On poursuit nos vacances en Equateur avec un vol, inédit sur le site, qui nous mène aux îles Galápagos depuis Quito, avec une escale à Guayaquil, la grande ville du sud avant d’arriver sur l’ile de Baltra, à l’aéroport Seymour. Un vol de 3 h 30 (il y a une heure de décalage entre le continent et les iles Galápagos) avec la compagnie équatorienne Tame (20 avions, base à Quito). Le choix de la compagnie est fait par le voyagiste qui vend un package (vol + croisière) aux Galápagos. Pas de choix des places, ni d'enregistrement préalable car nous n'avons pas les réservations. Le vol A/R à nos dates, pour 2 touristes, coûte tout de même environ 900 € !
Un nouvel inédit, TAME, A320, UI > GYE > GPS, le 08/08, maintenant…
Pour ceux qui sont pressés, une vidéo de ce vol est disponible en bas de page, avec les 2 tours avant d’atterrir aux Galápagos.
Je vous préviens qu'il y a beaucoup de photos (le maximum possible :)
Il est 5 heures 15 du matin, totalement inhumain, notre chauffeur nous attend pour partir à l’aéroport. Il fait bien frais. Notre hébergement est assez loin de l'aéroport, plus d’une heure, et l’agence qui a organisé le voyage préfère prendre une large marge car les conditions de circulation entre Quito et l’aéroport peuvent être dramatiques, une seule route passant par un pont en fer à double sens. Une autoroute de contournement de la ville est en construction mais encore totalement finie. Le jour se lève paisiblement. Il est 7 heures lorsque nous arrivons à l’aéroport.
Pour les vols vers les Galápagos, il y a un cheminement spécifique situé à droite de l’entrée de l’aéroport, alors que les autres comptoirs d’enregistrement sont à gauche à l’opposé de cette entrée. D’abord on fait la queue à un comptoir, il y en a 2, on présente sa réservation, son passeport, verse une taxe de 10 $ en cash, à côté il y a les comptoirs des 3 compagnies qui desservent les Galápagos. La personne saisit les infos. On reçoit un formulaire de transit, en bas de cette carte, mes coordonnées sont indiquées, ainsi qu’un autre petit document émanant du ministère de l’agriculture pour l’importation de denrées alimentaires.
Ensuite on peut se diriger vers le contrôle par ce passage dédié, à droite des guichets.
Pas d’attente, on l’a faite au comptoir. Les bagages au scanner mais avant on répond aux questions concernant les denrées alimentaires qu’on aurait dans nos bagages. Les gâteaux et chocolat sont acceptés, mais pas les produits frais. L’agente parle parfaitement anglais. A la sortie du scanner les valises sont scellées, pas les sacs de cabine.
Le poste de contrôle se trouve derrière cette paroi vitrée.
Maintenant on peut faire la queue aux guichets d’enregistrement de la compagnie Tame. Nous avons mis environ 20 minutes depuis notre arrivée à l’aéroport. Il y a seulement les comptoirs des compagnies desservant les Galapagos car cette partie est réservée.
Un regard au FIDS de cette salle, il n’y a que des vols nationaux, affichage un peu normal depuis ces comptoirs qui semblent dévolus à cela. Notre vol n’est pas sur cet écran. Guayaquil est la capitale économique de l’Equateur, au sud et compte environ 4 millions d’habitants (Quito, 2.2).
Un tour aux toilettes, propres, rappel pour ceux qui n’auraient pas lu mon FR d’arrivée, ici il faut jeter le papier dans la cuvette ce qui n’est pas souvent le cas en Equateur, à cause du manque de pression d'eau,. Dans ce cas, il est prévu une poubelle à côté, d'où cet écriteau.
Pour nous, c’est en bas.
La séparation mobile entre l’accès national et international. Cette vue est l’opposé de celle de l’escalier.
La vitrine des souvenirs mais nous ne pouvons pas accéder aux boutiques.
On emprunte l’escalier et voilà les salles d’embarquement du rez-de-chaussée. Nous ne serons pas en retard… On part dans 1 h 30. Il y a un salon à l’étage mais je n’ai pas pu le voir.
Les vitres permettent de voir ce qui se trame sur le tarmac mais la luminosité n’est pas géniale. Un peu retouché les photos pour avoir un résultat correct. Les vitres sont épaisses et légèrement teintées. Un A320 de la Tame
Un ATR 42 de la Tame
Un autre A320 d’Aerogal, la filiale équatorienne d’Avianca dont le siège social est colombien
Un Embraer 190 de la Tame
Un 737 d’Aeromexico pour Mexico
Sauf erreur (je ne suis pas très doué à ce jeu d’identification heureusement qu'il y a les immatriculations) un 757 American Airlines pour Miami, se cache entre les piliers, la passerelle…
La salle d’embarquement calme, la B2 d’où nous partons est à l’opposé.
J'ai du temps, je visite et vais à l'étage, une autre salle avec de la moquette au sol et non du carrelage comme au rez-de-chaussée.
Cette fois ci, je n’oublie pas la photo corporate, avec le wifi gratuit, facile d’accès, il suffit de laisser une adresse e-mail.
Et dans la foulée les documents de voyage… sur la carte la porte indiquée est la B2…
Un nouvel avion A320 de la Tame arrive en porte, livrée particulière.
Nouveau regard à l'écran, le vol 193 toujours prévu à l’heure, cette fois il affiche la destination finale mais la porte a changé, elle indique A2 à l’étage. Mais pas d’annonce.
Ce n’est qu’après une annonce en espagnol seulement et un mouvement de foule que l’on monte pour aller à l’étage où se trouve la A2. Chouette me dis-je, c’est là qu’est l’avion qui vient d’arriver avec une passerelle. Confirmation avec l’affichage au-dessus de la porte.
Cet homme tient un panneau à la main, il est cireur de chaussure, il arpente la salle à de multiples reprises, son stand est à l’entrée de la salle d’embarquement. A cet étage il y a un stand de restauration. La palissade cache les travaux d’extension. Il y a de nombreux points pour charger ses appareils électriques, normes US.
Donc on patiente quand subitement, une annonce retentit et nous prie de l’excuser mais l’embarquement du vol Tame 193 aura lieu en porte B2 au rez-de-chaussée. Annonce en espagnol et anglais. Donc tout le monde descend, l’escalator est seulement pour monter. Photos prises rapidement où l’on voit qu’il n’y a pas d’attente pour le bus (et pour cause on était à l’étage) et des escaliers encombrés car la file se forme. Donc aucune idée pour les priorités, une femme vêtue d’un tailleur et avec une démarche assurée est passée devant nous en tendant sa carte d’embarquement et elle a pris le même bus mais n’a pas fait la queue. Il n’y avait pas de file réservée car une seule agent en porte.
Un coup de bus, je n’ai pas pu me mettre près de la vitre, j’ai essayé de photographier ce que j’ai pu.
Notre avion est parqué relativement loin, Airbus A320, HC-CID de novembre 1998 (bientôt 16 ans). Il a commencé sa carrière en 1999 sous des cieux un peu moins cléments chez BMI jusqu’en 2009, année où il a rejoint la flotte Tame.
Embarquement parmi les premiers. Accueil standard. Photo floue des sièges avant, en 2 x 2, sur 3 rangées je crois (Tame pas référencé sur Seatg.)
Pour nous c’est au fond, rang 21. Siège en cuir qui a vécu mais confortable.
Il y a un quotidien posé uniquement sur le siège du milieu, El telegrafo, le journal de Guayaquil, jusqu’à environ le milieu de la cabine. Etonnant.
Mon siège J’ai noté que la numérotation sautait 2 rangées (mais sans préciser lesquelles !), la 13 je m’en souviens mais pas l’autre.
La vue par le hublot.
La tablette est habillée sur chaque face par le vendeur d’eau pétillante, Güitig. Pas d’écran. Toute la littérature est en partie haute du siège. Le pitch pas terrible.
La carte de sécurité bilingue espagnol/anglais en 3 volets.
Un épais magazine bimestriel de 234 pages, tout en espagnol et pas un seul indigène en photo que du descendant d’espagnol… plutôt blanc de peau. Ah !
Le photomontage est un peu grossier.
Notre voisin serait-il un friste local ?
Les destinations très nationales de la Tame. Depuis cette année elle dessert également les Etats-Unis avec l’A330 qu’elle a reçu en juillet 2013.
L’équipe nationale de football qui a affronté la France au mois de juin lors de la Coupe du monde au Brésil est à l’honneur en double page.
Les formulaires partiellement préremplis à remettre à l'arrivée
8 h 57 on repousse, on prend le taxiway jusqu’à l’extrémité de la piste. Quito est de ce côté, pour l’instant.
Consigne de sécurité avec M. et Mme Sourire.
Quelques vues de l’environnement à l'aéroport Sucre de Quito
9 h 08 Décollage, le hublot est un peu rayé, pour un vol de 3 h 30 (il y a une heure de décalage horaire entre le continent et les îles des Galapagos).
Vue de la cuvette qui se trouve dans le prolongement de l’aéroport.
Bon ce n’est pas aujourd’hui que l’on verra les volcans.
Ça se découvre un peu, tant mieux.
Le chariot est de sortie en classe avant et également en classe arrière.
Le vol dure moins de 40 minutes. Nous aurons le droit à une boisson, chaude ou froide. Je choisis un café, pas terrible, servi dans une tasse isotherme, et le coca est servi dans un gobelet à café ! Surtout ne pas être étourdi…
10 minutes plus tard, on débarrasse car on va atterrir à Guayaquil. Il y a 13 minutes entre les 2 photos précédentes.
Quel trajet en 35 minutes. Après avoir quitté Quito nous quittons les airs pour la terre de Guayaquil pour une escale de 40 minutes.
Avis aux spécialistes… aux anciennes couleurs de la Tame
On retrouve les mêmes compagnies qu’à Quito : LAN et Aérogal en A319, Tame en E190.
On reste à bord. Je dirais qu’entre un quart /un tiers des passagers sont sortis. Nous faisons le plein, pour l’aller retour jusqu’aux Galápagos je pense.
Pendant l’escale un agent de nettoyage passe débarrasser rapidement les papiers sur les sièges inoccupés.
Notre voisin repousse.
Un petit tour aux toilettes.
Quelques vues du voisinage.
10 h 25 à notre tour de partir, dans la grisaille. Le commandant annonce un vol d’une heure 40. Re consigne de sécurité.
15 minutes plus tard extinction des consignes lumineuses.
Nous avons reçu une collation, d’une façon un peu martiale. Tout le monde au même régime, un sandwich jambon fromage avec une feuille de salade. Ce n’est pas terrible. Heureusement un peu de Coca pour faire passer, ai demandé mais pas d’alcool ni vin ni bière.
Plus tard, une zone de turbulence est traversée.
Une heure trente plus tard on aperçoit la terre à travers les nuages. Nous faisons deux fois le tour de l’ile de Baltra avant d’atterrir, sans explication, avec un virage serré.
Il n’y a que l’aéroport Seymour sur l’ile de Baltra et un port. Elle est distante de 150 mètres de l’ile principale des Galápagos, Santa Cruz.
On emprunte toute la piste, 2400 mètres, demi-tour sur la raquette.
Oh LAN est là, je l’ai vu décoller de Guayaquil tout à l’heure. On le voit au roulage, sur la photo lorsque nous sortons de la piste à l’arrivée de l’escale.
Sortie par l’arrière, une photo du galley en passant.
Et le soleil est présent avec un peu plus de chaleur qu’à Quito.
J’en profite pour photographier sous tous les angles, pas de remarques. Je ne suis pas le seul à photographier notre avion.
Entrée séparée pour les touristes, là où vont la majorité des passagers.
Et là il faut attendre. C’est clair, lumineux et il fait bon. Comme j’ai mis un peu de temps avec les photos sur le tarmac, nous ne sommes pas parmi les premiers et puis les américains veulent être en eux, ils ont peur de se perdre, donc sans trop se gêner ils rejoignent leurs groupes… On patiente pour l’immigration et paiement de la taxe d’entrée qui est vraiment élevée, 100 $ US en cash. La monnaie de l’Equateur est le dollar US. Un premier agent vérifie les passeports avec la fiche pré-remplie (pas de tampon nous sommes toujours en Equateur) et l’autre personne perçoit l’argent et délivre le reçu. Il y avait 4 guichets d’ouvert. On a mis 25 minutes entre l’entrée et la récupération des bagages.
Lorsque nous avons fini on passe tout à côté pour récupérer les bagages, il y a une simple cloison arborée, les volets roulants viennent juste d’être fermés. Nos valises sont bien là.
Maintenant le contrôle sanitaire des bagages. Il faut refaire la queue, on aperçoit le scanner au fond à droite avec la lumière rouge J’en profite pour photographier le reçu de la taxe d’entrée pendant que j’y pense.
Photo de la grande affiche pendant que nous attendons, à droite la salle de livraison des bagages, à gauche derrière les sortes de bambous, la salle d’arrivée avec les guichets.
Nous étions attendus par notre guide, donc pas de photo de l’extérieur et puis j’ai dépassé le quota de 150 photos en vous mettant ces 3 images bonus, bref aperçu de ce séjour inoubliable. J’en mettrais plus sur le vol retour y compris de l’aérogare. A suivre.
Pour ceux qui sont arrivés jusqu'ici et qui ont encore du temps, je vous invite à regarder cette vidéo récapitulative de ce vol :
Merci de m'avoir lu et à bientôt pour vos commentaires.
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Verdict
Tame
5.0/10
Cabine6.5
Equipage5.0
Divertissements4.0
Restauration4.5
Quito - UIO
7.9/10
Fluidité7.5
Accès9.0
Services7.0
Propreté8.0
Baltra - GPS
8.8/10
Fluidité8.0
Accès9.0
Services9.0
Propreté9.0
Conclusion
Un vol deux en un. Aéroport de départ : L’annonce du changement de porte à Quito, puis finalement non, on revient au point initial est nulle. L’avion était relativement confortable, propre, siège cuir un peu usé. Pas d’ife, un peu de presse si on avait été placé plus à l’avant, il y a un magazine à bord (mais uniquement en espagnol). L’équipage pas terrible, distant, pas souriant, pas désagréable pour autant, peut-être parce qu’il y a beaucoup de touristes à bord. Ils ont fait le job. Bravo, nous avons eu une collation pour chacun des vols alors que le premier n’a duré que 40 minutes mais la qualité ni la quantité (pour le 2ème vol) ne sont au rendez-vous. L’escale à Guayaquil a semblé relativement rapide, on reste dans l’avion. Dommage d’avoir eu un temps couvert pour le survol de l’Equateur. Arrivée : Atterrissage à Seymour après 2 tours, le premier survol très en hauteur est un peu étonnant. J’aime bien la sortie sur le tarmac, la chaleur. L’aérogare est moderne, avec des matériaux locaux, c’est joli, pas oppressant. A suivre
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Je vous préviens qu'il y a beaucoup de photos J'en attendais pas moins pour un FR inédit sur TAME vers les Galapagos :) la livrée TAME est simple mais jolie, surtout sur les E-Jet La cabine est un peu moins sympa, surtout la publicité sur la tablette Au final la compagnie n'a rien d'extraordinaire, LAN semble être une meilleure option. Les 3 photos bonus font envie ! Merci pour ce FR et pour la decouverte :)
Merci Moritz, oui je me suis appliqué pour faire découvrir l'aérogare avec ce cheminement dédié. Effectivement TAME pas transcendant, mais ce n'est pas nous qui l'avons choisi. Au retour nous avons eu une autre cabine... FR à venir
D'ailleurs quand on connaît le tarif du billet il est complètement délirant que ce prix ne contienne pas déjà la taxe d'aéroport !
Cabine correcte bien que datant de quelques années.
Comme Momolemomo je trouve que le vol n'a rien d'extraordinaire vu le prix ; A comparer avec LAN pour avoir une idée globale des compagnies desservant GPS.
Je me demande si les 100$ de taxe d'entrée sont utilisés à bon escient...
Merci pour votre commentaire. Et oui, ça fait un peu racket. Comme vous, on ne comprend pas la taxe d'aéroport de 10 $ qui est a payer en supplément du billet, uniquement pour les vols vers les Galapagos : piège à touristes ! Le vol est effectivement banal, le personnel moyen, les prestations plutôt mauvaises. Sur la taxe d'entrée aux iles, à verser en cash uniquement, je suppose que cela fait vivre une partie de la population des iles ou revient dans les caisses de l'Etat ?
Merci pour votre retour. Effectivement hors de prix mais nous ne l'avons pas acheté en direct, il est inclus dans le package avec la croisière (elle aussi très cher, mais bon on ne vit qu'une fois). Les résidents ont un autre tarif de vol, un peu comme les Corses, paient une taxe très réduite. Le changement de porte c'est juste n'importe quoi, mais comme il n'y avait pas de français ce ne fut pas houleux :) A suivre
Merci de votre commentaire. Oui un cheminement qui ressemble beaucoup à un truc spécial touristes. Pour l'avion, il est âgé, le service est basique mais la convivialité n'est pas prévue à bord... A suivre
Merci pour votre commentaire. Aller aux Galapagos c'est vraiment un truc de touristes. Maintenant je comprends pourquoi il y a beaucoup de visiteurs américains ! Une anecdote : à la fin de la croisière, le guide naturaliste - on ne peut visiter les ilots et les sites qu'accompagné d'un guide naturaliste donc il y en a un par bateau - fait le speach de remerciement avec les 6 autres membres de l'équipage et distribue des enveloppes pour les pourboires. Notre agence de voyage (un couple de français installé à Quito) nous a briefé sur le montant à laisser (en tout 50 $ pour l'équipage, 30 $ pour le guide). Le guide, lui, préconisait de laisser environ 15 $ par personne de l'équipage et par jour (6 personnes) : sûr, il a vu la vierge ! A bientôt
Merci pour ce Fr très complet sur une comapgnie et un routing peu commun ! Dommage pour cet équipage peu aimable car le reste de la prestation est correct ( sans être extraordinaire ). J'aime également la livrée simple mais jolie de TAME. Toutes ces taxes ca vient un peu gacher l'expérience mais cela a l'air superbe !
Merci pour votre appréciation. Pour les taxes, nous étions prévenus avant de partir, ça permet de relativiser. Et puis il n'y a que pour les Galapagos que c'est ainsi. Le reste du pays est peu cher.
Ce n'est pas un scoop, déjà en 1998 le vol Quito-Galapagos était hors de prix, ça fait un peu, (beaucoup), piège à touristes, mais comme vous dites, on ne vit qu'une fois...
TAME n'a rien d'extraordinaire.
Descriptif très précis de l'aéroport de Quito
Le guide à vu la Vierge et le Christ en même temps!
Merci, donc rien de changé pour les gringo... Oui, Tame n'a rien de particulier Au pays très catholique qu'est l'Equateur, un soupçon de Saint-Esprit est peut-être de la partie.
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20 Commentaires
la livrée TAME est simple mais jolie, surtout sur les E-Jet
La cabine est un peu moins sympa, surtout la publicité sur la tablette
Au final la compagnie n'a rien d'extraordinaire, LAN semble être une meilleure option.
Les 3 photos bonus font envie !
Merci pour ce FR et pour la decouverte :)
Effectivement TAME pas transcendant, mais ce n'est pas nous qui l'avons choisi.
Au retour nous avons eu une autre cabine... FR à venir
Tame, où l'art d'arnaquer les touristes. lol
D'ailleurs quand on connaît le tarif du billet il est complètement délirant que ce prix ne contienne pas déjà la taxe d'aéroport !
Cabine correcte bien que datant de quelques années.
Comme Momolemomo je trouve que le vol n'a rien d'extraordinaire vu le prix ; A comparer avec LAN pour avoir une idée globale des compagnies desservant GPS.
Je me demande si les 100$ de taxe d'entrée sont utilisés à bon escient...
A bientôt.
Et oui, ça fait un peu racket. Comme vous, on ne comprend pas la taxe d'aéroport de 10 $ qui est a payer en supplément du billet, uniquement pour les vols vers les Galapagos : piège à touristes !
Le vol est effectivement banal, le personnel moyen, les prestations plutôt mauvaises.
Sur la taxe d'entrée aux iles, à verser en cash uniquement, je suppose que cela fait vivre une partie de la population des iles ou revient dans les caisses de l'Etat ?
Je penche pour un 727 au cimetière de Guayaquil.
Par contre le prix du billet est juste fou, exorbitant ! Surtout quand on voit la prestation qui va avec, enfin bon.
Les changements de portes d'embarquement en si peu de temps ont dû faire plaisir, quel vas et vient ^^
Vol sans encombre sinon, c'est l'essentiel.
A bientôt ;)
Le changement de porte c'est juste n'importe quoi, mais comme il n'y avait pas de français ce ne fut pas houleux :)
A suivre
Ensuite il faut de bonnes chaussures parce qu'avec tous ces changements de postes :)
Cabine ancienne mais confortable, service et prestation standard et serait encore mieux
avec le sourire des PNC.
On attend le bonus pour le vol retour.
Merci pour ce FR !
Oui un cheminement qui ressemble beaucoup à un truc spécial touristes.
Pour l'avion, il est âgé, le service est basique mais la convivialité n'est pas prévue à bord...
A suivre
C'est complet et très détaillé
Cette succession de taxes, 10 Usd puis 100 Usd c'est assez impressionnant ;)
Sans parler du tarif exorbitant du vol
A bientôt pour un bonus plus conséquent sans doute
Aller aux Galapagos c'est vraiment un truc de touristes. Maintenant je comprends pourquoi il y a beaucoup de visiteurs américains ! Une anecdote : à la fin de la croisière, le guide naturaliste - on ne peut visiter les ilots et les sites qu'accompagné d'un guide naturaliste donc il y en a un par bateau - fait le speach de remerciement avec les 6 autres membres de l'équipage et distribue des enveloppes pour les pourboires. Notre agence de voyage (un couple de français installé à Quito) nous a briefé sur le montant à laisser (en tout 50 $ pour l'équipage, 30 $ pour le guide). Le guide, lui, préconisait de laisser environ 15 $ par personne de l'équipage et par jour (6 personnes) : sûr, il a vu la vierge !
A bientôt
Toutes ces taxes ca vient un peu gacher l'expérience mais cela a l'air superbe !
Pour les taxes, nous étions prévenus avant de partir, ça permet de relativiser. Et puis il n'y a que pour les Galapagos que c'est ainsi. Le reste du pays est peu cher.
Cheminement bizarre au départ lol,
Un vol sans problème, dommage toute cette pub sur les tablettes,
De très belles photos,
A bientôt.
Ce n'est pas un scoop, déjà en 1998 le vol Quito-Galapagos était hors de prix, ça fait un peu, (beaucoup), piège à touristes, mais comme vous dites, on ne vit qu'une fois...
TAME n'a rien d'extraordinaire.
Descriptif très précis de l'aéroport de Quito
Le guide à vu la Vierge et le Christ en même temps!
donc rien de changé pour les gringo...
Oui, Tame n'a rien de particulier
Au pays très catholique qu'est l'Equateur, un soupçon de Saint-Esprit est peut-être de la partie.
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