Bonjour à toutes et à tous,
Arrivé à PTY depuis CDG, j'ai 2 heures à attendre avant de m'envoler vers ma destination finale, San José au Costa Rica. Une courte explication de ce routing se trouve dans le FR du vol précédent.
AF n'opère pas de vol quotidien direct vers SJO : j'avais le choix de perdre 1 journée de vacances mais de prendre le vol direct du samedi ou partir le vendredi avec une connexion à PTY. Le choix a été vite fait.
C'est AF qui me vendra ce vol sur CopaAirlines, compagnie panaméenne membre de *A.
Je vous propose de jeter un dernier coup d’œil sur le routing avant d'y aller.
Enfin, pour les naturopathes, un bonus du Costa Rica est disponible à la fin.
Flight routing
- 1
- 2CM162 - Affaires - Panama City → San José - Boeing 737-800
- 3RZ1093 - Economique - Puerto Jimenez → San José - Cessna 208
- 4AA2436 - Affaires - San José → Dallas - Boeing 737-800
- 5AA2437 - Affaires - Dallas → Los Angeles - Airbus 321
- 6NZ1 - Affaires - Los Angeles → Auckland - Boeing 777-300ER
- 7NZ123 - Affaires - Auckland → Melbourne - Boeing 777-300ER
- 8TG466 - Affaires - Melbourne → Bangkok - Airbus 350-900
- 9TG930 - Affaires - Bangkok → Paris - Boeing 777-300ER
Ma pause cigarette terminée, il me faut repasser le PIAF pour accéder au salon.
Le hall des départs landside est volumineux mais un peu froid d'aspect.

Ce terminal est tout en longueur. Pour nous, c'est droit devant.

Mon vol est prévu à l'heure (9h40pm) en porte 123.
Il y a pas mal de belles destinations qui invitent au voyage, la grande majorité desservie par Copa qui règne en maître ici.

C'est sur les hauteurs qu'il faut se rendre pour se restaurer : néons et panonceaux aguicheurs tentent de convaincre le chaland de grimper sur ce Golgotha ou son porte-monnaie sera crucifié dès le 1er achat effectué. A l'instar de cet avion suspendu, les prix volent haut contrairement à la qualité de la bouffe servie.
Un salon m'attend, l'offre doit y être plantureuse, j'accélère le pas.

Le passage du PIAF sera rapide et me voilà rendu airside aux pays des bonimenteurs où les boutiquiers soldent en permanence leurs produits qui restent néanmoins à des tarifs prohibitifs.

S'il restait quelques doutes, voici la preuve que nous sommes bien à PTY, de son vrai nom Aéroport International de Tocumen, du nom de la localité où il se situe.
En arrière-plan un backpacker concupiscent caresse l'espoir de siffler les litrons de Johnnie.

Voici donc l'entrée de ce salon *A dans lequel il est interdit de fumer. Ca n'est également pas une auberge espagnole comme l'indique le 2nd pictogramme.

Voyons de plus près qui sont les ayants-droit : les *A bien sûr ainsi que des représentants de ligues ennemies et les diplomates du Priority Pass.

La porte passée, il faut encore prendre 1 ascenseur pour atteindre les cimes tant convoitées.

Euh… j'ai du me tromper d'étage, je suis dans un poulailler plein comme un œuf où le bruit des caquètements est particulièrement prononcé.

Qu'à cela ne tienne, allons admirer les délices de ce Capoue aéroportuaire.
Tout d'abord, un célèbre fromage local est délicatement présenté sur son lit de glace. M'est avis que la compagnie batave paye sa contribution au salon à coup de vieux stocks de frometons délaissés par ses PAX. De ce fait, je m'attends à trouver des montagnes de gavottes rancies ou des tombereaux de madeleines rassies voire des résidus de pâté hépatique.

Suivent alors les fruits frais avec des bananes bien appétissantes. Pommes vertes et rouges sont vêtues de cellophane pour raison d'hygiène, c'est un bon point.

Dans les bacs de gauche, des biscuits complètent la proposition de desserts.
Ici, les serviettes ont droit à un présentoir vertical moins historique que les babyloneries du vol précédent.

A suivre, plusieurs sortes de sandwichs sont offerts avec entre autres dinde et fromage ou bacon, laitue et tomate.
Pour en finir ici, les biscuits multi-céréales ne semblent pas rencontrer un succès fou.


Pour que nos amis des US retrouvent leurs marques, un carotte-bar est disponible dans une version cependant très minimaliste.
Le démonstrateur à la pince m'a coûté un billet mais que ne ferait-on pas pour un FR. Je vous fais grâce des biscuits que l'on voit à gauche.
Autant le secteur des solides ne subit pas les attaques des hordes de pax (on comprend pourquoi), autant le bar est submergé de déshydratés et ne sera donc pas immortalisé.

Ce salon est constitué d’une grande salle commune ce qui le rend bruyant d’autant qu’il est passablement occupé.

L’ensemble est un peu vieillot, je ne suis clairement pas emballé par la déco.

Capoue c’est fini, il est temps de gagner la porte d’embarquement par ce long couloir carrelé.

Tiens, un autre salon. Celui-là a une entrée assez engageante. Il s’agit en fait d’un espace Priority Pass dont les photos trouvées sur le net ne sont pas très convaincantes.
Passons donc notre chemin.

Ici un bar dont la spécialité, le Spritz, attirerait comme un aimant certains contributeurs.

Les travelators de ce long couloir sont en réparation, des bâches masquent les entrailles de la bête éventrée.

Ces longs couloirs sont agrémentés de boutiques, …

… de baies vitrées qui malheureusement, du fait de la nuit tombée, ne permettent pas un spotting idéal. Ici un E-190.

Un peu plus loin, une chapelle accueille les ouailles en quête de spiritualité.
On remarque au plafond une borne wifi qui permet au croyant de se connecter avec un e-prêtre, peut-être pour une confession express avant de décoller.
La connexion est bien sûr cryptée, les voies du Seigneur restent donc impénétrables.
La digitalisation de l’Eglise compense la crise des vocations.

Nous voilà enfin arrivés à une place regroupant 4 portes d’embarquement. La foule attend sagement assise en arrière-plan.


A côté, c’est un départ pour Mexico prévu 15mn avant notre vol.

En porte 123, notre avion est indiqué à l’heure, la température de 21° à destination me convient bien.

Chez CM, le process d’embarquement ne considère que 2 groupes loin des 9 vus dans un récent FR.

Une fois de plus, je privilégie l’embarquement en dernière position par ce jet-bridge vitré.

Le nez de l’oiseau de la famille des B737 et de la branche des -800.

Instant porte avec le comité d’accueil qui sera très poli.

Le PAS dans cette cabine est très bon, le test Marathon est passé haut la main.

Cabine ancienne mais le siège est confortable dans une config 2-2.

On trouve rapidement les stigmates d’un passé ancien avec ce sélecteur de canaux audio. L’avion a lui un peu plus de 8 ans d’exercice.

En attendant le repoussage, passons en revue la littérature de bord avec ici, la carte de sécurité.
On remarquera que cette version anticipe la livraison des MAX 8 & 9 que CM a commandés en 11 exemplaires, 6 étant déjà livrés (MAX 9).


Le magazine du mois, très coloré, met notamment Panama à l’honneur.

A part 12 Embraer, la flotte de Copa est uniquement constituée de B737, 81 exactement incluant les 6 MAX9.

Sans surprise, le réseau de CM s’étend en propre en Amérique du Sud et aux US et intègrent quelques vols en coopération avec AF, KL LH, TK et IB vers l’Europe.


Comme beaucoup de capitales, Panama organise sa fashion week mais ici, avec le sens de l’éthique. N’ayant pas lu l’article, je ne peux vous en dire plus.

C’est à ce moment qu’un écran collectif se déploie pour diffuser les consignes de sécurité.

Dehors, les derniers bagages sont en cours de chargement.

Finissons le tour du proprio avec ce PSU pour F-OITN…

… le moodlighting bleu.

La tablette en 2 parties n’est pas très stable, son extrémité n’ayant pas de point d’appui.

J’en profite pour vous présenter les cartes d’embarquement d’AF et de CM.

Ce coup-ci, c’est parti : le jetbridge nous quitte.

Pendant ce temps, les consignes continuent d’être diffusées en espagnol (Monsieur) et en anglais (Madame).


Le fils spirituel de Dark Wador va nous guider pour nous permettre de quitter au plus vite le côté sombre de l’aéroport.

On passe rapidement devant un américain.

Le reste du tarmac est bien vide.

La lumière intérieure restera allumée plein phare pendant toute la procédure de roulage et de décollage rendant très difficile la prise de photos déjà pas aisée.
Ici, le décollage…

Là, une vue médiocre de Panama City.

Très rapidement, un oshibori frais nous est distribué pendant que je remplissais la fiche d’entrée au Costa Rica.

Vue artistique du sharklet qui se mire dans l’aile.

A peine le temps de finir ma page d’écriture qu’une PNC se plante devant moi et me parle en espagnol. Incapable de lire Cervantès dans le texte, je lui demande la traduction en anglais. Gros soupir puis la voilà partie au galley sans un mot.
Elle revient et tente de me fourguer son plateau. Au vu du truc et n’ayant absolument pas faim, je refuse (poliment). Nouveau soupir et le plateau est lâché sur la tablette de mon voisin un peu surpris. Fin de l’échange…


Quelques minutes plus tard, j’appelle Gracieuse qui courait dans le couloir et lui demande un verre d’eau pétillante. Nouveau soupir (décidément…) : elle n’a que de l’eau plate… que j’accepte.

Le vol se déroule paisiblement et les 1eres lueurs de San José apparaissent au hublot.


La descente sera rapide… mais moins que le roulage qui se fera à une vitesse de dingue, Fangio est pressé de rentrer.

Sortie rapide et sans PNC (Gracieuse avait sûrement des choses plus importantes à faire) dans cette passerelle publicitaire.

Dernier regard sur notre B738.

On file en sous-sol pour passer la PAF.

Les procédures iront très vite, beaucoup de comptoirs sont ouverts et il y a peu de monde devant moi.

Encore un long couloir étroit…

… avant d’accéder à la zone duty-free fermée à cette heure.

Les bagages arriveront en 10mn pendant que j’admire la maquette de l’aéroport.


C’est donc vers 22h10 que je sors du terminal : nous sommes arrivés bien en avance puisque l’atterrissage était prévu à 22h06.
Les vacances peuvent commencer, tout d’abord par une bonne nuit. Il est 4h du mat à Paris, je suis crevé.
Comme promis, pour les amateurs, un bonus très animalier du Costa Rica suit.

Merci pour ce FR !
Si le vol est quelconque, le bonus est tout simplement splendide ! Cela donne vraiment envie de découvrir ce pays qui semble très bien préservé, même s'il faut faire attention à certaines bêtes manifestement... :)p
A bientôt !
Merci Nicolas pour ton comm,
Vol sans grand intérêt d'autant qu'il était de nuit : j'aurais préféré me coller au hublot.
Le Costa Rica est vraiment une destination nature.
Il faut se mettre en situation d'être un intrus dans l'écosystème, un potentiel élément de la chaine alimentaire : donc il y a du danger pour nous à chaque pas, il faut rester strictement dans les sentiers avec les guides. J'avais eu le même sentiment en Australie ou en Tanzanie, la nature est plus forte que toi !
Un peu contraignant pour certains mais ça en vaut vraiment le coup.
A bientôt !
Merci pour ce FR
"pour les naturopathes"
ça se soigne ?
"L’ensemble est un peu vieillot,"
Ce salon est une disgrâce quel qu'en doit l'aspect abordé
(Je sais que je vais encore passé pour un Avgeek(que je ne suis pas) capricieux
et exigeant(ce que je ne suis pas non plus) mais c'est là mon opinion)
"On remarquera que cette version anticipe la livraison des MAX 8 & 9 "
Puisqu'il s'agit des mêmes modèles, Maneuvering Characteristics Augmentation System excepté
"Au vu du truc et n’ayant absolument pas faim"
Après s'être empiffré des délices de Capoue au salon...
"Nouveau soupir (décidément…) : elle n’a que de l’eau plate… que j’accepte."
L'ejecutiva clase est propice aux soupirs
Bref un vol qui fait à peine le job, en fait seulement parce qu'il est court
Très beau bonus costaricain dont j'attends la suite avec impatience
A bientôt
Bonjour Gilbert et merci pour ce commentaire,
Je crains que cela ne s'aggrave même plus on côtoie de beaux endroits
On se rejoint complètement : j'y suis resté 10mn pour prendre quelques photos mais rien ne m'y a retenu...
Je luttais surtout pour ne pas m'endormir et me recaler au plus vite à l'heure locale... Mon estomac dormait déjà.
Soupirs d'aise voire de plaisir du pax moelleusement installé, repus des mets et vins les plus fins, intéressé par le spectacle d'un IFE passionnant.
Pas de risque que cela n'arrive ici, c'est la PNC qu'on derange ! Le pompon des soupirs.
Parfaitement résumé. Un vol de jour aurait permis de sauver la note Entertainment avec le hublot.
A bientôt !
Merci Laurent pour ce bonus (et ce FR mais j'avoue que c'est la deuxième partie qui est le plus à mon goût et je l'assume).
Je ne suis pas allé à Cahuita, préférant Tortuguero mais la faune et la flore est similaire, notamment les singes hurleurs qui tôt le matin permettent de se dispenser de réveil.
Pour les capucins, ce sont des petits voleurs, je confirme par la perte d'un paquet de mouchoirs en papier à leur profit.
J'adore les paresseux (que j'ai en fond d'écran sur mon PC mais d'Amazonie) , pour en avoir tenu un c'est un poil très particulier (comme une brosse) et attention à ses doigts qui pincent très fort.
Pura Vida est une expression qui me convient bien.
Vivement la suite des bonus.
Pour le vol, Gracieuse est la Monique de Copa.
A bientôt
Merci de ton commentaire Valérie,
On m'avait fortement déconseillé Tortuguero bcp trop touristique maintenant.
Il faut reconnaître qu'ils sont vocaux...
L'animal n'est pas très joli mais il est touchant je trouve.
Et moi donc ! Je me suis régalé.
J'avais vraiment l'impression de la déranger...
COPA, c'est pas Pura Vida !
A bientôt !
Merci Laurent pour ce FR et son fabuleux bonus très coloré.
J'avais emprunté ce vol en Y lors d'un aller-retour éclair à San José, je n'avais visité que la capitale du pays, qui contrairement à la province, ne casse pas des briques.
Le salon Copa est toujours aussi fréquenté mais l'offre nourriture c'est amélioré.
Un très vieil avion sans IFE individuel et une cabine J vintage à souhait !
Monique est de retour en Amérique Centrale, non seulement elle ne parle pas l'anglais mais n'est même pas capablede faire son boulot professionnellement...
Le catering à bord n'est vraiment pas terrible.
Il est évident que le bonus met de côté le report, la migale a du poil au pattes, Félicie aussi... Tous ces serpents croisés me donne des frissons, un pays à visiter en profondeur, et c'est le seul état de la planète à ne pas avoir d'armée !
A bientôt pour la suite...
Merci de ton comm Hervé,
Je me souviens très bien de l'avoir lu, je l'avais bien en tête lorsque j'ai décidé de zapper la capitale, merci pour le tip !
L'offre s'est améliorée ? Qu'est-ce que ça devait être avant !
Pour 1h, pas de problème mais si c'est le même avion qui va à SCL en 6h30, aie, aie, aie.
Je voulais juste un verre de flotte à bulles, j'avais l'impression de lui demander 1 Pétrus... Elle devait être pressée de finir sa journee, ça peut également se comprendre.
2 tranches de saucifflard, 3 bouts de frometon et un gateau : pas de quoi se réveiller la nuit mais comme je n'avais pas faim, aucun problème.
C'est vrai qu'on en rencontre pas mal mais j'ai d'autres bestioles en stock pour le prochain bonus...
Un bien beau pays qui mérite qu'on s'y attarde même s'il manque un peu de vieilles pierres pour diversifier le voyage.
Elle ne leur a servi qu'à faire des coups d'état jusqu'en 1949, pas plus mal de s'en débarrasser ...
A bientôt !
Merci pour le partage Laurent !
L'attitude de Gracieuse est tout simplement hallucinante. Mais c'est une attitude assez récurrente sur certaines compagnies d'Amérique du Sud.
Le bonus est superbe !! Un grand merci.
A bientôt !
Merci de ton commentaire Stephan,
Je n'avais pas eu ce sentiment mais je n'ai volé qu'avec LATAM : les PNC n'étaient pas topissimes mais quand même à mille lieues de Gracieuse.
Ca devait être sa dernière rotation de la journée, on va dire qu'elle était fatiguée.
Welcome!
A bientôt !
Bonjour Laurent,
Merci pour ce partage. Un vol sans saveur avec Gracieuse pas très pro !!
Magnifique bonus, j'adore les paresseux. En revanche tel un singe, j'aurai hurlé à la vue de certains animaux rampants !!
A bientôt
Bonjour Dorothée et merci de ton commentaire,
Bien résumé ! Vol de nuit donc même pas le hublot pour découvrir les paysages survolés...
Gracieuse ne voulait clairement pas qu'on la sorte de son protocole qu'elle exécutait en vitesse. Elle n'était pas plus aimable avec les autres pax...
C'est vrai que ça rampe pas mal dans les sous-bois costariciens, notamment près des points d'eau où tout se passe le soir. Il faut faire attention où on pose les pieds et être couverts (pas de short, pas de polo) malgré la chaleur et l'humidité.
J'ai d'autres bestioles du même genre dans le prochain bonus, ça t'exercera la voix !
A bientôt !
Merci Laurent pour ce FR !
Je me suis beaucoup amusé de la description du salon. C'était mérité. On sent bien l'influence américaine, ce qui est normal tant le canal a lié les deux pays si longtemps. D'ailleurs, c'est surprenant ensuite de tomber sur une PNC qui ne manie par la langue de Shakespeare (ou de Donald, c'est selon).
Très beau bonus. J'y ai reconnu quelques lieux que j'avais apprécié lors de ma visite, et quelques animaux qu'on y croise aussi....heureusement j'ai échappé à la mygale, j'aime autant :)
A+
Merci Thomas de ton commentaire,
Le salon n'est pas de grande qualité : mal foutu et bruyant, moche et l'offre culinaire est très basique. L'influence US est indéniable (la carotte fait foi).
Après son intro en espagnol, Gracieuse n'a pas desserré les dents, c'était histoire sans parole... Peut-être parlait-elle le Donald mais par pudeur, elle l'a bien caché...
Content que le bonus t'ait rappelé de bons souvenirs. La mygale était un bébé tout mignon...Ce qui m'a le plus dérangé, c'est le fer de lance : après l'avoir vu en début de promenade, je regardais partout sur le chemin si je n'en voyais pas un autre. On n'est pas censé en voir me disaient les guides, c'était quand le 3eme en quelques jours...
A bientôt !
Merci Laurent pour ce second opus !
Le Copa Club n’est autre qu’un vulgaire Carott Club mais il faut dire que Copa a des antécédents : filiale de Continental Airlines jusqu’à la fusion de celle-ci avec United. La livrée CM s’en ressent encore
”On remarque au plafond une borne wifi qui permet au croyant de se connecter avec un e-prêtre” : A moins que ce dispositif ait été spécialement installé pour le e-paiment de la quête
La cabine à fait son temps mais reste néanmoins confortable. Je dirais même très confortable pour un vol d’1h30 en sachant que ces mêmes cabines sont (étaient?) déployées sur des escales comme EZE, GIG ou GRU, un bon 7h de vol
L’équipage est aussi plat que l’eau qui à été servie et le vol n’a rien eu de très pétillant
J’avais eu la même impression dernière le rideau : une compagnie qui ne m’a pas laissé un souvenir impérissable
Au contraire, le bonus est tout simplement superbe !! Autant de faune et de flore concentré en un si petit pays, c’est exceptionnel. Les futures visites dans les zoo et autres jardins botaniques risques d’être bien fades ;)
A bientôt pour la suite
Merci Hugo de ton comm,
Je m'étais fait la remarque sur la livrée mais je n'avais pas eu la présence d'esprit de rechercher les origines de Copa... Merci de l'info !
Avec le QR code dans le missel, pas con.
Je te rejoins sur le confort du siège et sur le fait que sur des vols régionaux un peu longs, ça devient un peu juste. J'avais eu ce type de cabine aux US pour un vol de 5h, c'est moyen surtout sans IFE.
Joli ! Gracieuse était pressée d'aller coincer la bulle au galley.
Je me suis régalé, j'ai toujours un regard de gamin sur les animaux, je ne m'en lasse pas surtout lorsqu'ils sont en liberté.
C'est sûr que c'est très different mais on n'y va pas avec le même état d'esprit, on serait forcément déçu.
A bientôt !
Merci pour ce FR et son superbe bonus!
Hé bien, Copa ne vend pas du rêve avec cette expérience: le salon ne ressemble pour ainsi dire à rien et il est bondé. En plus, l'offre y est fort limitée alors que je suis sûr que le Panama ne doit pas manquer de plats faciles à exécuter dans un salon...
À bord, on continue le voyage en pleine médiocrité avec une PNC au comportement hallucinant; on croit rêver quand on voit un tel comportement... Les Monique sont de moins en moins sur AF, mais il en reste sur d'autres Cies pour se rappeler auc bons souvenirs des FRistes.
Au final, seul le siège est vraiment bien au vu de la durée du vol (même si Copa avait installé du full-flat sur ses 737MAX et même sur certains 739 je crois).
À bientôt!
Bonjour et merci pour le commentaire,
Le salon ne m'a effectivement pas convaincu, c'est le moins qu'on puisse dire : bruyant et famélique. Le bar avait l'air (de loin) plus fréquentable.
Gracieuse n'a effectivement pas démontré de grandes qualités d'accueil. Peut-être finissait-elle sa journée et était fatiguée, ça expliquerait (sans le justifier) son comportement.
Complètement d'accord sur le constat chez AF qui semble nettement s'améliorer dans le domaine, ça change la perception d'un vol.
La cabine était très bien pour un si court vol, c'est clair que je ferai l'impasse pour un vol plus long.
A voir avec leur nouvelle flotte en MAX mais il va falloir attendre encore un peu...
A bientôt !
Merci pour ce F.R
Superbe bonus faune & flore!
Mouais... le Costa Rica est de loin le premier consommateur de produits phytosanitaires/ hectare (6 fois plus que la France)
A bientôt
Bonjour et merci du commentaire,
Bien vu, j'ai prévu d'en parler dans le second bonus, la face cachée de ce pays agricole. Même constat qu'au Pérou par exemple, Monsanto continue de faire de bonnes affaires !
A bientôt !
Merci pour ce FR, toujours bien enlevé.
Salon qui fait penser à un Carrot Club de province mais c’est certainement ce qu’il est. ;)
Service 5* à bord...
Bonus axé nature mais il faut aimer crapahuter sur les sentiers forestiers (et apparemment on y croise autre chose que des gentils écureuils roux).
A bientôt.
Merci Clément de ton commentaire,
3 types de sandwichs, quelques biscuits/crakers et des carottes/céleri : ça va pas chercher bien loin effectivement.
En plus, le salon n'est même pas agréable pour s'y reposer vu le brouhaha qui y règne.
Service 5* comme tu le dis : on en rêvait, Copa l'a fait. Catering très moyen, service... quel service d'ailleurs ?
Il y a des petits écureuils : ils sont longs, sans poils, sans pattes et moins affectueux...
A bientôt !
Merci pour ce FR Laurent !
L'expérience Copa est vraiment désastreuse sur ce vol... A part le siège qui est un vrai siège J, je ne vois rien de bien dans cette prestation.
Le bonus m'a fait alterner entre les "oh, trop mignon" et les "arrrrgh, quelle horreur" :p. Merci :)
A bientôt !
Bonjour Jules et merci de ton comm,
Le vieux siège est le seul bon élément de ce vol avec le fait qu'on soit arrivé en avance.
Pour le reste, circulez, y a rien à voir !
Assiette mixte cochonnaille / fromage ( je sais que tu adores...) qui n'a pas belle allure avec un service plus que déficient.
Je vois à peu près ou tu as émis les "Oh" et les "Arrrgh" : la 2nde salve arrive dans le prochain bonus !
Perso, j'ai tout apprécié même les bestioles, dans notre imaginaire, moins sympathiques. Il faut y aller !
A bientôt !