Review of ANA flight from Düsseldorf to Tokyo in Economy

Bonjour/Bonsoir à toutes et à tous,
la limite de 6 mois de sauvegarde des brouillons approchant, il faut que je le publie avant qu'il ne disparaisse^^ Les fameuses dernières corrections que l'on repousse…
Me revoici donc pour le dernier segment de ce séjour de septembre avec ce vol Düsseldorf – Narita opéré par ANA en B788.
Un petit rappel de l’itinéraire pas mal chamboulé par ces chers pilotes AF.

1. Haneda HND (Tokyo) – Kansai KIX (Osaka), Japan Airlines JL173 en B738, classe économique
2. Kansai KIX – Amsterdam-Schiphol AMS, KLM KL868 en B77W, classe économique
3. Amsterdam-Schiphol AMS – Paris Charles de Gaulle CDG, KLM KL1243 en B739, classe économique
4. Paris CDG – Genève Cointrin GVA, Air France AF1042 en A320, classe économique
5. Genève Cointrin GVA – Paris CDG, Air France AF1143 en A318, classe économique
[*]Paris Orly ORY – Strasbourg Entzheim SXB, Hop ! AF 7320, maintenu mais non volé
[*]Strasbourg Entzheim SXB – Nice Côte d’Azur NCE, Air France AF7893, annulé
[*]Nice Côte d’Azur NCE – Paris Orly ORY, Air France, AF6217, annulé
[*]Paris Charles de Gaulle CDG – Tokyo Haneda HND, Air France AF272 en B772, annulé

6. Paris Orly – Londres City, CityJet WX32 en Fokker 50, classe économique, opéré par VLM
7. Londres City LCY – Düsseldorf DUS, British Airways Cityflyer BA3275 en Embraer 170, classe économique
8. Düsseldorf DUS – Narita NRT (Tokyo), All Nippon Airways NH942 en B788, classe économique

Sur le chemin de la sortie, LH en livrée Star Alliance et ANA en fond.

C’est quand même beaucoup de vols régionaux… Et puis AF a au moins maintenu un de ses vols au final.

Bon, ce n’est pas tout, il faut que j’aille récupérer ma carte d’embarquement.

Et voici, dans le hall des départs, les comptoirs ANA.

Je me dirige vers les comptoirs afin de la récupérer. Je demande un siège couloir qui me sera attribué. Je ne sais plus comment le sujet est arrivée mais la question des bagages s’est posée et commence à dire qu’il va me falloir régler le supplément pour le second bagage en soute. Je reprends l’argument de l’employée BA de LCY en disant que comme les bagages sont dans le système, c’est à voir directement avec AF. Il hausse les épaules et me remet mes documents de voyage.
Voilà, ça, c’est fait.
J’ai aussi tenté l’accès au salon NH disant qu’il m’avait été proposé à ORY suite aux désagréments. Sur un malentendu, ça peut passer, non ? Bon, ben non en fait. Il me répond avec un petit sourire que c’est n’est pas de la faute de NH ce billet mais AF. Et que je ne suis pas client élite chez eux non plus. Il m’indique tout de même le comptoir AF/KLM.
Après AF qui faisait des noms de ville hybride, voici la version animaux de la savane ! Un girafant ou une éléraphe ?

Terminal avec une belle hauteur sous plafond et de la luminosité en cette fin de journée.

Puis je me rends au comptoir AF. L’agent au comptoir est le chef d’escale. Je lui explique la situation. J’insiste un peu et il contacte la responsable des dragons du salon, qui est un salon tiers. Il me dit qu’il n’a pas bien compris si on m’y laisse rentrer ou pas et qu’il faut donc que j’y aille par moi-même. Je lui demande confirmation qu’il est bien possible de rejoindre les portes internationales depuis la zone du salon et je m’y rends.

Lors du passage de la sécurité, il m’est demandé de suivre les agents à l’écart. Vérifications de la présence de traces de substances interdites ou explosives sur mes affaires. Lors que j’ai l’autorisation de continuer, les 3 agents présents me remercient et me souhaite un bon voyage.
C’est bien, tu n’es toujours pas parti !

J’arrive enfin au salon. Au comptoir de l’entrée, je me présente en disant que j’arrive du comptoir AF et je suis autorisé à entrer. Youhou !
Je m’installe dans de confortables fauteuils.

Un petit peu de trafic par la fenêtre.

Petit tour du salon. Offre de presse de langue allemande.

Et internationale.

L’offre de restauration avec sandwich, croquettes et pains.

Ou des noix et des fruits.

L’offre de boissons pour mineurs.

Et puis Allemagne oblige, l’offre de bières… Il y avait aussi du vin mais il fallait mieux ne pas s’y attarder.

Santé ! Bon, j’ai tout de même préféré trinquer au champagne à Orly…

Une sélection de mes différentes sélections. Sandwich tandoori et croquette de légumes.

C’est pas tout, mais l’heure avance et il est maintenant temps de rejoindre mon destrier.

Bon, avec la bière, un arrêt aux stands s’impose…

Puis cheminement vers ma porte et passage de la PAF avec coup de tampon de rigueur.
Et voici le nez du 788 qui me ramènera au pays du soleil levant.

« Les issues de secours sont situées à l’avant, au milieu et à l’arrière de la cabine. »

Début de vol sans soucis particuliers.
Je ne me souviens plus si des oshibori ont été distribués mais c’est plus que fort probable. Puis service du repas. Pas de menu en papier ni même d’annonce. Les hôtesses disposent d’une fiche cartonnée présentant les deux choix, dont je ne me souviens plus. En même temps, elle m'avait été présentée assez brièvement et durement. Merci ??? (la fameuse Monique…)
Plateau et boissons servis sans sourire ni regard.

Je dirai salade blé-jambon en entrée et plat de poulet sauce tomate avec riz. La mémoire m’échappe car je ne me souviens plus du dessert. Probablement une glace.
La fatigue et le stress accumulé auront eu rapidement raison de moi.
Vue de la cabine en mode nuit et probablement en volant dans la nuit ou au début de l’aube.

Quelques boissons disposées dans les cuisines arrières.

Alors qu’il s’agissait d’un temps mort au cours du vol, j’essaie de discuter avec les PNC, en l’occurrence des hôtesses, comme j’en ai l’habitude sur les longs courriers. J’entame la conversation mais les deux à qui je m’adresse ne sont pas réceptives. En demandant alors une boisson, j’explique que je n’aurais pas dû être sur ce vol. Mais la grève d’AF en a décidé autrement. Je me suis alors fait rétorquer : « Vous auriez dû réserver ANA » sur un ton sec qui m’a décontenancé. J’en suis retourné à ma place estomaqué par la rudesse de cet équipage car il s'agit de ????numéro 2!
Le vol se continue tout de même tranquillement.
Bon, les hublots électrochromiques, c’est pas encore super opaque.

Pour les amateurs du fameux flex des 787.

Puis service du petit déjeuner.

Autant le dîner était bon, autant le déjeuner ne l’était pas. C’était sans aucun goût.
Petit tour aux commodités, sans rapport avec le repas précédent. Les japonais adorent tellement leurs washlets qu’ils en mettent même dans les avions !
Réglage de la direction et de la pression. Pour ces dames, c’est la fonction « bidet ».

Et puis il y a l’accessoire indispensable pour tous les couples qui se disputent sur la position dans laquelle laisser la lunette des toilettes. Le repoussoir automatique !

Vue de l’intégralité de la cabine économique des B788 internationaux d’ANA. En configuration 3*3*3 mais qui reste très confortable. Plus que le 3-4-3 des 777.

L’écran est de taille plus que raisonnable.

L’espace pour les jambes correct.

Le contenu de la pochette.

Avec les menus à l’intérieur en fait.

Et les magazines de bord.

Puis les documents de voyage avec la déclaration de douanes. Mon hôtesse a voulu me refourguer le formulaire d’immigration avec insistance. J’ai dû lui expliquer fermement que j’étais résident pour qu’elle continue à remonter la rangée. Ah, ???…

L’atterrissage est proche.

Bonne qualité pour la géovision.

Qui veut du « flex » ?

C’est l’heure de pointe à Narita pour avoir besoin de tourner un peu en rond ? En tout cas, si on peut pousser jusqu’à Tsukuba, ça m’arange !

Vue des classes économie prémium et affaires.

Aller, c’est la finale.

Roulage puis débarquement à travers la classe affaires.

Otsukare.

Oh un Hello Kitty en fond !

Passage rapide de l’immigration, en tant que résident puis réception des bagages dans un hall qui semble plus neuf que celui de l’autre aile du T1.

L’agent d’AF qui avait procédé à mon enregistrement avait accolé les étiquettes prioritaires à mes 2 bagages. Sauf qu’il s’agit d’étiquettes SkyTeam. L’un de mes sacs avait en plus un étiquette prioritaire Star Alliance. Mais seulement un. Le second est arrivé bien plus tard…
Direction la maison maintenant !

Suite de mes bonus touristiques de l’été dernier dans le Tôhoku. Je vous avais laissé aux portes d’Aomori dans mon HND-ITM déjà sur ANA après vous avoir présenté Yamagata sur un CAN-NRT et Iwate sur OKA-NRT.
La ville d’Aomori est la préfecture de la préfecture du même nom. Vous suivez ? Donc tout tout au nord de Honshû.
La région est connue pour sa production réputée de pommes. Mais la ville d’Aomori est plutôt réputée pour son nebuta-matsuri qui se tient du 2 au 7 août chaque année.
Les nebuta sont des sculptures de papier représentant des guerriers et illuminées qui défilent en centre-ville. Les porteurs qui tractent ces sculptures peuvent aussi leur impulser des mouvements de balancement devant les spectateurs. Entre les sculptures, des groupes locaux défilent en chantant et dansant dans un habit typique du festival.
C’est tout simplement impressionant !
Exposition de jour de nebuta.

Et à la tombée de la nuit, le festival commence à proprement parler.
Là où nous étions placés, chars de groupes de jeunes pour commencer.

Puis des groupes de danseurs.

Suivis des nebuta des adultes !

Et voilà, merci pour la lecture et à bientôt !