Bonjour à tous,
Ayant fraîchement terminé les rattrapages 2021, je puis entamer ceux de l'année 2022 ! Et hasard des publications, celle-ci sera ma 200e sur Flight-Report !
Alors, pour fêter la chose, je vous propose de vous narrer le vol le plus exceptionnel sur le plan avgeek de cette année.
le mythique metroliner
L'objet tant convoité s'appellera au fil des générations Metro II, Metro III, Metro 23… Mais on retiendra surtout le nom générique de ce modèle : Metroliner. Un nom bien particulier qui allait préfigurer son rôle pendant près d'un demi-siècle, son premier vol ayant eu lieu en 1969.
Tandis qu'à l'Est des grandes plaines, Armstrong, Collins et Aldrin quittaient la Floride à bord d'Apollo 11 pour rejoindre la Lune ; tandis qu'à l'Ouest s'envolait le tout premier des Jumbo Jet depuis Seattle ; un petit Métro des airs s'envolait depuis les ateliers d'Ed Swearingen au Texas.
Au départ, il y eu le mythique Twin Bonanza de chez Beechcraft, un avion qui révolutionnera l'immédiat après-guerre. Ce petit avion d'affaires donnera lieu à une évolution baptisée Queen Air (dont la folle lignée aboutira aux King Air bien connus de nos jour). Ce Queen Air connaîtra donc une version encore évoluée doté d'une nouvelle motorisation mise au point par Ed Ed Swearingen et recevra un nom de baptême légendaire : Excalibur.
Par la suite, Ed Swearingen s'engage dans le marché très porteur à l'époque des commuter, ces petites liaisons reliant les métropoles aux régions reculées, entres montagnes rocheuses et grandes plaines. On commençait alors à passer timidement du voyage aérien au transport aérien.
Il fut décidé de créer dans un premier temps une version turbopropulsée de l'Excalibur. Cet avion deviendra alors le Swearingen Merlin, histoire de rester dans la même thématique chevaleresque.
Puis, c'est au tour du Merlin d'évoluer cette fois vers l'aviation de transport en proposant une cabine allongée pouvant accueillir 19 passagers. Le Metroliner était né.
Produit dès 1969, la production sera ensuite poursuivie par Fairchild Dornier jusqu'en 2001. Les différentes générations s'articulent comme ceci :
- Metro I (1969-1974)
- SA226-TC Metro II (1974-1980 : avec nouveaux hublots et une option pour ajouter un RATO, un moteur-fusée pour améliorer les performances au décollage !)
- SA227-TC Metro III (1980-… : renforcement de structure, augmentation autonomie)
- SA227-TC Merlin IVC (version aménagée en vol d'affaires, reprenant le nom du petit avion d'affaires qui avait précédé)
Une ultime version verra le jour. D'abord baptisée SA227-CC (pour commuter category) puis SA227-DC, elle prendra le nom de Metro 23.
Deux sous-catégories verront le jour : l'Expeditor 23 (avec une nacelle externe sous le fuselage pour augmenter la capacité cargo) et le Merlin 23 (version d'affaires).
Il y eu une dernière tentative de modernisation sous les noms de Metro V et Metro VI, mais ces dernières ne verront jamais le jour, faute de nouvelle clientèle.
A noter qu'un prototype Metro 25 fut certifié : il s'agissait d'un Metro 23 dont on a supprimé le compartiment bagages arrière, permettant à 25 passagers de prendre place.
Mais trêve de bavardages, retournons au fil du récit !
le routing
Le Metroliner était sur ma to-do-list depuis fort longtemps, mais il me semblait alors illusoire que je puisse le prendre un jour. Je ne me voyais guerre partir de sitôt aux US rien que pour lui, et de récents accidents faisaient craindre un retrait définitif (rien que chez Key Lime Air : en 2016, un Metro Cargo s'écrase ; puis en 2021, un Metro entre en collision avec un Cirrus en plein vol).
Puis à l'invitation d'un très cher ami d'enfance expatrié à Denver, je parviens enfin à trouver le temps de le rejoindre, tout en me concoctant un petit festin de routes et d'avions avgeeks locaux. La cerise sur le gâteau étant évidemment le Metroliner !
Le reste du routing sera publié bien plus tard par ordre chronologique. Je maintiens donc le suspens d'ici là ;)
Enchainement de vols
- 131/10/2022 |DEN → AIA| Key Lime Air | Metroliner
accès à denver
Fraîchement arrivé à Denver et ayant été récupéré en voiture, je n'avais pas encore emprunté les transports locaux. Je profite que mon vol parte en fin de matinée pour prendre une grosse marge. Départ donc à 8h du matin !
J'attraperai la ligne 12 qui passe toutes les demi-heures. Mon ami m'avait prévenu, les transports en commun au pays de la reine voiture ne sont pas particulièrement fiables/ponctuels. D'où ma marge conséquente ! Les arrêts de bus sont très sommairement indiqués (voire pas du tout) et je devrai mon salut à google maps pour obtenir un itinéraire pertinant et des horaires à priori en temps réel (Citymapper était complètement à la ramasse). Je ne cache pas un certain soulagement lorsque je vois enfin le bus arriver.
Pour les titres de transports, seul l'achat via l'application mobile était disponible. Cela m'a pris 3min, temps de téléchargement compris.
Arrivé à 38th - Blake, je m'apprête à prendre mon premier train nord-américain. Bon, ça ne sera pas le confort du California Zephyr qui relie Chicago à San Fransisco via Denver… Mais tout de même.
Même pour un banal pendant du RER, ce genre de traversées de voie est bien dépaysant.
Les écrans de contrôlent affichent des temps d'attente qui semblent avoir subit une courbure de l'espace temps. Les 5min affichées seront réellement 15min. Quand aux destinations, la ligne A possède deux branches et l'affichage annonce bien la direction de l'aéroport… Mais pas le train qui arrive à l'heure indiquée.
Le train suivant est annoncé 20min plus tard, et finalement la rame pour l'aéroport arrive en moins de 5min. Je n'y comprend pas grand chose mais l'essentiel est d'avoir attrapé un train dans la demi-heure, la fréquence officielle Union Station <> Airport étant de 30min.
Un seul tarif est disponible pour rejoindre l'aéroport : le pass journée à $10.50, ce qui est fort pratique lorsqu'on effectue l'aller-retour dans la journée.
Le train est quasi-neuf (la ligne a ouvert en 2016) et plutôt agréable, malgré des sièges en plastique brut.
Et puis que dire de l'ambiance, avec ce sifflet tri-ton si emblématique des trains américains qui siffle à répétition à chaque passage à niveau et chaque gare. Le dépaysement total juste avec un RER ;)
Au loin, les montagnes rocheuses sont déjà bien enneigées.
aéroport de denver
L'aéroport est en vue. Je trouve l'ensemble vraiment très sympa, avec le portail d'entrée qui accueille les bureaux, et ensuite le terminal des départs/arrivées habillé de chapiteaux blancs.
Arrivée sans encombre à 9h15. Malgré un système d'affichage horaire très farceur, les transports locaux auront rempli leur rôle. De manière générale et avec l'expérience accumulée depuis, il faut prendre une grosse marge et prendre le premier train qui se présente. On sait qu'il y en aura un environ toutes les 30min, mais l'horaire de départ est assez aléatoire.
Le portail d'entrée est assez impressionnant.
Puis on pénètre dans le vaste terminal principal où la liste des comptoirs d'enregistrement est clairement indiquée.
En ce qui concerne mon vol, bien qu'opéré par la compagnie Key Lime Air, le nom commercial sur lequel tout le réseau est organisé s'appelle Denver Air Connection.
Tout au centre de l'aérogare se trouve le passage principal pour la sécurité qui amène directement au train qui relie les trois terminaux.
Un autre point de sécurité un peu caché permet d'emprunter le vaste pont qui passe au-dessus des taxiways en direction du terminal 3.
Les comptoirs d'enregistrement sont eux placés tout autour de cette partie centrale.
La compagnie est bien mise en avant, c'est difficile de se tromper ! (pardon pour la photo floue !)
Rien que ce petit écriteau montrant fièrement un rare Dornier 328 Jet montre à quel point cette compagnie est incontournable pour tout avgeek qui passerait dans les parages !
Les horaires étant assez contraignants, j'ai choisi de faire un aller-retour express avec l'avion en achetant 2 aller-simples. Pour assurer le coup, je signale ma situation a l'agent et lui demande s'il y a moyen de prévenir l'escale à Alliance pour que j'ai le temps de récupérer la carte d'embarquement. Pas de soucis ! me répondit-il. J'avais lu sur quelques forums avgeek qu'ils avaient l'habitude d'accueillir ces fous volants que nous sommes ;)
En attendant, je récupère la carte d'embarquement du premier vol. Je le tiens presque ce Metroliner !
Maintenant, il faut passer le PIF et vu comme ça, ça n'a pas l'air très engageant. Au final, le tout sera franchit en moins de 5min montre en main. Tout est hyper efficace et le nombre élevé de postes permet de bien répartir tout le monde. J'envisageais le passage du PIF comme un point noir. Et bien sur tout mes vols réalisés depuis Denver, je n'aurai guère attendu plus de 10min, malgré le nombre impressionnant de passagers brassés chaque jour.
On rejoint ensuite le train qui relie l'aérogare aux 3 terminaux.
Ce schéma aura le mérite d'être plus clair que ma prose descriptive. Pour aujourd'hui, l'embarquement aura lieu au terminal C.
Arrivé au terminus, il faut grimper de quelques niveaux.
Et il faut dire que c'est aussi vaste qu'impressionnant !
La majorité des points de restauration se situent autour de ce puit central. Au-delà, on ne trouve que les portes d'embarquement. Si le choix est vaste, le prix y est par contre très élevé (et on n'y trouve même pas de mayo à la truffe ^^)
Le Terminal C accueille également un avion ! Un vrai ! Qui plus est entier !
Dont voici le pédigrée très intéressant.
J'aime beaucoup cette démesure qui n'est pas non plus tape à l’œil. On est à des années lumières de certains aéroports bas de plafond et oppressants.
Tout en bas, on retrouve la "fosse" du métro.
Je n'avais encore jamais vu de librairie dans un aéroport. C'est désormais chose faite !
Ensuite, il faut parcourir un impressionnant dédale de portes. Celles de Denver Air Connection sont situées tout au bout.
Les grandes baies vitrées offrent une splendide vue sur tous les mouvements aéroportuaires, où que l'on soit dans le terminal.
Au passage, un A320 JetBlue.
Puis on poursuit encore et encore…
Avec toujours ces grandes baies spotterfriendly !
Ça y est, on en voit le bout.
Cerise sur le gâteau, une terrasse ouverte est disponible en bout de terminal. Il y fait très froid mais qu'importe, on y est très bien !
D'ailleurs, qui vois-je par là-bas ?
Enfin le voilà ! Ce fameux Metroliner qui s'est fait longuement désirer. Il a une gueule vraiment atypique, avec ce fuselage étroit et ce nez long.
Cet Embraer 145, déjà un tantinet avgeek, paraît bien banal à côté !
Une autre compagnie locale qui aurait pu m'intéresser si j'avais eu plus de temps sur place.
L'embarquement aura lieu à l'étage inférieur, de plein pied avec le tarmac.
Je suis si prêt du but. Mon impatience ne connait plus aucune limite !
le vol
Let's go !
Pas mal d'agents en sol encadrent l'embarquement et je suis bien observé par l'un des pilotes. Alors en attendant de savoir s'ils sont spotterfriendly, je préfère cadrer rapidement (et mal) cet avion désormais très rare !
Je ne dirai pas qu'il est particulièrement beau cet avion, mais il a un certain charme décuplé par la rareté.
Focus sur le turboprop un brin vintage, mais avec 5 pales malgré tout ! Cet exemplaire est un Metro 23, la plus récente version produite.
L'oiseau du jour est le N820DC, délivré en 1993 à Aerolitoral avant de rejoindre Key Lime Air en 2004. Pas si vieille la bête ! (surtout quand elle a l'âge de l'auteur)
Il ne reste plus qu'à gravir les quelques marches jusqu'à l'étroit fuselage.
Le fuselage shot est de rigueur ;)
Ainsi qu'un gros plan sur cet imposant turbopropulseur.
Je profiterai d'être premier de cordée pour choisir le siège que je désirai : au premier rang pour avoir une vue plongeante sur le cockpit. Notez l'énorme espacement entre les sièges. Pour des questions de réglementation, la compagnie a choisi de ne remplir la cabine que de 9 sièges au lieu de 19 !
Vue sur l'intégralité de la cabine, qui ne se parcourt que tête baissée. Cela me rappelle mon vol en Be-1900C qui avait également un fuselage étroit comme celui-ci (voir le FR ici)
Le premier siège dispose d'un espace assez réduit, mais qu'importe !
Car la vue offerte est royale !
Et la vue sur l'hélice est on ne peut plus plongeante.
Nous sommes 5 passagers. L'embarquement sera ainsi bien rapide !
Clac clac, la porte est fermée. Vous n'imaginez pas le bonheur que j'avais à cet instant. J'y suis enfin à bord de cet avion !
Après un rapide mot de bienvenue, l'équipage met en route la machine. Ca sent fort le kérosen, ça vibre, c'est sonore… Bref, l'aviation comme je l'aime ! Bien que l'oiseau n'avait que 29 ans, on sent que la conception de l'engin volant remonte à Mathusalem. J'espérais du vintage, je suis servit !
A 11h38, soit 7min d'avance, nous entamons le roulage sur cette immense étendue aéroportuaire.
Ciel ! J'allais oublier mon instant favori. Celui-ci sera assez vintage et dépourvu, avec seulement les inscriptions en toutes lettres.
Nous roulerons ensuite à grande vitesse jusqu'à la piste 8. Parmi les 6 pistes que comportent cette aéroport, 4 sont parallèles nord-sud et 2 est-ouest. Nous décollerons aujourd'hui face à l'est.
A 11h43, soit 2min avant l'horaire officiel de départ, nous nous élançons dans un grand bourdonnement en do dièse !
Le roulage sera relativement long malgré le peu de charge marchande. Il faut quand même rappeler que Denver est situé à 1650m d'altitude et que les performances y sont forcément dégradées.
Face à nous, l'immensité des grandes plaines.
Le climat des grandes plaines du Colorado est assez aride. Denver est situé à l'exact point de rencontre entre l'air asséché provenant des Montagnes Rocheuses, l'air chaud et humide provenant du Mexique et l'air polaire venant du Canada. Ce cocktail donne lieu à des variations météorologiques assez extrêmes et j'aurai pu vivre tous ces contrastes en seulement quelques jours, passant de 20 degrés en journée à des chutes de neige en soirée !
Pour l'heure, la température est plutôt douce et l'horizon se voile de brume.
Même si au fond, les rocheuses rappellent que l'hiver n'est jamais bien loin.
Quelques lacs asséchés et cultures avec irrigations en rond.
Nous poursuivons notre montée au sein de nombreuses turbulences.
A défaut de service à bord, je vous propose l'examen de cette safety card ultra-collector et qui n'aura guère survécue aux lois de Newton !
Un petit rappel des consignes de sécurité élémentaires est affiché au-dessus de chaque place.
Tout à l'air de bien se passer, là devant. Nous filons à 246Kn en vitesse sol et à 18000 pieds.
On dirait pas mais ça file vite !
Voici deux courtes vidéos qui, je l'espère, rendront assez fidèle l'ambiance sonore sympathique qui régnait à bord.
On arrive désormais dans le Nebraska. Le désert est omniprésent et c'est magnifique !
J'adore observer ces formations rocheuses qui sortent des vastes étendues planes.
Puis nous entamons notre descente, même si pour l'instant, rien ne laisse présager qu'une ville se cache dans le coin tant c'est désertique !
La terre se rapproche…
Dernier virage…
Et nous voici en courte finale.
D'habitude, les vols sont toujours trop courts à mes yeux. Celui-là l'était encore plus ! Heureusement qu'il en reste un à venir pour en profiter d'avantage !
La piste semblait assez loin de l'aérogare. Peut-être un héritage du temps où le terrain avait une forte activité militaire.
Après cette petite heure passée en compagnie de ces grosses pales, le silence suivant l'extinction des moteurs est assourdissant ^^
Même si nous avons un bon quart d'heure d'avance sur l'horaire, je me dépêche de rejoindre l'aérogare afin de récupérer le BP du vol retour. Je prendrai plus de temps tout à l'heure pour les photos.
En attendant, bienvenue à Alliance, Municipal Airport ! J'adore cette devanture tellement atypique !
A l'intérieur, les lieux sont plutôt très accueillants. On se croirait presque dans un appartement !
Comme en témoigne cette belle commode !
De nombreuses photos et objets témoignent du passé militaire du terrain, notamment pendant la seconde guerre mondiale.
Ces clichés témoignent d'une vie trépidante sur cette base désormais calme.
Je me rend expressément au comptoir de la compagnie. L'agente en poste m'attendait avec le sourire et en quelques instants, je récupère le précieux sésame. Elle me précise que la sécurité n'ouvrira que dans une dizaine de minutes.
J'en profiterai pour respirer quelques instants l'air du Nebraska.
L'aérogare dans son ensemble.
Et enfin, l'oiseau du jour, prêt à repartir. Quel pied cet avion !
La suite du récit sera relaté dans un nouvel opus qui ne sera pas publié tout de suite, le temps que je rattrape la publication des vols précédents !
Merci pour votre lecture et à bientôt !
Merci pour le report, résolument avgeek plutôt que travelgeek. Alliance ne donne pas vraiment envie...
Vu tous les incidents que tu as cité avec l'avion, j'aurai eu peur de voler avec. Un petit coucou dans les décollages turbulants de Denver, ça a du secouer.
Denver est clairement TOP 1 des "grands" aéroports etatsuniens, et je suis d'accord avec toi, il occupe une haute place dans le monde. La fluidité est tjrs impec, c'est clair, beau, et les décollages et atterrissages offrent de belles vues.
L'aérogare d'Alliance me fait penser à celui de Grand-Case à Saint Martin (côté français), seulement relié à la Guadeloupe.
Toutes les notations sont restées à 5.0, je ne sais pas si c;'est normal.
Ce type de vol n'existe vraiment qu'aux USA où aucune alternative n'est proposée, car faire voler un avion de 9 places... ça reste une aberration, certes qui fait plaisir à ces fous d'avgeek, mais une aberration quand même.
à bientôt, Louri
?
?
Merci pour ce report Cyrille.
Ça, c’est du dépaysement au niveau géographique mais surtout en terme de machine. Quand la passion avgeek est aussi bien décrite, c’est un réel plaisir à lire et à écouter.
Merci pour cet excellent moment !
Merci beaucoup Greg pour le compliment :)
A bientôt !
Merci Cyrille pour ce FR.
Tout est fantastique !! Cela valait bien la peine de le choisir pour un numéro 200.
A bientôt
Merci beaucoup Valérie :)
A bientôt !
Merci pour ce super FR ! Si ça ce n'est pas du FR avgeek ;-)
Impressionnant cet aéroport de Denver, il semble immense au milieu du désert.
A bientôt !
Merci :)
Il fallait bien fêter cela de façon digne ^^
En effet, et les grands chapiteaux blanc se voient de très loin !
A bientôt !
Merci pour ce FR concernant un rare turbopropulseur.
Heu.... Je n'en compte que 5 ?
A bientôt !
Merci :)
Oui, quel boulet je suis ! Va falloir que je m'achète des yeux neufs :')
A bientôt !
Merci Cyrille pour cet excellent FR et félicitations pour le 200ème, que tu as célébré comme il se doit avec cette rareté qu'est le Metroliner !
J'ai lu ce FR avec d'autant plus d'attention que je vais tenter l'expérience bientôt moi aussi, en espérant que ça se passe aussi bien que pour toi !
Ton FR me confirme que le tarif de $10,50 entre l'aéroport et la ville est en fait le pass journée, ce qui permet de l'utiliser plusieurs fois, c'est bon à savoir !
Il est également rassurant de lire qu'un A/R avec le même avion, acheté en deux allers simples, se fait très bien ;)
Euh... Alors là par contre, je suis tellement déçu !! J'annule mes vols à DEN et je vais booker du 319 Delta sur du SFO-LAX tiens ! ;)
C'est assez rare et dingue de voir ça dans un aéroport !
C'est une bonne chose que le PIF à DEN soit aussi efficace, par contre ça semble contrebalancé pour les longs temps de transferts et de marche dans cet aéroport immense.
J'en compte 5 ahahah
Quand les nacelles des turbopros/turboréacteurs sont en métal non peint, ça fait tout de suite hyper vintage, j'adore !
Géniale cette config cabine à 9 sièges, avec legroom dément (presque) partout et hublot pour tout le monde !
J'avoue que c'est assez fabuleux comme arrivée ahahah !
Toujours un grand soulagement quand on fait un A/R express !
A bientôt !
Merci beaucoup cher Guillaume :)
Depuis, je sais que le chat noir t'aura joué de sacré vilains tours mais que tu auras pu miraculeusement (et épiquement) tester cet appareil unique. J'en suis fort ravi pour toi !
En effet, plusieurs fois et dans toute l'agglomération de Denver.
Sauf impondérables. Mais je crois que tout avgeek a une bonne étoile quelque part, même dans les situations les plus tordues !
En effet, c'est à l'image de la démesure de ce pays à la fois fascinant et dingue ^^
Rôôôô le boulet ! Je ne mérite même plus le label avgeek ! Surtout que les hélices de 5 pales sont extrêmement rares. J'aurai découvert ultérieurement que certains métroliner n'ont que 4 pales (comme celui pris par Okapi).
Oui totalement ! Quel pied cet avion vraiment :)))))
Je suis un grand stressé de ce genre de choses, alors oui, c'était un sacré soulagement ^^
A bientôt !
Merci beaucoup pour ce partage à bord d'un appareil vintage et mythique et soyons fou : exotique !
Merci Christophe :)
Oui, exotique a bien sa place pour cet avion aussi exceptionnel que rare !
A bientôt !
Voici un autre vol que nous devions faire ensemble mais je ne pouvais traverser l'atlantique à ce moment. Merci de nous avoir fait vivre ce moment en direct à l'époque. Comme tu le sais, les trois mousquetaires avgeek sont parfois 4 et si tout se passe bien, je ferai ce vol dans quelques jours en bonne compagnie. Le trio sera transformé en quartet sauf IRGAV et autres saletés de ce genre. Ce vol est un must et tout avgeek devrait le faire tant qu'il dure.
Le reste de la flotte DAC est tout aussi attractif ce qui laisse de la marge pour retourner dans le coin avant la fin de l'année.
Tu aurais pu entrer dans le terminal par une autre porte, je serai content de t'en dire plus sous peu. Un parcours plus scénique j'espère!
Merci d'avoir écouté mes conseils et d'avoir choisi ce moment d'anthologie pour ton numéro 200. Nous voici tous les trois avec un bon landmark.
Choisis bien ton 300!
Merci beaucoup cher Guillaume :)
Heureusement, le quartet aura pu tester cet avion extraordinaire, entre 2 tornades + un retour totalement atypique ^^ Mais ouf, l'avion est logué !
DAC et Southern méritent qu'on y reviennent !
Je n'avais trouvé cette entrée par le bridge qu'au dernier vol. Je pensais pouvoir m'y rendre depuis le PIF principal, en ignorant ce second PIF un peu caché !
Damn, j'ai la pression ! :')
A bientôt !
Que dire mis à part MERCI et BRAVO pour ce magnifique 200 ème récit!!?
Une expérience exceptionnelle que tu nous partage ici Cyrille.
Les USA sont un pays que j'adore touristiquement parlant, mêlé avec l'aviation c'est le combo gagnant ?
A bientôt!
Merci beaucoup Benji :)
Je crois qu'il n'y a pas d'autres mots pour décrire ce vol, et ce ne sont pas mes 2 comparses avgeeks habituels qui diront le contraire après l'avoir testé !
Les USA sont assez fascinants et côté avgeek, il y a tellement de choses à faire en effet !
A bientôt !
Merci pour ce FR avgeek made in USA et félicitations pour ce 200ème opus.
DEN est bien sympa et cette terrasse un vrai plus. Un oiseau rare et pour cause. A bord c'est byzance et rétro à souhait. AIA un aéroport régional (même plutôt municpal) tout mignon qui permet à ce coin de rejoindre le hub de DEN. Lors d'une de mes escapades US j'étais passé par là et avait fait un break pour voir Carhenge.
Hâte de lire la suite. A bientôt.
Merci beaucoup :)
En effet, l'aéroport de Denver est à la fois monstrueux, magnifique, agréable et très bien conçu au niveau des parcours sommes toutes assez simples.
Oiseau ô combien rare en effet, et dont l'exploitation ne sera pas infinie.
A bientôt !
Quel avion bien curieux! Je ne savais même pas que ce modèle existait.
On ne sent pas un peu à l'étroit à l'intérieur. Le legroom royal (sauf au rang 1 ^^) compense surement l'étroitesse du fuselage.
Merci pour le partage!
Merci Moritz !
En effet, le Metroliner n'a connu qu'une présence très marginale en Europe. La seule compagnie qui en a exploité était Air Iceland pour sa liaison Reykjavik - Kulusuk au Groenland.
Il est clair qu'avec un tel pas, on ne se sent plus trop à l'étroit. En tout cas moins qu'en Be-1900C étroit et densifié !
A bientôt :)
Merci pour ce FR,
Je (re)découvre le Municipal Airport d'une époque où je me rendais à Alliance pour bosser sur un projet informatique chez BNSF
D'ailleurs c'est une des grandes activités de la ville car il y a deux ateliers, un pour les locomotives et un peu plus loin, un pour l'entretien des wagons charbonniers.
A bientôt,