AVERTISSEMENTS :
-Ceci est mon premier Flight-Report (FR). Si vous pensez que j'ai oublié des choses ou si vous avez des questions, n'hésitez-pas (même si c'est des questions bêtes)
-Désolé, il n'y aura pas beaucoup de photos dans ce FR, car je n'avais pas prévu de le faire, je ne connaissais pas ce site avant.
Tout commence à l'enregistrement. Je n'ai pas pu m'enregistrer en ligne car ça ne fonctionnait pas ce jour là. Alors, je pense que c'était comme cela aussi pour les autres passagers, car une queue d'enfer au check-in… Après une bonne petite heure, me voici devant l'hôtesse. Je lui dit "Bonjour !", pas de réponse, juste un "Je prends votre passeport". Celui-ci était posé sur le comptoir. Elle le prend sans se gêner, colle une étiquette dessus (on me l'avait jamais faite, celle là), colle une autre étiquette sur la valise (qu'elle a été obligée de la réimprimée, car elle l'avait mal mise), et voilà, la valise part, déjà une chose de faite !
Comme j'avais un peu faim, je me décidais à aller à McDonald's, faute de rien d'autre pour se restaurer dans le terminal 2A.
Après mangé, (déjà 14 heures,) je vais vers mon terminal, les écrans affichaient 13 minutes d'attente aux contrôles de sécurité, mais en fait seulement 5 minutes. Il faudra m'expliquer pourquoi les écrans ne sont jamais actualisés…
Après les contrôles de sécurité, j'avais encore faim (ça ne m'était jamais arrivé, après un McDonald's !), je m'arrête dans un snack "organique", je prends une pâtisserie. Un peu trop sucré, mais bon, je ne vais pas m'attarder sur les plats d'un petit terminal…
L'embarquement commence dans un petit endroit, après deux heures de marche sur une passerelle. C'est tout humide dans cet endroit, on se croirait dans une serre. On appelle les premiers passagers de 1A jusqu'à 15J (la première partie de l'avion). Je me mets à l'aide dans un fauteuil pas très confortable (décidément, Paris Aéroport…) en attendant la suite des événements.
La suite, c'est que une huitaine de passagers manquent ! On doit les attendre pour pouvoir faire rentrer les autres (y compris moi). Je regarde par la vitre du terminal, et là, qu'est-ce que je vois, la porte 1L, tout à l'avant, ouverte sans passerelle ! Alors, je dis ça, pas ouvert complétement, hein, mais un peu quand même pour faire rentrer de l'air. Quelques minutes plus tard, elle se refermera.
En attendant (et comme je n'ai pas de patience), je me connecte avec mon compte à la Wi-Fi de Paris Aéroport pour vérifier mes mails. Eh bien, je n'ai pas besoin de me presser à actualiser, car je rentre dans l'avion seulement 20 minutes plus tard. Cela est faisable, car, je précise, une fois, pour un AIR Caraïbes, j'ai déjà attendu 1 heure assis dans l'avion, sans pouvoir utiliser la tablette.
J'arrive dans l'avion. Une petite hôtesse blonde, à l'air gentil, me dit "Votre carte d'embarquement, s'il-vous-plaît, monsieur". Je la lui tend. "Vous tournez à droite et votre place sera sur votre droite". "Merci", lui répondis-je.
Dès que j'arrive vers mon siège, je vois le repose-tête avec écrit dessus "XL CLOUD disponible sur ce vol" (voir l'image ci-dessous).
Je m'installe, déballe tranquillement ma couverture qui sens le citron compressé, ça fait mal au nez quand on la respire, et je vois devant moi un autre truc : "Arrêtez des compter les nuages, connectez-vous à XL CLOUD !" (voir l'image ci-dessous). Alors j'essaie avec mon portable, j'avais téléchargé l'application pendant que j'avais attendu pour le check-in, et en fait c'est juste pour lire la presse, regarder des films daubés, et chatter (mais ça fonctionne mal, et il n'y a personne de connecté…).
Je décolle, avec 25 minutes de retard à cause des premiers passagers. Mais bon, on ne va pas continuer à s'énerver pour ça, c'est pas bien grave.
Environ 2 heures (qui me paraissent très longues) après le décollage, on me sert (enfin) le plateau. Comme la plus part des rédactions sur la compagnie XL Airways, la nourriture reste le même point négatif.
J'avais entendu dire que les pâtes avez l'air bon. Eh bien, vous vous trompez. Soit elles sont froides au dessus ou soit elles sont trop brulantes au dessous, et de toute façon, elle sont dures. Mais pas dur "Al Dente" ! Dur, vraiment, comme du pas-cuit. C'est pas bon.
Il y avait du poulet en accompagnement, et dans l'avion, ils ont tendance à mettre beaucoup d'épices, et le problème, c'est que les épices pressurisées, c'est immangeable. Mais alors, vraiment immangeable ! Pourquoi immangeable ? Parce que l'air pressurisé change le goût des choses. Alors pour les aliments ça va, mais pour les épices, non, non et non ! Il y en avait aussi dans l'entrée, en plus !!! Alors, là, eh bien, vous êtes servi !
Le débarrassage, c'est 2 heures après. Un peu long pour ceux qui mangent en 30 minutes ou moins. Le passager à côté de moi avait mangé en 5 minutes à peu près (je n'avais pas fini mon entrée). Il a demandé à l'hôtesse (pas la blonde, une autre qui passait, la blonde devait dormir à coups sûrs) "C'est quand que vous débarrassez ?" l'hôtesse, pas très gentille, celle-ci, lui répondit "Bientôt monsieur, si vous avez la patience d'attendre !". De mon côté, j'ai pouffé de rire, mon voisin, lui ? Il a soufflé comme je ne sais pas quoi.
Après le débarrassage, la blonde revient avec le trolley en faisant "Boissons chaudes, qui désire une boisson chaude ?" Et là, l'ACP fait un "TING !" avec une lumière rouge. La blonde regarde, elle bloque le trolley en plein milieu de l'allée, et part décrocher le téléphone. J'étais trois rangées derrières la porte, donc j'ai entendu ce qu'elle disait. J'ai éclaté de rire. Je ne connais pas beaucoup de personnes qui décrochent le téléphone en faisant "OUI ?!". C'était très drôle. Quelques secondes plus tard, elle raccroche le téléphone, en le remettant mal, bien sûr, donc le téléphone tombe, et là, elle le remets bien. Je n'arrive quand même pas à comprendre comment les PCNs décrochent un téléphone non-emmêlé et en raccrochent un emmêlé.
Finalement, elle revient avec son trolley et son accent Marseillais sur le mot "chaudes". Alors je lui dit "Moi, s'il-vous-plaît", et elle me répond "Vous désirez" et là, les choses se précipitent. Tout d'abord, le vieux monsieur à ma droite dit "Un café !" ! Il avait cru qu'on lui parlait, sûrement. La blonde me regarde, et elle comprend que je veux quelque chose et que c'était à moi qu'il fallait parler. Alors elle me dit "Et vous, monsieur ?", et je lui réponds "Un thé, s'il-vous-plaît" (oui, d'habitude je prends du café, mais je n'aime pas le café pressurisé, donc…). Et là, le drame du vol se produit (il y en a toujours un, vous remarquerez !). Elle me sert non du thé, mais de l'eau, et de l'eau bien trop brûlante (j'ai faillit renverser la tasse sur le vieux monsieur). Je pense qu'ils n'avaient pas mis assez d'infusion. Mais bon, ça m'a hydraté, quand même !
Normalement, après, sur un vol Long-Courrier, ils nous mettent un film, j'ai vu ça sur leur site WEB, mais non, même pas, apparemment ! On verra au retour (le 25 juillet). Donc je me décide à dormir.
Après quelques bonnes heures de sommeil où il n'ont même pas changé la lumière d'intensité (ils auraient pu le faire, vu qu'il n'y avais pas de film, tout le monde voulait dormir) (voir l'image ci -dessous), je suis prêt pour l'atterrissage.
Après l'atterrissage, on a dû attendre deux heures la passerelle manipulée par une bonne femme. Finalement, on entend la petite phrase "Désarmement des toboggans, ouverture des portes" dans les haut-parleurs. Ça y est, je suis à New York.
Pour ceux qui sont déjà allés aux USA depuis milieu 2017, il y a un système de sécurité nommé ESTA, qui signifie Electronic System for Travel Authorization.
Je vous remercie de votre lecture
Dites-moi si il manque des choses
N'hésitez pas à me dire si c'est bien ou pas
Précisez-moi si, pour vous, c'est :
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-Court
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-Trop long (ne me dites pas ça si vous n'aimez pas lire !)
À bientôt (après le 25 juillet, j'essayerai de mettre le plus vite possible…)