Introduction
Bonjour à tous, je vous partage un nouveau Flight Report de mon premier vol long-courrier depuis la crise sanitaire qui nous a tant affectés, il est donc temps de reprendre de bonnes habitudes !

Pour cette occasion j'ai souhaité refaire le même parcours que j'avais fait en février-mars 2020, une sorte de revanche ! Un Bordeaux - New York via Paris Charles de Gaulle avec Air France.

L’aéroport Roissy Charles de Gaulle

Après un petit vol entre Mérignac et Roissy en Airbus A321 sans retard ni turbulence, nous sommes arrivé au terminal 2F et notre correspondance sera au terminal 2E porte M, le transfert se fera en bus.

N’ayant pas eu l’occasion ni la possibilité de prendre un avion long-courrier depuis la crise des confinements, je me suis fait une petite cure de bonheur en spotant un peu le tarmac de Roissy lors de ma correspondance.

De magnifiques Boeing 777, 787 et Airbus A350 que je n’avais pas encore eu l’occasion de voir aux couleurs d’Air France.

Je n’ai pu m’empêcher de prendre en photo cet Airbus A350 en photo car il porte le nom de la ville dans laquelle j’habite !
l'embarquement et le décollage
Les écrans du terminal ne fonctionnant pas, je me suis rendu compte que l’embarquement avait commencé en voyant la longue file de passagers. Vraisemblablement aucune annonce n’avait été faite. Après un rapide remplissage de la feuille où nous jurons sur l’honneur que nous n’avons pas le covid, nous sommes invités à embarquer par la deuxième porte avant côté gauche.

L'instant porte

Peu après avoir embarqué, j’ai tout de suite retrouvé la sensation de modernité et d’espace qui m’avait beaucoup marqué lors de mes précédents voyages en Boeing 787-9 Dreamliner.

En effet, les trois fois où j’ai la chance de voyager avec, c’était avec Air Tahiti Nui lors d’un aller-retour Paris – Los Angeles. Mais, le premier vol que j’ai eu la chance de faire avec eux était le voyage inaugural de la compagnie lors d’un tour de France CDG-CDG. Vol que j’ai d’ailleurs flight reporté, vous pouvez le retrouver ici : https://flight-report.com/fr/report/48658/air-tahiti-nui-tn789-paris-cdg-paris-cdg/
Flight routing
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L’avion n’était pas trop rempli ce jour-là, en effet, nous étions seulement deux dans notre rangée, ce qui nous a permis de voyager comme classe affaires Europe.

Le pitch est bon

Les coffres à bagages étaient spacieux et on avait toute la place pour nos manteaux et accessoires de voyage.

Nous sommes prêts à décoller !

J’ai également pu découvrir les nouvelles vidéos de consignes de sécurité à bord, je m’étais promis de les découvrir uniquement lors d’un vol sur les IFE.

Nous roulons avec une légère pluie.

Décollage très agréable, nous quittons rapidement le sol, quel plaisir de voir les belles ailes du Boeing 787-9 se courber, je trouve cet avion très élégant !

Ça y est, nous quittons enfin la grisaille Parisienne.

le déroulé du vol
Peu après le décollage, les PNC se dirigent vers nous pour nous remettre quelques choses, une petite trousse de voyage ? Non, ce sera une serviette rafraichissante et un kit sanitaire, mais j’ai préféré ne pas porter de masque afin de partager mon sourire du jour.

Voici le plat du jour, j’ai opté pour la blanquette de colin aux champignons, riz et carottes. Le tout accompagné de champagne et de vin blanc.


Le repas terminé, j’en profite pour regarder mon programme favori de l’IFE ; la carte interactive, nous sommes en train de quitter les îles Britanniques.

Assez rapidement, la cabine fut plongée dans le noir, n’ayant guère envie de dormir, j’ai opté pour une séance cinéma.

L'approche et l'atterissage

Une heure avant l’arrivée, nous avons reçu la collation dans un petit sac.

J’ai toujours trouvé le deuxième repas assez simple mais celui-ci fut assez léger et plutôt bon.

Grand soleil dehors !

Bonne nouvelle, je commence à me dire que j’ai bien fait de prendre des places à gauche, nous allons atterrir par le nord et donc profiter d’une longue approche avec vue sur la grosse pomme !

Effectivement, le spectacle est grandiose !


Ça y est, les roues se posent à Newark, j’étais tellement heureux de retrouver l’Amérique que j’avais dû quitter en urgence en mars 2020, que j’en ai lâché une larme.

l'aéroport Newark liberty
Étant parmi les premiers à sortir, la sortie et contrôle du passeport fut très rapide.

Malheureusement la livraison de la valise a pris beaucoup de temps, visiblement elle était bien cachée dans la soute.

La vue de ce terminal est magnifique, les avions au premier plan et la skyline derrière, elle nous attend !

Justement, pour rejoindre Manhattan, j’ai choisi le Air Train, une version un peu plus vétuste de la Lisa mais qui avait vraiment une très belle vue.






Après une petite balade avec la SNCF locale, nous sommes enfin arrivés à New York City, le week-end peut enfin commencer !




Le retour se fera avec le dernier vol de la journée en Boeing 777-200ER depuis JFK. Je n’ai pas pris le temps de faire un rapport de vol. C’est un vol plutôt agréable car comme on part très tard de New York, le décalage horaire n’est pas vraiment difficile à gérer. De plus, de grosses turbulences ont eu lieu pendant le vol, nous avons traversé l’Atlantique en seulement 6h avec une vitesse de pointe à 1175 km/h ! Je crois que ce fut le vol où j’ai atteint la plus grande vitesse de ma vie jusqu’à aujourd’hui. La correspondance à CDG fut longue et sans trop de difficultés, j’aurais au moins eu la chance de découvrir l’Airbus A220 pour rentrer à Bordeaux.
Merci pour ce récit d'un vol agréable avec un bon équipage et un avion récent.
Merci pour le partage !
Air France et son catering deviennent immuable, comme la plupart des compagnies d'ailleurs. Il fut un temps avant ce que l'on a appelé "Covid" où les menus étaient changés régulierement, maintenant il faut 6 mois minimum pour voir un renouvellement en éco, c'est quand même dingue.
A bientôt !