Review of Azores Airlines flight from Ponta Delgada to Paris in Business

Bonjour à tous et bienvenue pour ce vol retour des Açores après douze jours passés sur place, cinq vols inter-îles et plein d'images de beaux paysages en tête !

Comme à l'aller, j'userai de "l'astuce" des billets achetés en code share avec AF qui permet d'avoir accès sans supplément aux confortables sièges à l'avant de la cabine, cette fois-ci au premier rang.

Le rappel du routing :

Le vol est fort matinal, nous déposons donc la voiture de location vers 6 heures du matin. Une bien mauvaise nouvelle nous attend en arrivant aux comptoirs, à savoir une foule vraiment importante et qui avance plus qu'au compte-goutte. Le flux de touristes augmente aux Açores au fil des années et l'aéroport est clairement sous-dimensionné dans des moments de pointe comme celui-ci. C'est finalement au bout de 50 minutes et après avoir été invité à doubler des personnes, comme l'heure de fermeture de check-in approchait dangereusement, que nous passerons enfin cette étape :

Côté airside c'est plus tranquille, allons faire un petit tour au duty-free :

On y retrouve des produits locaux des différentes îles :

Dont notamment du fromage :

Pas vraiment le temps de s'attarder puisque l'embarquement de notre vol n'est pas loin de commencer, avec un léger retard pour que tout ce beau monde aie pu passer airside j'imagine :

Désormais il n'y pas plus que Transavia Holland qui vient ici :

Nous embarquons comme d'habitude via le tarmac, c'est encore plus agréable à ce moment de la journée :

Un Max Ryanair qui partira sur Lisbonne :

Après avoir eu le 321neo LR à l'aller, j’espérais avoir le "classique" au retour, eh bien c'est chose faite avec CS-TSG qui est arrivé une petite heure plus tôt de New-York :

Les avions sont revenus de leurs vols de nuit depuis l'Amérique et une belle grappe est présente sur le tarmac :

Il est beau notre 321 !

Nous n'avons plus qu'à franchir notre escalier tunnel, qui rappellerait presque les tubes du T1 qu'on va retrouver dans quelques heures ^^

Wonder est le nom de baptême de notre destrier et je suis bien d'accord avec ce qualificatif !

On retrouve nos larges sièges de l'aller avec plaisir :

On est bien installé au rang 1 avec un pas toujours confortable :

Le repoussage s'effectue avec environ 15 minutes de retard, ce qui est plutôt bien au vu du joyeux bordel rencontre au check-in :

Au revoir PDL, mais nous nous reverrons un jour sans aucun doute ;-)

Tiens, un tracteur !

L'IFE naturel est royal à cette place :

On longe la flotte Azores, dont notre 321 de l'aller :

Et le plus sympa à prendre aux Açores, alias le Q200 :

Comme d'habitude, c'est demi-tour en bout de piste pour un décollage face à l'ouest :

Cela permet une dernière vue sur Ponta Delgada et les reliefs volcaniques de São Miguel :

Encore un petit virage et décollage :

Mais encore du mauvais côté, je n'aurai finalement pas beaucoup aperçu l'île depuis les airs cette fois-ci ^^

Le calme règne en cabine, tandis que le rideau tiré traduit la préparation de la prestation du petit-déjeuner :

Une heure après le décollage voici la prestation, de nouveau très correcte, même s'il faut apprécier le duo œufs brouillées jambon de bon matin. Il y a en tout cas de quoi bien remplir l'estomac :

Le siège au premier rang est identique à ceux des trois autres rangs, à la différence près du repose-pied intégré directement au siège :

Avec en conséquence le petit bouton supplémentaire pour le déployer :

Et tadam :

On retrouve le même espace de rangement dans l'accoudoir :

Je m’intéresse ensuite au magazine de bord, la vieille dame SATA fête ses 77 ans, l'aviation est présente depuis longtemps ici aux Açores tant elle est indispensable :

On retrouve aussi un article sympa sur un AvGeek local qui semble être l'alter ego de notre cowboy national ^^

La flotte SATA / Azores Airline :

La safety card qui cette fois-ci n'a pas la mention LR et ira donc directement dans ma besace :)

Il n'y a rien à se mettre sous la dent sur le côté gauche de l'avion jusqu'à l'arrivée au dessus des côtes françaises, mais l'attente vaut le coup. Juste en dessous de nous se trouvent Belle-île-en-Mer, les îles d'Hoëdic et d'Houat et la presqu'île de Quiberon. S'en suit un survol du Golfe du Morbihan, puis en zoomant fort sur la dernière photo on aperçoit Vannes et le stade de la Rabine qui accueille le Rugby Club de Vannes:

Le port de plaisance de La Turballe, la baie de Pont-Mahé, très jolie à voir du ciel et le cours de la Vilaine, la Bretagne est vraiment une belle région vue du ciel, mais aussi du sol ;-)

Une vingtaine de minutes plus tard, la descente est déjà entamée depuis quelques minutes alors que nous sommes au niveau de Dreux :

C'est désormais la banlieue parisienne qui apparaît sous nos yeux et c'est un peu moins sexy ^^

La gare de triage d'Achères :

CDG se rapproche, en témoigne ce 787-9 qui vient de décoller pour São Paulo :

Le Bourget est juste en dessous, et vu notre altitude, l'atterrissage n'est pas pour tout de suite :

Un fragment de seconde plus tard nous voici au dessus de CDG :

L'occasion de voir le T1 depuis les airs quelques minutes avant notre arrivée au sus-nommé, on voit bien le nouveau bâtiment sur la droite :

Désormais nous sommes passés côté approche, avec encore un 787-9, cette fois-ci d'El Al ;

Notre demi-tour se fait à hauteur de Meaux  :

On aperçoit même la ligne P avec deux Z20500 bien connues de notre p'tit ch'minot :

Derniers petits villages seine-et-marnais avant d'atterrir :

La plate-forme aéroportuaire se dévoile sous nos yeux tandis que nous allons atterrir sur le doublet nord :

Quelques codes-barres sont stationnés au large :

La LGV interconnexion Est juste avant le seuil de la piste 27R :

C'est un peu le choc des mondes avec ces deux transatlantiques ^^ :

Notre roulage ne sera pas très long, nous sommes à proximité du camembert :

Pendant ce temps-là on croise à la queue leu leu un 350 AF et surtout ce 777 Kuwait Airways :

Nous traversons la piste 27R en compagnie de cet A319 AF de retour de Copenhague :

On reconnait bien l'A350 de l'arrière et sa voilure est vraiment belle :

Ce dernier est d'ailleurs tiré par un tracteur, j'imagine pour rejoindre son point de stationnement pour partir à Mexico deux heures plus tard :

Le T1 est tout proche, on retrouve un des locataires habituels des lieux :

Mais je garde toujours un œil sur nos arrières ou ce triple 7 Air Canada vient d'arriver :

Un autre locataire du T1 en livrée spéciale :

Et des containers de locataires absents pour le moment :)

Notre passerelle arrive rapidement :

Difficile de ne pas savoir où l'on est arrivé :

Dernière vue sur notre oiseau des Açores duquel je garderai un excellent souvenir ;

Il est temps de quitter notre satellite en cet avant-avant dernier jour des JO dont le T1 aborde alors fièrement les couleurs :

Un coup de travelator est nécessaire pour parvenir à nos fins :

Dernière vues sur les tubes vintage du T1 dont j'aime bien le design, moins le côté peu pratique du terminal en général :

On sent que les JO touchent à leur fin, il n'y a plus un chat aux guichets dédiés aux arrivées des valises :

Nos valises se feront attendre un assez long moment, avec d'ailleurs une odeur assez désagréable de poubelles autour de la zone d'attente :

Quelques valises en transit semblent s'être échouées ici et seront mise en rangée :

Le tracé du vol majoritairement au dessus de l'Atlantique :

Merci pour cette lecture de mon dernier FR de 2024 et à bientôt pour la suite des aventures en 2025, mais surtout à tout de suite pour un dernier bonus sur São Miguel ! 😉