Avis du vol entre Salt Lake City et San Diego en classe Affaires avec Delta Air Lines

Bonjour à tous,
je vous avais laissé lors du dernier épisode avec un suspense insoutenable digne des meilleurs séries Z avec une seule question : correspondance ou pas ?
Ayant reçu un nombre incalculable de tweets, mails et autres SMS pour avoir la réponse, je me décide enfin à vous révéler la fin de la l'histoire avec ce nouveau FR.
Pour mémoire voici le routing de ce séjour :
- Frankfurt (FRA) - Paris (CDG), Air France, economic premium, A318 , FR4110
- Paris (CDG) - Boston (BOS), Air France, business, B777-200ER, FR4131
- Boston (BOS) - Salt Lake City (SLC), Delta Airlines economic, B737-800, FR4151
- Salt Lake City (SLC)) - San Diego (SAN), Delta Airlines, business, A319, Now
- San Diego (SAN) - Atlanta (ATL), Delta Airlines, business, B757-200
- Atlanta (ATL) - Frankfurt (FRA), Delta Airlines, business, B767-400 ER
Il ne me restait plus que 25 minutes avant le départ de mon vol pour San Diego. Pas mal de stress car c'était le dernier vol pour SAN et je n'avais aucune envie de passer la nuit à Salt Lake City. Me dépêchant de sortir de l'avion, j'arrive devant les panneaux des vols et à mon grand soulagement, je suis seulement à 50 mètres de la porte du vol pour San Diego et surtout mon vol est en retard.

Mon appareil est déjà la et le chargement des bagages et du catering (c'est possible ?? :-) ) est en cours.

Le terminal est bruyant et il y a beaucoup de monde.

J'avais contrôlé à Boston la upgrade stand-by list pour ce vol et je me trouvais en position numéro 1. Bonne nouvelle car mon nom disparait de cette liste pour passer en confirmed upgrade :-) Bon ce n'est que pour un vol de 2 heures mais c'est quand même plus agréable pour voyager et mon avion à l'air un peu plus récent que celui de Pititom vers PHX.

L'embarquement commence à 10H30 et je peux enfin rejoindre mon siège qui est un siège business classique des lignes américaines. L'accueil est très sympathique par un PNC haut en couleurs mélange de Richard Brandson et de Rod Stewart.

Le pitch est bon mais l'inclinaison du siège est assez limitée

Une couverture et un oreiller était prédisposés sur le siège

Le PNC ramène à chaque passager une bouteille d'eau et prend au passage les commandes pour un pré-drink. Les passagers attaquent fort : bière, vin, rhum et whisky. Je me contente d'un verre de coca car je suis comme un zombie subissant le contre-coup du décalage horaire et du confort spartiate de mon vol précédent.

On repousse au environ de 11H00

Il fait une nuit d'encre et l'appareil s'aligne sur la piste

Décollage et durant la montée, il y a aura de fortes turbulences. En fait les turbulences seront mon leitmotiv tout au long de ce voyage ce qui est franchement moyen :-(

Ayant somnolé (et non marmotter !!) pendant 5 minutes, me voici d'attaque pour prendre un verre et je décide d'attaquer fort avec un gin tonic. Je me demandait l'utilité de la paille pour boire un gin toi

Puis je continue avec un second agrémenté avec des cacahouètes et des chips au cheddar que je trouve addictives :-)

Le PNC passe de nombreuses fois proposant de remplir les verres mais je préfère finir ma bouteille d'eau. Je comprends mieux le penchant de KévinDC pour les spiritueux :-)

Passage au dessus d'une ville mystérieuse

et je tombe dans les bras de Morphée avec un réveil au moment du toucher des roues sur la piste. Nous sommes arrivés avec 45 minutes de retard et il me faudra encore 50 minutes pour récupérer ma voiture car Hertz a complètement merdé au niveau de ma réservation et il faudra attendre un long moment pour avoir une voiture avec un GPS.
Il est 1 heure du matin quand enfin je peux me coucher dans un lit bien confortable.