Introduction:
- Vol AF 842 => Paris Orly ORY - Fort-de-France FDF, Air France Boeing 777-300ER C'EST ICI
- Vol AF 4563 => Fort-de-France FDF - Saint Lucia George F.L Charles SLU, Air Antilles Express ATR 42-500 C'EST ICI
- Vol AF 4572 => Saint Lucia George F.L Charles SLU - Fort-de-France FDF, Air Antilles Express ATR 42-500 C'EST ICI
- Vol AF 0847 => Fort-de-France FDF - Paris Orly ORY, Air France Boeing 777-300ER VOUS Y ÊTES
Deuxième et dernier tronçon qui me ramènera vers la métropole française, Paris, et ma maison.
J'ai quitté celle que j'avais à Sainte-Lucie quelques heures auparavant et je sais déjà que le soleil des Caraïbes va très vite me manquer.
Le vol:
Je vous avais laissé dans le terminal Aimé Césaire de Fort-de-France après le court vol entre Castries et la Martinique.
Mes valises ont bien été enregistrées à Castries jusqu'à Paris Orly mais pas moi, il faut donc que je récupère ma carte d'embarquement pour rentrer à la maison.
Mon vol est prévu à l'heure.
Et les comptoirs d'enregistrement sont bien indiqués.
Et je pense que le vol sera quasi-plein car il y a pas mal de passagers déjà présent.
Le "desk" Air France si vous avez besoin d'aide ou souhaitez faire une réservation.
Je procède à mon enregistrement via les bornes et en moins de 5 minutes je me retrouve avec ma carte d'embarquement ainsi que ma franchise bagage supplémentaire payée à la borne.
Le terminal est assez animé du fait que 3 vols pour Paris partent quasiment en même temps.
Je décide de me balader un peu dans le terminal et je passe devant le "desk" Corsair.
Je fais également un petit tour à l'extérieur où il fait vraiment bon.
Une petite exposition est présente dans l'aéroport même si celle-ci est plutôt cachée.
Et puis j'ai un petit creux donc je monte à l'étage où se trouve le contrôle mais également le food-court.
Je m'installe et me contente d'un simple croissant et d'un Ice-Tea.
La vue depuis l'étage.
Et les documents nécessaires pour voyager avec Air France.

Et mes bagages cabine. Le bag-tag Emirates serait-il un spoil pour un futur voyage ? Vous verrez….
Le temps passe et il est temps de se présenter au contrôle pour passer airside.
Et c'est là que ça coince, pour ceux qui ne connaissent pas l'aéroport de Fort-de-France, il y a juste un accès pour les vols domestiques et un seul pour les vols internationaux. Et là il y a juste plus de 300 passagers qui se présentent à la porte internationale et cela donne lieu à une file d'attente plus que conséquente.

C'est simple il me faudra plus de 45 minutes pour passer le contrôle douanier et celui de sécurité, donc autant vous dire que c'était long, très long !!!
Et une fois passé airside et bien l'embarquement a déjà commencé.
L'hôtesse au sol scanne ma carte d'embarquement et c'est parti.
Une petite photo de l'appareil du soir, un peu floue je vous l'accorde.
Point positif, même s'il fait nuit, les jetbridges sont spotter-friendly et non recouverts de décalcomanies d'une célèbre banque ou tout simplement non-vitrés.
Un Boeing 777-300ER pour traverser l'océan Atlantique.
Et quoi de mieux qu'une paire de GE90-115B pour cela.
Je patiente un peu juste avant d'entrer dans l'avion.
Ahh qu'est-ce que j'aime ces moteurs !!!
Je suis accueilli en porte par deux hôtesses souriantes qui m'indiquent mon chemin vers mon siège, le 46A.
Je remonte l'avion et arrive très rapidement à mon siège. Et je m'y attendais, je retrouve la vieille classe Eco que je n'apprécie pas du tout.
Le pitch est le même et suffit.
Le coussin et la couette sont disposés sur mon siège, ainsi que le casque.
Voilà la vue depuis mon siège sur l'intérieur de la cabine.
Les consignes lumineuses sont déjà allumées.
L'appui-tête qui est plutôt mou.
Et l'écran qui est toujours aussi petit, après, contrairement au vol aller, je voyage de nuit donc je compte très vite m'endormir.
La vue vers l'extérieur de l'avion.

L'embarquement est toujours en cours et le temps passe.
Le commandant de bord nous souhaite la bienvenue à bord, nous donne les informations sur le vol de ce soir et nous informe que le vol sera plus long que prévu car nous aurons des vents défavorables lors de la traversée océanique.
Nous repoussons avec plus de 10 minutes de retard et les consignes de sécurité sont présentées.


Pour décoller nous remonterons la piste.
Il me faudra seulement quelques minutes après le décollage pour m'endormir, enfin je ne dormirais pas vraiment, je somnolerais. Et je me "réveillerais" lors du service du dîner.
Comme à l'aller, pas de menu donc pas de choix au niveau du plat principal.
On débute avec les petits biscuits apéritifs.
Les couverts sont en plastique, mauvais point.
L'entrée est une salade de quinoa avec des raisins secs et des petits morceaux d'ananas. Malheureusement le quinoa est trop sec (manque de cuisson surement) et il y a trop de raisins secs et d'ananas ce qui rend l'entrée clairement plus sucrée que salée donc pour débuter un repas ce n'est pas l'idéal.
Le plat principal est composé de petits morceaux de blanc de poulet avec des gnocchis et une sauce "curry". Le tout n'est pas mauvais mais vraiment bourratif, je ne terminerais pas le plat.
Et là c'est le bon point du repas, la portion de camembert. Et oui, je n'en ai pas mangé depuis plus de 6 mois donc autant vous dire que je l'ai savouré !!!
Le dessert est une petite tarte au citron et elle était pas mauvaise du tout, sucrée et acidulée comme j'aime.
En conclusion, ce repas aura mal débuté avec une mauvaise entrée et un plat plus que moyen mais s'est amélioré par la suite avec le camembert et la tarte au citron.
L'hôtesse repasse pour me débarrasser de mon plateau et quelques instants après je me rendors. Il n'y aura pas de turbulences durant le vol donc une petit somm' sans encombres.
Je me réveillerais au moment du service du petit-déjeuner un plus d'une heure avant l'arrivée à Paris.
Le plateau est plutôt petit, composé d'une madeleine, d'un petit-pain, beurre, confiture, compote de pomme pour le solide et un jus d'orange et un chocolat chaud pour le liquide.
On se rapproche des côtes françaises.
Et on entame la dernière heure de vol.
L'hôtesse qui s'occupe de ma rangée débarrasse les plateaux. Elle était très polie et souriante.
Qimper n'est plus très loin.
J'en profite pour ouvrir le hublot et apprécier la vue. Pas de winglet bien évidemment sur Triple Seven.
La campagne française est là.
Le commandant de bord nous annonce que nous commençons notre descente sur Paris Orly, et en effet, on commence à ralentir.
L'ombre de notre appareil.
L'atterrissage sera assez rude comme vous pouvez le voir dans la vidéo.
On se parquera un peu au large.
Les soldats du feu ont un bien beau QG.
Même si je ne compte pas reprendre Air France avant un bout de temps, merci pour le message et pour le personnel qui est vraiment professionnel.
On débarque par paxbus et autant vous dire que lorsque j'ai passé la porte le froid m'a giflé !!!
J'en profite pour immortaliser une dernière fois ce bel oiseau.
Mention spéciale à mon zinc préféré.
Une dernière photo de la crevette depuis le bus.
On croisera pas mal d'appareils durant le chemin du parking au terminal.
Comme ce CRJ-700 Hop!
Un Airbus A320 Air France.
Trois Airbus A330, deux avec les couleurs de Corsair et un avec celles d'Air Caraïbes.
On croisera un Boeing 737-800 Transavia.
Et en arrivant aux abords du terminal je spotterais de plus gros appareils, avec bien évidemment ce Boeing 777-300ER Air France.
Le paxbus nous dépose et un contrôle douanier m'attend, celui-ci est expédié en moins de 2 minutes.
J'arrive ensuite aux tapis pour récupérer mes valises, et elles arriveront plutôt rapidement.
Je me dirige vers la sortie et me revoilà en France, à Paris, dans le froid…
Et direction la maison.
C'est ici que s'achève ce FR mais aussi ce Flight Trip dans les Caraïbes et cette expérience professionnelle qui aura été exceptionnelle !!!
Si vous n'avez jamais été dans les Caraïbes, je vous conseille vraiment Sainte-Lucie, une île calme et tranquille, pas du tout blindé de touristes (même s'il y en a un peu).
Merci à vous de m'avoir lu et à très vite.
Plus vite que prévu même !!!
Saturation aux contrôles à FDF.
Ce qui est dommage sur ce vol est qu'il ne manque pas grand chose pour avoir un bon produit Eco.
A savoir une cabine plus récente et un petit déjeuner digne de ce nom.
Merci pour ce FR !
Saturation me parait en effet le terme approprié.
Oui c'est ça le pire, je ne suis absolument pas anti-AF mais le souci c'est qu'en prenant ces deux vols ORY-FDF-ORY, je voulais vraiment me refaire une idée sur le produit L-C d'AF que je n'avais pas pris depuis longtemps à cause de précédentes expériences ratées... Et bien ça m'a à nouveau déçu.
De petites imperfections comme le catering, la cabine etc qui font que mises bout à bout font que le vol n'est pas terrible, ou du moins affiche des lacunes.
Et de rien ;)
Saturation me parait en effet le terme approprié.
Oui c'est ça le pire, je ne suis absolument pas anti-AF mais le souci c'est qu'en prenant ces deux vols ORY-FDF-ORY, je voulais vraiment me refaire une idée sur le produit L-C d'AF que je n'avais pas pris depuis longtemps à cause de précédentes expériences ratées... Et bien ça m'a à nouveau déçu.
De petites imperfections comme le catering, la cabine etc qui font que mises bout à bout font que le vol n'est pas terrible, ou du moins affiche des lacunes.
Et de rien ;)
Merci pour ce FR,
Un passage PAF chaotique et 45 minutes, c'est beaucoup trop long. Peux-être faudrait-il ouvrir un deuxième passage comme c'est le cas à RUN pour les journées chargées.
Le repas classique de AF sur les B777W configurés en COI est décevant. Les couverts en plastique sont parfaits pour casser les couverts (déjà vécu...).
Je note la légère amélioration au petit déjeuner avec la madeleine mais on est loin du compte tout de même. Je ne desepsère pas que AF montre aux clients de FDF-PTP-BKK-MRU-RUN-CAY plus de considération.
Pour en avoir parler plusieurs fois avec les PNC, ils sont navrés d'avoir à servir une telle prestation.
Le B777 est un avion qui fait rêver, comme vous surement, je ne me lasse pas à chaque décollage de ce bruit significatif.
A bientôt
De rien ;)
Oui 45 minutes ça a été très long !!!
C'est ce que je me suis dit, sachant qu'à 15-20 minutes d'intervalle, il y a 3 vols pour Orly qui partent, donc facile 900-1000 passagers a contrôlé, l'organisation est plus qu'à la ramasse pour le coup.
Oui c'est clairement l'impression que cela donne, être un peu considéré comme un passager cheap du fait que la ligne ne soit pas aussi prestigieuse que vers SIN. Sauf que mon billet je le paye comme tout le monde et sans réduc ou autre arrangement.
Les couverts en plastique c'est juste pas possible... Comme tu le dis, j'avais peur aussi de les casser donc j'évitais de trop forcer dessus.
Même pas de viennoiseries pour le petit-déjeuner, c'est pas la lune mais c'est un peu un impératif normalement !!!
Oui le 777 est un magnifique oiseau avec un bruit au décollage si prenant.
Merci pour ce FR.
Les vols me paraissent trop concentrés autour d'une plage horaire à FDF.
Service COI mais néanmoins les menus ont été revisités. L'équipage pro est réellement appréciable pour donner un aspect qualitatif à ce service simplifié.
De rien ;)
Oui 3 vols quasiment sur la même tranche horaire c'est trop, après je vais pas blâmer Air France, Corsair et Air Caraïbes de choisir cette tranche vue qu'au final elle est pas mal car pour les passagers ça fait un vol de nuit donc on peut dormir tranquille.
Et oui service COI donc pas le top. Et oui l'équipage a vraiment été le point positif de ce vol !!!
Merci pour ce bon FR. Cabine inacceptable pour un Boeing B777 ayant moins de 10 ans!
Catering pas mal et bon point marqué par les PNC.
A bientôt.
De rien ;)
Oui la cabine est juste datée pour un avion assez "jeune" !!!
La Catering passe et les PNC aussi, ce qui relève un peu la note de ce vol mais cela reste très moyen...
De rien ;)
Oui la cabine est juste datée pour un avion assez "jeune" !!!
La Catering passe et les PNC aussi, ce qui relève un peu la note de ce vol mais cela reste très moyen...