Avis du vol entre Rio De Janeiro et Panamá City en classe Economique avec Copa Airlines

CMP

CM - Copa Airlines

Vol effectué le 01 décembre 2018
CM215
12:30 07h 33m 17:03
Appareil Boeing 737-800
Classe Economique
Siege 9F
nissimpasa
1,138 · 130 · 12 · 18

INTRODUCTION


Bonjour à toutes et à tous,

 Bienvenu pour ce FR qui couvrira le premier d’une série de quatre vols qui m’ont permis de me rendre à Cartagena de Indias, dans le nord de la Colombie.  

 Début novembre je dois donc prendre mes billets pour la Colombie avec vraisemblablement plus de contraintes que je n’en ai d’habitude lorsque je voyage : je devais arriver et repartir de Cartagène n’ayant que deux semaines et n’ayant pas prévu de visiter autre chose que la côte caribéenne et mes dates étaient fixes. Sur l’axe Colombie-Brésil il n’y a malheureusement pas une offre très diverse et elle se résume globalement au triptyque LATAM-Avianca-Copa Airlines. Les trois offraient des billets à partir de 390-400€ pour ces dates. LATAM imposait deux escales (GRU et BOG), Avianca proposait une solution à une escale (BOG) mais avec un départ de GIG aux aurores (7h15), et une escale plutôt longue pour les tarifs les plus bas ou un crochet supplémentaire par Lima, Medellin ou Cali, et Copa Airlines proposait une offre plutôt directe (entre 2 et 4h d’escales à l’aller et au retour) et une multitude d’horaires puisqu’elle opère 2 vols quotidiens vers GIG et 3 vers CTG. Cette dernière option me permettait donc d’avoir une longue escale au Panama histoire de faire un petit stopover dans ce pays dont on entend généralement que parler à travers des scandales financiers et qui attisait ma curiosité. Accessoirement c’était l’offre la moins chère et elle comprenait un bagage enregistré dont je n’aurais pas besoin cela dit. L’idée d’effectuer l’un des vols les plus longs en 737 me plaisait aussi.  

 En effet, à l’heure actuelle, le plus long vol régulier opéré en Boeing 737-800 est le Montevideo (MVD) - Panama City (PTY) de Copa Airlines qui couvre 5,447 km en un temps affiché de 7h30, alors que le Rio de Janeiro (GIG) - Panama City (PTY) fait 5,287 km (soit 160 km de moins), avec un temps de vol affiché similaire. Pour faire plus long en 737, il faut se tourner vers le -900ER (plus long vol DAR-IST en 7:05 à 7:35 opéré par TK) ou les MAX (BSB-MCO soit 6,112 km, effectué en 9:50 par GOL). Tous les chiffres proviennent de Wikipedia (article « Longest Flights » en anglais) et Gcmap. Bref tout ça pour dire, ce n’est (heureusement) pas tous les jours que l’on peut faire 7h30 de vol en 737 alors autant en profiter.  

 Je vais essayer de trouver le temps de relater le vol retour PTY-GIG, mais je peux déjà vous dire que je ferais l’impasse sur l’aller-retour PTY-CTG. Si vous n’avez toujours pas saisi le routing, voici un récapitulatif, 4 vols, 1 compagnie, 1 type d’avion :


Enchainement de vols

  • 1
    CM 215 | Rio de Janeiro (GIG) - Panama City (PTY) - Boeing 737-800, Copa Airlines
  • 2
    CM 686 | Panama City (PTY) - Cartagena de Indias (CTG) - Boeing 737-800, Copa Airlines
  • 3
    CM 685 | Cartagena de Indias (CTG) - Panama City (PTY) - Boeing 737-800, Copa Airlines
  • 4
    CM 214 | Panama City (PTY) - Rio de Janeiro (GIG) - Boeing 737-800, Copa Airlines

J’ai acheté mon billet sur le site d’une OTA à savoir Travelgenio, n’en déplaise aux adeptes de l’achat direct sur le site des compagnies. Et évidemment, conséquence assez récurrente, il m’a été impossible d’accéder à ma réservation ni de m’enregistrer malgré l’utilisation du numéro de réservation de la compagnie.

Bien dommage pour moi car je l’apprendrais au retour (où cette fois je parviendrais à m’enregistrer), Copa Airlines permet de sélectionner des sièges issus de secours gratuitement.

Cela dit, quelques jours avant mon vol, j’ai reçu un e-mail de Copa Airlines me proposant de participer aux enchères aux upgrades. Pour ceux qui ne connaîtrait pas, le concept est assez simple il s’agit de proposer un prix (moyennant un minimum) que vous êtes prêt à payer pour passer en classe avant. Voilà comment fonctionne la page et les minimums imposés pour chaque vol.


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Mon budget étudiant ne me permettait pas ce genre de folie, et ayant abandonné l’online check-in, je me rends à l’aéroport en touriste, en ce samedi 1er décembre chaud mais bien gris.


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RIO DE JANEIRO/GALEÃO - TOM JOBIM


Le Uber me dépose au niveau des départs après une course de 25min depuis Santa Teresa.  


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J’entre dans l’aéroport au niveau des vols internationaux, Porta C.


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Un des nombreux BrittShop de l’aéroport et dont on retrouve des équivalents dans la plus part des aéroports sud-américains.


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Bien évidement, les comptoirs d’enregistrement de Copa sont à l’opposé, au bout du terminal après l’accès aux portes des vols domestiques.


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Je ne suis pas particulièrement en avance, voir même plutôt limite, mais bon l’inverse serait surprenant. Il y a un peu de monde aux guichets quand j’arrive, pas de bornes pour Copa à GIG.


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Le temps d’enregistrer tout ce beau monde, il me faudra 20 minutes d’attente pour mon tour. Je serais dans les derniers passagers enregistrés.


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Un petit panneau pour rappeler ses droits aux passagers, ce n’est pas mal.


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Par curiosité, je demande au personnel de l’enregistrement s’il reste un hublot, type très sympa au demeurant avec qui je discuterais, trop sympa peut-être puisque la familiarisation avec chaque passager étant son fort, il est en partie responsable de la lenteur de l’enregistrement. Il m’annoncera avec un grand sourire que non il ne reste malheureusement plus de janela sur ce vol, mais que mon siège couloir n’est pas trop mal placé et qu’il m’a placé sur un hublot pour PTY-CTG. C’est gentil mais pour 40 minutes de vol versus 7h, à choisir c’est sur GIG-PTY que j’aurais aimé avoir un siège hublot, m’enfin.

C’est donc un BP estampillé smiley intello heureux que je reçois, avec donc un siège 8D et une séquence 140 qui trahira à peu de chose près le nombre de passagers sur ce vol. 


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A noter que l’embarquement est programmé une heure avant le départ. Pour un 737 au contact ça me semble un poil exagéré.

 De toutes manières il est 11h05 quand je me dirige vers les départs internationaux, autant dire que je n’y serais pas à l’heure.


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Première étape, scan du BP.


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Seconde étape, PIF.


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Troisième étape, PAF.


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Et quatrième étape, sûrement la plus longue, le dutyfree dont il est impossible de s’échapper.


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Les départs du moment avec une belle pépite parmi des vols pas palpitants.


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Après avoir slalomé entre les stands Lacoste, Apple, et autres bouteilles de cachaça, je parviens tant bien que mal a sortir de ce centre commercial version aéroportuaire.


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Direction l’étage supérieur pour les départs.


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Sur le chemin, quelques cafés, d’autres magasins.


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Puis pour atteindre le pier international, il faut prendre ce trèèès long couloir.


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Un 777 d’Air France.


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Un équivalent américain qui montre ses fesses.


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Arrivée au bout on arrive à cette bifurcation, soit on pénètre le pier (à droite) soit on continue tout droit où d’autres portes au contact se situent.


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Je tourne à droite, non pas parce que c’est la direction de ma porte C63, mais parce qu’il y a un avion assez spécial et que j’aimerais beaucoup prendre qui m’attend.  

 Au passage je découvre mon destrier du jour. HP-1720CMP, aux couleurs de Star Alliance.


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Le pier qui me rappelle bien ceux du terminal sud de l’aéroport international de Miami.


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Un 767-300ER de LATAM, sûrement pour Miami justement ou Orlando. Ces deux dessertes depuis Rio s’arrêteront en mars prochain.


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Le terminal n’est pas très beau et un peu aseptisé mais il a le mérite d’être moderne agréable et bien équipé avec ici des prises intégrées à tous les sièges.


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Il y a une zone de jeu pour les enfants.


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Et une zone pour se détendre pendant que son gosse fait du toboggan. Encore là, des prises sont intégrées.


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F-GSPS


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Un B747-8I de la Lufth.


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Mais vous vous doutez bien que je n’ai pas parcouru cette distance pour photographier des eurowhites.

Alors il y a d’abord cette bestiole américaine un peu bizarre, un cousin dérivé du 747. Pour rappel, il y avait le G20 en Argentine en même temps ce qui explique peut-être le déplacement de tel spécimen vers le cône sud.
(désolé pour la quali du zoom) 


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Mais c’est surtout pour ce magnifique Boeing 777-300ER de TAAG Angola Airlines que je suis venu jusqu’ici.


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Malheureusement, la porte ne permet de bonnes photos ni mon téléphone d’ailleurs.



Il opère Luanda-São Paulo-Rio et inversement, cinq fois par semaine.


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Une triplette américaine.


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11h57 mon embarquement est « proche » mais ne semble pas avoir débuté selon les écrans, bizarre. Il serait temps de me diriger vers la C63.



Alors que j’arrive en porte surprise, il n’y a personne, à part deux personnes de l’aéroport qui me voyant arriver, m’appellent par mon nom de famille pour me dire qu’elles m’attendaient et me presser un peu. Les panaméens sont donc bien avancé sur l’horaire puisque l’embarquement se clôturera après mon passage, soit 30 minutes avant le décollage. Par contre personne n’a pensé à indiquer que l’embarquement avait débuté sur le FIDS.  


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Bref je speed un peu, j’attrape un petit cliché de mon coucou et je me dirige vers mon siège.  


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CM 215 - GIG-PTY


La découverte du 8D est rapide, je me rends compte que le rang 9 est totalement libre et après questionnement d’un steward je suis autorisé à m’y installer.


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Et c’est parti pour 7h30 de vol avec 3 sièges. Tiens dans tes dents les enchères pour la J.


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Vu depuis mon hublot du coup. 


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Le pitch n’est pas bien bien folichon.


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Le contenu de la pochette


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Et son contenu informel (inexistant)


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Les formalités d’entrée au Panama sont distribuées, mais ça n'a pas l'air d'intéresser beaucoup de monde.


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Et d’un coup, le drame. Le karma a tourné. Les passagers des sièges 10D et 10E se lèvent et viennent s’asseoir à côté de moi sur le rang 9 où je me trouve, laissant 10F toute seule. Je ne comprends pas bien la raison, peut-être 10F effrayait-elle 10D et 10E, mais le fait est que ceux-là sont devenus 9D et 9E.


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En tout cas, le plaisir de m’approprier ce rang a été bien court et la déception n’en est que plus grande.



Le moodlight est allumé puisque l’appareil est équipé du Sky Interior. 


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L’IFE marche très bien et est très réactif.


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Il nous montrera la vidéo sur les mesures de sécurité puis je mets la géovision.


Les orphelins 10D et 10E.


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Il nous montrera la vidéo sur les mesures de sécurité.


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Nous repoussons à 12h23, sept minutes avant l’heure théorique de décollage, et 25min après que j’ai embarqué comme dernier passager.


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Les annonces sont faites en espagnol et EN ANGLAIS. Ce qui est de plus en plus rare sur les compagnies latin-américaines. LATAM a par exemple totalement abandonné l’anglais sur les vols domestiques brésiliens avec du 100% portugais, et restau au strict minimum sur les vols sud-américains avec quasi-exclusivement un duo espagnol-portugais. Je trouve ça très désagréable.


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Cela nous permet d’avoir un angle bien meilleur pour observer le compère angolais.


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Un long roulage nous fera passer devant le terminal domestique avec deux jets Star Alliance de Avianca Brasil.  


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Mais aussi devant les appareils qui se prélassent en attendant leur prochain vol.

Copa Airlines propose une sélection de films du Festival International du Cinéma de Panama. J'apprécie l'idée. 


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Le roulage est très long, nous devons remonter la piste se situant à l’opposé de notre terminal.

Voilà à quoi ressemble notre trajet à travers l'aéroport. 


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Passage devant TAP Technics avec des A330 en veux-tu en voilà.



Notamment quelques surprenantes présences à GIG avec cette ribambelle d’oiseaux canadiens.



Ces spécimens, les « Air Transat » descendent le continent américain au début de l’hiver pour gagner des terres plus chaudes sous les tropiques dans le but de se reproduire.


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Par contre ces oiseaux longs ne sont plus très jeunes et rappellent l’âge d’or du transport aérien brésilien avec l’incroyable et mythique feu-VARIG.  


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On arrive finalement au bout et on enchaîne immédiatement notre décollage vers l’ouest, avec donc 20 minutes de retard.


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Montée au dessus de la baie et de l’extrémité nord de Rio.


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Il y a des montagnes à passer au plus vite et la montée est très poussive.


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Virage qui laisse une belle vue de l’axe de la piste de GIG.


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Au loin on aperçoit l’entrée de la baie et le cœur de la ville.

La montée se finit, et très rapidement le service commence. Il faut dire qu’il est alors plus de 13h et l’horaire s’y prête bien. 


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Beef or pasta? Quoi de plus surprenant. Ce sera beef pour moi et voici le plateau tel qu’il arrive.   


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La salade est classique, il y a une vinaigrette plutôt bonne fournie à part.


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Le bœuf façon strogonoff, accompagné de purée. En fait la sauce est très bonne mais la quantité est un peu faible.


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J’accompagne ça d’un vin rouge, pas trop horrible et d’un jus pour le dessert, Goyave-Ananas qui se trouve être super bon.


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Le dessert se résume à des biscuits qui nous arrivent tout droit du Sahara vu comment ils sont secs.


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Étant sur mon téléphone avec Netflix, je ne me sers pas de l’IFE qui alterne donc phases de veille, géo vision et pubs pour les destinations de Copa.

Je finis le déjeuner au-dessus de Brasilia.


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La cabine est assez sombre. Nombreux sont ceux qui ferment leurs volets.


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Bien sûr il y a un port USB sur l’IFE, bien pratique.


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Dehors on passe d’endroits très couverts à d’autres plus dégagés.


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Puis on commence à atteindre les affluants de l’Amazone.


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Les paysages sont très beaux et les bras de fleuves serpentent à travers la forêt.


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C’est l’heure de faire une tite balade digestive. Bon je ne vais pas bien loin, juste au fond de la cabine. 


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Les toilettes sont globalement propres malgré quelques traces d’usage déjà.  


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Je commence à roupiller alors que nous approchons de la frontière colombienne. Je suis alors réveillé par une agitation particulière. De nombreux PNC s’agitent et font des aller-retours dans le couloir, deux passagers se lèvent, et tous se rassemblent au tour d’un rang (situé un peu plus loin derrière moi) en particulier. Il y a beaucoup de débats et de discutions avec un passager en particulier. Déjà plus tôt dans le vol, une annonce avait été faite liée à des médicaments ou un médecin, je n’avais pas bien suivi à cause de Netflix. N’étant pas toubib, je ne m’étais pas plus inquiété mais vraisemblablement les événements prennent une tournure particulière. Le CCP se dirige vers le cockpit. Après 2min une annonce est faite: un passager étant dans une situation de santé assez inquiétante, la décision est prise de nous dérouter vers l’aéroport international El Dorado de Bogota. C’est un peu la confusion dans la cabine mais globalement, tous les passagers ayant assisté au bal des PNC depuis tout à l’heure et au vu de la situation, la nouvelle est très bien accueillie par tout le monde.


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L’IFE est automatiquement mis-à-jour pour afficher notre nouvelle destination.


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Par contre, il diffuse comme programmé à l’avance j’imagine, une vidéo sur comment faire son transit/sortir de l’aéroport et remplir les formalités, sauf qu’elle concerne Panama City-Tocumen.   


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BOGOTA l'IMPrÉVUE


Nous sommes déjà très proches de Bogota et la descente va être très rapide.


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L’approche est magnifique. La lumière d’après-midi dessine magnifiquement les montagnes verdoyantes des environs de la capitale colombienne. Les photos ne leur rendent pas justice.


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On slalome pas mal avant d’arriver au-dessus d’une ville qui s’étend énormément sur les flancs des montagnes.


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Le CBD.


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Une averse très très locale.


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Puis d’un coup c’est vraiment tout plat, ça sent le terrain propice pour un aéroport.  


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Nous nous posons à 15h45 heure locale, après 6h de vol.


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Un 787-9 de KLM qui pourrait m’amener directos à Cartagena maintenant que je suis là.


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Nous suivons une voiture Follow Me qui nous amène à une porte où les secours nous attendent, ambulance et personnel médical en stand-by.


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Le jetbridge est arrimé et les médics pénètrent dans l’appareil.



Il s’occupe donc de l’homme qui a l’air un peu fatigué mais pas spécialement mal en point. Cela il devait y avoir une bonne raison à ce déroutement.



Une dizaine de minutes passent avant que l’homme ne soit levé et débarqué par les médecins.



De nombreux passagers s’étaient levés, soit pour observer la scène, soit juste histoire de s’injecter un peu de sang dans les gambettes, ça fait toujours plaisir après 6h assis.



L’homme quitte donc l’appareil, accompagné par l’équipes médicale et un PNC, sous les saluts amicaux de certains passagers.


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L’IFE est reboot et le CDB annonce que nous sommes en train de faire le plein et demande que l’on maintienne nos ceintures détachées.


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Je commence à me dire que être débarqué et mis sur un vol Copa Airlines Colombia BOG-CTG direct ne serait pas désagréable.



Mais rapidement, la cabine est préparée, l’IFE relancée avec pour destination Panama City.  

Le roulage sera plus court qu’à Rio. Nous passons devant la partie militaire de l’aéroport.  


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Nous avons un VivaAerobus devant nous.


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Et un 737-800 d’AM et un 747 de CargoLux derrière.  


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CM 215 PT. 2


Finalement nous quittons le sol colombien que je retrouverais le lendemain. Au final, 1h13 exactement se sont écoulés depuis que nous avons atterri à BOG.  


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Le décollage offre des vues toutes aussi superbes que l’atterrissage.



Nous gagnons rapidement notre altitude de croisière.


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Le second service va commencer. Il n’est pas lié au fait que nous ayons fait une escale incongrue et était prévu dans tous les cas.   


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 Voilà ce second service tel qu’il arrive avec toujours le même jus dont je suis fan.


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Dans l’aluminium c’est une empenada champignon-fromage, pas mauvaise.


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Le soleil commence à ce coucher dehors, alors que le Pacifique pointe le bout de son nez.


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La vidéo de présentation du hub de PTY et comment cheminer à travers est rejouée.


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Nous approchons des côtes du Panama.


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Il y a des infos sur les IFE pour les passagers en connexion et les PNC discutent avec certains qui ont probablement déjà ratés leur prochain vol vu le retard engrangé par notre déroutement. Moi je n’ai pas de soucis, j’ai prévu large avec mes 20h d’escale.  


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Approche finale dans les dernières lueurs du jour.


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PANAMA CITY/TOCUMEN


Puis enfin nous touchons enfin le sol 8h07 après avoir quitté le sol brésilien.


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Roulage plutôt rapide, il n’y a pas de doutes sur qui est le patron des lieux.  


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Le débarquement sera rapide, on sent que ce vol a été un peu long.


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Passage par la cabine Business que je n’avais pas eu le temps de photographier durant l’embarquement. Il s’agit de l’ancienne cabine, configurée en 2-2 ce qui offre un bon confort pour de tel vol.  


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Un compagnon panaméen.


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On rejoint directement les portes d’embarquement. Ça m’a tout de suite choqué mais l’aéroport de Tocumen reprend tous les standards des aéroports nord-américains.


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Je suis un des rares à suivre le circuit arrival puisque la majorité des PAX sont en transit. Il faut descendre au niveau arrivées.


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La PAF est expédié immédiatement. Il y a plus de policiers que de passagers. La policière me demande évidemment mon certificat de vaccination contre la fièvre jaune.


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Je n’ai pas de bagages à récupérer direction donc la douane. Ici pas de files rien à déclarer, tout le monde est amené à passer son bagage dans un scanner après avoir préalablement donné à un douanier le formulaire distribué dans l’avion. Le Panama prend très au sérieux les questions de transmission de maladies tropicales et d’importations de fruits tropicaux et le lot de problèmes que cela peut avoir. Quelques questions plus tard, je peux enfin sortir.


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Je me dirige vers les transports publics indiqués par le panneau « Bus », après avoir troqué des euros pour des dollars américains, monnaie utilisée au Panama. La plus part des gens débarquant à PTY utilisent le taxi (30USD) ou les cars directs (10-12USD) mais peu sont informés qu’il y a moyen d’utiliser les transports publics directement, moyennant seulement 1 USD.



J’avais lu sur un blog comment emprunter cette voie, dont voici le lien : http://pty.life/metrobus-to-panama-airport/ (très bien expliqué !)

Pour faire simple il faut se diriger à droite lorsqu’on a le terminal dans le dos. Au bout de celui-ci se trouve un fast-food et il y a un petit couloir à côté. Suivez-le puis traverser le parking et enfin suivez la voie couverte, vous arrivez à un rond point avec de part et d’autre un arrêt de bus. Traversez pour vous rendre vers Panama City.  

 Là de nombreux bus se rendent dans le centre, j’ai attendu pas mal le Corredor Sur (presque 40min) mais il mène très rapidement au centre, et je me retrouve à Panama Viejo en à peine 25min. Pour utiliser le bus il faut une carte. Le blog plus haut explique plus haut que si vous n’en avez pas, il faut demander à donner de l’argent à quelqu’un dans le bus qui a une carte et qui vous fera passer avec. Je demanderais à un jeune qui me fera passer et refusera que je le paye, très sympa. D’après ce que j’ai entendu et ce que m’a affirmé le lendemain une dame de l’aéroport il est désormais possible d’acheter une carte de transport à l’aéroport.

Voilà pour finir le trajet des deux segments du vol.
  



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Notes des produits

Compagnie aérienne

Copa Airlines 8,1

  • Cabine7,0 / 10
  • Equipage10,0 / 10
  • Divertissements8,5 / 10
  • Restauration7,0 / 10
Aéroport de départ

Rio De Janeiro - GIG8,5

  • Fluidité8,0 / 10
  • Accès8,0 / 10
  • Services9,0 / 10
  • Propreté9,0 / 10
Aéroport d'arrivée

Panamá City - PTY6,9

  • Fluidité10,0 / 10
  • Accès6,5 / 10
  • Services3,0 / 10
  • Propreté8,0 / 10

Conclusion

- COPA AIRLINES
Confort : 7, le siège est plus que correct et la cabine moderne, on appréciera cette version moins dense du Boeing 737-800 « B » (cf le magasine de bord), utilisée sur les lignes les plus longues de Copa Airlines. Le pitch paraît cela dit un peu faible.

Divertissement : 8, la présence d’un IFE sur ce type d’appareil n’est pas forcément évidente bien que vu l’emploi que la compagnie en fait (des lignes que l’on pourrait qualifiée sans trop de polémique de long-courriers), cela relève quand même du minimum vital. L’écran répond très bien, la géo vision fonctionne parfaitement et l’offre de films m’a paru bien étoffée.

Personnels : 10, PNC et PNT très compétents, peut-être pas les plus sympas qu’il m’ait été de voir, mais ils ont géré ce déroutement de manière très professionnel, limitant le retard tant que possible.

Restauration : 7, assez satisfait dans l’ensemble, bien qu’un peu pauvre en quantité selon moi.

- RIO DE JANEIRO/GALEÃO TOM JOBIM
Fluidité : 8, un peu d'attente pour le check-in et aux passeports mais rien d'affolant

Accès : 8, venir en BRT/Métro reste une option un peu longue mais accessible (8R$, soit moins de 2€), en revanche le prix des Ubers est très compétitifs (30-45 R$ soit 6-8€ pour le centro).

Services : 9, l'aéroport est très bien équipé je trouve, il y a l'essentiel de ce dont on a besoin, la présence de prises sur quasiment tous les sièges est un énorme plus.

Propreté : 9, RAS

- PANAMA CITY/TOCUMEN
Fluidité : 10

Accès : 6,5, l'option bus peut s'avérer un peu compliqué à l'aller comme au retour mais tout à fait faisable. Les autres options sont chères je trouve.

Services : 3, la note est sévère mais je détaillerais plus pour le vol retour les raisons de celle-ci. À l'arrivée, il y a une banque, un change, ATMs, transferts vers Panama City, donc un peu l'essentiel, mais par exemple, le wifi limité est une aberration selon moi dans un tel aéroport.

Propreté : 8, un peu sale quand on sort de l'aéroport, juste devant le terminal, mais sinon l'intérieur m'a semblé propre.

Grosso modo, l’expérience Copa Airlines s’est avéré très satisfaisante. Meilleur prix sur l’axe Brésil-Cartagène en ce début de période estivale, je pense pas que cette compagnie ait quelque chose à envier aux autres majors sud/nord-américaines et leurs wide-bodies (bien que loin d’être généralisées sur le continent).

A bientôt pour le retour...

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Les derniers avis de nissimpasa

Commentaires (12)

  • Merci pour ce très bon FR bien détaillé !

    Courageux ce long vol qui plus est avec un déroutement ... L'offre Copa est plutôt satisfisante même si la deuxième prestation pourrait être améliorée.

  • Merci pour ce FR bien documenté !

    J’ignorais que TAAG passait par GIG avant de renter à Luanda, est-il possible de voler sur le GRU-GIG seulement ?

    Ravi de voir à quoi ressemble le catering de Copa sur un vol de 7h en éco, je crois que ça n’avait jamais été reporté

    Je suis aussi fan de leurs jus de fruit que je trouve assez ”naturels” comparé aux jus des autres compagnies qui sont coupés à l’eau

    La première prestation est plutôt similaire à ce que la compagnie propose sur les autres vols, le plateau reste correct malgré la quantité et l’absence de dessert

    Et avec l’empenada (chaud?) de fin de vol, le catering ressemble au final à ce que certaines compagnies servent sur des transatlantiques de la même durée

    Fin de vol inattendue mais l’équipage a bien géré

    A bientôt

    • Merci pour ton commentaire !

      En fait le vol TAAG est un LAD-GRU-GIG-GRU-LAD. Ce qui géographiquement n'a aucun sens, mais cela occupe l'appareil plutôt que de passer toute la journée à GRU en attendant le retour de nuit. Cela dit tous les vols vers GRU ne continuent pas vers GIG.

      Exactement j'ai été très surpris par ces jus.

      Oui la deuxième prestation était chaude, ce qui n'est pas désagréable.

  • Bonsoir,

    Merci pour ce FR très complet et plaisant à lire.

    "En tout cas, le plaisir de m’approprier ce rang a été bien court et la déception n’en est que plus grande." => ah zut… :(

    Catering correct même si le plat principal est quantitativement destiné à un enfant…

    Le déroutement ne vous a pas pénalisé, tant mieux.

    A bientôt

  • Merci pour ce FR.

    Un vol aussi long en 737 c'est courageux.

    Et la chance n'a été que de courte durée pour la triplet de libre.

    La barquette du plat chaud permettrait dans mettre plus.

    L'incident à bien été géré avec ce déroutement sur Bogota.

    Comment était le remplissage de la J ?

    A bientôt

    • Merci pour ton commentaire !

      Je me suis dis la même chose en voyant la barquette.

      Plutôt bon, je dirais aux alentours de 80% à vue de nez.

  • Merci beaucoup pour le partage !

    Et bien, un sacré long vol en 737, il faut vouloir, et en plus un déroutement médical pour bien encore rallonger le temps.

    Ces passagers qui viennent squatter ton triplet de sièges ont dû passablement t'énerver :) Je crois que c'est le pire de tout, penser qu'on va avoir une rangée à soi et se la faire "confisquer" juste avant le départ.

    A bord le catering est plutôt appétissant à défaut d'être consistant.

    A bientôt !

  • Merci pour ce FR ! Passer plus de 7h dans un 737 peut effrayer au premier abord, mais avec un bon IFE, un repas chaud et une collation, ça passe beaucoup mieux ! J'espère que GOL propose quelque chose de similaire dans son BSB-MCO :)

    Je ne savais pas qu'il existait encore des 767 aux couleurs LAN !

    L'abandon de l'anglais par LATAM au Brésil est franchement regrettable, je suis même étonné que l'anglais ne soit pas obligatoire. J'ai moi-même été désagréablement surpris avec LATAM à SCL, la plupart des annonces n'étaient qu'en espagnol.

    Complètement d'accord sur la cible du spotting : ce 777 TAAG ferait envie à tout AvGeek ! Mais visiblement pas de 5e liberté entre GIG et GRU, snif...

    A bientôt !

    • Merci pour ton commentaire !

      Je suis très curieux de savoir ce que GOL propose sur ses vols vers la Floride. Même si jusqu'à nouvel ordre, ce vol est assuré par du matériel Delta.

      Il en reste pas mal, j'ai aussi vu des 787 encore LAN à SCL.

      Même expérience à SCL, LPB, LIM, MVD... et j'en passe. Cela dit plus je m'améliore en espagnol plus je suis satisfait de comprendre ce qu'ils disent mais ça n'enlève rien au problème.

      Nope, impossible de le prendre sur GIG-GRU. Il ne s'agirait d'ailleurs pas de 5ème mais de 8ème liberté techniquement. ;)

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