Avis du vol entre Budapest et Frankfurt en classe Economique avec Lufthansa

Bonjour à tous,
Retour de Week end passé entre amis à Budapest, un bonus suit le récit…

Le report

C'est accompagné d'Icare que nous rejoignons l'aéroport via les transports en commun, métro et bus, coût du trajet : 2,30 € !

Dépose au niveau des arrivées

Une fois à l'intérieur il faut monter à l'étage

Demi tour à droite pour gagner l'enregistrement, c'est dimanche et les vacances + la compétition de natation + le Grand Prix de formule 1 entraînent une foule considérable dans l'aérogare

Aucun souci pour enregistrer à deux au comptoir J et P, Francis demande s'il peut enregistrer sa valise gratuitement en soute, le sympathique agent accède sans problème à sa requête

Je n'avais jamais vu un labrador fumeur, c'est chose faite ! Un tour à l'extérieur avant de pénétrer aisrside

De retour quelques minutes plus tard à une température plus fraîche, nous prenons le chemin adapté

Passage du PIF sans encombre et sans passer par l'accès prioritaire, l'endroit est vide

Notre vol est prévu à l'heure

Le duty free est passé dans la douleur, l'un avec une bouteille de vin l'autre en surpoids d'une cartouche de Lucky Strike. Un monde fou aux caisses !

Deuxième arrêt FIDS, plus moderne côté pistes

Des salons sont situés en mezzanine, celui qui nous attend n'est pas situé là haut

nous continuons dans le dédale des boutiques

Passage devant la tour à l'architecture pas vraiment heureuse à mon goût, et isolée sur le tarmac

nous progressons dans le corridor, l'équipe voyageant sur le vol AF ayant du retard reçois notre visite, nous attendrons qu'elle embarque en bonne ordre avant de nous rendre au salon

C'est par ici que ça se passe, l'itinéraire commence à paraître long !

Nous y voici enfin…

L'accueil par la dragonne est déplorable, trop affairée à consulter son smartphone, elle ne lève pas la tête et me dit "c'est votre invité ?", réponse "oui". D'un ton blasé j'ai droit à un "c'est bon entrez", le BP d'Icare n'a même pas droit à un regard, consternant ! A l'intérieur, c'est blindé. La seule photo de la salle

Mon choix, j'ai failli m'étouffer avec les brochettes de poulet sèches comme les chaussettes de l'archiduchesse… Heureusement, j'ai goûté un très bon vin de Tokaj

L'offre du buffet est lamentable, (aucune vue, la matrone des lieux et sa copine traînent dans le secteur), nous trinquons en désespoir de cause

A noter qu'une équipe de sportifs squatte sans faire de bruit une partie du lounge et qu'il a été difficile de se trouver deux fauteuils l'un à côté de l'autre… Un tour aux toilettes qui sont propre

Une patère qui sort de l'ordinaire pour GRMY

Nous nous dirigeons vers la porte cinq minutes avant l'heure théorique d'embarquer, c'est noir de monde

L'appel est lancé peu de temps après, Francis passe sans encombre à mes côtés, il est vrai que je le tient en laisse afin qu'il évite de flairer sous les jupes des filles et les culottes des garçons

On ne gagne pas à tous les coups aucun bip ne retentit ! Passage dans un finger borgne

A gauche toute !

Une porte ouverte, ( ça évitera de la pousser ), pour Esteban

Non seulement je n'ai droit à aucun surclassement mais j'ai la malchance d'être côté couloir

On détache le labrador qui s'enfuit vers l'arrière de l'appareil, les "Icare, au pied" resteront un voeux pieux, je ne le reverrait pas de sitôt !!! Consolation en voyant de la lumière…

Le pas(lanquin), pas extra pour mon 1,85 m

Les passagers continuent leur défilé, la cabine sera pleine, les 2 sièges de ma rangée le seront aussi. Ma voisine très jeune, (de mon age), est sympa et discute avec son fiston Cornélius assis derrière moi. Il n'a rien à voir avec un singe de la planète éponyme, c'est même tout le contraire… Reprenons nos esprits, la fiche sécurité

L'éventail des magazines et sac de première nécessité

L'itinéraire de cette fin d'après midi ainsi que le coucou qui va nous mener à bon (aéro)port

Aucun retard à signaler, n'est ce pas Air France ? Nous décollons dans la fournaise Hongroise. Le service s'active et le sandwich au salami est distribué, un autre au fromage est proposé

Cette viande froide mérite une autopsie

Tout simplement : Miam !

Les boissons arrivent un bon moment plus tard, Icare me confiera qu'il a compté 20 minutes entre le service du solide et celui du liquide, vive LH ! Je prend un thé et un verre d'eau gazeuse…

Pliage à la sauce Marathon

Derrière tout est calme, pas un gamin qui gueule, pas un chien qui aboie, rien, la zénitude…

Un gentil PNC propose un deuxième sandwich, c'est niet pour tout le monde. la cabine est préparée pour l'atterrissage, nous posons dans l'allégresse mais avec un peu de retard, court roulage jusqu'au point de stationnement, deux escaliers pour descendre sur le tarmac

Je saute dans le 1er des 3 bus articulés qui démarre une fois les passagers entassés, je ne reverrai pas Francis, (Il a dû lever la patte contre une roue avant de monter dans le car suivant)…

Dépose comme d'habitude en sous sol dans le terminal A, les marches de l'escalier mécanique sont montées quatre à quatre, ma connexion est short… J'ai juste le temps de passer par les toilettes du salon SEN qui se trouve sur mon chemin… pas en grande forme le Chevelan à la fin de ce weekend… Il repart à l'assaut de FRA pour le vol suivant

Merci de m'avoir lu, le dernier opus de la série est à venir…. Pour les plus courageux en ces jours de forte chaleur : Le bonus touristique

Le Bonus

L'équipe de joyeux lurons participant à cette fin de semaine

Belle vue sur Pest, prononcer : "Pechte"

Héritage du communisme, avec cette statut du travailleur brandissant un étendard, (qui a été enlevé après la chute du rideau de fer), camaraaaaade !

Le pont de Chaîne et au loin le parlement

Quatre hussards s'en vont en guerre

L'église Mathias

Terror Haza Muzzeum, sans commentaire… A nous glacer le sang !

L'hôtel Gellert et ses bains thermaux, le pied !

le pont Erzsebet , ah, Sisi…

Sur la place des Héros…

Et pour terminer en beauté : Le Parlement, symbole de la ville

Voilà c'est fini ! A très vite pour le dernier épisode…