installé, ces réduits ne faisaient que 1,30 m de haut : il était impossible ni d'y être debout, ni de s'allonger.
Les condamnés étaient ensuite pendus devant tous les prisonniers assemblés au garde à vous.
C'était là aussi qu'était effectué deux, voire trois fois par jour, pendant des heures interminables, l'appel des prisonniers. Tous devaient être présents, même ceux qui venaient de mourir d'épuisement et de maladie, et dont les prisonniers devaient apporter les cadavres. Ces derniers étaient ensuite descendus ici :
La haute cheminée était celle de ce four crématoire, qui préfigura ceux, de bien plus grande ampleur, installés dans les camps de concentration et d'extermination construits plus à l'est.
Les nazis poussaient le cynisme jusqu'à facturer 100 reichsmarks les urnes funéraires renvoyées à la famille, sans garantie que les cendres soient celles du défunt.
Le Struthof fut aussi utilisé pour fusiller des résistants, des opposants et des prisonniers de guerre provenant de l'ensemble des zones occupées par les nazis. Ne figurant pas dans les registres du camp, le comptage et l'identification exhaustive des victimes est impossible. Dimensionné pour 3 000 prisonniers, le camp fut rapidement exploité au double de sa capacité, ajoutant le surpeuplement aux épreuves subies quotidiennement.
Cette auberge en contrebas du camp existait bien avant l'établissement du camp, et c'est pour cela que ce bâtiment en dur est d'origine. Les nazis ont été particulièrement discrets quand ils ont transformé cet établissement : seul un incongru tuyau de poêle sur la façade trahit l'installation d'une chambre à gaz , tant pour faire des essais de traitements contre les gaz de combat que pour liquider des prisonniers.
Les nazis firent en effet au Struthof des expérimentations médicales, toutes aussi cruelles les unes que les autres. Leurs victimes étaient ensuite autopsiées sur cette table de marbre découverte intacte par les Américains en 1944, dont les rainures servaient à drainer le sang.
Cette chambre à gaz fut aussi utilisée pour constituer des collections anatomiques de Juifs dont les corps ne seraient pas abîmés par l'exécution, et qui furent convoyés vers le Struthof en 1943 dans ce seul but.
Le nom du Struthof n'est pas de ceux que l'on cite spontanément pour évoquer les camps de la mort nazis, mais il n'en est pas moins exemplaire.
Souvenez-vous de m'avoir lu !
Afficher la suite
Verdict
Air France Hop
8.3/10
Cabine9.0
Equipage8.0
Divertissements9.0
Restauration7.0
Air France Lounge - 2G
8.3/10
Confort9.0
Restauration8.0
Divertissements8.0
Services8.0
Paris - CDG
8.0/10
Fluidité8.0
Accès6.0
Services8.0
Propreté10.0
Mulhouse / Bâle - EAP
8.5/10
Fluidité9.0
Accès7.0
Services8.0
Propreté10.0
Conclusion
Par son diagramme 2+2 et par le dimensionnement plutôt généreux des sièges, le confort de l'E190 est supérieur à celui de la famille A32x Quel meilleur divertissement que l'IFE extérieur ? A défaut, il y a l'offre de journaux et magazines en ligne à télécharger gratuitement avant le vol La restauration est assez minimaliste, mais elle a le mérite d'exister
L'unique avantage du terminal 2G est sa proximité d'un parking à tarif réduit, pour qui en a l'usage, et aussi des temps de passage réduits au PIF. En revanche, sa desserte par bus est un handicap non négligeable
EAP a les atouts d'un aéroport de taille moyenne : on en sort rapidement. Il est très près de la zone urbaine de St Louis et Bâle, mais sa desserte en transport en commun se limite à des bus.
Le salon du terminal 2G était nettement supérieur aux anciens salons du terminal 2F, mais le nouveau salon au 2F est un "game changer". Le salon du 2G ne démérite cependant pas, tant pour la restauration, la place disponible et la vue sur le tarmac
7 LIKESLIKER POUR REMERCIER L’AUTEURMERCI ! FLIGHT-REPORT LIKÉ
Merci François pour le partage qui rappelle des souvenirs
2G il est tout près d'un parking longue durée
Effectivement et j'ai eu plusieurs fois l'occasion de me garer au PW qui est bien moins cher et vraiment à 2 pas du 2G.
L'attente n'aura pas été longue : environ cinq minutes
Et le trajet non plus n'est finalement pas si long que ça Autant je trouve les salles d'embarquement affreuses, autant je trouve la salle d'attente plutôt agréable. Quant au salon, il est identique à ceux des autres terminaux : à savoir très agréables et bien garni ! (je n'ai pas goûté les glaces !)
777-300ER Air France, en livrée Skyteam avec un nez blanc
C'est celui qui m'avait amené à RUN l'année dernière !
… il n'y avait que deux rangs (J), soit au plus quatre PAX
Non, soit au plus 8 pax car le siège n'est pas neutralisé sur ces appareils. Un bonus que j'ai eu l'occasion de revisiter la semaine dernière avec 2 de mes enfants. A bientôt !
L'attente n'aura pas été longue : environ cinq minutes ; Et le trajet non plus n'est finalement pas si long que ça
En revanche, j'ai trouvé le BIDS (Bus Information Display System ^^) plutôt confus et imprécis. Au final, le bus est arrivé plus tôt que je ne l'attendais
C'est celui qui m'avait amené à RUN l'année dernière !
Un an de plus, mais la tête n'a pas plus blanchi ! ^^
Non, soit au plus 8 pax car le siège n'est pas neutralisé sur ces appareils.
Bon sang, mais c'est bien sûr ! J'ai corrigé.
Un bonus que j'ai eu l'occasion de revisiter la semaine dernière avec 2 de mes enfants.
Je n'en avais aucun souvenir autre que de l'avoir visité avec mes propres parents à l'âge de tes enfants.
Merci pour le partage de ce vol qui rappelle de bons souvenirs mais surtout, ce devoir de mémoire.
Certes la visite a été éprouvante mais il fallait y aller, et savoir que l'horreur des camps était présente aussi en France donne encore plus la nausée.
Sinon à bord, bien c'est du AF typique, rien de bien, rien de mauvais, ça fait le job ^^
Certes la visite a été éprouvante mais il fallait y aller, et savoir que l'horreur des camps était présente aussi en France donne encore plus la nausée.
Mes grand-parents pouvaient légitimement dire "Nous ne savions pas" [ce qui se passait à l'époque loin de chez eux]. Nous ne pourrons pas le dire à nos propres petits-enfants, car aujourd'hui, l'information circule malgré tous les efforts pour l'étouffer.
Sinon à bord, bien c'est du AF typique, rien de bien, rien de mauvais, ça fait le job ^^
Il s'agit de vendre du transport, et non du rêve comme autrefois
Merci François pour ce FR. Une ligne que je connais très bien pour la fréquenter assidûment. ne surtout pas payer pour un surclassement, la boîte de gâteaux ne le justifie pas. vers la navette pour notre hôtel à Mulhouse => ce n'était pas saint-Louis ? (il n'y a pas de navette pour des hôtels à Mulhouse). Bonus que je connais fort bien , et depuis fort longtemps (je devais être adolescente à ma première visite)... A bientôt
Une ligne que je connais très bien pour la fréquenter assidûment.
Le train n'est pas une option à négliger, mais il aurait compliqué notre logistique sur place
ne surtout pas payer pour un surclassement, la boîte de gâteaux ne le justifie pas.
Il est très rare qu'on en ait pour son argent avec un surclassement, IMHO
vers la navette pour notre hôtel à Mulhouse => ce n'était pas saint-Louis ? (il n'y a pas de navette pour des hôtels à Mulhouse).
C'est l'aéroport de Mulhouse, mais il est à Saint-Louis, et aussi à Hésingue et Blotzheim, merci Valérie et Wikipédia^^ J'ai corrigé !
Bonus que je connais fort bien , et depuis fort longtemps (je devais être adolescente à ma première visite)...
Nous avons eu le même parcours d'ouverture à l'Histoire à notre adolescence, mais éloignement géographique oblige, il ne me restait plus beaucoup de souvenirs de ce site dont la muséographie a par ailleurs été considérablement améliorée depuis.
Bonjour, il semble que vous utilisez un bloqueur de publicité.
Flight-Report est un site gratuit qui heberge quelques 500 000 photos et 14000 avis. Sans publicité, ce site ne pourrait pas exister. Nous comprennons que la publicité puisse vous gener, c'est pourquoi nous affichons seulement 2 annonces par page, sans effet invasif.
Pour pouvoir consulter Flight-Report, nous vous invitons à ajouter Flight-Report dans la liste blanche de votre bloqueur.
10 Commentaires
Que j’ai eu le malheur de lire à l’heure du dîner et dont le bonus (ou le malus ?) m’a coupé l’appétit !
A bientôt.
Ce n'est pas faute d'avoir mis en garde mes lecteurs !
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Des 320 partent du 2G mais avec paxbus. Pendant le Covid, certains 320 y était stationnés mais l’embarquement se faisait depuis le 2F.
Quoi vous êtes parti du 2F ou du 2G, la légende a fourché !!!!
Merci pour l’instant pour mon ego à moi-même ! ?
Pour le bonus, il ne faut jamais oublier ce que l’homme est capable de faire de plus grand ou de plus abject !
Merci pour la précision, j'ai corrigé mon propos.
Ma formulation était ambigüe; j'ai repris ma conclusion
Et c'est hélas vrai aujourd'hui encore
Merci pour le commentaire !
Effectivement et j'ai eu plusieurs fois l'occasion de me garer au PW qui est bien moins cher et vraiment à 2 pas du 2G.
Et le trajet non plus n'est finalement pas si long que ça
Autant je trouve les salles d'embarquement affreuses, autant je trouve la salle d'attente plutôt agréable. Quant au salon, il est identique à ceux des autres terminaux : à savoir très agréables et bien garni ! (je n'ai pas goûté les glaces !)
C'est celui qui m'avait amené à RUN l'année dernière !
Non, soit au plus 8 pax car le siège n'est pas neutralisé sur ces appareils.
Un bonus que j'ai eu l'occasion de revisiter la semaine dernière avec 2 de mes enfants.
A bientôt !
En revanche, j'ai trouvé le BIDS (Bus Information Display System ^^) plutôt confus et imprécis. Au final, le bus est arrivé plus tôt que je ne l'attendais
Un an de plus, mais la tête n'a pas plus blanchi ! ^^
Bon sang, mais c'est bien sûr ! J'ai corrigé.
Je n'en avais aucun souvenir autre que de l'avoir visité avec mes propres parents à l'âge de tes enfants.
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Certes la visite a été éprouvante mais il fallait y aller, et savoir que l'horreur des camps était présente aussi en France donne encore plus la nausée.
Sinon à bord, bien c'est du AF typique, rien de bien, rien de mauvais, ça fait le job ^^
A bientôt !
Mes grand-parents pouvaient légitimement dire "Nous ne savions pas" [ce qui se passait à l'époque loin de chez eux]. Nous ne pourrons pas le dire à nos propres petits-enfants, car aujourd'hui, l'information circule malgré tous les efforts pour l'étouffer.
Il s'agit de vendre du transport, et non du rêve comme autrefois
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Une ligne que je connais très bien pour la fréquenter assidûment.
ne surtout pas payer pour un surclassement, la boîte de gâteaux ne le justifie pas.
vers la navette pour notre hôtel à Mulhouse => ce n'était pas saint-Louis ? (il n'y a pas de navette pour des hôtels à Mulhouse).
Bonus que je connais fort bien , et depuis fort longtemps (je devais être adolescente à ma première visite)...
A bientôt
Le train n'est pas une option à négliger, mais il aurait compliqué notre logistique sur place
Il est très rare qu'on en ait pour son argent avec un surclassement, IMHO
C'est l'aéroport de Mulhouse, mais il est à Saint-Louis, et aussi à Hésingue et Blotzheim, merci Valérie et Wikipédia^^ J'ai corrigé !
Nous avons eu le même parcours d'ouverture à l'Histoire à notre adolescence, mais éloignement géographique oblige, il ne me restait plus beaucoup de souvenirs de ce site dont la muséographie a par ailleurs été considérablement améliorée depuis.
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Connectez-vous pour poster un commentaire.