Après nos péripéties, on nous retrouve sur cette escale de trois heures à Kuala Lumpur. La connexion se fait bien, bien qu'il nous faille courir d'un bâtiment à l'autre en métro/navette et patienter dans une file d'attente pour confirmer le transfert de nos bagages d'une compagnie aérienne à une autre. Le personnel aéroportuaire Malaisien est aimable, souriant et serviable.


Il faut repasser par de nouveaux contrôles de sécurité. Un employé polyglotte m'adresse quelques mots en Français en souriant et quelques mots en Thaï à ma fille avant même d'avoir vu nos passeports, ce qui m'amuse beaucoup, il doit avoir l'habitude de voir des familles Franco-Thaïes.
Notre appareil, un vieux B777 , comme sur le Londres/Bangkok.


Nous revoici donc sur un long courrier British Airways. Plein à craquer, complet même. Sans notre mésaventure, nous aurions pu choisir nos places, cette fois c'est trop tard, nous nous retrouvons séparés, ce qui ne plait pas du tout à ma petite fille. Nous peinons pour obtenir d'un voyageur qu'il échange sa place avec ma femme, qu'elle puisse au moins être à côté de la petite. Beaucoup tiennent à leur proximité couloir pour aller faire pipi, c'est plus important que l'angoisse d'une enfant.
Pour ma part, je me retrouve à ma place préférée: celle du milieu, coincé entre deux inconnus que je dois déranger pour aller faire mes besoins.

Le pitch n'a miraculeusement pas progressé depuis l'aller. Mais il n'est pas catastrophique.
Le son de mon IFE (toujours aussi obsolète et petit) ne marche pas du tout. Ma seule distraction sera mon mauvais repas, la géolocalisation, mon whisky et mon vin. Je ne trouverai le sommeil que deux heures, sur treize de vol dans ces conditions, c'est peu, surtout sur un vol de nuit. J'oubliais: la personne devant moi incline au maximum son siège dans ma figure dès le début du vol pour dormir, avant même que tout repas soit servi. Elle ne bougera plus de cette position pendant tout le voyage.


Le petit déjeuner, un tout petit peu plus potable que le dîner.


Quand au personnel de bord, les hôtesses avaient un sourire pincé et se montraient rapidement irritables. L'atterrissage fut impeccable en revanche. Pas terrible, vous en conviendrez.
Merci pour ce report vu les prestations proposées par british airways je suis maintenant sur de ne peu pas prendre cette compagnie pour mes futur voyages en asie
Merci pour ce report!
Les cabines sur ces 777 semblent effectivement pas de première jeunesse comme sur les 340/330 d'Air France... Vous n'avez pas eu de chance car maintenant Kuala Lumpur est desservi progressivement avec les tous derniers 787-9 qui rentrent progressivement dans le flotte!
Dommage d'avoir eu un équipage bof car normalement ils demandent de redresser les sièges pour le repas (vécu sur plusieurs vols avec eux)...
A bientôt!
Bonjour. J'ai eu la chance de voler avec un 787 avec Air India il y a deux ans avec Air India, et malgré la mauvaise réputation de cette compagnie, je peux dire que j'ai beaucoup mieux volé qu'avec British Airways, malgré l'horrible escale à New Delhi. A bientôt!
Merci de ce FR. Un vol assez moyen qui ne différencie pas favorablement British Airways de la concurrence ! L'IFE est franchement dépassé et si en image le catering parait correct il ne vous a pas laissé un souvenir ému. Equipage au sourire pincé ? encore des hôtesses BA qui n'aiment pas travailler pour les pauvres de l'éco. Rien de rassurant mais cela prouve que les PNC anglais peuvent être aussi moyen et arrogants que certains de leurs collègues français. !