Introduction
Bonjour et bienvenue dans le premier opus (qui s’avère être le 4ème vol) de ce routing à destination de l'Afrique du Sud.
Cette fois ci, mon choix ne s'est pas tourné vers la compagnie la moins chère mais celle qui convenait le mieux à mes dates, ayant besoin de rester au minimum 2 semaines entières sur place, et de faire un détour à Johannesburg. Qatar Airways se révéla être le choix le plus intéressant pour ces dates. Bien que j'aurais préféré voler directement vers Durban, comme je l'ai fait avec Turkish Airlines en Février, les conditions ont fait que cela n'était pas possible pour moi. Quand aux vols domestiques, ils se feront avec Safair, l'option la moins chère et la plus flexible.
Vous l'aurez certainement remarqué, comme souvent dans mes routings, un seul vol est reporté.
Je n'ai pas pris un grand nombre de photos sur DOH-JNB et JNB-DOH, étant donné que ce sont des vols de nuit et que j'étais assis au couloir.
Je n'ai pas non plus reporté le DOH-LYS, ayant passé la majorité du vol a somnoler.
Ne voulant pas polluer ce site avec des reports de basse qualité, j'ai décidé de ne pas reporter le LYS-DOH, pour lequel je n'ai qu'une trentaines de photos.
Si cela intéresse certains, je pourrais sortir un court report sur ce vol avec le nouvel éditeur mobile. Je vous laisse me le faire savoir dans les commentaires.
Flight routing
- 1QR52 - Lyon LYS -> Doha DOH - Boeing 787-8
- 2QR1363 - Doha DOH -> Johannesburg JNB - Boeing 787-9
- 3FA262 - Johannesburg JNB -> Durban DUR - Boeing 737-800
- 4FA273 - Durban DUR -> Johannesburg JNB - Boeing 737-800
- 5Q1378 - Johannesburg JNB -> Doha DOH - Boeing 787-9
- 6QR51 - Doha DOH -> Lyon LYS - Boeing 787-8
Arrivée à Durban King Shaka
C’est sous un temps exécrable que j’arrive à l’aéroport aujourd’hui.

Cachée derrière les barreaux se trouve une récemment inaugurée statue de King Shaka.

D’autres vues de l’entrée de l’aéroport.


Le hall principal.


Les arrivées sont situées en contrebas de la zone des départs :

Le Check-in pour mon vol s’ouvra quelques minutes après mon arrivé.


Des journaux sont mis à disposition.

On aperçoit la queue de l’A350 de Qatar qui s’envolera bientôt pour Doha via Maputo (Mozambique).

Une autre perspective sur l’aéroport :

Ayant encore 2 heures à passer avant d’embarquer, je décide de descendre dans la zone des arrivées pour explorer les quelques boutiques qui s’y trouvent. L’heure est déjà aux décorations de Noël.

Un centre d’informations…

…et une mosaïque.

Après avoir exploré chaque recoin des arrivées de l’aéroport, je décide de remonter pour passer la sécurité. SAA fait la pub de ses « nouveaux » vols vers São Paulo.

Le passage de la sécurité fut très rapide et me voici maintenant airside. Le nombre de boutiques n'est pas gigantesque mais cela ne m'intéresse que peu.


Peu de choses intéressantes à faire ici, et le spotting se limite à des 737 de FlySafair.

Il y a suffisamment d’espace pour s’assoir :


Le vol d’aujourd’hui embarquera depuis la porte A13.

Je décide de passer le temps en me promenant dans l’aéroport. La zone internationale est déserte. Seuls 3 vols long-courriers existent a DUR - Turkish Airlines pour Istanbul via Johannesburg, Qatar Airways pour Doha via Maputo, et Emirates en direct pour Dubai. Quelques vols régionaux existent vers l'Île Maurice, le Zimbabwe voir même l'Eswatini/Swaziland, mais l'offre internationale de l'aéroport se limite à ça. Avant le covid, Ethiopian et British Airways servaient l'aéroport.

Les passagers prioritaires ont été embarqués dans cette rampe en contrebas en vue de l’embarquement., quelques minutes avant l’arrivée de l’appareil.

Voici ZS-SJG, un 737-800 de 24 en ancienne livrée et ayant passé toute sa vie en Afrique du Sud, d’abord avec SAA pendant 6 ans’ puis sa défunte filiale low-cost Mango jusqu’en 2020. Il opère sous les couleurs de FlySafair depuis 2021.


Tout les passagers faisant la queue eurent leurs passeports contrôlés. Des petits cartons furent donnés à chaque passagers contrôlés, avant d’être rendus pendant l’embarquement.

Embarquement qui commença quelques minutes plus tard.

Aperçu du 737 depuis la passerelle.

Comme toujours avec Safair, les passagers des rangs situés derrière l’aile sont invités a embarquer par la porte arrière. C’est une bonne occasion pour prendre des photos sans compter sur l’habituel « no photo » qui restreindra mes clichés à ceux pris depuis l’escalier.


Une saucisse de Cemair :

Le terminal :

Un autre 737 de Safair :

Instant porte en diagonale (désolé Esteban) :

Le siège en planche à repasser, typique des compagnies low-cost.


La ceinture n'est pas siglée :

Instant F-OITN :

Les documents présents à bord…





…et l'habituel vomibag :

Le winglet est tout rose, dénudé de l’habituel springbok présent sur la majorité des avions de Safair :

Nous commençons à repousser quelques minutes hors tard :




Les passagers de ce 737 sont en train d’embarquer :

Le taxi fût rapide :




La tour de contrôle :

Et voici la piste :


Décollage :



Nous voici dans les airs :


L’avion fait un virage au dessus de la côte :



La vue change après avoir traversé les nuages :




Aperçu de la cabine :

L’équipage passa dans la cabine pour prendre les commandes sur le BoB. Comme d’habitude sur ces courts vols, il n’a pas eut un grand succès.
Le reste du vol se déroula sans événements…



…et la descente arriva rapidement :




La ville commence à sortir le bout de son nez :



Boksburg, son lac, et le CBD au loin :



L'atterrissage :


A350-900 de Singapore Airlines devant le terminal domestique (B) :


Ces gros porteurs passeront la journée au sol avant de s'envoler vers l'Europe (ou l'Afrique du Nord avec cet A330 d'Egyptair) dans la soirée :

Qatar Cargo en 777F :

Le taxi jusqu'au terminal B fut rapide.

Airlink se cache derrière l'aile de notre 737 :

On retrouve Qatar et Singapore :



Cet A340-600 Iberia ne vera plus les airs :

Chez Safair, le débarquement se fait par rangée. Comme à l'embarquement, les passagers assis devant l'aile débarquent par l'avant, ceux derrière par l'arrière. Les passagers sont appelés par groupe d'environ 5 rangées à sortir de l'appareil. Je trouve le processus efficace.

Nous voici dans l'aéroport :


Le groupe de passager sortant de notre vol créa des bouchons dans les escalators :



Il ne m'a fallu que de quelques minutes pour récupérer mes bagages. Les carrousels ne nécessitent pas de jetons.



Et c'est sur cette photo que ce terminera ce FR.

Merci pour le partage !
C'est tout à votre honneur !
DUR landside est plus grand que je pensais ! Et l'aéroport dans son ensemble a l'air agréable.
Etonnant que ET ne desserve plus DUR, on les trouve pourtant un peu partout en Afrique.
Sinon un bon vol sans chichis et pas cher, largement suffisant pour la courte durée.
A bientôt !
Bonjour et merci pour votre commentaire !
Merci du compliment. Je ne suis pas sur ce site avec comme but d'avoir le plus grand nombre de publications. Les status font jolis mais ne m'intéressent pas - Je juge les FRs non pas par la notoriété de leur créateur mais par leur qualité, et je les écris par simple plaisir.
DUR est un bien sympathique aéroport. Il est récent, datant de la coupe du monde (2010), et fut construit en remplacement de l'ancien aéroport Louis Botha qui ne pouvait accueillir des gros-porteurs à pleine capacité. L'aéroport actuel est rarement très rempli et à une bonne diversité de boutiques (tout du moins en Landside).
DUR était au paravant desservi en 767. ET les as retirés en 2020. L'appareil le plus proche dans leur flotte aujourd'hui est le 787-8. Je le verrais bien à DUR mais cela n'a pas l'air d'être sur leur liste des priorités pour l'instant... Mon rêve serait un LYS-ADD et un ADD-DUR, difficile de faire plus direct en trajet ! Mais je ne pense pas que LYS sera sur la liste des futures destinations ET... Il faut bien rêver !
Un bon résumé pour ce vol. Payer plus cher pour prendre SAA pour peu de plus qu'un repas et un appuie-tête avec beaucoup moins de fréquence n'a que peu d'interêt si ce n'est pour l'avgeek en moi... Et quitte à prendre SAA, autant les prendre sur CPT-JNB avec un de leurs A340-300 (dont un a été récemment ré-activé) que sur un bête A320.
À bientôt !