#23 sur 94 Compagnies Un minimum de 10 flights-reports sur les deux dernières années est nécessaire pour apparaitre dans le classement.
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Pour faire un bon flight-report, il faut d'abord une jolie photo de couverture : Les esprits les plus malins auront remarqué que j'ai récidivé avec un de mes bien-aimés escabeaux. Pour ma défense, c'est dans une véritable purée de poix que nous avons atterri à Malpensa. Du coup, quand la visibilité est aussi réduite, c'est l'assurance d'un atterrissage en CAT III en automatique. Rien de choquant.
L'autre ingrédient de cette recette magique étant de belles photos, comme je n'ai pas pris mon appareil, il faudra vous contenter de ce que mon iPhone a bien voulu capturer… sauf que voilà, la censure veille! Un atterrissage en automatique, cela veut dire qu'il faut éteindre tous les appareils électroniques, y compris ceux déjà en mode avion. Je n'ai certes pas éteint mon cerveau mais mon téléphone oui. Donc pour les photos, vous repasserez!
Heureusement que le dernier ingrédient d'un bon flight-report, c'est une histoire à raconter, et là, si vous permettez, je crois bien que j'ai ce qu'il vous faut…
L'okapère Noèl vient de passer!!! Pour une fois, je publie vite : un coup de navette Paris Milan pour aller chercher l'okapetto. Rien de plus banal qu'un voyage comme ça sauf que, ce vol du soir vers Malpensa, je l'ai déjà pris plus d'une fois et je n'en conserve que de bons souvenirs. Cette fois-ci sera-t-elle différente? Ah, j'oubliais, c'est aussi le vol qui requalifiera mon statut Platinum pour une année supplémentaire, pour ce que ça peut bien valoir. Fidèle l'okapi???
Allez, bonne lecture et meilleurs vœux pour ces fêtes de fin d'année.
Je ne me souviens pas d'un voyage en RER B aussi plaisant. Certes, endormi comme je suis, je n'ai pas remarqué le train direct qui m'attendait sur le quai à Châtelet, croyant à tort qu'il allait à Mitry Claye et je me tape donc l'omnibus qui le suivait. J'ai oublié qu'on était dimanche soir et que du coup, il n'y a pas foule dans le train. Résultat? Un voyage sans encombres ni quêtes ou animations musicales, c'est appréciable et c'est dans une gare décorée de saison que je débarque avec, une fois n'est pas coutume, une large avance sur mon timing. Mogoyage en vue???
Mon vol franco-chinois est prévu à l'heure :-) mais c'est surtout le PK770 qui attire mon regard d'avgeek…
Sans plus attendre, je rejoins le terminal 2F. La zone Sky Priority est parée de rouge mais ça, c'est toute l'année. Il y a plus de monde que d'habitude. Les habitués auraient donc choisi de venir griller leur stock de miles en cette période? Toujours est-il que ça va assez vite et après quelques plaisanteries échangées, l'agent AF qui a enregistré ma fugueuse (mineure) me remet ma carte d'embarquement avec les salutations de saison. Je n'ai plus qu'à passer le PIF vide pour aller rejoindre le salon de la seconde jetée.
Je m'arrête rarement devant les boutiques mais cette fois, c'est pour la bonne cause!
Le tableau d'affichage n'annonce pas de désastre.
Ma première destination, le paradis du Balik?
J'évite soigneusement toute tentation pour contourner par le fond du terminal. Direction le salon.
À peine arrivé, l'accueil est courtois. Je suis d'ailleurs le seul à cette heure. Et après les formules de politesse, l'un des employés me demande si j'ai des enfants. Ma réponse positive me permettra d'emporter trois petits cadeaux sponsorisés par la compagnie d'Atlanta. Pas Delta Airlines, voyons! Coca-Cola, évidemment. De quoi faire des heureux autour de moi :-)
Direction tout en bas pour un peu de tranquillité. Et pour être tranquille, l'endroit l'est. Vide de chez vide. Tant mieux! Pas de sales gosses et leurs parents encore plus mal élevés pour venir troubler l'ordre public.
Les Frequent Flyers de CDG ne sont même pas passés dans les parages. Cette bouteille de Campari non entamée est là pour en témoigner. Tant mieux, j'ai soif.
Et faim aussi!
Euh…désolé, ce n'est pas la bonne photo!
Là, c'est mieux. Les crevettes m'attendaient :-) Ma sélection, telle que le monde entier l'a vue sur Instagram
Et mon sirop de grenadine pour accompagner le tout. Salute Joël !!! Campari tonic avec vue.
Les amateurs de rouge avaient le choix ce soir…
De près, ça donne ceci.
Ceux qui préfèrent le blanc pouvaient, eux aussi, trouver leur compte. Sacré farceur ce Gérard, non? Un coup des Hollandais, c'est certain!
Bon, l'heure tourne. Je goûte le sympathique Segla puis marathonise ce qui doit l'être.
Il ne me reste plus qu'à saluer en sortant et me diriger vers la porte F51 pour embarquer dans l'avion qui m'attend.
Le côté pratique du statut Sky Priority permet d'éviter une partie de la queue mais il n'est pas rare que cela bouchonne un peu juste avant l'instant porte. Pas grave, tant que je suis du bon côté. Un instant de patience…
Ce qui va me permettre de photographier le nez de l'appareil.
Et de vous offrir un magique instant porte!
Et un coup de fuselage shot
L'accueil à bord est très courtois et je reconnais d'emblée la cabine d'un 319 ainsi qu'une présence féminine dans le cockpit. #girlpower comme je le twitterai un peu plus tard. Le steward en porte et moi échangeons quelques mots puis j'avance jusqu'à mon siège. Pour une fois, c'est en issue de secours que j'irai m'asseoir. Une hôtesse se tient au même niveau et nous échangeons quelques mots. Quelques instants plus tard, elle revient avec un joli coussin Air France ainsi qu'un cadeau de bienvenu. Instant Papoumada?
L'annonce de la fin de l'embarquement finira de sceller mon confort optimal pour ce vol.
Sale temps sur Paris, les photos du départ deviennent instantanément superflues…
Nous atteignons rapidement l'altitude de croisière et le service commence. Apparition du chariot magique et des sourires de l'équipage. Après distribution du sandwich de la capsule d'eau et de la bouteille de vin qui va bien avec, j'en profite pour demander aussi un café et de l'eau pétillante. Le tout est servi généreusement et mes excuses d'assoiffé sont acceptées.
Le steward en profite pour me demander si je ne souhaite pas une autre boisson avec des bulles. Mon sourire complice en dit long…
Ceci n'est pas du Champomy :-) Alors meilleurs vœux à tous!!!
J'admets avoir eu plus soif que faim dans l'avion mais par acquis de conscience, comme je ne jette pas de nourriture, voici le solide du soir. Je ne le mangerai pas de suite mais après l'avoir goûté le lendemain, je peux affirmer que c'est une bonne option.
Ceux d'entre vous qui préféreraient une nourriture plus spirituelle pourront s'épancher sur la lecture du mois.
Vous y apprendrez, entre autres choses, que les A340 d'origine ne sont plus légion chez Air France mais que Joon leur a offert une seconde vie.
L'amateur de sèche-cheveux nous a si bien raconté ses aventures à bord de ces quadri-réacteurs et moi qui suis tenté par l'ouverture de Quito au printemps prochain… J'admets toutefois que si je réussissais à embarquer à bord d'un 777 cargo, le flight-report qui s'ensuivrait aurait une toute autre gueule !
Au final, peu importe l'appareil emprunté, c'est le voyage qui compte et de côté-ci, il n'y a que l'embarras du choix.
Le moyen de transport serait même accessoire dans certains cas, n'est-ce pas Ben et Cyrille?
Joël sera d'accord avec moi, l'option Boco est une idée fantastique mais pourquoi Diable ne pas inclure Milan dans la liste des navettes? Je vais certainement devoir publier davantage de ces vols à l'avenir! Quant au wifi à bord, personnellement, je n'en vois pas l'utilité. Une offre de streaming avec recyclage de l'application Joon serait tellement plus économe et bienvenu…
Compactage des restes à la Marathon, cycle maternelle, petite section. Du super facile, j'en conviens.
Nous avons passé les Alpes sans nous en apercevoir. Le début de descente est annoncé.
Plongée vers la nuit noire. Madame nous rappelle, depuis le cockpit, l'information dispensée un peu plus tôt : il y a du brouillard sur Milan et il va nous falloir un peu de patience en raison du temps d'attente pour l'atterrissage.
Et quelques instants plus tard, le chef de cabine nous demandera d'éteindre tous les appareils électroniques. J'aime beaucoup l'idée qu'il passe en cabine en montrant comment faire avec son propre téléphone. Hummm, ça sent bon l'approche en automatique tout ça. Alors pour les photos, on oublie. Juste un petit screenshot pour ne pas perdre le nord…
Et puisqu'il n'y a plus de photos, vous vous contenterez du texte, n'est-ce pas?
"Plongé dans la nuit noire, l'avion exécute des tours et des détours dans le ciel. Le silence assourdissant des réacteurs enveloppe la carlingue de cet oiseau de métal. En scrutant l'horizon à travers le hublot, ce passager assis au dixième rang cherche à identifier quelque point de repère mais tout ce qu'il réussit à apercevoir, ce sont les lumières d'un autre avion qui semble subir le même sort que lui. L'attente parait interminable.
Les membres d'équipage se sont assurés que tout le monde est bien assis, ceinture bouclée, l'avion continue sa manœuvre d'approche vers sa destination finale. L'altitude et la vitesse changent, les bruits aussi. Se repérer est désormais impossible. Seuls quelques frêles lumières au loin indique des morceaux de terrain exempts de brouillard mais c'est rapidement qu’apparaît sous l'aile un couche de nuages. La vitesse semble augmenter alors que les indicateurs lumineux identifiant les sorties de secours sont allumés. On entend le mouvement des flaps puis le train sortir de sa trappe. Une voix s'invite pour annoncer l'atterrissage imminent.
Pendant que, les yeux rivés sur le hublot, certains cherchent un signe, une lueur d'espoir, d'autres se sont résignés. Et puis, d'un coup, les roues touchent le sol. Les aérofreins sortent de leurs gonds et l'on entend les réacteurs cracher leur puissance vers l'avant.
L'avion freine et quittera la piste à la première bretelle utile. "Bienvenue à Milan Malpensa, il est 22 heures 25. Vous pouvez rallumer vos téléphones et désactiver le mode avion."
Avant même que le message n'ait été délivré en anglais puis en italien, la nature reprend ses droits: Le passager du 10A recommence à photographier ce qui peut l'être.
Tant bien que mal, évidemment. Ce n'est pas non plus tous les jours que l'on peut prendre en photo le brouillard. La cabine ne sera pas rallumée tout de suite et cela facilitera un peu la tâche. Seules les sorties de secours sont visibles dans l'obscurité.
J'entends les commentaires de certains qui louent la bravoure des pilotes et cette capacité à poser l'avion dans ces piètres conditions de visibilité.
Pas besoin de traverser la piste ce soir, l'atterrissage s'est fait en 35L. Vous me croirez sur parole si je vous dis que l'avion parqué dans un flou artistique n'est qu'un Boeing 737-800 Air Italy, n'est-ce pas?
Je doute fort que le passager derrière moi ait réussi à mieux faire que moi mais bon. Je suis meilleur avec les Bus qu'avec les Boeing, c'est certain!
L'avion a terminé son court roulage vers son point de parking. La passerelle est mise en place. Je vais pouvoir quitter ce qui a été mon doux nid pendant les dernières 90 minutes.
En sortant de l'avion, j'échange quelques mots avec l'équipage. Madame PNT est de sortie et me confirme la procédure. Je lui indique que j'irai rechercher le tracé du vol sur flight-radar. Tout le monde l'a compris, je suis un passionné. Remerciements pour ce vol "magique" lui aussi et il ne me reste plus qu'à descendre les marches non sans en profiter encore un peu.
J'embarque à bord du premier paxbus puis me ravise après une photo supplémentaire.
Le second Cobus est quasiment vide. Ça va me rappeler un joli souvenir à CDG T3 ;-)
Un mécanicien avion en gilet jaune estampillé KLM inspecte l'appareil qui reprendra du service très tôt demain matin.
Les bus sont prêts pour le roulage jusqu'au terminal, j'en profite pour immortaliser un passage sous l'aile.
La livraison des bagages sera assez rapide. La note de ponctualité n'est pas parfaite, faute du contrôle aérien milanais. D'abord pas d'attente puis finalement, un tour d'hippodrome. Résultat : 8/10
Heureusement que je n'ai pas besoin de chariot…
Arrivé trop tard pour attraper au vol le bon train. J'en suis quitte pour une demi-heure d'attente. Les deux économisés précédemment me serviront à prendre un café.
Requinqué, il ne me reste plus qu'à aller prendre le train.
Tiens, un déjà-vu…
Allez, zou! Avanti! Au lit…
Voilà, c'est tout pour le moment. La suite au prochain numéro.
Comme d'habitude, merci de m'avoir lu. N'hésitez pas à commenter voir critiquer (mais pas trop non plus, faut pas exagérer). Si vous avez aimé, mettez un Like en dessous sinon vous en mettrez deux!
À bientôt pour de nouveaux envols.
✈
Un grand, très grand "MERCI" aux personnels au sol (salon 2F2) pour leur accueil et aux PNT/PNC pour cet excellent vol :-)
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 17 avis concernant 2 compagnies sur la ligne Paris (CDG) → Milan (MXP).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air France avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 1 heures et 29 minutes.
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18 Commentaires
Supprimer le plan de résistance de l'épreuve de compactage en prétextant un non-gaspillage de nourriture et sa consommation le lendemain ? C'est bien joué ! :)
On vit une époque formidable où les propriétaires de téléphones portables ne savent même plus comment cela s'éteint.
"Les aérofreins sortent de leurs gonds". Euh, quand même pas, tout de même ?
La bravoure des pilotes en cas d'atterrissage CAT III consiste surtout à laisser faire des ordinateurs qui font beaucoup moins d'erreurs qu'eux.
Merci pour les belles photos sur le tarmac à l'arrivée.
Bonne nouvelle année de poids atomique 78 !
"Supprimer le plan de résistance de l'épreuve de compactage" -> Mince, j'ai triché et je me suis fait repérer. Je serai plus sage en 2019.
C'est lors d'un atterrissage en automatique que l'on peut comprendre ce que suivre le manuel veut dire. Les reverses sont actionnées une seconde plus tard qu'en manuel et si le tout est bien programmé, les ordinateurs n'enverront pas les passagers dans les pâquerettes.
Avant-dernier vol de l'année en mode navette, quelques bonus en plus. Toujours appréciable, tout comme la vue dans le brouillard ;-)
Merci pour le commentaire et meilleurs vœux pour les 365 jours de révolution solaire!
Il est toujours agréable d'être presque seul au salon et quand on plus on repart avec un petit cadeau, c'est encore mieux !
L'attention donnée à bord est très sympathique aussi.
Félicitons donc Mr Automatique pour ce très belle atterrissage !
A bientôt !
Atterrissage automatique toujours aussi intéressant. Pour le brouillard, je peux confirmer que c'est une spécialité milanaise comme de beaucoup d'autres villes du nord de l'Italie, hélas...
Merci et à bientôt. Joyeuses fêtes!
À bientôt
"à croire qu'Air France a peur que vous osiez faire des infidélités à la compagnie." -> Disons que je ne suis pas blanc comme neige, et c'est vraiment le cas de le dire :-D !!! Je raconterai prochainement certaines de ces infidélités. J'apprécie donc le retour... de flamme. Affaire à suivre!
Merci pour ce commentaire et à bientôt.Joyeuses fêtes de fin d'année!
”Pour une fois, je publie vite” : effectivement un FR tout frais, très frais, aussi frais que la buche de Noël rapportée par mémé le 24 au soir
Jolie photo en trompe l’oeil pour la une de couv, moi qui pensais à un coucher ou à un lever de soleil derrière l’appareil, j’en perds la notion du temps
Jolie photo également du terminal 2F et de son plafond façon cathédrale. Cathédrale mais point de messe de Noël en ce 23 décembre
En revanche, le père Noël était bien de sortie. Entre les cadeaux du cerbère et de l’hôtesse, les habitués sont gâtés
Le texte qui permet d’illustrer l’atterrissage est digne des meilleures voix off d’émissions de catastrophe aériennes. On dit qu’une image vaut milles mots mais ça n’est pas le cas ici
A bientôt
"Jolie photo en trompe l’oeil pour la une de couv" -> sur cette ligne plus que sur n'importe quelle autre, détourner le regard du spectateur est un must. J'avoue que l'effet recherché était effectivement celui "d'enduire" d'erreur le lecteur.
Quant à la cathédrale, j'avoue ne plus savoir comment la photographier tant mes passages en sa nef sont nombreux et répétitifs. Elle reste néanmoins jolie à voir.
Les cadeaux ont été appréciés d'autant plus qu'ils étaient totalement inattendus. Merci Hugo pour la lecture et le commentaire. Chaque vol est différent et le défi du no photo sécuritaire en vol m'a contraint à faire preuve d'un peu plus d'imagination que d'habitude. Une appréciation de la part de celui qui rend ses voyages si agréables à lire ne peut qu'être bienvenue. Bon réveillon et à bientôt!
Un passage au salon qui permet de recevoir un sac surprise, on attend d’en connaître le contenu.
Girl power : et en plus un sacré attérissage.
Bonnes fêtes.
Girlpower dans un monde de bruts! Et si le pilote automatique était du genre féminin? Ceci expliquerait peut-être cela.
À bientôt!
As tu profité d'être seul au salon pour faire tes courses en toute tranquilité??
Pourquoi payer plus cher pour être devant le rideau alors que tu est traité comme un prince.
Marathonage incomplet aussitôt sanctionné par le Maître, je doute que de plates excuses suffisent à calmer son courroux.
Tiens, je ne savais pas qu'en cas d'ATT ou CATIII comme on dit maintenant, il fallait éteindre les téléphones, quand on voit le nombre de gens qui se mettent à couper le mode avion avant l'atterrissage, je me demande si la consigne a été bien suivie.
"J'entends les commentaires de certains qui louent la bravoure des pilotes et cette capacité à poser l'avion dans ces piètres conditions de visibilité." s'ils savaient qu'ils félicitaient un calculateur...
Le vol selon Sylvetre est très utile, il montre la configuration intéressante de l'approche. :)
Merci pour le partage et à bientôt.
"As tu profité d'être seul au salon pour faire tes courses en toute tranquilité??" -> Paradoxalement, j'aime voyager léger. J'ai bien trouvé un ou deux articles à déposer de l'autre côté de la montagne mais voyageant le lendemain en bonne compagnie, mes besoins étaient très limités cette fois.
"Pourquoi payer plus cher pour être devant le rideau alors que tu est traité comme un prince." -> surtout qu'en payant plus cher, on n'obtient pas grand chose d'autre qu'un pitch pourri et des miles négociables en monnaie de singe. Franchement, ce n'est pas sur un vol en mono-couloir européen d'une heure et des poussières que je pourrais soigner mon égo démesuré à coup de bulles ;-)
"Marathonage incomplet" -> Le Mètre est incompressible!
J'ai éteint mon téléphone avant l'atterrissage, comme à l'époque où je prenais l'avion et qu'il n'y avait pas de téléphones portables. Du coup, on est plus attentifs...
"s'ils savaient qu'ils félicitaient un calculateur..." -> calculateur qui ne se soustrait pas à ses obligations!
Le vol selon Sylvestre est un autre must maintenant.
Merci pour le commentaire et meilleurs vœux!
"Le tableau d'affichage n'annonce pas de désastre." même le FIDS l'affiche !
Remarquons que l'A340 JN s'est bien vu rajouter son antenne satellite pour le wifi. Le sens du détail.
Tu as dévalisé les crevettes ma parole. C'est rose, cela vient de la mer (ou d'un élevage...) mais ce n'est pas du balik.
L'Okapi a le verbe facile et cela paye en bulles sonnantes et trébuchantes.
Bref champagne et vol olé olé, une bonne expérience selon tes critères.
Meilleurs voeux !
Les crevettes sont le balik du pauvre :-)
Si en plus on me sert du Champagne, on se croirait au salon F d'EK à DXB... euh, j'exagère ou je délire?
Meilleurs voeux pleins de miles, bulles et autres tranches (oranges) à déguster.
Le 23/12 était donc la journée des cadeaux. Le 25, il n'y en avait plus, du moins sur mon itinéraire...
Merci pour ce clin d'oeil malgache et pour l'homme malgache qui nourrit sa famille en cassant et polissant les cailloux. J'en connais aussi qui font des fortunes avec autre chose que le jaspe et par d'autres circuits....
Les bulles du Perrier prennent un ton jaune par la grâce d'un PNC. C'est bien de voir qu'il existe de bons équipages sur AF.
Meilleurs voeux et à bientôt !
Le Sud du monde regorge de trésors que l'on égorge bien trop souvent...
Ah les bulles du Perrier. Un miracle a bien eu lieu à bord ce soir-là?
Merci Franck pour ce commentaire. Mes excuses pour le retard mais je comble petit à petit^^
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