Review of Air France flight from London to Nice in Business

Bonjour à toutes et tous

Me voici sur mon second segment de vol, je vous l'accorde, pour faire Londres Paris, il y a plus direct, plus rapide, plus abordable, bref autant de raisons possibles pour dire que le choix de passer par Nice n'est pas raisonnable, sauf que, je n'ai jamais réussi à attraper un Baby-bus (pourtant j'en écume des vols CC ou MC), obligé de tomber du lit, mais l'occasion était trop belle (je commence la rédaction de ce FR, sur un MRS > CDG, opéré en A318 ! 3 jours après mon baptême en Baby-bus )

Rappel du routing

Pour le pourquoi du comment je vous propose de vous référer au premier segment de vol

https://flight-report.com/fr/report/72405/air-france-af1780-paris-cdg-london-lhr/

Après mon alerte incendie à 3h du matin à New-York, voici maintenant l'alerte incendie à L'IBIS à 2h36, puis 2h49 et 3h05… autant vous dire la nuit totalement gâchée (d'ailleurs je devrais recevoir un remboursement de ma nuit, à suivre)

Dans l'ascenseur, il est pourtant indiqué que les tests c'est le jeudi à 14 heures !

Après 15 minutes de marche, me voici chez Avis pour attraper la navette directe pour le terminal 4

Flight radar ne m'indique toujours pas l'immatriculation de mon avion…

Lever de soleil 

A 7h02 je suis déposé devant le terminal 4, c'est bien la première fois, que je vois la façade de ce terminal, cela me change des arrivées en métro 

Un coup d'escalator pour me rendre au niveau des départs, c'est calme au niveau des arrivées 

Oups, il doit manquer quelque chose, vue direct dans le faux plafond ?

C'est beaucoup plus animé au niveau des départs 

Il est 7h06 quand j'arrive à l'enregistrement, AF et KLM font chambre commune à Heathrow, cela me va très bien, mais avec deux vols pratiquement simultanés, et malgré les 3 guichets SP, cela bouchonne
Je vois un agent passer, je lui montre mon billet, et comme par enchantement je me retrouve propulsé au premier rang.

A 7h12 je me présente au passage Fast track 

A 7h13 je suis dans la queue 

A 7h17 je suis Airside.
Soit 15 minutes après être descendu de la navette, très jolie performance, Merci LHR

Mon vol est bien annoncé à l'heure 

Direction le salon, lors de mon dernier passage, qui date de l'année dernière, ce n'était pas le même salon qui nous recevait.

Accueil souriant au salon.

Je vous présente quelques vues du salon

Puis de l'offre

Le froid

Le chaud

Le coin glouglou

Ma première sélection 

Puis la seconde 

Des vols postérieurs au mien, sont appelés, normal notre avion est parti de Nice avec une quinzaine de minutes de retard, il n'est donc pas encore en porte 

Le temps d'aller rechercher du pamplemousse, 

notre avion est en porte, pas de surprise c'est bien le 318 de prévu 

Le pamplemousse ne sera pas réapprovisionné jusqu'à mon départ 

La porte étant vraiment proche du salon, j'attends le passage à boarding pour bouger

Quelques secondes après être sorti du salon j'arrive en porte.

Un préposé à l'embarquement se tape la tête en regardant un écran !

Encore un message erroné, l'embarquement n'a pas encore commencé, rien bien de grave 

Plusieurs UM sont prêts pour l'embarquement, c'est le début des vacances de Pâques en Angleterre, du moins à Londres 

Me voilà premier de cordée, 

Que de couloirs 

Puis encore un autre

Les murs sont d'un triste, de plus recouverts d'un matériau s'apparentant à du plastique, ce n’est pas du plus bel effet 

J'arrive à une intersection, personne devant, personne derrière, cela pourrait être sympa de changer le filo-guide d'attache….

Un dernier couloir le jet-bridge proprement dit, aveugle lui aussi 

Instant PS 

Fuselage shot 

Et porte

En parlant de porte, accueil souriant et chaleureux de la cheffe de cabine 

C'est vrai qu'il semble plus court que ses cousins 

Mon siège le 7A, je suis au niveau du réacteur ! je confirme il est vraiment plus court

La notice de sécurité 

Moyen le pas, difficile d'étendre mes jambes sous le siège de devant 

Le dernier PAX s'installe nonchalamment sur le siège 4F (siège en Business), la cheffe de cabine vient lui demander son billet, il quitte son siège, un resquilleur sûrement, la première place de libre étant le 7B, il demande à mon voisin du 7C de se lever, je lui demande de voir son billet, car on m'avait garanti à l'enregistrement pas de voisin direct, il ne discute même pas, et s'installe plus loin, sûrement pas sa place d'origine 

Push à 8h55

Début du roulage à 8h59, notre terminal est bien vide 

Je vous présente un copain qui assure un vol direct pour Paris, en cas de Swap de mon A318, j'aurais demandé de prendre ce vol direct.

L'aile consacrée aux compagnies du Moyen-Orient (avec un intrus chinois), avec un magnifique Merou

Il volera moins bien celui-ci 

Nous passons devant une zone fret, qui donne une impression un peu brouillonne

Et j'associe directement cette vue, à celle d'hier en passant à côté des ateliers de maintenance BA.
En effet un réacteur était détaché de son support et posé sur un chariot, cette image m'a fait penser à un garagiste travaillant dans les rues

Nous continuons notre roulage, sauf erreur c'est la 9R pour nous

Des gros porteurs BA en porte

Un Merou de chez Emirates au roulage 

Puis un petit Swiss

De nouveau des BA, malheureusement pas de Merou BA en vue

Je capte un Lufthansa lors de la poussée

Rapidement l'avion s'arrache du sol

Une belle brochette avec le Merou Qantas, un Virgin, Jet blue au roulage, un Air India et 2 United 

Et enfin sur le haut de la photo un Merou BA 

C'est bien vert en dessous 

C'est rare d'avoir une vue sur le réacteur au rang 7

Une fois le signal des ceintures éteint, la cheffe de cabine, Aurelia, m'invite à choisir un siège au rang 4 (Business), je la remercie chaleureusement et lui pose une colle : allons nous atterrir à Nice par l'ouest ou l'est ? (tant qu'à avoir le choix autant choisir le bon côté pour l'atterrissage)
Elle revient quelques secondes après avec la réponse des pilotes : approche en venant de l'ouest, je choisi donc le siège 4A

Ma vouvelle vue sans le reacteur

Nous allons quitter l'Angleterre 

Je me déplace sur le 4F

pour prendre cette photo, j'ai l'impression d'être sur un transatlantique, aucune terre en vue

En arrivant au niveau des côtes françaises, 

J'ouvre la tablette pour recevoir le plateau, mauvaise surprise !
La cheffe de cabine s'excuse, enlève les emballages et passe une lingette pour nettoyer.

Voici le plateau tel que présenté
Le pain au chocolat était moyen, les wraps excellents comme le fromage blanc.
Quant au jus d'orange, c'est vraiment de l'industriel, SVP Mr ou Mme Air France, prenez le même fournisseur que KLM, qui lui offre du jus d’orange avec de la pulpe, et chargé en vitamines, on dirait presque du jus d'orange frais 

Le paysage défile, compliqué pour identifier les lieux 

Les prises USB sont fonctionnelles 

C'est bien vert en dessous
Google identifie le lieu, nous sommes du côté d'Albafont, au nord est de Montbrisson

La cheffe de cabine me propose une petite visite du cockpit, que j'accepte avec très grand plaisir
Pour ma première en Baby-bus j'ai le droit au grand chelem

Ce qui surprend immédiatement c'est le niveau sonore largement inférieur à celui en cabine

Le cockpit est identique à celui de ses grands frères 

Sur la gauche je peux distinguer les sommets encore bien enneigés des Alpes 

Ce moment toujours aussi unique, l'entrée dans les nuages 

Allumage des phares

Vue sur la piste de Aéroport International de Cannes-Mandelieu

La sensation lors de virage est totalement différente entre la cabine et le ressenti dans le cockpit 

Retour dans le cockpit après l'atterrissage.
Je me verrais bien à cette place (je signe tout de suite pour la place de droite aussi)
Je remercie chaleureusement les pilotes et la cheffe de cabine de m'avoir proposé cette expérience unique

Pour la petite histoire, avec ma réservation initiale, je devais rentrer sur Paris avec ce même avion et équipage, mais quelques jours avant, le service client m'a conseillé de prendre le vol suivant pour Paris car la connexion n'était pas garantie pour ce vol (45 minutes d'escale)

Une dernière photo de notre destrier 

Allons à la découverte du cheminement du transfert à Nice

Pour nous c'est non Schengen, c'est peut-être le passage du PAF qui est rédhibitoire, et qui aurait compris mon retour dans les temps pour continuer sur ce vol ?

Des odeurs pas très agréables lors de la traversée de ce couloir 

Des machines sont camouflées, peut-être pour faire gagner, dans le futur du temps pour le passage du PAF 

J'arrive au contrôle des passeports 

Mais me retrouve directement dans la zone bagages sans avoir passé un PAF ?!

Suivons le fléchage correspondances

Pour enfin tomber sur une porte accès interdit, hors exploitation ?!

L'habitude de récupérer les bagages !

J'interpelle un agent de l'aéroport, et lui demande s’il y a un autre chemin pour les correspondances ?

Réponse : c’est le seul, et c'est les compagnies qui demandent l'ouverture en cas de besoin
Étant à priori le seul PAX en correspondance, la démarche n'a pas été demandée par AF ; en soit cela ne me gêne pas vraiment, mais une information préalable aurait été appréciée 

Je passe landside sans avoir à passer par un PAF, nous avons subi le même traitement que pour un vol Schengen ?!

Il est 12h45 je me dirige vers le niveau des départs.

Le vol selon Fligth radar

L'approche

Merci de m'avoir lu

Et à très vite pour la suite, qui me réserve une mauvaise surprise…