Bonjour à tous.
Après une longue interruption aux causes tant personnelles que techniques, je vous propose de poursuivre le routing estival qui m’a conduit en France.
Rappel des épisodes précédents.
- TNR – NBO, Kenya Airways, B-737-800, Business class, veuillez cliquer ici.
- NBO – CDG, Kenya Airways, B-787 Dreamliner, Business class, c’est par là.
- CDG – TLS, Air France, A-321, classe économie, nous y voilà
- ….
Je ne commenterai pas le voyage en RER B : un peu naïvement, je croyais toutes les rames climatisées (souvenez-vous de la canicule en juillet) et propres. Eh bien, non ! De quoi relativiser les dénominations concernant le développement. Sans chercher à polémiquer, je me permets de souligner combien ce premier contact avec la 1ère destination touristique au monde est pitoyable… Enfin, il n’y a pas eu d’incident technique et je suis arrivé à bon port à CDG.

Je me dirige vers le 2F.

Un exemplaire de la flotte MC d’AF en force ici.

Zoom arrière.

Mère Poulard en cours de chargement.

Le préféré d’Icare.

Enfin j’arrive à destination, encombré de mes valises peu remplies dans ce sens. Pas trop de monde semble-t-il.

Le passager désormais supplétif des agents AF imprime lui-même BP et étiquettes de bagages.

Pas d’incident technique : ai-je la baraka ? Direction la dépose-bagages. On passe d’abord devant les guichets qui accueillent les sans-dents.

Puis on atteint l’espace Sky Priority.

Tout sera fait aimablement en un tournemain.

Aucun affichage d’alerte à propos de mon vol pour TLS.

Si la fluidité fut de mise pour l’enregistrement, il n’en est pas de même pour le passage du PIF, même via l’Accès N°1.

Plus de 20 minutes à attendre derrière un certain nombre de PNR, passagers à neurones réduits, incapables d’accéder aux demandes des PIFmen…
Me voilà enfin Airside. Mais personne pour jouer une petite musique qui adoucirait mon humeur. Je sais, je ne suis pas très patient…

Belle architecture mais trop grande exiguïté pour cette jetée du 2F.

Pour échapper à la foule –eh oui ! non seulement je suis impatient mais aussi agoraphobe ;=) – direction le salon.

Voyage au centre de la Terre, en deux étapes.


Beaucoup de monde au salon : je me contenterai donc de quelques plans serrés pour rendre compte de l’offre sur le coup de 14h.



Immuables boissons.



L’offre de presse est assez peu fournie en ce dimanche après-midi.

Le wifi gratuit obtenu en déclinant son identité fonctionne bien. Photo corporate en ce 5 juillet.

« Time flies » et voici l’heure d’embarquer. File SP totalement vide.

Pourquoi ne serait-il pas bon ? Indianocean n’est pas de la partie ;=)

Le museau de notre aéronef.

Voisin de gauche.

Profil de dauphin.

Embarquer un A321 prend du temps. La porte est en vue.

Ma planche à repasser pour la prochaine heure et demie.

Porte-gobelet rond.

Pas (de la Case)

Le vol est plein comme un œuf et entre les appels au civisme et les tentative de rangement de bagages cabine qui eussent été en soute avant les tarifs « Mini » la durée d’embarquement devient « maxi » !

Pendant ce temps un A318 repousse.

Gros plan sur la déco d’Air Europa.

Et sur des dérives AF.

De toute évidence, nous ne sommes pas prêts de décoller.

Je m’occupe en feuilletant le magazine AF qui me fait un clin d’œil en mettant Madagascar à sa une.

Ce ne sont pas les hauts-plateaux que je viens de quitter qui sont mis à l’honneur mais l’île de Sainte-Marie que je vous ai présentée l’an dernier sur deux vols MD. Franchement, juillet n’est pas la bonne saison pour s’aventurer là-bas.

Mes co-pax n’étant toujours pas installés, rêvons un peu en regardant le vaste monde. A cette échelle, je retrouve mes lieux de départ, d’escale et d’arrivée.

Les vols européens.

Eh Hop !

La compagnie « polémique » a trouvé sa place dans le magazine.

Terminons l’exploration par un coup d’œil à la flotte AF.

Notre voisin en cours de chargement.

Enfin en ordre de marche (ou d’envol) nous nous hâtons avec lenteur vers la piste alors que ce spécimen XL est sur le point de toucher terre.

Nouvelair freine.

Easyjet s’apprête à virer vers sa porte.

Nous voilà au seuil de piste. Le message de présentation de l’équipage par le CC m’apprend que le CDB est un condisciple de lycée perdu de vue depuis 30 ans.

Quand ce jumbolino aura posé les roues et dégagé la piste, ce sera notre tour.

Nous voilà enfin dans les airs !

Parking de Citroën Aulnay ?

Qui a eu l’idée de cette attention de Saint-Valentin ?

Facile de savoir où nous sommes !

Un futur stade olympique ?

Vieille dame dans la brume.

La frugale collation est servie. Je profite de la situation pour demander à la PNCette de signaler au CDB ma présence à bord… Qui sait….

Mon enthousiasme retombe vite car elle poursuit le service et ne se dirigera vers le cockpit que 20 minutes avant l’atterrissage.
En attendant, gros plan sur le sucré breton du jour.

Les paysages de la France assommée par la canicule se succèdent.

La lumière écrasante ne facilite pas la prise de vue. Je me contente donc de quelques images réalisées pendant la descente.

Les « villes-pont » de Couffouleux et Rabastens sur le Tarn.

Le pont et la ville médiévale de Rabastens à gauche sur la photo soit sur la rive droite de la rivière.

Nous nous approchons de Toulouse en suivant l’axe de l’A68 dite « Autoroute du Pastel. »

Au loin Lavaur connue pour son bûcher cathare et la cathédrale saint-Alain.

Nous survolons maintenant le Lauragais et entamons un virage à droite pour nous mettre dans l’axe de TLS.

La rurbanisation est en marche.

L’Ariège.

Les grands ensembles d’Empalot et du Mirail de part et d’autre du périphérique toulousain.



L’atterrissage est très proche.

Seule image correcte des avions en cours de finition aux dérives exotiques prise pendant la décélération.
La baleine.

A350 engagé dans la campagne d’essais.

Ici Toulouse-Blagnac.

Les îles britanniques en force.

Gros plan sur l’Airbus d’Eirin.

BA et Aigle Azur pour une destination nord-africaine.
738 Air Algérie.

Aigle-Azur.

A320 BA pour LHR.

Nous rejoignons notre jetbridge. Au moment du débarquement, la PNCette m’informe que je suis attendu dans le cockpit. Retrouvailles courtoises, sans regret car le jumpseat est occupé, et sans photos car je n’ai pas eu le réflexe.
Notre oiseau vu de l’aérogare.


Mon passage par le poste me laisse espérer une livraison rapide des bagages.

Descente d’un niveau.

Nous ne sommes pas en avance.

Beaucoup de tapis sont pris par les vols en provenance d’Afrique du Nord ou de Londres. Nous sommes relégués au loin.

40 minutes après l’heure théorique d’arrivée, j’attends toujours mes bagages.

Les priorités n’ont pas grand sens à TLS. Aucune pièce ne manquera mais l’une d’entre elles est abîmée et je passe par le service bagages d’AF.
Vue du hall d’arrivée.

Les formalités bagages effectuées, je me dirige vers la sortie pour attendre la navette Eurodrive qui me conduira à mon Captur de vacances.

Le hasard fait que je retrouve un collègue du lycée français de Tana qui a voyagé avec AF sur TNR-CDG : leur vol est parti avec 4 heures de retard de par l’impossibilité de faire le plein du 777-300 autrement qu’avec une pompe à main !!!

La navette arrive. Je prends donc congé pour me hisser à son bord.

Bonus
Pour terminer ce reportage, un petit bonus réalisé lors de la visite en famille d’Aéroscopia qui a ravi tous les 7 à 77 ans et même au-delà.
Quelques vue du Super Guppy prédécesseur du Beluga produit par les Américains.

Quand les époques s’entrechoquent.

Cela m’évoque le cou désaxé d’une girafe curieuse.

Le nez vu de l’intérieur. Le poste de pilotage est en bas.

Gros plan sur les manettes.

La soute est impressionnante.

A bientôt !
Salut Franck,
Merci pour ce très bon FR.
Un passage au salon agréable malgré le monde à cette heure.
Un 321 équipé de planches à repasser qui font mal au dos...
Une collation archi classique et une PNC pas très sympa...
Au final, as-tu vu ton ami perdu de vue ?
A bientôt,
Merci Mathieu de ton commentaire.
Un vol sans passion particulière.
Nous avons pu échanger quelques mots avec le CBD à l'arrivée à TLS.
A bientôt !
Merci Franck pour ce retour en deux temps.
L'offre de nourriture du salon n'est pas si mal pour un milieu d'après-midi.
Photo corporate en ce 5 juillet. -> Je suis choqué par la relative propreté de l'écran de ton PC ! ;)
« Time flies » -> Vaya Con Dios ?
Les employés au sol de TNR ont dû faire y mettre pas mal d'huile de coude pour pomper le kérosène nécessaire pour remplir les réservoirs d'un 777.
Serait-ce de la pure mauvaise fois pour enfoncer le clou suite à la campagne de discrédit AF menée dernièrement à TNR ?
A bientôt.
Merci Clément de ton commentaire.
Eussé-je été à bord de ce vol AF, tu aurais connu tous les détails de cette plaisanterie.
S'il n'y avait que pour les pleins de kérosène que les Malgaches merdent...
A bientôt !
PNR, passagers à neurones réduits, pas mal :)
Jolie photographie plongeante des escaliers du salon.
Et magnifique photographie corporate :)
C'est vrai que la politique valise fait que l'embarquement devient de plus en plus laborieux.
Merci pour ce FR so Sucré / Salé !
Merci Patrick de ton commentaire.
Comme tu le sais, j'ai volontairement voyagé à ce moment précis pour capturer cette photo corporate précise !!!
A bientôt !
Merci Franck pour cette suite.
Gros plan sur les dérives AF: tant que ce n'est pas AF à la dérive....
Vol sans histoire, sympa de retrouver un copain de lycée dans le poste. Dommmage que les retrouvailles se soient faites une foi l'avion au contact....
Merci Xavier du commentaire.
Excellente synthèse des choses.
A bientôt !
Merci Francky :)
En effet plus les choses avances, moins de services sont rendues, pour des tarifs qui ne bougent pas eux !
Un A321 avec des bagages cabines volumineux) pour tous, ça prend du temps à charger. Les prix mini y sont pour quelques chose en effet.
Collation standard.
Belle vue de Lavaur sans ses bûchers désormais, mais il doit y rester des boucher ^^
Deux connaissances en un vol, pas mal !:)
A plus !:)
Merci Arnaud de ton commentaire.
En effet plus les choses avances, moins de services sont rendues, pour des tarifs qui ne bougent pas eux ! ==> Je me souviens de mon premier vol : TLS-LGW avec Af en 1986. En Y bien sûr. Un catering qui sur ce genre de vols courts n'est même plus proposé en J... C'était avant l'effet bétaillère.
Quant à Lavaur.... j'y suis né ;=))
A bientôt !
LOL pour les PNR. Une très forte dose de Flight Reports devrait prescrite et le remboursement effectué par la Sécurité Sociale en tiers payant^^
L'entrée du lounge au F1 est vraiment plus moche que celle au F2.
Pourquoi ne serait-il pas bon ? Indianocean n’est pas de la partie ;=)--> hé mais, c'est pas juste....
Quelle pouvait être la probabilité de retrouver un ami sur un vol précis, un jour précis? Tu as joué au loto?
Au fait, es-tu au courant que TK va desservir TNR via MRU à partir du 25 octobre prochain sur la base de 5 vols hebdomadaires? J'espère que tu n'as pas réservé trop de billets à l'avance.
Merci FRanck
Merci Bernard de ton commentaire.
Pas d'ennuis moteur sur ce vol, certainement parce qu'un condisciple tenait le manche ;=)) Dommage que les PNC n'aient pas été à la hauteur. Du genre à rendre un LC désagréable.
Cela fait plus de 20 ans que je tends l'oreille à bord des vols AF pour connaître le patronyme du CDB. Malgré tout, la probabilité est meilleure qu'au loto.
Je sais pour TK, mais pas d'infos sur les prix pour l'instant.
A bientôt !
Bonsoir Franck
Quelle belle photo de l'escalier en colimaçon à GDC
Vues aériennes très belles avec Carole en forme de coeur.
Un vol classique, dommage pour la PNC pas super, ça devient une constante sur AF
Sympa l'entrevue avec ton copain pilote
Merci pour ce FR
Merci Hervé de ton commentaire.
Une expérience AF en-deçà ce coup-ci.
A bientôt !