Introduction
Ce récit est celui du trajet aller d’un week-end à Florence
Flight routing
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- 2AF1767 - Economique - Firenze → Paris - Airbus A319
C’était l’époque où l’Europe sortait de la crise Covid, et où les compagnies aériennes cherchaient encore à faire revenir leurs passagers, à coup de billets modifiables et annulables sans frais, et de réservations de sièges gratuites (et aussi de bonification des barèmes de leurs FFP).

Il y a avait d’ailleurs amplement le choix du siège à l’achat du billet d’avion

CDG landside
Paris nous aimera toujours : sans crier gare, notre RER sera terminus CDG-1

Il n'était pas clair si le RER suivant desservirait CDG-2 : nous prenons de suite l’option du CDG-Val pour l'atteindre

Cheminement depuis le terminus du CDG-Val

Cette époque post-Covid était aussi celle où nous avions pu renouveler à peu de frais notre statut FB-Gold, à coup de barèmes doublés, avec donc un accès aux comptoirs Skypriority

… dans le seul but d’avoir un BP sur papier, qui date lui aussi de cette époque de sortie de crise Covid , quand il fallait montrer patte blanche pour franchir les frontières :

la mention Ready2fly atteste que nous avions bien téléchargé les formulaires exigés pour entrer en Italie.

Il aurait été tout aussi possible d’obtenir ce BP à l’une de ces bornes automatiques

Un peu d’attente quand même au PIF de l’Accès n°1

CDG airside
Une dizaine de minutes plus tard, nous voici airside

Le FIDS commence à se vider : il y a tout juste de quoi utiliser quatre des six écrans

Tous les vols, dont le nôtre à 20h50, sont affichés à l’heure

La salon de CDG-2F
Validation du BP sur ces bornes d’accès au salon

L’escalier intérieur du salon 2F

Vu d’en haut

La verrière vue de l’étage

Aperçu des buffets : Cold cuts

Salades et un maigre assortiment de fromages

Desserts

Machine à café

Et à côté, fontaine à eau fraîche, plate et pétillante

Nous nous installons à l’une de ces tables

Mon choix

Et celui de Mme

Il y a des petits pains aux céréales, sans gluten, mais n’espérez pas en avoir plus de saveur, faute de four micro-ondes ou de grille-pain

Départ du salon

Embarquement
Et arrivée à proximité de notre porte d’embarquement. C’était l’époque de sortie de crise Covid, où il y avait encore un siège sur deux neutralisé, et où le port du masque était de rigueur – souvenez-vous du rappel « masque FFP2 obligatoire à bord de l’avion » en fin du message d’AF.

Ce n’est pas notre avion, mais un PAXbus qui est stationné à notre porte

Le voici de plus près

Symboliquement, deux sièges sont censés être réservés aux PAX Skypriority

Il y a aussi un espace pour PMR, quoique je doute que les PAX en fauteuil auraient été à même de descendre les escaliers depuis la porte d’embarquement.

Arrivée à proximité de l’avion

A220-300 Air France à côté

Fuselage shot

La cabine d'un A318 AF
Deux rangs de J

Le hublot est très mal aligné au rang 5 dans les A32x AF, ce qui sera assez dommage pour profiter pleinement de la vue sur Paris après le décollage

A 25 cm, le pitch, mesuré du bord de l’assise au dos du siège précédent, est correct sans plus

La largeur des sièges entre accoudoirs est au standard A32x : correct pour de l’éco

Les prises USB sont déjà alimentées

La moquette est propre

Les dossiers de siège ne s’inclinent pas

La fiche de sécurité, mixte A318 / A319

« Papier microbicide » : une mention typique de l’ère Covid (causé par un virus, et non un microbe…)

Notre voisine au couloir est arrivée avec des provisions de bouche

Vue vers l’avant, avant le départ

Fin de repoussage

F-GRHY, un A319 Air France

Décollage : panorama nocturne de Paris et sa banlieue
Décollage du doublet sud, piste 26R : avez-vous remarqué la Tour Eiffel à l’horizon à l’extrême droite ?

La voici , beaucoup plus visible, vers le centre de la photo

AU centre, l’autoroute A1 ; l’une des taches sombres dans la moitié droite est l’aéroport du Bourget.

On en distingue à peine le balisage des pistes

Il est 21h03 : la Tour Eiffel scintille pendant 5 minutes – un souvenir de la décoration ajoutée pour l’an 2000.

L’avion va tourner autour de Paris, dans un ciel sans nuages, et m’offrir par chance un superbe panorama de Paris

La tache lumineuse verte, en bas à gauche, c’est le Stade de France. Au centre, la longue Ile Saint-Denis, et tout au fond, la Tour Eiffel

Les deux couloirs lumineux du boulevard périphérique et des quais de Seine, avec la Tour Eiffel au centre et les Invalides un peu à gauche. Le trait lumineux un peu en bas et à droite de la Tour Eiffel est constitué par l’avenue de Wagram, continuée de l’autre côté de l’Arc de Triomphe par l‘avenue Kleber

Quelques nuages viennent jouer les trouble-fête.

La Seine coule du haut en bas au milieu de cette photo, traversée par de nombreux ponts. Dans la moitié inférieure de la photo, on distingue très bien les îles de la Cité et Saint-Louis

Zoom arrière : les habitués reconnaîtront l’arc lumineux du boulevard périphérique, et la tache noire du Bois de Boulogne dans le quart supérieur gauche

Délimité par le boulevard périphérique, le 13° arrondissement dans le quart inférieur gauche, avec notamment vers le bas la Place d’Italie et les arcs concentriques des boulevards Vincent Auriol et Saint-Marcel.

C’est fini pour Paris, on passe à la banlieue sud

ORY au centre, et le quadrillage lumineux du Marché d’Intérêt National de Rungis dans le quart inférieur gauche

Zoom sur ORY

Pour une fois, le wifi était opérationnel, ce qui permettait de suivre (de manière approximative) la trajectoire. Il ne fallait quand même pas trop en demander : le temps de vol (si j’en crois le pictogramme) est resté pendant tout le vol à 0h 00min , et l’heure d’arrivée est resté imperturbablement estimée à 1:00.

Le rideau est tiré

L’avion est loin d’être plein : un PAX seulement au demi-rang 4 de droite

C’était d’ailleurs prévisible, au vu du plan de cabine à l’enregistrement, avec un tel choix de places disponibles

La prestation : un mini-sandwich et une boisson chacun, mais un PNC repassera proposer ce qu’il reste plutôt que de le jeter à l’arrivée.

Descente sur FLR
Début de la descente : d’après le chronométrage, cela pourrait être Montecatini Terme, ville d’eau antique

(mais j’ai un doute)

ETA – 3’ : alignement sur la piste 05 de FLR : les lumières des agglomérations dans la vallée de Florence

Probablement les lumières de Prato à l’horizon

Au premier plan, le centre commercial de Latra a Signa, à proximité de l’échangeur entre la SS67 et l’autoroute Florence - Pise

Les zones d’activités à proximité de l’aéroport

Arrivée à FLR
Posé à 22h19, piste 05

Et demi-tour pour remonter la piste et atteindre le terminal

Stationnement au large : l’escalier mobile arrive

Les PAXbus sont là

Débarquement par l’avant

Et par l’arrière (c'était bien un A318 !)

Arrivée au terminal, côté Schengen.

La sortie sera rapide, tout comme le trajet vers la ville.
Spoiler : si vous avez aimé les vues nocturnes de Paris dans ce FR, vous allez adorer celles du vol de retour.
Bonus : (street) art à Florence
Avec la Galerie des Offices, sa cathédrale, ses églises et ses anciens monastères, Florence est l'un des berceaux de l'art et de l'architecture en Italie au 14° - 16° siècle.
Mais combien de visiteurs pensent au street art, apparu au tournant du 21° siècle ? C'est ce que je vous propose de découvrir dans ce bonus.