Avis du vol entre Los Angeles et Sydney en classe Economique avec Delta Air Lines

Cette fois, ça sent la fin…
De ce voyage (professionnel) aux USA.
Rappel du programme initial ?
- Sydney-Los Angeles, Delta B772 LR, Eco, lu?
- Los Angeles-Nouvelle Orleans, Delta, B737-800, Premium Eco, lu ?
- Nouvelle Orleans-Los Angeles, Delta, B737-800, Eco, lu ?
- Los Angeles-Sydney, Delta, B772 LR, Eco. GO!
Je vous avais laisses au T2 de LAX ou je débarquais, et, saperlipopette, mon vol pour Sydney part de ce même terminal.
Voilà qui devrait me permettre de, peut-être, reporter correctement le Delta Sky Lounge.
Nous y voilà, d’ailleurs, avec quelques vues générales. Je me suis installé sous la flèche (J’ai pensé que ça pouvait être un bon repère dans les photos, ensuite).

Encore un Fr iste?

L’accès a la douche, dont je ne jouirai pas cette fois (hum), mais qui fut reportée en son temps (LAX/MSY, du même auteur, mêmes éditions.).

L’offre liquide. Variété pas énorme, mais qui m’a suffi.

Le solide chaud (riz et 2 soupes). A noter les récipients et couverts en carton ou plastique. Je HAIS !!! Seuls les verres sont du bon métal…

Le solide froid, de quoi composer une salade correcte.

Bref, comme d’hab., rien de transcendant. Il m’arrive de temps en temps, aux US (et en Australie), de préférer m’’offrir un « vrai » repas hors du salon.
Seulement 2 photos sur le tarmac, essentiellement pour essayer d’immortaliser ce beau 747 BA (nostalgie, quand tu nous tiens…).

Le tableau des départs, depuis le lounge

La presse, magazine essentiellement, pauvre. On voit aussi que LAX est un hub important vers la Chine pour Delta (voir consignes de sécurité).

«Papiere, bitte !». C’est juste un hommage à quelque film avec Louis de Funès (je ne suis même pas germanophone !)

L’immatriculation de l’oiseau

Embarquement : rien à signaler, a part que votre serviteur a complètement zappé la prise de cliches.
Bla bla bla, priorités respectées, comme vous pouvez le voir, bla bla bla.
Mon environnement :
Déjà sur le siège, coussin, kit de nuit, bouchon (oreille) et masque(yeux), couverture et menu. (ne pas se tromper avec oreille et yeux!)

Le menu, justement

Le pitch

La popo, la popo, la pochette

L’électricité (Thomas Edison, si tu nous regardes…), 2 hubs pour 3, sous le siege

Le 3-3-3 Delta sur 777 (faut vraiment être initie quand même, pour lire et comprendre ça. Amis de la secte, bonjour !)

Et là, c’est le drame ! On a attendu une quarantaine de passagers arrivant de divers horizons, a qui DL avait proposé ce re-routin. Je tiens les explications de ma voisine, une sympathique hôtesse de Delta connexion, qui, au lieu de faire SFO/SYD, a finalement fait SFO /LAX /SYD. Ne me demandez pas pourquoi.
Comme j’ai rarement de montre, et que je ne veux pas vous montrer la page de garde de mon smartphone (non mais, vous en savez déjà trop !), voici ma breloque.

Comme vous l’avez compris, sauf si vous êtes très bête (on ne sait jamais) ou si mes explications ne sont pas claires (plus probables), j’ai espéré quelques instants pouvoir disposer d’un espace additionnel à mes cotes. Que nenni. Le malheur des uns,…
On a quand même fini par quitter notre point de stationnement avec une petite heure de retard. Pas très grave pour moi, Sydney étant ma destination finale et n’étant pas attendu (personne ne m’aime !).
Consignes de sécurité, anglais et chinois. Jusque-là, j’avais eu anglais et espagnol sur les vols intérieurs.

Pendant qu’on prend de la hauteur, je vérifie que mes précieux bagages sont à bord, via l’app Delta

On se fait un resto?
En prélude a nos agapes nous seront généreusement remis un oshibori (ou apparenté) ainsi qu’une bouteille d’eau.

Salade et crudités un peu banales, plat chaud correct.

Un petit tour de l’IFE. Tres complet, encore, mais peu reactif

Airshow

Après l’IFE, ce sont les toilettes qui ont droit à un petit tour.

Stephan, si tu me lis

Je réussirai tant bien que mal à dormir un peu, en position assise et en pointilles (si quelqu’un peut me rappeler le nom de cette figure de style littéraire ? Non ce n’est pas le double axel !)
A mi- vol, en l’absence de totale discrétion, et alors que je partageais un instant délicieux avec Morphée, la cabine est rallumée pour ceci (pas mauvais)

Vous me direz, je n’ai pas regretté qu’on me réveille vu comment j’ai déjà mordu dans la bête avant même la photo ! je suis comme ça, moi, au réveil il faut que je mange quelque chose, n’importe quoi, un bœuf, un enfant…
Quelques micro-sommeils plus tard, environ 2h avant l’arrivée, le petit déj est servi, avec in dernier oshibori (chaud, cette fois).

Sans surprise, pas mal.
L’IFE confirme qu’on y est presque.

Taxi assez court, sortie de l’avion rapide.
A Sydney, on vous invite à vous munir de ce plan de la ville

Avant d’accéder aux formalités habituelles, on peut encore faire une dernière folie. Je ne connais pas d’autre endroit pratiquant le Duty free a l’’\arrivée, avec une zone arrivée et départ distinctes, j’entends.

Le filtrage est assez clairement indiqué et comme d’habitude, j’ai expédié tout ça en 2 minutes maxi.

Seule la livraison des bagages (10 minutes de plus) me retardera dans ma quête d’un Uber.