Bonjour à tous
Je vais faire un FR sur un vol relativement banal, mais pour lequel j'ai obtenu un upgrade à travers le système TAP nommé Plusgrade. Je me rend à Lisbonne pour une réunion de travail sur 1 jour et demi, donc j'arrive en milieu de journée le mercredi pour rentrer tard le soir le jeudi.
Pour en revenir à Plusgrade: c'est le principe bien connu du "bidding", pour lequel il vous suffit de placer une offre avec le montant que vous êtes prêt à mettre pour être upgradé. Le principe est simple, mais quelque peu déroutant. Il faut entrer dans sa réservation sur le site de TAP, puis entrer son code de réservation et son nom, en somme, comme sur le site de la plupart des compagnies aériennes.
Le principe est ensuite de déplacer un curseur sur une petite échelle. La mise minimale est de 130€. Ce qui est quelque peu déroutant, c'est que sur la droite, on retrouve une échelle de "poids de l'offre", qui nous montre quelle est notre chance d'obtenir l'upgrade avec le montant qu'on a inséré. De manière assez amusante, cette échelle m'indiquait qu'il était très improbable que j'obtienne l'upgrade avec un montant aussi petit. Et pourtant… Sur la capture d'écran ci-dessous, vous pouvez voir à quoi cela ressemble.

Les yeux avisés auront remarqué que ce n'est pas le vol en question! C'est juste, toutefois, j'avais oublié de faire la capture d'écran sur le moment. C'est donc à quoi cela ressemble sur le même vol mais à une autre date. Finalement, concernant le prix de 130€, ce n'est pas donné, mais pour un vol de 2h30, c'est quelque chose que j'étais prêt à mettre. Un peu limite, d'autant plus que j'ai droit au lounge avec mon statut *A Silver, donc c'est juste pour le confort et service à bord et au sol. Ca valait le coup d'essayer. Quoi qu'il en soit, mes offres ont été enregistrées par TAP et maintenant, y'a plus qu'à attendre.

Et quelque jours plus tard, 72 heures avant le décollage, je reçois le mail de confirmation de TAP qui m'indique que mon offre a été acceptée.

Le lendemain, je me rends sur ma réservation pour tenter de réserver un siège. On ne peut pas dire que la classe business est particulièrement pleine. Seuls les sièges 2A et 2C sont pris, alors je me décide pour le 1F, tout seul sur la droite, au premier rang et au hublot.

Curieusement, au moment du check-in, on m'a déplacé au 1C. Allez savoir pourquoi. Comme par magie, les rangées 1 et 2 sur la droite de l'avion ont disparu. Plus de 1F, et pas plus de 1D, 2D et 2F non plus. Je suis curieux de voir ce qu'il en est, une fois à bord. Histoire d'avenir. Sur le plan ci-dessous, on peut voir qu'ils ont été avalés par un vortex et remplacés par une cuisine et des toilettes…

Pour en avoir le coeur net, je vérifie mon vol retour, et là, alors qu'il s'agit d'un A320 également, les rangées sont toujours là. On verra ce qu'il en est lorsque le check-in pour le vol retour sera fait.

Pour finaliser tout cela, je fais mon check-in par mon PC et me décide pour le 1A. Parce que 1A ça sonne tout simplement bien :-) et qu'ainsi, je serai le premier dehors une fois arrivé à Lisbonne. La carte d'embarquement étant maintenant prête sur mon iPhone, je suis prêt pour me rendre à l'aéroport.


Pour me rendre à l'aéroport. comme souvent, je m'y rends en voiture. Mon vol de retour atterrira tard le soit (23h15), donc je n'ai pas envie de prendre le train à cette heure du soir, surtout si mon vol a du retard… J'utilise un service de voiturier, qui me permet de parquer ma voiture dans le parking au niveau arrivée, juste devant l'aérogare, et de laisser ma clé de voiture à l'employé qui se chargera de parquer ma voiture.
Direction Genève Aéroport, on passe sous le Palexpo qui a accueilli jusqu'à dimanche le Salon de l'Auto (ou Geneva Motor Show), qui m'a causé tant de désagréments ces derniers jours, puisque les routes sont surchargées pendant ces jours. Pas de doute, on est bien à l'aéroport, à en juger par cet EasyJet qui décolle.

Je me parque donc au parking courte durée au niveau arrivées, et suis accueilli par cette dame qui pique un somme devant moi sur la barrière.


Je monte d'un étage pour y poser mes clés de voiture et me voilà devant le terminal. Il y a pas mal de voitures dans le parking, et pas mal de monde aux arrivées. Au départ, c'est correct.

Arrivée dans la zone d'enregistrement que je traverse sans m'arrêter, mon BP étant sur mon téléphone portable. Bon, ce n'est pas la grande foule, donc j'aurai pu aller au guichet, mais j'ai soif et je vais aller au lounge.


Direct a la sécurité, c'est par là pour moi. Une personne devant moi, donc 2 minutes, avec un accueil cordial (ce qui vaut la peine d'être souligné).


Et me voilà Airside en moins de temps qu'il faut pour le dire. Arrivée dans le couloir "shopping", avec les guichets habituels de sécurité sur la droite.

Arrivée dans le hall princpal, petit coup d'oeil sur le FDIS pour apprendre que mon vol partira de la parte A5, parfait, 5 minutes depuis le lounge.

Je pars sur la droite et monte direct à l'étage Mezzanine, pour me rendre au salon Swiss Business. La bas, tout au fond du couloir.

Accueil très cordial par la dragonne, puis je me rend sur la gauche, près du buffet. Il y a peu de monde en cette fin de matinée, et c'est du coup agréable.

Offre de presse en français et anglais principalement.

Petit coup d'oeil sur la partie de gauche, qui est très spacieuse et quasi vide également.

Juste le temps de me prendre un petit apéro coca-crackers avant de partir rejoindre ma porte d'embarquement. J'aurai finalement passé assez peu de temps au lounge (30 minutes max.)

C'est parti pour la porte A5, qui se trouve donc à peine à 5 minutes de marche en traînant les savates. Je pars à la dernière minute, pour arriver pile à l'heure de l'embarquement au gate.

Habitué des vols vers le Portugal, je ne suis que relativement peu surpris de voir que tout le monde fait déjà la queue, pressé d'embarquer. Que ce soit vers Porto ou Lisbonne, les gens sont souvent très stressés et se mettent à faire la file. De manière assez anecdotique, au retour, j'ai témoigné d'un passager assis en Business qui traitant la pauvre agente du gate de tous les noms d'oiseaux parce qu'il était l'heure d'embarquer et que rien ne se passait. Ça aurait pu être comique, mais là c'était carrément hilarant, puisque l'avion n'était même pas encore arrivé au Gate. La pauvre agente a eu du mal à lui faire comprendre qu'il était dur pour elle de le faire embarquer dans un avion fantôme.

Annonce de l'embarquement avec 5 minutes de retard. Je comprend enfin pourquoi mon siège 1F avait disparu puis réapparu. En fait, il y a eu un changement d'avion et on est passé maintenant à un A319. Le destrier du jour et le CS-TTR, un A319 de 16 ans d'âge (mai 2002), rétrofitté avec la nouvelle cabine.

Embarquement avec le respect des priorités, nous sommes mis en "attente" à l'entrée du Jetway pendant que l'équipe de nettoyage quitte l'avion. Puis nous embarquons.


L'accueil à bord est cordial, sans plus. Pas de salutations particulières aux passagers Business comme c'est le cas dans d'autres FR que j'ai pu lire. Juste un bonjour à la porte, comme pour tous les passagers qui embarquent.
L'avantage du 1A, c'est qu'il est pas mal près de la porte d'entrée de l'avion! Son inconvénient, c'est que souvent, les compartiments à bagages sont réservés à l'équipage, ce qui oblige à poser ses affaires en rangée 2 ou 3. Peu pratique puisqu'il faut poser sa valise là haut, puis revenir en arrière pour prendre son siège en plein embarquement. Mais bon, y'a pire comme problème dans la vie. Premier coup d'oeil à la cabine, c'est frais, élégant et fonctionnel. Et le pitch de cette rangée de tête es plus qu'agréable.

Un point qui est vraiment à relever est la présence de prises électriques et USB entre les sièges. Moi qui comptait travailler un peu puis regarder un film, cela me sied parfaitement. Je peux même recharger mon iPhone en parallèle, ce qui est pratique. Je n'avais jamais vu cela sur des appareils court/moyen courrier: un bon point pour TAP!

La vue pendant l'embarquement est évidemment quelque peu limitée pour le moment.

Fermeture des portes à l'heure, même quelque peu en avance. Aucun passager ne manquait à l'appel, personne n'a été happé par un bar ou duty-free sur son chemin vers la porte, ce qui est une bonne nouvelle. On retire la passerelle.

Pendant ce temps, on regarde les sièges: la têtière est réglable en hauteur et le recline est correct. Le siège en lui-même est assez confortable, mais je pense qu'après 3 heures ou plus, il doit sembler un peu dur.

On peut voir que le pitch est plus que correct, mais comme vous le verrez plus tard, il ne sera pas suffisant pour cette dame canadienne, assise dans "mon" 1F.

Pendant ce temps, l'Alitalia pour Rome à côté fait son push-back

Puis c'est à notre tour de faire le push-back, avec 3 ou 4 minutes d'avance.

A côté de nous se prépare un vol vers Madrid, que je prendrai le mois prochain pour poursuivre à destination de Miami.

Bienvenue au pays d'EasyJet.

Je découvre Up!, le magazine de bord de la TAP, avec un article sur le nouveau CEO de la marque, dont le nom m'échappe, qui parle de la transformation de TAP avec ses nouvelles destinations et sa nouvelle flotte/cabine.

Paradoxalement, Genève est aussi bien le paradis d'EasyJet que le paradis du Jet Privé. En roulant vers la piste 05, c'est une véritable collection de Gulfstream, Challenger et autres BBJ que je ne volerai probablement jamais.

Roulage, un peu de patience pour un Lufthansa CRJ900 qui atterrit, puis c'est à notre tour. Décollage à 12h25, on devrait donc arriver à 13h40 à Lisbonne, puisque le temps de vol annoncé est de 2 heures et 15 minutes.




Magnifique sur la côte du lac Léman avec Versoix et Coppet, pour les gens de la région. Virage a gauche de 180° entre Coppet et Nyon


On aperçoit les montagnes et la ville de Genève entre les bancs de nuages.



La cabine est bien vide en Business, avec 4 passagers, assis en 1F, 2A et 2C (plus moi). Je vais donc pouvoir faire usage de toute ma rangée, ce qui n'est pas désagréable! Je sors mon ordinateur, branche la prise et me met au boulot avant de manger.


Tiens en parlant de manger, les PNC m'adressent enfin la parole, et ils sont très courtois. Cela rattrape presque le manque d'attention au sol. Ils me donnent une lingette rafraîchissante ainsi que le menu pour le dîner.


Je demande un vin mousseux pour l'apéro, ce qui a l'air de perturber quelque peu le PNC qui s'occupe de la business. Je dois répéter, puis il reviendra une minute après pour confirmer. C'est pourtant sur le menu, une des 3 suggestions, en grand, juste au dessus du vin blanc et rouge.
Allez, santé quand même! Le tout accompagné de petits "palitos", des grissinis plus courts mais plus épais. Le vin mousseux est sympa, sans casser des briques.



Bon, c'est pas tout ça mais j'ai beaucoup de travail qui m'attend à Lisbonne, alors autant profiter du vol pour regarder un petit film. La tablette devant moi sort de l'accoudoir, mais se laisse glisser très loin en avant, ce qui est très agréable pour regarder un film sans se faire un torticolis.

En classe éco, on sert un sandwich. J'ai eu une fois la mauvaise expérience, en 2015, que le sandwich servi est au thon, et seulement au thon. Vous l'aurez compris, c'est ps trop mon truc. L'équipage n'avait pas d'autres choix à proposer. Un autre fois, en 2016, c'était pareil, mais fort heureusement, il restait de la dinde du vol Lisbonne-Genève. Maintenant en Business, au niveau des choix, pour le plat principal, il y a soit du poisson (filet de bar), ou des pâtes capellaci au gorgonzola. Je trouve que ce n'est pas forcément un choix très malin, entre ceux qui n'aiment pas le poisson, et ceux qui n'aiment pas le gorgonzola. Pour ma part, ce n'est pas que j'aime pas le poisson, mais suis un gros mangeur de pâtes. Mais par contre, les fromages bleus (ou verts..) je ne peux vraiment pas. Je me rabats donc un peu déçu sur le poisson.


Je dois avouer que c'était pas trop mal. L'entrée avec du poulet et du fromage était plutôt bonne, le plat principal était correct (le poisson un peu sec à mon gout, la purée de petits pois était très bonne, le fenouil un peu brûlé sur le haut), et le dessert, un riz au lait, bon mais un peu écœurant. J'ai accompagné le tout d'un vin blanc qui était pas mal. Et je finis mon film avec mon eau et mon vin blanc.

J'ai hésité ensuite entre le Gin Tonic et le rouge, puis je me suis dit qu'il fallait être raisonnable et que de toute façon, il y aurait un dîner d'affaires le soir, et que j'aurai mon rouge et mon GinTo plus tard dans la soirée. Petit coup d’œil sur l'extérieur, alors qu'on survole l'Espagne.

Pendant ce temps, ma voisine se met un peut trop à l'aise à mon goût. Je trouve que c'est un manque de respect de mettre ses pieds comme cela sur le panneau… Pour ceux que ça intéresse, je vous recommande un compte Instagram qui s'appelle Passengershaming qui montre tout ce dont les gens sont capables dans les avions. Âmes sensibles s'abstenir.

Petit coup d'oeil au plafond, beaucoup d'entre vous en font de photos, et j'avoue que je ne sais pas trop pourquoi je l'ai fait, mais allez, soyons fous :)

Et un petit coup d'oeil sur l'arrière. La business occupe 5 rangées, pour 4 passagers, et le reste de l'avion paraît bien plein. Je dirai entre 80 et 90%. Les rangées du devant (business et zone "préférée" de la classe éco) ont les têtières rouges, le reste est vert. Les couleurs du drapeau portugais, pour ceux du fond qui ne sont pas très attentifs.

On arrive ensuite en vue du Tage, au bout duquel se trouve Lisbonne. On apperçoit rapidement le Pont Vasco de Gama, puis la ville de Lisbonne qui se dresse sur les collines au nord du Tage.





Puis une vision qui pour nous, Suisses montagnards, est toujours agréable, la plage et la mer. Comme un air de vacances :)

On vole vers le large au passant au nord de l'aéroport pour faire un large virage à 180° au dessus de l'Atlantique avant de revenir sur la ville.




On appercoit Belém et ses monuments à la gloire des explorateurs portugais, on passe au dessus du Pont du 25 Avril (qui sera sur la droite de l'appareil) puis on plonge sur la ville.



Ah, on appreçoit l'hôtel dans lequel je vais me rendre pour mes 2 jours de meetings sur place, la grande tour au milieu de la photo

Kai Tak n'existe plus depuis 20 ans, mais y a comme un air de ressemblance avec Lisbonne: il y a souvent du vent, dont cela secoue un peu, on passe à ras-la-ville et on se rend beaucoup mieux compte de la taille et de la vistesse d'un avion quand on voit les gens dans leurs voitures, qui sortent des magasins ou qui se balladent dans les parcs.



Toucher des roues pile à heure. On avait initialement 10 minutes d'avance, mais on a du aller tourner assez loin au large de Lisbonne, donc on a perdu un peu de temps à ce moment là, mais on reste super à l'heure, ce qui est agréable. Je trouverai peut être un moment pour aller faire une petite ballade en ville.

Roulage court puis on se parque. Yes! Ce n'est pas un escalier mais bien un Jetty.



Débarquement rapide, je suis le 2ème dehors. La dame du 1F m'a grille la priorité. En même temps, avec ses pieds sur le panneau, je m'attendais pas à autre chose :)

Dernier coup d'oeil sur notre appareil du jour. il a beau être vieux, mais il se porte très bien après ce retrofit.

Je me délecte encore du fait que nous avons utilisé un Jetty au moment ou je me rend compte que les portugais jouent avec mes émotions: au bout du Jetty, un escalier! Mais oui, parfait, excellente idée. Et puis un bus. Soyons fous. Du coup, 10 minutes à attendre que tout le monde veuille bien reprendre ses affaire dans le coffre a bagage, puis descendre l'escalier. Franchement, je ne vois pas l'intérêt d'utiliser un Jetty. Enfin si, je suis sûr qu'il y a un intérêt, on va pas tarder à le savoir.


Arrivée au terminal, on sort du bus, un escalier qui remonte…


Puis on traverse un dédale de couloirs. Juste qu'on se comprenne bien. Un bus, on se dit qu'il va nous amener tout prêt de la sortie. A Genève, on est déposé à 2 pas de la sortie, à Düsseldorf pareil. Dans la plupart des aéroports ou le bus reste encore un moyen de transport aéroportuaire (ce que je déplore..), on est posé près de la sortie. A Lisbonne, on a pensé à une stratégie différente: déposons les passagers tout au bout du terminal pour qu'ils traversent l'énorme centre commercial qu'est l'aéroport de Lisbonne. Les quelques € engrangés en valent largement la peine, même s'il faut faire perdre 10 minutes à chaque passager.



Le but ultime de notre voyage, la zone de transit/départ/arrivée aka "Centre commercial" de l'aéroport. Certes, c'est très joli, mais savoir que j'ai perdu 10 minutes de bus pour être amené ici, puis à nouveau 10 minutes pour rejoindre la sortie à pied, j'ai un peu l'impression d'être pris pour un idiot. Dans ma tête, cela me faisait penser à certains pays, ou ton guide touristique fait un détour de 20 kilomètres pour t'amener voir le magasin de son cousin qui vend des trucs "artisanaux" made in China.

Bon, on rejoint l'ancienne partie de l'aéroport, qui comprend la zone des carrousels à bagages. Non sans redescendre avant au sous-sol:


Voyageant en bagages à main, je peux simplement traverser mais je ne peux pas vous dire si le valises étaient déjà là avant nous.

Et finalement je me retrouve Landside!

Direction la station de taxis, moyen de transport efficace (même si certains roulent à tombeau ouvert) et vraiment pas cher. Un petit moment pour apprécier l'air de la mer et la température agréable de Lisbonne en cette fin mars (16°C).
Merci de m'avoir lu jusqu'ici!
Bonus! Quelques photos de ma visite de Lisbonne express en 2 heures: la vieille ville, la place du commerce et le château San Jorge


S

a

n

Merci pour ce FR,
Principe d'upgrade utilisé également par LO et nombre de compagnies.
La réapparition de la rangée 1 fait plaisir une fois installé à bord :-)
Le catering me parait plutôt correct, même si effectivement il convient mieux pour une partie à quelqu'un fan de fromage!
Une arrivée avec de très beaux clichés de Lisbonne. La zone rendant hommages aux explorateurs permet aussi de visiter l'excellent musée ethnographique de Lisbonne et sa riche collection!
Bonne journée et bon weekend!
Merci pour ce FR et ce beau vol. J'ai moi-même également déjà utilisé le système Plusgrade chez TAP, à chaque fois avec la mise minimum - accepté sans exception.
Un petit commentaire sur les "jetties à escaliers" - ceux-ci n'existent pas à Lisbonne. Votre appareil s'est stationné en zone non-schengen (la rotation suivante étant pour le UK probablement), raison pour laquelle il a fallu vous réacheminer en zone schengen par bus. Pas de chance cette fois-ci!
Merci pour le commentaire! C'est bon à savoir. Je voyage régulièrement sur Lisbonne et cela m'était déjà arrivé. Et si c'est pas la zone non-schengen, c'est le paxbus depuis une position éloignée. Faut croire que j'ai pas de chance :)
Salutations!
Merci pour ce FR.
Evidemment le curseur a tout intérêt à laisser entendre que votre offre ne sera pas acceptée pour vous mettiez plus.
Mais 130€ c'est déjà pas donné.
A bord le service est correct, mais sur un vol de cette durée il mériterait d'etre un peu prolongé avec le dessert servi à part par exemple.
Le tarif du surclassement est à mettre en regard du prix initialement payé pour le billet Y.
Franchement je trouve que les 130€ sont un peu chers à la vue de la prestation servie d'autant que vous aviez accès au salon de part votre statut FTL/Victoria Silver.
Merci pour ce FR.
Le salon m’interessait peu, j’avais juste envie de tester la prestation service/catering de manière générale. J’avoue que c’est un peu cher mais je ne les regrette pas, ne serait-ce que pour la place que j’avais à ma disposition.
Merci de ce récit. Le produit Business est pas mal pour la durée du vol. Le siège choisi plus une cabine peu remplie renforcent le confort et le sentiment d'espace. Les 130 euros payés permttent de se faire un petit plaisir avgeek. Dommage que l'équipage attende d'être en vol pour se montrer plus avenant.
Bonsoir !
Merci pour le partage ! Vous avez bien raison de vous faire plaisir, c'est l'essentiel.
L'appli d'enchère est exactement la même chez Royal Jordanian.
A bord c'est effectivement un choix de plats assez osé, poisson ou plat à base de fromage fort. J'aurais eu du mal à choisir aussi.
A bientôt !
Merci pour ce FR sur un produit Business moyen-courrier peu reporté. Le choix du catering est de bonne facture !
À bientôt
Ilyes
Merci pour ce FR!
Mon dieu, le manque de civisme, cette plaie. Merci pour le partage de cette page Instagram que je ne connaissais pas !
Bien joué pour le surclassement.
Bon vols!