Douzième segment aérien de ce voyage en Chine, mixte privé / professionnel :
CDG - PVG : MU370 (A332) Les poteries d’Yixing
PVG - CGO : FM8389 (B738) Les temples de Kaifeng
CGO - PEK : CA1326 (B738) L’allée des MiG
PEK - TYN : train à grande vitesse
TYN - PVG : MU2402 (B738) Meilleurs vœux de bonheur !
HGH - CTU : CA1741 (A319) Que c'est triste, Hangzhou, sous la pluie
CTU - XIY : CA8926 (B738) Chengdu by night
XIY - PEK : CA1232 (A320) La Grande Muraille vue du ciel
PEK - CSX : CA1363 (A321) Xinzhongjie a survécu !
CSX - PEK : CA1374 (A330) Chez soi à Beijing
PEK - CKG : CA1409 (B738) L'extravagance de HongYaDong
CKG - CGQ : CZ6460 (A321) Galère à Changchun
CGQ - TAO : CZ3938 (A321) La Riviera chinoise des Allemands (vous êtes ici)
TAO - CAN : SC4675 (B738) Nous avons le regret d’annoncer que le vol SC4675…
Ce FR commence dans un taxi qui me ramène à l’aéroport, après avoir visité le palais de Puyi, décrit dans le bonus FR précédent. Je n’ai pas trouvé quels étaient ces bâtiments à l’architecture typiquement japonaise.

En revanche, ce monument à un rond point me semblait adapté pour le début d’un FR.


Si vous voulez acheter un pied à terre à Changchun, n’hésitez pas. A partir de 7 900 RMB/m², deux jardins fleuris, cave en sous-sol… je sens que vous allez vous encombrer le standard au +86 431 8965 7777.
Pour éviter les déconvenues, souvenez-vous qu’il n’y a pas d’équivalent de la loi Carrez en Chine : il est de coutume de répartir la surface des parties communes dans celle des appartements. Il faut déduire au moins 30% de la surface annoncée pour avoir celle du logement lui-même.

L’aéroport est à 24 km, et les pistes de ski les plus proches à 40 km. Vous avez l’ordre de grandeur du tarif de la course en taxi pour y aller dans mon FR précédent : qu’attendez-vous ?

Un arc-en-ciel avant de quitter l’agglomération. A ce stade là, la discussion avec le chauffeur de taxi sur le fait d’appliquer ou non le tarif du compteur était loin d’être terminée. Il est même allé jusqu’à me suggérer de me laisser à un arrêt de bus vers l’aéroport (oui, c’était bien inscrit sur le flanc du bus, mais je ne savais pas à quelle heure il partirait).

Le péage de l’autoroute, de jour cette fois-ci

La province du Jilin est surtout connue pour le parc national de Changbaishan 长白山 (« La Longue Montagne blanche »), où la visite est très encadrée, car il est frontalier de la Corée du Nord. D’après un ami qui y est allé, c’est très cher et plutôt décevant pour qui connait les Alpes.

Les habitants de cette province sont également adaptes du stationnement sur la voie d’arrêt d’urgence à proximité de l’aéroport.

Arrivée à l’aéroport de Changchun 長春; ces idéogrammes illuminés la nuit sont à voir depuis l’extérieur ou depuis le tarmac. C’est ici la graphie traditionnelle : en idéogrammes simplifiés, cela s’écrit 长春.

Vous aurez compris à la lecture de mon FR précédent que le chauffeur de taxi n’avait aucune chance d’avoir gain de cause : je lui ai payé à l’arrivée le péage et la somme affichée au compteur, soit 83 yuan au total, pas un jiao de plus (le pourboire est inconnu en Chine).


Le hall, vaste et assez vide

Et les guichets d’enregistrement, vraiment vides.

Pas de bagages ? me demande l’employé qui a dû remarquer que j’étais en tenue très légère avec une simple sacoche d’ordinateur à l’épaule. Je me suis retenu de lui dire que je n’avais demandé qu’à avoir un bagage.

Un peu plus de queue au PIF, mais rien de significatif

Airside, c’est un peu moins vaste, mais tout aussi clair

La curiosité locale, c’est le nombre de vols avec escale : sept sur neuf sur cet écran. C’est très inhabituel.On notera le vol 3U8864, retour de celui qui aurait pu apporter ma valise ici, mais serait arrivé trop tard.

Passage au guichet de service pour avoir un code d’accès internet. Pas de problème, l’employé très sympathique a bien compris ma demande, mais après moins de dix minutes d’utilisation, la connexion est perdue, et le code est périmé. Je retente ma chance au même comptoir, mais l’employé est parti, et ses collègues féminines ne comprennent pas ma demande. Ce n’était pas mon chinois qui avait fait l’affaire dix minutes plus tôt, mais leur compétence qui était en cause. Bref, pas d’accès internet.

Le tarmac est complètement à contre-jour. Je n’ai pas cherché à faire de mauvaises photos d’appareils déjà correctement vus dans mes FR précédents. Il y en a quand même deux qui sortent du lot :
Un petit jet d’affaire

Et un Shijiazhuang Y-5, qui n’est autre qu’un Antonov 2 construit sous licence soviétique puis ukrainienne. Il semble que cet appareil qui remonte à 1947 serait encore produit en Chine.
Ce n’est que la deuxième fois que j’en vois un, après celui vu à LCX à l’occasion de mon mémorable vol HO1146

Bon, ce n’est pas le tout, je n’ai rien mangé depuis le petit déjeuner de l’hôtel (un buffet pas terrible, mais il y avait la quantité). Cette restauration rapide pourrait faire l’affaire ; je demande à la serveuse s’ils fournissent un accès internet.
- Non, mais de toute façon, il y a celui de l’aéroport
- J’ai essayé l’Airport Free Wifi, et ça ne marche pas
- Ah, mais ce n’est pas celui-là qu’il faut prendre, c’est Chinanet !

Et incroyable mais vrai : le réseau gratuit wifi de l’aéroport exige un code envoyé par SMS, et est instable, mais le réseau commercial de Chinanet fournit directement un accès gratuit et ne coupe pas !

Cela me permet de récupérer mes courriels (je rappelle que l’accès internet à mon hôtel plantait), et de vous offrir la une du moment :

Si la serveuse est si sympathique, pourquoi donc ne pas manger là ? J’ai oublié le tarif, mais c’était très raisonnable pour un établissement airside, et tout à fait à mon goût.

Ce qui n’était pas terrible, c’étaient les WC landside. Pas sales, mais pas très engageants pour autant.

Mon vol vers Qingdao 青岛, qui comme vous voyez, continue ensuite vers Changsha 长沙, est à la porte 32.

Et comme vous le voyez aussi, c’est une porte au niveau inférieur, donc un embarquement par PAXbus.

Non seulement la salle d’embarquement est beaucoup moins agréable, comme toujours

Mais en plus on ne capte plus Chinanet

Pour ce qui est du spotting, c’est limité à ce fouillis d’appareils

De nouveau, le Shijiazhuang Y-5. Dommage de ne pas pouvoir le voir de profil

J’arrive quand même à brancher mon PC, avec le cordon du chargeur dans le passage, pour commencer à écrire un FR.

Pour le moment, c’est le vol MU2272 Changchun 长春 - Xi’an 西安 – Kunming 昆明 qui est affiché à la porte 32, alors qu’il n’y a plus personne à embarquer.

C’est à nous ! L’affichage défilant rappelle les règles de priorités, mais il n’y a pas foule pour en profiter.

L’écran derrière les employés affichait autre chose, et a été éteint pour être remplacé par un affichage qui ne tombe pas en panne.

Sortie du terminal, trajet banal pas aussi ridicule qu’à l’arrivée, et arrivée au pied de l’avion.

Il y a ceux qui font immédiatement sagement la queue pour embarquer.

Et puis il y a les familles qui immortalisent leur voyage

Et comme elles m’ont évidement vu les photographier, elles vont demander à se faire photographier tour à tour avec moi, car un étranger à Changchun, c’est tellement rare !
Cette demande ne m’a pas surpris, car cela m’est arrivé régulièrement lors de mes périples en Chine.
Il y a aussi les groupes qui font une photo souvenir

… et qui font la totale.

Qui peut prétendre que la magie du voyage aérien a disparu en Chine (regardez le salut du sommet de l’escalier, très milieu du XX° siècle).

L’éclairage étant plus favorable, je vous offre un A319 China Southern

Et un A320 Sichuan Airlines

Il est loin, mais le jet d’affaire vu depuis le terminal était un Gulfstream Aerospace G200 de ZYB Lily Jet, une compagnie d’aviation d’affaires basée à Shenyang.

A mon tour de monter à bord, parmi les derniers

Traversée de la cabine J : trois rangs en 2+2


Puis quatre rangs Y+ (sièges et diagramme 3+3 comme en Y, mais pitch supérieur), avant un mini-galley


Rien pour gêner le rangement de la totalité de mes bagages sous le siège

La fiche de sécurité recto-verso

Les WC côté gauche, en face du mini-galley, avec matériel de puériculture à usage féminin

Un 757 CZ cargo

Démonstration de sécurité sur IFE

Décollage à l’heure


Le fouillis des lignes domestiques de CZ dans le magazine de bord

Chez CZ, Taïwan fait partie des liaisons domestiques. Hum…

Coucher de soleil, avec la lune dans le coin gauche

Chez CZ, le café est au lait

Et comme sur le vol CZ précédent, la boite repas est censée m’apporter de la chaleur, être rafraîchissant, harmonieux et nourrissant, mais je sais qu’il ne faut pas trop rêver.

Mon voisin a choisi l’option beef-noodles

Et ce sera comme d’habitude chicken-rice pour moi. Deux couverts en plastique, contre un seul sur le vol précédent ? C'est Byzance !

Gros plan sur le contenu du sachet de pickles

Vol sans histoire, posé des roues à 21h13, soit ETA+3’

Et arrivée au contact auprès d’un 738 Xiamen Air

Un dernier coup d’œil à la cabine Y

Et à la cabine J

Cheminement qui serait spotter-friendly s’il y avait des avions à spotter, mais je n’ai qu’une idée en tête : ma valise sera-t-elle au rendez-vous ?

Dans la salle de livraison des bagages, direction ce petit bureau. La réponse à ma question est à quelques mètres.

Ma valise était là, derrière la valise rigide également rouge. Je ne pouvais pas la manquer, avec sa sangle qui est justement destinée à la reconnaître. Je n'ai pas eu le temps de la photographier en arrivant dans ce bureau.

La durée de la formalité se mesurera en secondes : cette employée vérifie que le numéro concorde bien, et je peux repartir, en conservant la photocopie qui n’a plus d’objet.

Dans ma collection d’étiquettes de bagages, je me serais volontiers passé de ce spécimen RUSH chinois.

Direction la sortie

Et direction la station de taxi, qui me souhaite la bienvenue en hauteur. Il y a quelques taxis et zéro passagers.

Là, pas de tentative d’arnaque : quand j’arrive au bout de ce cheminement, un employé me remet cette fiche, sur laquelle il a griffonné l’immatriculation de mon taxi (en omettant la lettre B, code de Qingdao après l’idéogramme 鲁 qui désigne la province du Shandong), pour l’identifier si j’avais la moindre réclamation à son sujet.

Je n’ai aucune raison de m’en plaindre ; il me dépose au pied de l’hôtel Fuxin, situé dans le bâtiment homonyme. Exception qui confirme la règle, cet hôtel n’a pas de nom anglais : 府新大厦 signifie Nouveau Grand Bâtiment du Gouvernement. Je ne savais rien de cet hôtel réservé le matin même par téléphone, spécifiant uniquement la gamme de prix et une localisation en centre-ville (notion relative, car je savais que c'était complet dans l'hyper-centre). Un accueil agréable à la réception, une chambre confortable, des taxis engageant volontiers la conversation : le séjour commençait bien.

C'est la fin de ce FR, et le début d'un bonus sur Qingdao que je vous propose de découvrir avec moi
Le but de ce séjour de deux jours à Qingdao était de me reposer un peu tout en découvrant une ville que je ne connaissais pas. Qingdao, c’est un peu la Riviera du nord de la Chine : une ville au bord de la mer avec des plages (ce qui est rare dans ce pays), une météo agréable en été.
C’était un week-end de trois jours en été, et tout comme sur la Riviera française, il y avait du monde sur la jetée menant au pavillon Huilan 回澜阁 .

Pas autant que je ne l’avais craint, mais quand même, je ne donnais pas beaucoup de chances de survie aux crevettes et aux coquillages dans cet estran rocheux.

Qingdao a été une colonie allemande de 1897 à 1914. Dès 1903, les Allemands construisaient là une brasserie, la bière étant un élément essentiel de leur survie. La présence allemande a survécu à survécu moins de vingt ans, mais la bière Tsingtao (l’ancienne transcription de Qingdao 青島, littéralement l’Ile Verte) a prospéré : c’est aujourd’hui la n°1 du marché intérieur et des exportations chinoises de bière. Je ne suis pas allé voir la brasserie d’origine, mais j’en ai vu une partie du logo.

Eh oui, ce pavillon sur l’étiquette des bouteilles de Tsingtao, c’est celui qui se trouve au bout de cette jetée au début de ce bonus !

Qingdao est devenu le quatrième port de la Chine, et aussi une base navale importante, mais le Jinan 济南, un destroyer lancé en 1970, est aujourd’hui la pièce maîtresse du Musée Naval.

Qingdao, c’est aujourd’hui une ville de cinq millions d’habitants, dont les zones périphériques ne sont pas plus attractives que celles d’autres villes de cette taille, mais le centre a conservé de nombreux bâtiments datant de cette brève présence allemande.

Oups, petit raté de cadrage !

Ou plutôt non. Un week-end allongé en été en Chine dans un endroit procurant beaucoup de beaux décors, c’est une garantie de tomber sur une profusion de prises de photos de mariage. Cela ne se voit pas bien ici sur cette photo de la cathédrale néo-gothique St Michael…

… mais cela fourmillait de couples de mariés sur le parvis, avec une dizaine ici

…et encore une demi-douzaine à l’intérieur des grilles.

Les alentours du parvis sont transformés en salons de beauté improvisés, avec les moyens du bord, et notamment des écrans pour se changer, ou plus haut de gamme, un monospace comme à l’arrière-plan, où il y a une autre mariée dans l'ombre.

Les robes sont utilisées uniquement pour ces prises de vue, et sont donc souvent ajustées avec des laçages de fortune ou une profusion d’épingles doubles.

Ce sont toujours des photos des mariés seulement, car elles sont réalisées longtemps avant le mariage. Il faut compter au moins trois semaines avant : deux jours de prises de vue en studio et en décors extérieurs, et au moins de semaine de retouche avec Photoshop : les photos de mariage de mon amie Xiaoyang étaient beaucoup plus flatteuses que celles que j'ai prises le jour de son mariage.
Pas de photo de mariage dans la cathédrale

… ornée dans un transept d’un inattendu portrait géant de St Thérèse de Lisieux

Les visiteurs atteint de turista trouveront porte close ici. Cette grille est bien verrouillée, mais 旅客止步, cela signifie « fermé aux touristes ».

Dans cette rue près de la cathédrale, au-dessus d’une porte cochère,

… il faut bien regarder pour déceler 毛主席万岁 (Vive le Président Mao) qui s'efface lentement sur ce fronton. Je soupçonne qu’installer l’évaporateur d’un climatiseur sur ce slogan aurait valu des ennuis il y a cinquante ans.

L’église protestante, elle, date de 1910, en pleine période coloniale allemande. Son très beau mécanisme d’horlogerie que l’on peut voir dans le clocher est toujours en service. Elle attirait beaucoup moins de touristes et de mariées.

Le premier gouverneur de la colonie se fit construire sur les hauteurs une résidence à la hauteur du prestige qu’il estimait avoir. Quand l’empereur Guillaume II reçut la facture, il le fit rappeler immédiatement et le démit de ses fonctions.

L’escalier d’honneur à l’intérieur. Une exposition de maquettes de bâtiments coloniaux dans la ville m’a permis de réaliser un jeu de piste pour les retrouver.

Ce bâtiment surdimensionné était le siège de la Croix rouge allemande. Il abrite aujourd’hui un musée d’art, curieusement très vide.

L’ancienne prison allemande, qui se visite. Les Chinois n’ont pas manqué d’exposer des scènes de sévices infligés aux prisonniers par les Allemands, puis par les Japonais.

Qingdao a fait un gros effort d’identification (par des plaques de rue) et de préservation de ces bâtiments historiques. Il reste du travail, comme pour l’ex-bâtiment de la Deutsche Asiatische Bank, découpés en appartements populaires et en mauvais état.

Beaucoup de bâtiments officiels ont conservé leur fonction depuis un siècle. C’est le cas de cet hôtel de police :

… du tribunal

… et de la gare, prolongée par un bâtiment moderne à droite

Je ne vais pas vous infliger la vingtaine de bâtiments que j’ai identifiés ainsi. Je n’ai pas manqué d’aller présenter mes respects au temple de Tianhou 天后, mieux connue sous le nom de Matsu, déesse protectrice des gens de mer particulièrement populaire à Taïwan,

… mais le manque de respect des groupes de touristes avec leurs guides à haut-parleurs m’a fait fuir.

Qingdao, c’est aussi une ville universitaire; ces étudiants de l’Université d’Océanographie ont une vision assez peu académique de la photo souvenir de leur remise de diplôme.

Après l’époque allemande, des Russes de Sibérie vinrent à Qingdao et se firent construire des maisons de villégiature, comme la Maison de Granite 花石楼, qui domine la Plage n°2 (les Chinois ne sont pas très créatifs pour ce qui est de nommer leurs plages à Qingdao).

Les pins donnent un aspect très méditerranéen à cette partie de la ville

C’est le très chic quartier de Badaguan 八大关, où il y a beaucoup de monde un grand week-end de juin. Mais attention, il ne faut pas qu’il y ait trop de monde ! Ce panneau précise que la capacité maximale de ce parc est de 9820 personnes à un instant donné, et de 39 256 personnes cumulées dans la journée : admirez la précision. Faute du moindre contrôle d’accès, ce panneau m’a quelque peu intrigué.

On voit ici et là des villas de style européen

Les couples se photographient dans les rues, mais ici, ce ne sont pas vraiment des promeneurs

L’assistante du photographe avec les mignons ballons en forme de cœur attend sur un banc. Plus tard viendra pour ce jeune couple les soucis avec leur enfant, et encore plus tard avec leurs parents âgés, comme le rappellent ceux qui sont derrière eux, dans cette photo presque allégorique.

La plage n°3 elle aussi a une capacité limitée

Mais ce jour là, on devait être très loin des limites. Cela laissait le champ au bout de la plage pour des photos souvenir.

Ai-je oublié de mentionner que Qingdao est un cadre apprécié pour les photos de mariage ?

Pour nous, il est un peu trop tard pour des photos de mariage, mais j’emmènerai volontiers Mme à Qingdao à une autre occasion, car à la belle saison, j’ai trouvé cette ville agréable et reposante, avec une touche d’exotisme européen et balnéaire dépaysant en Chine.

Merci de m’avoir lu jusqu’ici !
merci pour ce Fr.
Mais comment faites vous pour voyager sans bagage de soute ?
Même pour un vol intérieur, je pèse, repèse et repèse encore. J'ai très souvent payé mes kilos en trop. Vous achetez et jetez sur place ? J'ai besoin de conseils.
FR intéressant pour un vol domestique.
Bonne continuation.
vincent
En effet, je voyageais très très léger ce jour là, mais ce n'était pas un choix personnel. Lisez le FR précédent (CZ 6460, le lien est dans l'introduction) : vous comprendrez mieux :)
Cela étant, à moins que le poids du bagage à main soit pesé, ce que je n'ai jamais vu faire en Chine, on arrive à mettre beaucoup de choses dans le format réglementaire du bagage à main, en plus de la sacoche d'ordinateur qui est un accessoire selon le vocabulaire aéronautique. Beaucoup de FRistes grands voyageurs le font. Mais pour quatre semaines itinérantes, à la fois de vacances et de travail, c'est quand même difficile.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR Marathon !
j'avais vu les chinois qui se mettaient au ski en vidéo il y a peu, et on sent que c'est très clairement pas le sport national :)
l'aéroport fait très chinois comme tant d'autres je trouve, pas trop de hauteurs sous les plafonds et les structures apparentes. Mon vol vers Qingdao ??, qui comme vous voyez, continue ensuite vers Changsha ??, est à la porte 32 heureusement qu'il y a la virgule sinon je ne l'aurais pas compris personnellement^^
Changchun semble être moins prisée des touristes occidentaux comme bon nombre de villes chinoises non côtières, le fait de te faire prendre en photo accrédite cette idée peut-être ?!
On n'en voudra pas à CZ si le préposé aux lignes domestiques en a oublié une tant c'est fouilli^^
vol convenable avec CZ et bonne surprise à l'arrivée avec la valise qui a suivi, donc une histoire qui se termine bien ici.
Qingdao a bien des influences occidentales par rapport à certains bâtiments on dirait et semble être du peu qu'on voit une ville agréable car en bord de mer et assez aéré au niveau des rues et quartiers. Ah les chinois et le rituel du pré-mariage et du mariage, c'est tout un programme on dirait :)
A bientôt pour la suite !
De ce qu'on m'a raconté, le ski et les Chinois, ça fait deux.
Dès qu'on quitte le triangle Beijing - Xi'an - Shanghai, les étrangers sont rares. Pas absents, mais noyés dans la masse des Chinois qui eux vont partout. Ils sont encore moins nombreux quand on défalque les hommes d'affaires et ceux qui voyagent en groupe, lesquels sont moins faciles à aborder pour une photo souvenir.
Au milieu d'un week-end de trois jours, il y avait à Qingdao une ambiance de vacances très décontractée. C'est par ailleurs une ville dont les centres d'intérêt ne sont pas très dispersés.
Merci pour le commentaire !
Merci François pour cette suite ^^
Pénible ces taxis, mais vu que tu n'es pas le perdreau de l'année, on ne te la fait plus ^^
Pas mal ton repas à l'aéroport, aéroport très correct au demeurant :)
Vol classique avec une collation de bonne taille
Il est bon de retrouver sa valise ! ^^
Superbe bonus et original en plus. Il est bon de voir que les batiments historiques n'ont pas été détruits ici.
La riviera et ses pins me fait penser à certaines côtes japonaises comme le Tango ^^
A bientôt
Au sujet de ma valise, j'avais le strict nécessaire pour ne pas gâcher mon séjour à Changchun (et à Qingdao), ma principale crainte était pour la suite professionnelle.
La relative dispersion des bâtiments de l'époque allemande me laisse soupçonner que beaucoup ont été détruits.
L'analogie avec le Tango se défend. Le quartier de Badaguan me faisait aussi penser au Vésinet, qui date à peu près de la même époque.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR
Sympathiques séances de photos avant la montée dans l'avion
Immuable choix de plats chauds à bord pour ce vol classique
Merci pour cette découverte de Qingdao
A bientôt
Ces photos sur le tarmac rendent le voyage aérien plus humain.
En comparant les photos, on décèle des différences dans le catering d'un vol à l'autre, mais elles sont minimes.
Merci pour le commentaire !
Cumul de segments en volant avec CZ sur les vols intérieurs ?
Pas mal la séance photographie avant de monter dans l'avion, le même groupe à Orly et les agents au sol font une attaque :)
Vol sans mauvaise surprise et belle visite de Qingdao.
Merci pour ce FR !
Je n'ai malheureusement aucune chance pour un statut aux segments.
Les tarmacs chinois et leurs personnels sont très spotter-friendly. Ça change agréablement de Paris !!
Merci pour le commentaire !
Merci pour cette suite.
Vol encore à l heure, une chance!
Taïwan fait parti de la Chine, non?... Vu de Chine. Normal que ça soient des vols domestiques;-)
CZ à au moins la décence d écrire les villes en pinyin version Taïwan, contrairement à d autre comoagnie qui écrive Taibei et Taizhong.
Joli wedding bonus.
La ponctualité aura été en effet nettement au-dessus de la mauvaise moyenne chinoise, au cours de ce voyage.
Bien vu pour la transcription taïwanaise des noms de l'île ! (ce n'est pas du pinyin, mais du Wade-Giles)
Merci pour le commentaire :)
Ils ont l'air d'être un peu tous similaires ces aéroports de provinces
Si j'ai bien suivis tous tes FR, il n'y a pas que CZ qui considère Taiwan comme domestique puisque c'est une obligation du gouvernement. C'est ça ? :D
Pas de retard come d'habitude ?
L'histoire de la valise se termine bien.
Plage nº1, 2, 3, c'est amusant mais c'est vrai que c'est pratique. Ça fait 19 ans que je viens en Bretagne chaque année au même endroit et je n'arrive toujours pas a retenir le noms des plages.
Merci pour ce FR :)
Un grand nombre d'aéroports ont été agrandis à la même époque (piste supplémentaire et nouveau terminal), d'où un style architectural assez standard.
L'euphémisme vols régionaux de CA permet de ne parler ni de vols domestiques, ni de vol internationaux au sujet de Taïwan.
C'est dans le prochain FR du dernier segment chinois que je posterai le bilan de la ponctualité de ces douze vols intérieurs chinoise.
Merci pour le commentaire !
Me voici rassuré quant au sort de ta valise !
Un vol CZ sans histoire. Après une dizaine de FR sur des vols intérieurs chinois, n'es-tu pas un peu lassé par le chicken-rice aéronautique?
Très intéressante découverte de Qingdao qui semble une ville agréable. On ne peut pas dire que la modestie soit la caractéristique majeure des constructions coloniales ici non plus !
Merci pour ce reportage et à bientôt !
Ce n'était pas pour la gastronomie que je prenait l'avion, et cela valait mieux, étant données les cartes à bord. La variété, c'était au sol.
Quand même, la rigueur budgétaire allemande a frappé un fonctionnaire international, à cette époque :)
Merci pour le commentaire !
Ce n'était pas pour la gastronomie que je prenait l'avion, et cela valait mieux, étant données les cartes à bord. La variété, c'était au sol.
Quand même, la rigueur budgétaire allemande a frappé un de ses fonctionnaires internationaux, il y a déjà un siècle :)
Merci pour le commentaire, et à bientôt !
la rigueur budgétaire allemande a frappé un de ses fonctionnaires internationaux, il y a déjà un siècle :) ==> Des précurseurs ces Prussiens je vous dis !!!