C'est le dernier segment de mon aller retour Taipei ? Paris, via Singapour.
Taipei TPE ? Singapore SIN (Singapore Airlines 877, Eco)
Singapore SIN ? Paris Charles de Gaulle CDG (Singapore Airlines 334, Eco)
Paris Charles de Gaulle CDG - Singapore SIN (Singapore Airlines 333, Eco)
Singapore SIN - Taipei TPE (Singapore Airlines 876, Eco)
VOUS ETES ICI
Deux heures de correspondance, c'était bien plus qu'il n'en fallait à SIN, en ne changeant pas de terminal. J'avais donc largement le temps de lire les dernières nouvelles sur ces postes internet en libre accès un peu partout dans le terminal.

La porte A16 se trouvait à l'extrémité du terminal 3, accessible en option par un transport hectométrique, mais j'ai préféré marcher un peu, d'autant que rien ne pressait.

SIN se prête très mal au spotting, car les avions sont séparés des PAX par des vitres bleutées, le couloir de débarquement, et les salles d'embarquement. Les PAX n'ont accès qu'à leur salle d'embarquement, une heure avant l'horaire de décollage, et même de là, ce n'est pas très favorable.
Le Terminal 3 est de plus presque exclusivement utilisé par SQ, dont la flotte est particulièrement homogène.


Avant l'heure, ce n'était pas l'heure, et la salle d'embarquement était inaccessible. Il n'y avait pas non plus de boutiques, du moins dans la zone où j'étais. Il n'y avait pas d'annonces, mais elles étaient remplacées par une insupportable musique d'ambiance dont je me serais très volontiers passé.

Pour meubler, je vous offre l'espace enfant de l'extrémité du T3?

? et les toilettes, singapouriennement impeccables.

Ironie des choses, ce fut à un vice que je réprouve que j'ai dû la seule photo correcte prise à ce moment là : l'espace fumeur local était à l'air libre, avec une vue dégagée sur ce 777 SQ.

Singapour est quasiment à l'équateur, et toute l'année, le jour se lève d'un coup à sept heures du matin. La porte d'embarquement n'ouvrant qu'à H-60', donc 7h30, j'ai refait un tour de jour, mais les photos n'en étaient pas meilleures pour autant.


Le réglage photo sous-marine qu'un lecteur m'a suggéré ? Bonne idée, mais le rendu passe de bleuté à verdâtre avec mon petit APN; vous pouvez comparer les deux photos ci-dessus pour vous faire une opinion. Il est vrai qu'une intéressante tentative avec un A320 sur le Hudson a démontré que les avions ne sont pas vraiment faits pour aller sous l'eau.
C'était enfin l'heure de passer le contrôle de sûreté, et je ne fus pas le seul à immortaliser la queue qui aurait pu être plus courte s'il avait été ouvert plus tôt.

Une fois passé de l'autre côté (assez vite, je le reconnais), on arrivait dans une salle totalement surdimensionnée,

? d'où il était possible et raisonnablement facile d'immortaliser quelques appareils non-SQ, à condition de courir un peu à travers cette salle immense pour être du bon côté, car cette salle d'embarquement était à l'extrémité du terminal). Voici donc un 744 United Airlines,

? et un A340 Sri Lankan

Le soleil levant sur un énième 777 SQ.

Qu'ils soient Taïwanais (dans leur écrasante majorité) ou Singapouriens, les passagers ont fait la queue pour embarquer par zone avec la discipline que je pouvais attendre d'eux, ce qui allait d'autant plus vite. Une fois à bord, j'ai eu une meilleure vue d'encore un 777.

Le repoussage a permis de constater l'ampleur de la monoculture SQ locale.

Enfin, pas tout à fait. Que venait faire ce 738 Shanghai Airlines (Skyteam), dans ce domaine réservé à SQ, et à la rigueur à Star Alliance ? Et d'ailleurs aussi le 738 Garuda au contact de l'autre côté (un peu de patience, il est deux photos plus loin).

Dix minutes d'attente après repoussage, dûment annoncées par le CDB en anglais et traduites en mandarin par une PNC, pour cause de contrôle aérien, avec la promesse d'arriver néanmoins à l'heure à destination, grâce à un vent favorable que la géovision situa plus tard aux environs de 60-80 km/h.

Décollage piste 02L, et une belle vue bien qu'un peu lointaine sur la ville de Singapour.


Mais l'avion a gardé le cap au nord-nord-est, et très vite, on a quitté Singapour pour survoler la Malaisie voisine, presque vierge de constructions à l'exception d'une installation pétrolière.





L'avion a ensuite obliqué vers Taïwan, et le reste de la route aérienne était au-dessus de l'océan. Un petit tour vers l'arrière, pour vous montrer les deux cabines en 2-4-2.

Il y avait un bébé dans la deuxième cabine, que je n'ai pas entendu de ma place, située au ras de la cabine J.

Voici la deuxième cabine, qui se rétrécit en 2-3-2 dans les derniers rangs.

A gauche, une PNC distribue des écouteurs, que je n'ai pas utilisés sur ce trajet, me contentant de la géovision.


Voici le menu du brunch, avec en prime les boissons disponibles en classe éco sur TPE<>SIN comme sur SIN<>CDG.

J'ai choisi le poulet : c'était bon, mais pas exceptionnel.

J'ai néanmoins accordé un bonus à SQ, car du lundi matin 8h au mardi soir 21h en heures locales, la seule nourriture fournie par SQ m'a suffi (je suis allé directement au bureau depuis TPE, car contrairement à certaines rumeurs parisiennes, je ne suis pas en vacances à Taipei, pas plus que je n'étais en vacances à Paris selon certains bruits taïwanais).
Pendant une dizaine de minutes, la géovision m'a laissé espérer contre toute logique géographique que l'avion allait remonter Taïwan par la côte est pour avoir la vue sur l'île de mon côté, mais il a obliqué au dernier moment.

Vous ne l'avez pas repéré, mais cette carte de la géovision SQ est un bijou de compromis politiquement correct.
L'efficacité prime à Singapour qui a adopté les idéogrammes simplifiés par les Chinois. C'est donc avec eux que la mer de Chine du Sud est renseignée. A Taïwan, en revanche, on continue d'utiliser les idéogrammes traditionnels, beaucoup plus compliqués.
Les noms situés au nord de l'icône de l'avion ménagent la chèvre et le chou :
De gauche à droite, MFM, CAN, HKG et Taïwan sont écrits en idéogrammes traditionnels, ceux de Taïwan.
Mais TPE est écrit en idéogrammes simplifiés (le premier idéogramme est en fait le même que celui de Taïwan),
et en haut à gauche, également en simplifié, Zhongguo Dalu signifie Continent chinois, ce qui permet de ne pas inclure Taïwan dans la Chine, sans pourtant que ce soit clairement exclu : c'est le terme que j'utilise systématiquement des deux côtés du détroit, pour laisser planer l'ambiguïté pour qui n'a pas encore décodé ma couleur politique. Encore qu'elle est franchement transparente, si j'ose dire ; -)
Terre ! Terre ! avait hurlé ici la vigie d'un navire portugais il y a quatre siècles en découvrant la côte d'une île qu'ils allaient trouver belle. ..
Mais regardez ça, les amis !
Ce plan urbain léger et subtil, fait de ruelles et de voies rapides, de port et d'aéroport, et là encore ce souffle imperceptible de turbopropulseurs, cette touche de scooters, ce soupçon de vélos et de métro? mes amis!… ce plan? c'est Kaohsiung, C'EST TAIWAN !
TAIWAN !

Contrairement à Ocatarinetabellatchitchix, je ne pouvais pas sauter du navire pour rejoindre à la nage mon île préférée (un 333 ne se prête malheureusement pas au parachutisme amateur), et il m'a fallu attendre un peu avant de retrouver mon clan et les relations client - fournisseur qui ici valent largement celles des clans corses. D'ailleurs, le mélange d'amandes effilées et d'alevins séchés que j'avais apporté pour l'apéritif avait eu le même effet à Paris que le fromage corse sur Astérix. Les insulaires sont d'éternels incompris :-)
Revenons à Kaohsiung que je n'espérais pas voir si bien, malgré de colossaux reflets dûs au contre-jour. Vous revoyez ici à gauche la piste de KHH, qui comme TSA a été rattrapé par l'urbanisation, et l'admirable port naturel protégé de l'océan par une longue bande de terre que les Taïwanais ont coupée sur la gauche pour pouvoir faciliter la circulation des cargos.

Au fond à droite, l'étroit goulet d'origine, verrouillé par des forts de part et d'autre. Ils n'ont pas fait le poids face aux Japonais, tant l'ardeur à les défendre manqua, comme aurait dit Thucydide. Devant la zone boisée, la Love River, devenue un site touristique très prisé pour ses bateaux-mouche depuis qu'elle a été dépolluée en profondeur.

Survoler la côte ouest de Taïwan, c'est se rappeler qu'en face, pas bien loin, il y a des aéroports qui comme LCX sont surtout des bases aériennes.
Ici il y a la base aérienne de Gangshan

Et TNN, l'aéroport de Tainan qui accueille trois vols quotidiens vers MZG et deux vers KNH, et surtout une autre base aérienne. Sans parler de RMQ, que les PAX du côté droit ont pu voir, autre vaste base de l'armée de l'air taïwanaise.

J'allais presque oublier le winglet?

? avec ou sans réacteur

Taïwan, vous savez c'est un mélange unique de Chine, de Japon, d'Etats-Unis? et de Taïwan. Cet habitat dispersé à l'approche de TPE fait assez japonais,

Mais ce bâtiment surdimensionné et cette avenue extra-large qui bute au milieu de nulle part sont typiquement chinois du XXI° siècle.

Et ce fouillis urbain est un peu ce que peuvent faire les Américains de pire à partir d'un inextricable et pittoresque dédale japonais. Ne restez pas sur votre première impression quand vous arriverez à Taipei : elle n'a pas la beauté du diable auquel d'autres ont vendu leur âme de l'autre côté du détroit, mais de la sainte qui s'est racheté une conduite en conservant les stigmates de ses inconduites passées. Car au tournant de notre siècle, Taipei, c'était laid, pollué et embouteillé, avec une dictature militaire en prime en remontant d'une petite génération.

Touché des roues à 13h00 pile, inversion de poussée

et un peu de spotting avant l'arrivée au contact à 13h05. Allez, je me lance sans filet. Joker pour ces avions cargos derrière le 744 CI.

Un (et peut être deux) A321 VN

A nouveau, le 744 CI Skyteam, vu à l'aller.

Un 738 JL


Et un 738 ZH

Il y avait une longue queue à l'immigration pour les visiteurs étrangers, et deux guichets seulement pour les titulaires d'une carte de séjour, mais ces derniers sont très peu nombreux, et n'avaient que quelques minutes d'attente. C'est à la livraison des bagages que j'ai attendu plutôt longtemps : elle a commencé assez rapidement par les bagages prioritaires, mais le mien qui n'avait aucune raison de l'être est arrivé à 13h37, après une bonne centaine d'autres. Les habitués de CDG apprécieront.

Personne ne m'attendait à l'aéroport, mais ce n'était pas une raison pour ne pas remarquer comment sont accueillis ceux qui viennent accueillir des voyageurs. Voici le couloir qu'empruntent les PAX après les dernières portes automatiques. Il n'y a pas de barrières, mais un épais alignement de bacs à fleurs, derrière lesquels personne ne se masse pour guetter les PAX, préférant le confort des sièges. Les sièges à Taipei ? regardez les !

ce sont de confortables canapés qui ne dépareraient pas dans certains salons d'affaire. Et si l'on peut attendre assis, c'est parce que des caméras sont cadrées sur la sortie des arrivants qui est diffusée sur les écrans au fond à gauche, permettant de surveiller confortablement l'arrivée des passagers sans avoir à se tasser le long d'une barrière. Tout au plus y a-t-il des pannonceaux comme celui destiné à un certain Mike Chua, l'informant du repère numéroté où il est attendu.

Taïwan ne se contente pas de faire parfois de la publicité touristique à Singapour : il y a un peu partout des offices du tourisme qui distribuent gracieusement une documentation touristique d'une qualité rarement égalée, constituée de cartes et dépliants d'information avec pas ou très peu de publicité. Vous auriez peut-être négligé ce présentoir sous les écrans indiquant les tapis de livraison des bagages, pensant qu'il s'agit d'un concentré de publicité commerciale.

Grave erreur : ce sont de remarquables cartes routières à différentes échelles (d'une île ou d'une ville au pays entier) diffusées gracieusement par l'office de tourisme, bien meilleures que celles vendues dans le commerce. Il y a trois présentoirs, pour les versions chinoises, japonaises et anglaises, respectivement. En plus, elles sont indestructibles : j'en ai une qui a passé une nuit sous la pluie, oubliée dans le vide poche d'un scooter, puis une journée à la déplier puis la replier sous la pluie qui n'avait pas cessé, et qui après avoir séché sur un cintre est tout juste un peu gondolée. Les dépliants les plus détaillés sont en chinois, mais les employés n'ont pas leur pareil pour vous repérer au marqueur tous les centres d'intérêt en 60 secondes chrono.
Vous pouvez difficilement rater l'office du tourisme à l'arrivée à TPE ou TSA : il est face à la sortie en zone publique, et vous auriez tort de faire l'impasse : c'est une des clés de la réussite de votre séjour à Taïwan. Comme leur personnel est souvent bénévole (et aussi compétent que motivé), je n'ai guère d'espoir d'être justement rétribué pour la publicité que je leur fais ici, mais j'aurai quand même tenté ma chance.

Pour gagner quelques minutes au retour, c'est à l'aller, alors que je n'avais que cela à faire, que j'ai pris certaines des photos qui n'avaient aucune raison de se périmer rapidement; le terminus de bus est à deux pas de la sortie en zone publique et à 13h43, celui dans lequel j'étais monté s'ébranlait vers la gare centrale.
Le chantier des viaducs de la future ligne de métro de l'aéroport n'avait évidemment guère progressé pendant les fêtes du Nouvel An. Les Taïwanais sont les rois de l'empilage de bretelles de voies rapides en centre ville, alors ce n'est pas une ligne de métro très aérien qui leur fait peur. Ca fait désordre quand un typhon noie sous les précipitations un tablier trop étanche, mais c'est mieux que de noyer des trains dans un tunnel (les Taïwanais, dans leur excessive méticulosité, ont testé les deux tour à tour).



Prem's! Une fois de plus il y aurait tant à dire.. Une remarque par paragraphe! SQ est vraiment superbe, mais que serait-elle sans SIN ? TPE est remarquable aussi. C'est décidément un cosmos entier qui séparent nos 2 continents.
\Les insulaires sont d'éternels incompris :-)\ Marathon nous ferait-il l'honneur de s'essayer aux smileys ??!! En tout cas cette phrase conclue une bien belle référence à A&B. Je peux me targuer de l'avoir deviné dès le paragraphe reprenant Ocaterinabellatchitchic ;p
Merci pour le reportage et à bientôt pour de nouvelles aventure sino-taïwanaise. Ou plutôt sino-chinoise. Ou plutôt taiwano-taiwanaise (héhé chacun fera son choix).
Arf! 'me suis fait doublé par saraoutou!
Merci une fois de plus pour ce récit qui me rend moins bête :-) Bon, il va falloir quand même qu'ils me remettent ma photo de présentation de mon FR...
@Anonymous
J'ai négligé de vérifier les WC de CDG : oubli ou acte manqué ?
No comment sur AF ou KL : c'est encore plus HS ici qu'une Tchaïka :)
@saraoutou & Hcl75 : c'est vraiment impubliable, tout ce que vous avez à dire, pour que vous ne le disiez toujours pas ? :)
Merci pour cette série de 4 FR avec SQ. Qui confirme sont envie d'exceller dans les 3 classes de voyages qu'elle propose.
@tous : Il faut qu'on se calme avec les figures imposés. Entre photos de winglet, de toilettes, d'espace enfant, d'avion en papier, de tag bagages et autre nous n'avons plus le temps de profiter du vol. Si en plus à la rédaction du FR l'on doit s'improviser poète.
\elle n'a pas la beauté du diable auquel d'autres ont vendu leur âme de l'autre côté du détroit, mais de la sainte qui s'est racheté une conduite en conservant les stigmates de ses inconduites passées\ BRAVO.
Je hisse le drapeau blanc.
@frwstar2 : Merci pour le compliment :)
Je viens d'acheter les billets suivants; c'est promis, je vais me calmer.
Avec juste un A/R vers un aéroport que Airfleets y connait pas, dans un appareil que Airfleets y connaît pas, sur une compagnie que Airfleets y connaît pas, que la plus grande agence de voyage du pays y connait pas non plus, que où y savent pas envoyer un ETKT par courriel et que où j'ai pris la dernière place disponible le premier jour à neuf heures du matin.
Superbe suites de FR, je trouve celui ci même mieux que les autres, tres détaillé.
Le service en éco de SQ semble être dans le top.
Il va manquer au site un classement par type de cabine.
Merci du reportage qui est bien écrit. Cette classe éco sur Singapore reste m'a préférée. Très lumineux et chaleureux.
Merci pour le FR du \retour au pays\ =))
Merci pour le FR ! SQ est vraiment une superbe compagnie, j'aurais aimé la prendre pour me rendre à SIN en août dernier, un jour peut-être!
Et bravo pour ces photos, d'ailleurs au décollage, l'île toute verte que l'on voit est Pulau Ubin, un concentré de ce qu'étais S'pour il y a 50 ans : pas de voitures, la nature, la nature, la nature et des maisonnettes de gens vivement chichement de la pêche. C'est en territoire singapourien et ça vaut le détour !
Merci pour ce FR. SIN est évidemment mon aéroport préféré.
Personnellement SQ m'a hébergé/nourri/promené pendant près de 3 jours.J'ai fait un BKK-SIN (départ vendredi soir avec arrivée samedi matin à 0H30), nuit passée dans les slumberettes First du T2, puis excursion à Singapour le samedi après midi,retour et nuit dans les slumberettes (qui n'existent malheureusement plus) et départ le dimanche matin SIN-MNL et retour par le vol retour MNL-SIN. J'ai pu donc tester à SIN le salon First The Private Room pour le petit déjeuner, le déjeuner et le diner.
Superbe FR avec de très jolies photos,effectivement SQ est une compagnie excellente avec une des meilleurs classe éco .
Merci pour cette suite et fin, c'est top encore j'ai envie de dire et pas d'allusion à mon appetit en avion pour une fois :P
C'est idiot l'agencement du terminal qui empeche de bien voir et de faire des photos d'avions, c'est pour ça qu'HKG à ma préference avec des vitres plates donc parfait pour faire des photos sans reflet.
Votre siège offre l'une des plus belle vue sur l'aile, fantastique, encore un bon repas bien complet des photos du trafic genial, on voyage avec vous et c'est marant de retrouver le sol de TPE avec son trafic que l'on connait maintenant tous grace à vous.
Merci pour ce FR
Euh... j'ai rien à dire sur ce FR de #@£$!... d'excellente facture ^^
marathon a vraiment fait le forcing pour l'office du tourisme de l'île.
Et en plus il nous titille en nous promettent de prochains FR tout à fait inédits, ça promet ;)