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Petit week-end à Berlin, je n'avais pas eu le temps de visiter à l'époque de TXL et cela sera l'occasion de tester BER (avec quand même pas mal d'à-priori, rendez-vous dans le FR impair). Avec la carte Week-End+, le tarif est plutôt intéressant, 405€, un mois avant, soit en gros le même prix qu'un A/R en Y à deux semaines du départ pour le même routing. Et en plus, un retour en A220 ; le seul inconvénient est un départ du 2G mais avec le nouveau salon je me dis que ce n'est pas forcément gênant.
Je profite de ce FR pour reporter des lieux qui le sont moins souvent (voire pas), et m'attarderai moins sur ce salon du 2G ou le vol dont on trouve déjà plein de FR fidèles pour en relater l'expérience (en notant tout de même les caractéristiques pour ce vol).
J'ai de la chance avec le yield, je trouve un bon tarif pour l'InterContinental également, 545€ les deux nuits en Club Level. Je complète par un pré-acheminement au Sheraton de CDG, 305€ booké last minute donc pas forcément le meilleur prix, mais il y a une offre AmEx avec 100€ de cashback pour 300€ dépensés donc c'est parfait, il n'y aura pas besoin de compléter par un achat au bar ou au room service pour atteindre le seuil, et pour la connaître, l'offre digestive du salon sera amplement suffisante.
Je pars donc la veille pour me rendre à CDG. Je suis en télétravail donc pas d'impératif, je termine tranquillement ma matinée et en regardant les horaires du TGV je me rends compte que je suis pile dans les temps pour prendre celui de 12 H 50 à Chessy. J'habite juste à côté de la gare en RER, je réserve mon billet dans l'application et je me dirige vers le quai 3. Depuis quelques années SNCF déploie des opérations « d'accueil embarquement » qui, à Chessy, se font à l'étage principal de la gare (niveau dalle). Je ne sais pas qui est le génie qui a inventé ça mais pour rejoindre le comptoir il faut traverser toute la gare… les escaliers les plus proches sont réservés à sortie des trains. Une partie taquine de moi-même se dit que la SNCF privilégie ceux qui viennent en voiture du parking (payant) plutôt que de la gare, mais c'est sûrement une question de flux. Enfin ce n'est quand même pas très bien pensé, à faire des ajustement au forceps et au plus faible coût, le penser argent passe devant le penser client.
Le trajet en TGV est confortable comme à chaque fois. Quel dommage que les traingeeks d'aujourd'hui soient omnubilés par une vision déformée de ce qu'ils nomment l'écologie. Le temps est loin où traingeeks et avgeeks se rassemblaient autour de la passion commune de la science…
Je voyage léger mais direction le Sheraton pour déposer valise et manteau. Idéalement accessible depuis la gare TGV, et décoré pour Noël car c'est la saison. J'ai fait l'OLCI et était prêt pour avoir mobile key, et m'épargner le passage par la réception, pas de chance, pas reçu ma chambre à temps, je passe donc au desk. Pas de statut chez Marriott mais il n'y a personne donc pas forcément besoin d'une file dédiée. J'aurais la chambre que j'ai réservé, c'est très bien.
La vue depuis la chambre est magnifique. Le Sheraton de CDG a probablement une des meilleures vues d'hôtels d'aéroport. Clin d'œil à mon arrivée, ma chambre est juste au dessus de la gare TGV. Je n'avais jamais prêté attention au fait que les avions chatouillent de leurs ailes les caténaires quelques étages plus bas.
Pour le déjeuner, j'avais repéré Mozza&Co dans la gare TGV qui vend des sandwich à base de foccacias. Hélas ceux-ci baignent dans le fromage et je n'en mange presque pas, je me rabat sur ma deuxième option et me dirige vers le 2F. En effet j'ai toujours voulu tester le restaurant Ladurée mais celui-ci est situé landside, sauf qu'il ferme pour le dîner et d'habitude j'arrive trop tard. Je ne sais pas trop à quoi m'attendre car sauf erreur c'est la première fois que le restaurant est reporté ici, même sur TripAdvisor ou Google on trouve peu d'avis, la plupart des clients notent les multiples carts disponibles dans tous les terminaux de Paris Aéroport et pas ce point de vente précis — qui est le seul à proposer l'offre de restauration.
Le restaurant Ladurée propose une sélection de plats en mode lunch snacking. La carte d'omelette est disponible toute la journée (et je peux confirmer qu'elle était belle, mon voisin qui en aura pris une). Pour ma part je me laisse tenter par un Advocado Toast avec du saumon et son œuf poché, et prend également une salade verte d'épinards en accompagnement.
C'est excellent, l'œuf est poché à la perfection (je ne doute qu'il est arrivé tel en cuisine, mais au moins il n'aura pas été surcuit). Le saumon est très bon, j'avais un peu peur que la tranche de brioche ne prenne le dessus mais le mélange est très bien dosé. (En ce qui me concerne c'est la perfection, mais si vous êtes un peu moins avocat et davantage brioche, vous allez peut-être que le plat pêche en glucide.)
Je ne prends pas de dessert mais des macarons, avec l'idée de les déguster au lounge du Sheraton.
Le Club Level lounge sert un afternoon tea de 15 H à 17 H, puis de 17 H 30 à 19 H 30 un apéritif dinatoire léger. Je commence par venir pour l'afternoon tea, dommage la machine à café ne propose pas de décafeiné (celui-ci est en en poudre) mais il y a des infusions Rooibos des vahinés. Avec les macarons Ladurée, c'est très bon ! je ne testerai pas les cakes qui sont proposés sur le buffet.
Pour le soir, l'offre est semblable à celle de ma dernière visite, bien que je trouve que la présentation s'est améliorée. La petite salade de tomate et betterave est délicieuse, je me resservirai.
Le personnel est adorable et me voit commencer par un petit apéritif avec des noix, et me propose de m'apporter des chips qui ne sont pas sur le buffet. Les vins ne sont pas ceux que je mettrai sur ma liste de Noël mais accompagnent ce léger repas. Je ne prendrai pas de bières car hélas seule la 1664 est proposée, dommage car le restaurant principal offre une référence de bière artisanale qu'il m'aurait été agréable de tester.
Le Sheraton ne sert pas de petit-déjeuner au lounge mais le lendemain je tomberai du lit, aussi j'irai faire un tour. L'offre est variée mais pas de chance, le saumon est trop salé, les patates pas assez cuites, je ne trouve pas de yaourts faibles en matière grasse (sauf les Sojasun, mais pas folichon car nature), le pain que j'avais repéré au lounge la veille n'est pas proposé au buffet, les haricots cuits sont un peu tièdes, et le café bon sans être exceptionnel. Bon je ne suis de toutes façons pas objectif car tombé du lit, et cela fait des années que je ne suis pas allé au 2G donc possiblement que tout ça est un prétexte de mon inconscient pour ne pas m'attarder là. De toutes façons j'ai de la route ! je me dirige au 2F direction navette.
La navette 2F-2G est une première pour moi, je la loupe alors qu'elle était stationnée et que j'aurais pu monter dedans car je lis sur la girouette N2, et voyant qu'il y a deux navettes ici, je ne suis pas sûr si c'est la bonne et je n'ai que peu envie de faire le tour des parkings et loueurs. Le temps de vérifier… la navette part… et je moronne en me demandant quel est le génie à Paris Aéroport qui s'est dit qu'une navette avec deux arrêts pourrait avoir une girouette N2 plutôt que 2F - 2G qui ôterait tout doute (voire N2 / 2F - 2G si vraiment la numération interne des navettes est un sujet de fierté et de rayonnement auprès du public). J'aime vraiment CDG, que je trouve d'habitude très lisible, mais là… le penser-client s'est perdu en route et sans raisons.
Après avoir pris la navette suivante, j'arrive au 2G, et je maudis le génie (est-ce le même ? si oui je voudrais postuler à Paris Aéroport pour le rencontrer) qui a pris la peine de construire à l'opposé de la route un chemin couvert que j'imagine personne n'utilise car le rond-point auquel il mène est interdit aux piétons, alors que celui entre la navette N2 et le terminal est à la merci des éléments (et forcément ce jour là il pleut).
Une fois à l'intérieur je passe rapidement le PIF, de toutes façons il n'y a personne et la file SkyPriority n'est qu'un prétexte pour serpenter un peu moins. Le contrôle aléatoire de substance explosive me fera perdre quelques secondes mais j'arriverai rapidement airside.
Opinion peut-être impopulaire mais j'aime ce terminal. C'est cheap (mais ne me montrez pas les factures) mais fonctionnel : une belle salle d'attente avec des jolis matériaux, des boutiques qui se réduisent à l'essentiel mais qui permettent de passer le temps, et au fond les deux jet bridge qu'il n'est pas nécessaire de climatiser autant que le reste. Quelque part je trouve au 2G une sorte d'élégance dans l'innovation et l'ingénierie, que l'on pourrait comparer au Terminal 1. Reste à voir s'il passera le test du temps et rien n'est moins sûr…
Direction le lounge pour mon deuxième (et vrai) petit déjeuner. Ce salon a été reporté maintes et maintes fois alors je vais me concentrer sur les différences (récentes) avec le 2F. Petit récap de la performance du jour (je copie volontairement mes points de notation du 2F) :
• les madeleines étaient proposées (avec un service au chariot et son Champagne ! vive la France)
• le spa Clarins… ne se réserve pas, il n'y a pas de spa ici (j'aurais pu pousser et reprendre la navette 2G/2F mais je ne suis pas spa addict à ce point)
• le chocolat Valrhona est disponible à l'entrée, mais juste devant les cerbères, si comme moi vous ne savez pas combien de boisson chaudes vous allez boire, vous ferez donc quelques aller-retours, qui pourraient donner l'air suspicieux
• beaucoup de frigos sans Perrier — bon là c'est facile à quantifier il y a deux frigos, le premier sans Perrier pendant trois heures, le second je prend un des dernier dès mon arrivée — et je note que je ne suis pas le seul à en chercher, j'entendrai un autre pax demander en anglais où en trouver
En ce qui concerne le petit déjeuner, peu de surprises par rapport au 2F, si ce n'est qu'il n'y a qu'une seule fontaine à eau infusée (sur les deux variations). Pour le reste je peux me tromper mais tout ce que j'ai l'habitude de consommer est présent.
Pour le déjeuner par contre c'est un peu la désillusion, si celui-ci est servi à 11 H comme au 2F, il consiste essentiellement en un buffet froid. Pendant une heure les restes de saucisses et d'œufs brouillés du petit déjeuner resteront, ce qui en soit est une bonne chose en soit, mais les autres plats n'arriveront qu'une fois des pax s'étant dévoués pour finir les restes. Et par autre plat j'entends… croissant au fromage… dommage que le côté cheap du terminal déteigne sur l'offre du buffet…
Bon point pour le 2G, un service à la table de Champagne et de madeleines. Dommage les verres sont déjà servis, j'aurais voulu juste un fond pour accompagner, préférant boire du vin avec le repas qui arrive.
Les salades sont très bonnes, mais, quelle déception, après avoir salivé devant les plats exceptionnels que le 2F offre à ses invités — et je me répète digne d'un plateau J LH — c'est vraiment la douche froide. Quand je voyage pour le loisir j'aime passer du temps au salon pour justement en profiter et là je reste sur ma faim, au sens propre comme au figuré.
L'heure du vol finit par arriver, deuxième petite déception pas de Mas Amiel dans le buffet des digestifs, mais je ne sais pas si c'est temporaire. J'en avais pourtant vu dans des photos de FR du salon. Il y a cependant un Bas-Armagnac XO du Château de Laubade et je me laisse tenter par une goutte (légère j'ai quand même le vol qui suit et il est fourbe). Il est très bon, même si je ne suis pas certain que le lieu soit le mieux pour en profiter. Toujours pas d'affichage en porte mais Flighty m'a donné la notification d'un départ en G35 dès mon réveil, ce qui est aussi affiché sur Google Flights. Je sens que l'on va être en retard mais je me dirige malgré tout en porte.
Une fois passé le jet bridge je confirme que je n'ai pas du venir ici depuis des années car je n'ai aucune mémoire de cette partie du terminal. Je le trouve à nouveau très fonctionnel, limite d'architecture brutaliste tellement la fonction modèle la forme du bâtiment. Je descend l'escalier G35 et me dirige vers la file Zone 1-2, déjà matérialisée.
Si vous m'avez déjà lu vous connaissez mon amour pour ces pax STE+ qui se croient tout permis, j'ai encore un bel exemple ce matin. Dans la file une famille dont un membre est PMR, et derrière une personne qui attend à distance raisonnable. Je me place moi même derrière cette personne : et viendra alors un autre pax quelques minutes plus tard s'intercaler entre le PMR et la première personne de la file. L'histoire ne dira pas s'il est de la famille du génie de Paris Aéroport (à ce niveau tout est possible) et je n'ai pas vu (ni chercher à voir) où se plaçait dans l'appareil aussi je ne pourrais rien révéler sur son niveau dans le programme. Je vais finir que j'ai la poisse car j'ai du mal à imaginer les français aussi rudes, malpolis et imbus d'eux-même mais si tel est le cas alors je vais commencer à comprendre l'image que l'on peut avoir dans certains pays.
L'embarquement à proprement parler commencera quelques minutes plus tard, dans le respect des priorités donc (et malotru en tête). Il pleut et notre avion est un peu excentré (pourquoi n'avons-nous pas embarqué sur la porte d'à côté qui était juste en face, mystère, j'appelle le génie qui doit sûrement savoir) mais nous arrivons bon gré mal gré dans l'appareil.
La cabine Embraer-190 est configurée en 2-2 sans siège neutralisée en J, ce qui n'est pas très grave de toutes façons AF n'a pas de cabine J sur le SH/MH et ne cherche pas à en avoir car personne n'en a. (Hâte de voir combien de temps avant que quelqu'un au siège ne réalise que sur les A220 on pourrait placer un PNR de deux pax en rangées A et C.)
Ma place initiale est prise, je comprends qu'il y au un échange car je reconnait le passager PNR. Je demande à la CC qui m'indique que je serai finalement en 2D, ce n'est pas très grave car de toutes façons il ne fait pas très beau ce jour là et rétrospectivement je préfère être installé côté couloir.
L'embarquement se terminera rapidement, et les démonstrations de sécurité seront vites enclenchés, à l'aide de messages enregistrés pour la plupart, la taille de la cabine ne permettant pas d'avoir des PNC pour faire des PA. C'est du bon sens et à titre personnel je ne serais pas contre avoir la même chose sur des A320/321/220, à moins qu'il y ait un objectif de sécurité à ce que les PNC fassent les annonces ? mais je ne crois pas.
Le décollage est rapide nous serons vite alignés sur la piste 26R. C'est encore un des bons points du 2G, situé en bout de piste, quand le vent s'y prête, et il souffle souvent vers l'est, les avions sont tout prêts et n'ont pas à patienter longtemps. Flighty me donne 13 minutes de taxi, mais je me souviens qu'on a décollé juste après les annonces de sécurité.
Le plateau repas sera apporté mais pas tout de suite car taille de l'appareil oblige il est plus sujet aux turbulences et il y a quelques zones qui bougent un peu. Jusqu'à la fin j'aurais un peu peur qu'il y ait un micmac sur mon plateau car ce jour il y a deux rangées J — si vous m'avez suivi je suis en 2D et je serai donc le dernier pax servi dans l'ordre du process AF, si le passager PNR a été bumpé de Y et qu'un oubli se produit je passerai par la case miles mais pas par la case plateau. Et après l'offre décevante du salon, j'ai faim.
Fort heureusement le repas tant attendu arrive (et je me rends compte que j'ai oublié de le prendre en photo, mais cela sera le même au retour et cette fois-ci j'aurai la photo).
La CC s'excuse auprès du pax à côté de ne pas avoir de four et que donc le pain est froid, mais que ceux-ci devraient arriver l'année prochaine. Malgré tout le pain se laisse manger — du pain industriel est certainement meilleur chaud mais AF n'a jamais véritablement brillé par sa boulangerie.
La CC veille à retirer tous les couvercles du plateau et à présenter l'étiquette individuellement à chaque pax, tourné dans sa langue. Très bon point. Je prendrai directement du vin et du Champagne pour le dessert, n'étant pas sûr d'avoir l'occasion plus tard car il n'y a pas de personnel dédié à la classe avant (ce qui se comprend) et qu'il y a des turbulences (ce qui se comprend aussi). Très bon point auquel je ne m'attendais pas, la taille du plateau est très agréable. Souvent je dois déployer la tablette du milieu pour poser l'une de mes boissons, ici pas besoin.
Au final tout est bon, et je retrouve le sourire le ventre rempli. La CC passera plusieurs fois me proposer des boissons, j'ai lu sur des FR d'E190 que ce n'est pas tout le temps sur ces vols courts, et avec deux rangées J j'apprécie. Je signale que je prendrai sûrement une camomille une fois terminé, le plateau ayant été servi tardivement (et moi qui mange lentement) la descente est amorcée à ce moment là mais elle s'en souviendra et m'en proposera une le moment venu (que j'accepte volontiers).
L'arrivée à BER se passe sans encombre. Je rigole intérieurement en sortant de l'appareil car j'avais lu un FR qui notait que le jet bridge avait une pente de 6% (ce qui l'aurait rendu impropre à accueillir du public en France) mais je n'avais pas réalisé que si côté embarquement, c'est un coup à laisser filer sa valise (ou son fauteuil roulant) en contrebas, au débarquement, c'est un peu comme du ski de randonnée mais sans les skis (et sans le vin chaud). À deux doigts d'éditer un jeu du Qui est-ce car visiblement la famille du génie de CDG s'est ici agrandie.
J'hésiterai à prendre un Uber mais le cheminement aidant, je me retrouve pile devant la file de taxis, qui est vite. Je ne me fais pas prier, et arriverai à mon hôtel trente minutes (et soixante dix euros) plus tard. Sur le chemin le taxi aura l'occasion de me parler de Tempelhof, aka THF, l'ancien aéroport fermé depuis 2008, et de me montrer qu'il a depuis réouvert au public. Je n'aurais pas perdu mon chemin car j'avais oublié, et je découvrirai le soir qu'il existe des visites guidées. J'en ferai une le lendemain, rejoignez-moi dans les bonus pour la lire.
Je crois que j'ai une relation d'amour et haine avec le terminal 2G. Au final sa vocation est de servir les pax en affaire sur du point à point, qui arrivent en taxi (un jour où il ne pleut pas). Pour ça, il remplit sa fonction. Et quelque part difficile de regretter quoi que ce soit, car objectivement même le salon qui m'a déçu par l'absence de plats chauds est bien au delà de la concurrence qui ferait d'ailleurs bien mieux de s'en inspirer. Air France avec sa montée en gamme vend du rêve et des paillettes au 2F et soyons objectifs, toute comparaison se révèle bien difficile. Après si on peut se prendre à rêver, et si 2024 pouvait être l'année des fours dans les galleys des Embraer… et dans le galley du 2G ?
Rien à dire sur le vol, et aucun regret d'avoir payé la J surtout grâce à l'expérience en vol qui s'est révélée attentive et servicielle malgré un vol opéré par Hop et un temps de parcours relativement assez court.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 9 avis concernant 2 compagnies sur la ligne Paris (CDG) → Berlin (BER).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air France avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 1 heures et 43 minutes.
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4 Commentaires
Pour un premier report, c’est bien fourni en explications et en illustrations. C’est aussi très agréable à lire, c’est parfait.
J’ai modifié le nom de la compagnie d’Air France à Air France Hop !
À nouveau, bienvenue chez FR.
Il est appréciable de voir que votre PNC avait à coeur de bien servir ses passagers.
Je suis content de voir qu'AF imprime maintenant des petits menus pour ses repas J servis en MC.
A bientôt !
A bord, sans siège neutralisé, ni possibilité de plat chaud, ni PNC dédié, cette Business n'en est une que par son prix, il me semble. Et la coupette bien sûr :)
A bientôt !
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