Ceci est le premier segment du trajet de retour de ce déplacement professionnel, effectué en avion faute d'avoir pu le faire en train (complet). C'est une exclusivité encore plus modeste qu'à aller : le premier FR publié sur un vol STR - ZRH !
Flight routing
- 1
- 2
- 3LX1169 - Economique - Stuttgart → Zurich- Embraer 195
- 4LX644 - Economique - Zurich → Paris - Airbus A320
Arrivée en taxi au dépose-minute de l’aéroport

L’aéroport porte le nom de Manfred Rommel, maire de Stuttgart de 1974 à 1996, élu et réélu à ce poste avec des scores croissants qui feraient pâlir d’envie bien d’hommes politiques.

Landside

Pas d’attente pour utiliser les bornes libre-service

C’est un vol Swiss, mais l’interface homme-machine est labélisée Lufthansa

Ce sera le siège 22A pour moi : impossible d’obtenir le rang 13, si rare en Europe ! 😊

A titre de souvenir, je récupère deux BP sur papier

STR dispose d’une terrasse d’observation panoramique, accessible landside et gratuite : par beau temps, ce serait une faute que de ne pas y faire un petit tour.

La terrasse est agrémentée de trois appareils ayant été, chacun dans sa catégorie, un succès aéronautique de l’immédiate après-guerre.
Aussi robuste que polyvalent, l’Antonov 2 a été construit à plus de 18 000 exemplaires depuis 1947

Le North American T-6, un avion d’entrainement, a eu tout autant de succès, avec plus de 15 000 exemplaires construits à partir de 1935

Avec près de 5 500 exemplaires construits, le Mi-8 est au 7° rang des hélicoptères les plus produits au monde.

Passons à des appareils de conception plus récente :
D-APRI, un Embraer E190 German Airways

D-AGWD, un A319ceo Eurowings, équipé de deux issues sur l’aile

L’un des 59 A321neo de Pegasus Airlines

D-ACNF, un CRJ-900 Lufthansa

Départ de 9H-FIT, l’un des trois 737-400 de 4 Airways, une compagnie aérienne maltaise spécialisée en ACMI

A droite, TC-JYB, un 737-900 TurkishAirlines

9H-AML, un A320ceo Avion Express Malta

LZ-FBK , un A320ceo Condor, dont la livrée est limitée à la dérive : c’est la troisième saison estivale qu’il est fourni en ACMI par Bulgaria Air.

D-AHLK, un 737-800 TUI fly

LZ-LAB, un A320ceo European Air Charter

Envol de 9H-SLH, un A320ceo SmartLynx

D-AKNU, un A319ceo Eurowings, avec une paire d’issues sur l’aile seulement, car il a été produit pour Germanwings
(au premier plan à gauche, TC-SOG, un 737-800 Sun Express, dont on ne voyait pas grand chose de plus, étant en grande partie masqué par un bâtiment)

Ce n’est pas un endroit où je m’attendais à voir des Témoins de Jéhovah, et l’en-tête de leur présentoir (Warum beten ? = Pourquoi prier ?) n’est peut-être pas de nature à rassurer ceux qui ont peur en avion.

Il me faudra pas moins de 25 minutes pour franchir le PIF, malgré un nombre assez limité de PAX devant moi, car ma file n’avance plus pendant un bon bout de temps pour cause d’une intervention de la police (une contre-vérification ? J’avoue avoir mal compris, mon allemand n’étant pas au niveau nécessaire). Cet épisode m’aura donné deux bons exemples d’inflexibilité germanique :
- une famille en last call qui a pu se faufiler jusqu’au début de la file avec la bienveillance des PAX se fait sèchement renvoyer au PIF de l’autre terminal où l’attente serait moins longue
- ayant cru que l’attente serait de courte de durée, je n’ai pas pris l’opportunité de bifurquer vers la file voisine qui s’ouvrait. Quand ça a commencé à s’éterniser, j’ai changé d’avis, je me suis heurté à la même inflexibilité : « je vous ai donné la possibilité de changer de file, maintenant c’est trop tard, vous restez où vous êtes ! »

Enfin airside : passage le long de boutiques sans intérêt particulier

Echantillonnage des vols au départ de STR, un jour de semaine dans l’après-midi. Il est 14h35 : le vol direct pour CDG est manifestement en retard – son horaire était trop juste compte-tenu de l’horaire de ma réunion, et il était de toute façon complet quand j’ai pu faire prendre mes billets pour ce déplacement.

Pour mon vol, c’est porte 161, au niveau inférieur, et ce sera donc un transfert en PAXbus

Pas de prises électriques à ces sièges au milieu de l’espace

Mais il y en a aux sièges le long du mur (c’est beaucoup plus facile d’en installer là !), et c’est indiqué de manière visible

Un bloc de prises par paire de sièges : rien à redire (et on notera qu’on ne se bat pas pour les occuper, ce qui n’est pas particulièrement étonnant, vue la courte durée du vol)

Mais oubliez les prises USB : elles ne sont pas alimentées

Lancement de l’embarquemnt à 14h44

Les PAX ne se bousculent pas, à juste titre en raison du transfert en PAXbus

D-ABNK, un A320ceo Eurowings

D-AINC, un A320neo Lufthansa

Embraer 195 Austrian Airlines

Arrivée au pied de l’avion

Embarquement par l’avant

Et (notamment pour moi) par l’arrière

Air France exploite la ligne avec un A220-300

Instant porte

Fuselage shot

La cabine encore vide


Le hublot n’est pas bien aligné à mon rang, mais je pourrai faire avec

Largeur entre accoudoirs : 47,5 cm, c’est excellent en éco (mais les accoudoirs sont de largeur réduite)

En revanche, à 25 cm, la distance de l’assise du siège au dos du siège de devant est honnête sans plus

Siège avec emplacement pour la carte de sécurité et la « littérature de bord », prises USB de deux types, porte tablette ou téléphone, et tablette

Il s’agit de la carte du BOB, de shopping duty-free et un magazine de vol


La prise USB est alimentée au sol… et mieux vaut en profiter, car elle sera mise hors tension pour le décollage et pas alimentée à nouveau ensuite.

La carte de sécurité recto-verso

Le dossier s’incline de 9°, ce qui est plutôt généreux pour de l’éco, et peut se révéler être une gêne pour le PAX de derrière

PSU (Passenger Service Unit)

Arrivée du deuxième PAXbus

Traditionnel chocolat Swiss, donné avec un sourire d’autant plus artificiel que le visage a été très (et trop) refait.

Et une petite bouteille d’eau, dont je n’ai pas de trace photographique au vol aller.

Rpoussage : au loin, un antique Tu-154, exploité autrefois par Malev, et aujourd’hui utilisé pour l’entraînement des pompiers

Les terminaux de STR

TC-NCV, un A320neo Pegasus

9H-AML, un A320ceo Avion Express Malta

Le Tu-154 de l’aéroport

YL-ARE, un Embraer Legacy 600 d’Union Aviation

Les avions d’aéroclub

Maquette pour entrainement des pompiers

TC-SOG, un 737-800 SunExpress, va décoller après nous

Décollage piste 25 à 15h20

On aperçoit dans le tiers gauche de cette photo la tour de contrôle, curieusement très déportée par rapport à l’aéroport

La zone de fret, située comme souvent de l’autre côté de la piste par rapport aux terminaux passagers

Une curieuse maquette d’avion aux formes très rectangulaires

Dans la partie inférieure de la photo, c’est une toute petite base aérienne américaine (accueillant des hélicoptères)

Stetten

Cette tour au ras de la forêt est surmontée d’un radar

Waldenbuch

Virage pour prendre le cap de ZRH

Et voici STR

… juste avant d’entrer dans la couche de nuages. Il y aura beaucoup de turbulences, annoncées à l’avance par le CdB

A peine plus de dix minutes plus tard, voici le lac de Constance

Friedrichshafen

FDH, l’aéroport de Friedrichshafen

Les deux rives – allemande à gauche, suisse à droite - du lac de Constance

La rive sud est nettement plus ensoleillée

Descente vers ZRH

Pfäffikon et son lac

Un aperçu bien sombre de Zurich, entre les collines Zürichberg et Käferberg

Le lac de Zurich au loin

Kloten, la commune de l’aéroport

Posé à 15h47

Le terminal au loin

D-AENE, un A320neo Eurowings

HB-JLT, un A320ceo Edelweiss Air

F-HZUL, un A220-300 Air France

HB-IHY, un A320ceo Edelweiss Air

Une terrasse de café airside a une vue imprenable sur notre point de stationnement

Voici l’E-195 de ce vol, vu depuis les baies vitrées juste à côté de la terrasse

Je suis le dernier à descendre, avec une PNC sur les talons

La suite est affichée à cse FIDS

L’heure, c’est l’heure : il n’est que 15h58, pas question d’afficher la porte de mon vol de continuation vers CDG deux minutes en avance !

Merci de m’avoir lu, à bientôt pour la suite !