Phase finale de notre voyage aller nous menant de Hyères à Bangkok.
Nous voici donc partis pour une méga escale de 7 heures à Pékin.
Tout d'abord, personnel aéroportuaire hyper sympathique. Des joyeux drilles, vraiment. Est-il besoin de préciser que c'est de l'ironie?
L'aéroport parait colossal. Les boutiques du Duty free sont bien agréables, notamment les bibelots de Chine.
Bon, 7 heures c'est long, il est temps de se connecter au wi-fi de l'aéroport pour passer un petit coucou à la famille et aux copains sur les réseaux sociaux. Ah, tiens, il faut demander le code d'accès à l'accueil. Code récupéré, on se connecte… Tiens, certains sites ne marchent toujours pas. Je retourne voir l'hôtesse d'accueil: "no facebook here". Hé oui, pardonnez mon ignorance, je savais que le régime Chinois était strict, mais j'ignorais la censure envers facebook, google, twitter ou encore youtube. Il va falloir se décoller le nez de l'écran et se divertir autrement.
Avec quoi? Du spotting, par exemple?
7 longues heures plus tard, c'est parti pour l'embarquement.
Difficile de prendre une belle photo de notre oiseau à cette heure-ci.
Le personnel navigant: encore de terribles boute-en-train qui s'ignorent. Le sourire est réservé à la première classe.
Pitch à peine correct, je fais 1m77.
Pas d'IFE, pour un vol de cinq heures, c'est un peu raide.
Pour ce vol, nous ne serons pas à côté, l'hôtesse d'accueil de Roissy n'ayant pu le faire que pour la première partie du voyage. Comme pour le sourire, sur Air China, la réservation des sièges est payante, et ce jusqu'au jour J.
Voisin de tarmac
Décollage à l'heure.
Pas très fraîche la cabine.
Les repas, en revanche, sont très goûteux , le vin est lui toujours aussi mauvais et servi avec pingrerie.
Atterrissage à l'heure, gestion des bagages sans aucun problème.
Un vol qui permet… D'arriver à destination, à l'heure avec ses bagages, et le ventre presque plein. Et c'est déjà pas mal.