Ce FR est le troisième segment de notre petit voyage pour assister à un mariage en Chine début juin. Plus d'information à ce sujet se trouve dans le FR du premier segment :
CDG - PVG : MU370 (A332) Les poteries d’Yixing
PVG - CGO : FM8389 (B738) Les temples de Kaifeng
CGO - PEK : CA1326 (B738) L’allée des Mig (vous êtes ici)
PEK - TYN : train à grande vitesse
TYN - PVG : MU2402 (B738) Meilleurs vœux de bonheur !
PVG – CDG : MU569, vendu comme AF3767, non reporté
Kaifeng ne mérite pas plus d’une journée de visite touristique, mais elle était écourtée en raison de l’horaire du bus à l’aller et de l’avion au retour, et c’est en taxi que nous sommes repartis vers l’aéroport pour avoir le temps de voir tout ce qui nous intéressait. L’autoroute était très peu chargée…

… ce qui n’était pas le cas de ce camion

… ni de celui-ci, tous deux assez banals sur les grands axes chinois. Ces chargements sont la conséquence du trop faible prix du marché du fret routier, et du caractère non dissuasif des amendes et pots de vin pour surcharge de véhicule.

Arrivée dans les temps à CGO ; à gauche, ce sont les travaux d’extension du terminal actuel

Terminal actuel que voici.

Le FIDS complet

… et l’écran où se trouve notre vol qui n’est ni annulé (2 vols sur 12), ni en retard (3 vols sur 12) : cela fait près de la moitié des vols qui ne respectent pas l’horaire.

Attente raisonnable pour l’enregistrement, derrière un PAX dont le sac de golf sera emporté séparément par une employée.

Ce comptoir permet aussi d’enregistrer les vols de ces compagnies (et aussi GJ et GX, annoncés par l’écran suivant).

Un petit regard en arrière après avoir reçu nos BP : il n’y a décidément pas foule à l’enregistrement

Ni d’ailleurs dans le hall

Ou à l’accès au PIF à droite

Cela rend peu utile cet accès prioritaire pour classe avant et PAX Elite

Voici le BP, avant tamponnage au contrôle d’identité

Rien à dire au sujet de la courtoisie du personnel au PIF, mais ma sacoche d’ordinateur, même sans son ordinateur, est stoppée. Il faut retirer ce fourbi (disque dur externe, chargeurs d’accus d’APN, multiprise française ayant remplacé la multiprise chinoise confisquée au PIF de DOH…), et la repasser.

Rien à dire donc au sujet de leur courtoisie, à l’oral comme à l’écrit, avec cet « avis chaud » en sortie du PIF.

Nous voici airside

On passe ici entre un salon multi-compagnies


Et un restaurant

La Maison des nouilles du souvenir ??

Pendant que Mme patiente ici (avec son bagage à main et ma sacoche d’ordinateur, contenant l’ordinateur et le fourbi suspect), je pars explorer les lieux.

Voici le plan actuel du terminal : sur 13 portes au contact, il y en a 3 à droite pour les vols internationaux / HK / Macao / Taiwan.

Mais voici à quoi ressemblera le terminal à la fin des travaux en cours.

On notera la présence d’un espace fumeur dont l’entrée est ici à droite

Non, je ne vais utiliser cet espace jeux, mais il y en a un.

La légende veut qu’un jeune FRiste plein d’avenir ait passé une nuit dans un aéroport chinois sur un chariot à bagages, mais tout me laisse à penser que ce n’était pas celui-ci.

Embarquement au large pour les PAX de cet A319 West Air


Shandong Airlines, du nom de cette province au sud-est de Beijing

737 Shenzhen Airlines : j’ai souvent vu des appareils de cette compagnie pendant ce voyage, alors que j’étais généralement loin de sa base située aux portes de Hong Kong. Je n'ai pas retouché ces photos, qui vous donnent une idée de la clarté de l'air.

Cette « boîte » est un autre salon d’affaires multi-compagnie.

L’intérieur aperçu depuis l’extérieur ne semble pas exaltant.

Il est temps de rejoindre Mme avant que le début de l’embarquement ne la fasse s’inquiéter. Au-dessus de la porte, c’est une publicité immobilière pour une résidence haut de gamme à l’esthétique typiquement chinoise du XXI° siècle,

Il y en a une autre le long de l’accès à la porte

L’immatriculation de l’avion pour les fans

Descente en deux rampes successives jusqu’à la porte de l’avion

Traversée des deux rangs 2+2 de la J, inchangée d’un appareil à un autre

Chez Air China, la cabine Y commence au rang 11 , et le rang 13 n’est pas omis

Le fond de la cabine Y, avant qu’elle ne se remplisse

Nous sommes à la limite entre deux décorations de sièges

… juste après les rangs en issue de secours, où il n’y aura qu’un PAX.

Pas de publicité d’entreprises tierces sur les appuie-tête

Le pitch est standard

… tout comme le plafonnier

.. et la fiche de sécurité

禁止使用干扰飞行通系统的电子设备 signifie « Interdit d’utiliser des moyens de communication pouvant interférer avec l’équipement électronique de l’avion ». Le traducteur s’est contenté d’interdire tout appareil électronique, en mauvais anglais de surcroît.

Il y a plusieurs canaux audio, que je ne vais pas tester pendant ce vol.

Repoussage après un A320 CZ


Que fait cet avion cargo de SF Airlines au terminal passagers ?

La démonstration de sécurité est sur IFE, avec doublage en langue des sourds

Tiens, une nouveauté ! Je ne me souvenais pas de l’existence d’Urumqi Airlines !

La livrée de la dérive, plutôt réussie,devant celles de CA, CZ et KA (ce dernier certainement au contact des départs internationaux / HK / Macao / TW)

Vue assez brumeuse du terminal

Départ d’un 737 Shanghai Airlines

Et décollage à notre tour. L'aile n'est vraiment pas très propre.

On reconnait ici nettement la forme du terminal en travaux, représentée sur le plan dans le terminal

Vous avez sans doute compris qu’on atteint très vite le plafond de nuages

Les PNC se mettent en ordre de bataille, mais le combat sera bref.

« En raison de la durée du vol, et en accord avec la réglementation de la CAAC (l’agence de régulation aéronautique chinoise), il ne sera pas servi de collation. »

350 ml d’eau, un point c’est tout, pour un vol exactement deux fois plus cher que PVG-CGO (779 RMB contre 390 RMB) ! Nous n’avons pas déjeuné (pas le temps en raison des visites), et nous n’avons pas pris d’en cas, comptant sur le repas dans l’avion. Qui plus est, l’heure d’arrivée fait qu’il ne faudra pas tarder pour trouver à dîner à Beijing sans sombrer dans la catégorie des mauvais fast food.

Descente vers PEK

Au loin, le centre des affaires de Beijing


Et à fond de zoom, de contre-jour, de brume et de pollution urbaine, on peut identifier au centre l’immeuble de la CCTV, la télévision chinoise, dessiné par Rem Koolhas.

Un autre avion est en descente vers une piste parallèle

Arrivée à PEK, pile à l’heure. La surface au sol du Terminal 3 est telle qu’il parait extrêmement plat.

Un mérou EK au contact

Beaucoup d’avions Air China, dont c’est le hub principal

Un A320 CA vient d’arriver

Pendant qu’un 737 CA décolle (on notera la coexistence de Boeing et Airbus dans la flotte)

Arrivée au contact à côté d’un appareil de Shandong Airlines en livrée spéciale

J’avoue que je n’avais pas entendu parler de cette exposition horticole

Côte à côte, vus après le débarquement, le 738 SC en livrée spéciale

… et un autre en livrée standard

Dernières vues de la cabine au moment de la quitter


On aperçoit le Terminal T3D, isolé entre les triangles sud (domestique) et nord (international)

Un échantillonnage d’appareils CA : 738

A320

777

738 en livrée spéciale fleurie

Arrivée d’un A321 Sichuan Airlines

Mme avait envisagé de dîner à l’aéroport, mais un bref coup d’œil suffit à se convaincre qu’il n’y a pas grand-chose pour se restaurer landside au Terminal 3.

Une nouveauté : il est possible d’obtenir un permis de conduire chinois temporaire en échange de son permis européen. Je ne me souviens plus des détails, mais je crois me souvenir avoir lu qu’il y a quand même un examen à passer. De toute façon, vue la conduite chinoise, et vu qu’en cas d’accident, c’est l’étranger qui a tort, je laisse d’autres que moi tenter l'expérience.

Deux minutes d’attente pour un taxi, et ce n’est pas une promesse en l’air

En moins de deux minutes, nous sommes là

Et à peine plus tard, dans un taxi, alors qu’atterrit un appareil de China Airlines en provenance de Taïwan.

Le péage de l’autoroute

Ce taxi est équipé d’une cabcam – une mini caméra vidéo qui filme en continu la chaussée devant la voiture. Ici, le but est de lutter contre les accidents volontaires : des escrocs piétons ou cyclistes qui provoquent volontairement un accident de la circulation pour extorquer un fort dédommagement en liquide en solde de tout compte.

C’est la fin de ce FR, et le début d’un bonus qui sera inhabituellement orienté avgeek. J’ai en effet consacré la journée du lendemain à un musée rarement visité par les étrangers à Beijing, si tant est qu’ils en connaissent l’existence. Il m’a fallu du temps pour trouver et recouper les indications d’accès sur l’internet chinois, mais quand on sait comment y aller, ce n’est pas si difficile que cela en transport en commun. C’est plus pratique d’avoir une carte préchargée de métro/bus, mais ce n’est pas indispensable.
Première étape : aller au terminus nord de la ligne de métro n°5 : la station Tiantongyuanbei 天通苑北. Le réseau de métro est très facile d’utilisation, et ce premier segment ne présente aucune difficulté.

En sortant du métro au terminus, vous tombez sur une gare de bus (photo prise au retour, quand j’avais tout mon temps)

… et vous repérez que l’arrêt pour les bus 643 est à l’extrême droite.

Et c’est parti ! Une petite angoisse vous étreint en quittant le monde bien maîtrisé du métro pour l’inconnu des bus de banlieue.

Mais vous avez deux atouts. D’abord, vous savez que l’arrêt pour le Musée de l’Aviation (航空博物馆 Hangkong Bowuguan en pinyin, la transcription standard en alphabet latin) est le quinzième à partir du métro. Cette plaque est celle de l’arrêt en question, identifié par une flèche. La numérotation à l’arrêt de bus est un peu curieuse, mais ce qui compte, c’est d’avoir la liste.

Le deuxième atout, c’est que les bus sont équipés d’un affichage défilant, qui à l’approche de la station en affiche le nom en idéogrammes.

Prochain arrêt Musée de l'Aviation
Puis en pinyin, et ce deux fois de suite

Vous descendez, après avoir validé votre carte préchargée ou payé les quelques yuan que vous demande la receveuse, et votre angoisse monte d’un cran en voyant le bus repartir

… en vous laissant au milieu de nulle part

J’ai outrageusement forcé le trait, car en fait, la vue ci-dessus est là d’où vous venez, mais vingt mètres après l’arrêt de bus, il y a un croisement, et vous ne pouvez pas manquer ce monument à droite.

Là, c’est écrit (verticalement) China Aviation Museum, et il est évident qu'il faut suivre la même direction que cette jeune fille, qui ne va pas jusqu’au musée et qui a eu la sage précaution de prendre une ombrelle, alors qu’il y a un bon kilomètre à faire en plein cagnard.

Vous êtes doublés par des dizaines de bus de scolaires

Lesquels déchargent des centaines de scolaires qui ne vont pas vous gêner, tant le musée est immense.

Depuis (par exemple) la station Dongzhimen sur la ligne 2, vous avez mis à peu près deux heures, et avec une carte préchargée, cela vous a coûté 6,5 yuan, soit à peine un euro. Un peu plus si vous payez en liquide chaque segment. Pour rentrer, c’est plus simple, puisque vous allez en bus jusqu’au terminus sans avoir besoin de savoir où vous en êtes, et ne vous inquiétez pas : les bus 643 circulent longtemps après la fermeture du musée à 17h.
L’entrée générale est gratuite ; ce contrôle d’entrée est hors service. Certaines parties du musée sont payantes, à raison de 20 yuan chacune, ce qui reste très raisonnable.

Voici le plan, mais il n’est pas indispensable pour la visite, car on se repère facilement sur le site.

Très vite, vous allez avoir l’œil attiré par l’allée des MiG : un impressionnant alignement de MiG-15 datant de la guerre de Corée, extérieurement en parfait état.


De face, avec ses deux canons de 23 mm et son canon de 37 mm.

Le MiG-15 existait en version monoplace, et biplace d’entraînement

Ne vous avancez pas dans cette allée, car vous allez en fait la parcourir plus tard en sortant d’une exposition à ne rater sous aucun prétexte.

A droite de ce J-12 Nanchang,

… au fond d’une large allée, se trouve l’entrée d’une caverne taillée dans la roche d’une colline. Le musée est en effet installé dans la base aérienne désaffectée de Datangshan.

L’entrée est payante, et la première partie – des panneaux historiques uniquement en chinois – ne va pas vous passionner (le dit et le non-dit au sujet de Taïwan valent cependant le détour pour qui peut les lire), mais on finit par déboucher dans cette caverne d’Ali Baba :

A perte de vue (en fait, le tunnel est coudé), des appareils militaires parfaitement alignés de part et d’autre. Évidemment, ils sont presque tous de construction soviétique, puis (après la rupture sino-soviétique en 1960) chinoise, mais il y a quelques exceptions. Nul ne peut ignorer que ce F-86 Sabre a été offert au musée par l’armée de l’air pakistanaise : c’est écrit sur la carlingue. C’était l’avion qu’opposaient les Américains aux MiG-15 chinois et soviétiques pendant la guerre de Corée.

En revanche, alors que la plupart des appareils dans l’ensemble du musée font l’objet d’une notule bilingue soignée, celui-ci n’en a aucune, car c’est impossible de commenter la présence de cet avion de manière politiquement correcte.

中正, sur le nez de l’appareil, c’est le nom par lequel Tchang Kaï-chek est connu à Taïwan, et cette cocarde bleue avec l’étoile à douze branches est l’emblème que Taïwan a hérité du Kuomintang. Ce Northrop F-5 immatriculé 5361 / 70343 est en effet celui du major taïwanais Huang Zhi Cheng, qui fit défection vers la Chine populaire le 8 aout 1981.

La grande majorité des quelques 300 avions exposés dans ce musée sont militaires, mais il y a largement de quoi illustrer l’aviation civile pour Flight Report.
Quelques appareils occidentaux : ce DC-8 était un avion-hôpital ophtalmologique , offert à ce musée quand il a été remplacé par un DC-10.

Ce Vickers 843 Viscount a fait l’objet d’une tentative de détournement le 30 juillet 1982, mais je n’ai pas trouvé de détails au sujet de cet incident.

Hawker-Siddeley 121-2E Trident

On passe au bloc soviétique avec cet An-12

An-24

Tu-124

Il-62

Je me suis offert la visite de cet Il-18, qui a été l’avion présidentiel de Mao jusqu’en 1967.

L’éclairage du cockpit était très défavorable – notez le jumpseat de type « siège de jardin » au milieu des sièges des quatre PNT (capitaine, copilote, mécanicien, navigateur).


Deux cabines en 3+2

L’échelle mobile pour usage dans les aérodromes ne disposant pas d’escalier mobile

Une zone de stockage de bagages, avec une tringle pour les vêtements

Vers l’arrière : le lit présidentiel, avec un salon avec 2 paires de sièges face à face de l’autre côté de l’allée.

Et à l’arrière, le galley, vu vers l’arrière

… et vers l’avant

Le détail qui tue : toutes les indications sont en russe, mais dans le galley, des traductions en chinois ont été rivetées par-dessus.

Ce musée est bien trop riche pour y faire justice dans un bonus touristique, mais j’espère que cet aperçu vous a plu. Merci pour votre lecture et vos commentaires !

Merci François pour ce FR
Un vol étrange avec cette bouteille d'eau servie en guise de repas, alors que sur le vol aller, c'était un catering chaud ! Et le prix est deux fois plus onéreux que l'autre, c'est à en perdre son latin, ou son Chinois...
Beau spotting avec ces nombreuses livrées attrayantes
L'aventure pour se rendre au musée est vite oublié après la visite. Il est très riche et l'espace réservé aux avions de ligne est raisonnable, sympa la visite de l'avion officiel du Grand Timonier.
A bientôt pour la suite
L’honnêteté me pousse à reconnaître que j’ai acheté le billet PVG-CGO très longtemps à l’avance, car je voulais profiter de ce voyage pour aller enfin à Kaifeng, et le billet CGO-PEK beaucoup plus tard, car ce segment-là était un plan B. Mon projet initial, beaucoup plus exotique, est tombé à l’eau car il reposait sur un vol qui s’est tardivement révélé n’être opéré qu’un jour sur deux, et cela ne marchait pas dans mon planning.
L’aventure pour aller à ce musée n’en était pas une pour moi, car cela fait longtemps que je suis rodé à ce genre d’itinéraire.
Merci pour le commentaire !
A quasiment chaque nouveau FR en Chine on découvre des nouvelles compagnies. Urumqi Airlines dans celui-ci ainsi que West Air (en tout cas pour moi).
Impressionnant tous ces aéroports Chinois où de nouveaux terminaux sont en construction. D'autant plus que l'ancien ne fait pas vieux.
C'es rare d'avoir encore des 738 sans winglet.
Le vol est si court que ça pour ne pas avoir de repas ?
qu’en cas d’accident, c’est l’étranger qui a tort Pratique ça
Joli et interessant bonus.
Merci pour ce FR :)
Zhengzhou, c’est une capitale de province qui a près de cinq millions d’habitants, et dont l’aéroport draine probablement une population double, laquelle ne prenait jamais l’avion il y a trente ans. Ce n’est pourtant que la 23° ville chinoise par la population. On a du mal à se rendre compte de ces chiffres depuis l’Occident, mais ils justifient sans peine ce développement tous azimuts des aéroports chinois… et aussi l’apparition de nouvelles compagnies aériennes.
Curieusement, la Chine a continué pendant un certain temps à acheter des 738 sans winglet, et ne les a pas rétrofittés.
Merci pour le commentaire !
Un vol qui permet de garder la ligne :)
Et toujours cette pollution.
De nouveau un vol ponctuel, tu sembles être sur une bonne série.
Trolley pour distribuer de l'eau, il fallait y penser.
Impressionnante collection d'appareils russe dans le bonus, belle sortie hors des sentiers battus.
Merci pour ce FR !
Tous mes collègues et amis chinois se plaignent de la dégradation de la qualité de l’air dans leurs villes respectives. Le travail à faire dans ce domaine est immense, mais ce n’était pas brillant non plus en Europe à l’époque de la révolution industrielle.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR! :)
J'avais pas eu le temps de visiter le musée lors de ma visite à Pékin mais je m'en veux car à en juger vos photos il semble extraordinaire! :D
Sinon dommage pour le manque de collation.
Ps: si vous voulez vous restaurer en zone landside à PEK, allez à la mezzanine au dessus des départs. Vous y trouverez un grand nombre de restaurants et fast food :)
J’espère que vous aurez une autre occasion d’aller à PEK – l’exemption de visa pour 72h accordée à une cinquantaine de nationalités aide à ce sujet – et vous aurez alors de quoi proposer un bonus différent, car le mien fait l’impasse sur une grande partie des appareils exposés.
Je ne me suis pas vraiment donné la peine de chercher sérieusement où manger à l’aéroport, car je pouvais trouver près de l’hôtel, mais j’aurais dû :)
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR.
Magnifique ce bonus pour un musée qui mériterait d'être plus connu ! L'alignement des Mig est impressionnante.
après les dashcam en Russie, voici que la Chine s'y met aussi dans l'intérêt de se protéger vis à vis des arnaque(ur)s^^^
A bientôt pour la suite.
J’avais trouvé sur internet des listes des avions présentés dans ce musée, compilées par des avgeeks qui y ont passé des journées entières. Elles étaient loin d'être à jour, ce qui indique que ce musée est actif. Je ne m’attendais cependant pas à cette rangée de chasseurs. Globalement, ce musée a dépassé de loin mes espérances.
Les dashcams, c’est nouveau en Chine, alors que c’est très banal à Taïwan (une question de pouvoir d’achat, probablement), ce qui a permis d’avoir une série de vidéos du crash de l’ATR72 de Transasia Airways à Taipei.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR !
Merci pour le bonus, qui est très intéressant. Est-ce que le guidage est aisé pour un non-sinophone ?
A bientôt :)
En ayant imprimé mes indications, et tout particulièrement le nom en chinois du musée pour que la receveuse du bus vous fasse descendre au bon arrêt, et avec un minimum de confiance en soi, un non-sinophone peut certainement y aller par lui-même. Ne sous-estimez pas la bonne volonté des Chinois pour aider un étranger hors des sentiers battus. C’est précisément pour cela que je me suis donné la peine de poster cet itinéraire détaillé, car ce musée devrait être un must pour tout avgeek de passage à PEK. Je serai ravi d’apprendre que mes informations auront été utiles; n'hésitez pas à me le faire savoir :)
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR et pour le super bonus.
Combien de temps a duré ce vol pour qu'il n'y ait que de l'eau?
Et moi qui pensais qu'il n y avait qu'en Afrique que l'on pouvait voir des camions surchargés.
A bientôt pour la suite
Exactement 1h30 chrono du repoussage à l’arrivée au contact. Nous sommes tombés des nues en découvrant qu’il n’y aurait rien à manger pendant le vol.
On voit très souvent des chargements incroyables en Chine, qu’il s’agisse de petits triporteurs de chiffonniers ou de semi-remorques dont le gabarit est pourtant beaucoup plus généreux qu’en Europe.
Merci pour le commentaire !
Bonjour, merci pour ce FR.
Que de l eau pour près d 1h30 et pour 780 kuai, C est de l escroquerie. N y avait il pas des compagnies plus exotiques ou moins cher? Le CZ de 16h50 n était pas moins cher?
Décidément, vous avez beaucoup de chance d être toujours à l heure.
Merci pour ce bonus
À bientôt
Le vol CZ était un peu moins cher, mais pas tant que cela, et n’était pas particulièrement exotique. Je tenais à prendre le dernier vol pour avoir le maximum de temps de visite à Kaifeng, et le vol Air China me donnait trois quarts d’heure de tourisme supplémentaires.
A tout prendre, je préfère un vol ponctuel sans repas à l’inverse que j'ai trop souvent connu !
Merci pour le commentaire !
Merci François pour ce nouvel opus passionnant comme d'habitude et à Mme pour avoir permis la réalisation de certains clichés.
Belle aérogare à CGO. L'infrastructure en construction paraît gigantesque. Xinzheng est une ville de quelle taille qui vit de quelles industries?
On notera la pingrerie de CA. On regrette le sucré-salé de chez nous.
Constructions tape à l'oeil pour nouveaux riches, vu qu’en cas d’accident, c’est l’étranger qui a tort, les pays du Tiers Monde fonctionnent tous selon des règles identiques.
Bonus inattendu qui montre que maîtriser l'idiome local peut aider ;=)) A quand une reconversion dans le guidage touristique?
A bientôt !
Personne ne connaît Zhengzhou en Occident (à part son excellent musée provincial, il n’y a pas grand-chose à y voir), et pourtant c’est une ville plus grande que la plupart des capitales européennes, avec environ 5 millions d’habitants dans la seule agglomération. Je ne sais rien de plus de son économie que ce que Wikipédia m’a appris.
Le décollage économique lancé en 1980 par Deng Xiaoping a fait passer la Chine du stade Tiers Monde à l’étape capitalisme sauvage, ce qui multiplie le nombre de nouveaux riches sans pour autant construire un état de droit.
C’est pour savoir aller par moi-même dans ce genre d’endroit que j’ai voulu commencer à apprendre le chinois dès mon arrivée en Chine. Un investissement énorme en temps personnel, mais j’en ai été bien récompensé depuis. Je préfère cependant de beaucoup la compagnie de Mme à celle des groupes de touristes ;=))
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR.
L'âge d'or du voyage aérien chinois avec collation voire repas sur chaque vol semble révolu...
Très intéressant bonus que je ne manquerai de découvrir lors de mno prochain passage dans la capitale.
A bientôt pour la suite.
Il ne faut pas désespérer prématurément du voyage aérien en Chine.
Au plaisir de lire votre futur prochain bonus touristique sur ce musée ; n’hésitez pas à m’en signaler la publication !
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce magnifique FR :)
Un vol correct sur Air China, dommage que la catering se résumé à une simple bouteille d'eau...
Vraiment mille mercis pour ce superbe bonus !! Cela doit être assez impressionnant de voir autant d'avions au mètre carré ! L'aviation soviétique gardera toujours une part de mystère dans la vision que j'en ai d'elle.
Mao n'avait pas l'air très grand (cf. la taille du lit :p)
A très bientôt,
Ce musée est tellement immense que nous avons dû faire l’impasse sur les espaces les plus excentrés. Il faut surtout remercier Mme pour qui cette visite n’était pas une priorité !
Mao mesurait 1,80m : je n’ai pas de souvenir suffisamment précis, mais la photo donne probablement l’impression d’un lit plus petit que ce qu’il n’était. On devrait toujours avoir un mètre ruban avec soi en vue d’un FR ;)
Merci pour le commentaire !
Merci François pour ce très bon FR et pour son bonus avgeek!
Merci pour le commentaire !
Merci François !
Chaud chaud de se repérer sur une autoroute chinoise...bon je remarque que sortie s'écrit pareil en japonais qu'en chinois.. ^^
L'aéroport de départ est plutôt bien foutu, et son extension est prometteuse.
Vol moyen avec siège correct et picth bon, douche froide pour le catering encore pire que les majors japonais :))
Le bonus et la mini aventure pour s'y rendre est superbe, varié, avec de vrai ovni d'un autre siècle...MAO en full flat, craneur ! :))
En effet, les panneaux routiers ne sont pas toujours traduits hors des villes en Chine, loin s'en faut. Combien de mes lecteurs ont repéré que la route S85 mène au Temple de Shaolin ??? ? Oui, il s'agit bien de celui d'où est originaire le kungfu, et nous n'avons pas manqué d'y aller lors d'un précédent voyage !
Merci pour le commentaire !
Catering inexistant...un scandal! La pollution même si je l'ai vu et surtout subit de mes propres yeux et de mes poumons, m'étonne toujours autant. Le bonus sur le musée aérien est vraiment super. L'avion de Mao et surtout son galley sont juste impressionnant. Merci de nous faire profiter de ce bonus.
La réduction de la pollution sera le futur grand chantier national de la Chine. Soyons honnêtes à ce sujet : la situation n'était pas brillante non plus en Occident autrefois.
Merci (tardif) pour le commentaire !