Bonjour à tous,
Cette deuxième quinzaine d’avril 2016 devait me conduire aux USA, comme prévu de longue date. Mais suite à nombre d’aléas d’ordre professionnel, tout ceci n’a pas eu lieu dans le tempo souhaité au départ, qui était d'abord New York pour le boulot et Washington dans la foulée pour la rencontre flight-report. Ayant été forcé de rester à Paris plus longtemps que prévu, je me suis retrouvé sans préavis à Miami, d'abord pour des réunions déclenchées en dernière minute (satanés vikings, mes amis comprendront…), puis libre de tout mouvement, en deuxième partie d’un weekend que j’aurai normalement dû terminer en compagnie de 24 d’entre vous autour d’un brunch au Bistro Français de Georgetown, quelques centaines de kilomètres plus au nord.
INTRO-BONUS N°1 : ARRIVEE AU BRESIL EN AIRBUS A350 TAM
L’avantage d’avoir comme hobby de prendre encore et toujours des avions insolites, c’est qu’il suffit d’un peu d’imagination pour ne pas avoir à se demander comment tuer le temps. C’est ainsi que plutôt que de me morfondre dans une chambre d’hôtel tout art déco qu'elle soit, ou de me balader en solo à South Beach, j’ai choisi de meubler mon temps libre par… un A/R express au Brésil ! Voilà pourquoi j'embarque ce soir là vers Sao Paulo à bord du PR-XTA, « 1er A350 XWB des Amériques » C’est pas moi qui le dit, c’est écrit dessus…

Là, je sens que je vais me faire pourrir par la majorité des FRistes qui vont me reprocher, non à tort, de ne pas avoir fait un FR entier sur cette nouveauté absolue, et de devoir se contenter d’une simple photo de ce que fût mon champ de vision depuis le 1er rang de la cabine arrière alors qu’il y avait sans doute matière à faire un récit bien plus complet. Allez-y défoulez-vous, genre " Lucky Luke, Averell, même combat ". Mais après tout, ça ne rend le challenge que plus intéressant encore pour celui qui saura relever le défi : publier un "vrai" FR sur l'A350 de TAM, avant que les trois unités livrées sous ces couleurs ne soient inéluctablement repeintes à celles de LATAM.

La parole est à la défense : entre la fatigue accumulée toute la semaine, qui m’a fait essentiellement dormir durant les 8h30 de ce vol et le fait qu’il s’agisse d’un vol de nuit pas vraiment facile à « reporter » in extenso, je n’avais pas l'énergie nécessaire à rendre une copie correcte. Voici quand même la photo du dîner, avalé rapidement avant de sombrer dans les bras de Morphée…

… et celle du PDJ servi juste avant l’arrivée.

Je laisse donc le champ libre à ceux qui voudront à leur tour tester l’A350 de la compagnie qui aura sans aucun doute exploité cet avion sous ses couleurs de la manière la plus éphémère. Bien entendu, c'est ce qui me motivait pour faire ce vol. Pour donner encore plus envie à ceux que ça tenterait à leur tour, voici une vue de la cabine J à l'arrivée. Effectivement, les trois premiers A350 issus de la commande d'origine de TAM sont en bi-classe (30J+318Y), tandis que tous ceux qui suivent, livrés directement aux couleurs LATAM, seront aménagés en tri-classe. Il y a fort à parier que les trois unités "TAM canal historique" n'échapperont pas à une modification de leur version cabine, dans la foulée de leur passage au hangar de peinture.

Allez, je vais essayer de me rattraper comme je peux en vous faisant partager de manière beaucoup plus exhaustive mon vol retour vers la Floride, effectué de jour depuis l’aéroport de Campinas-Viracopos, situé à 100km du centre de Sao Paulo.

INTRO-BONUS N°2 : VISITE DE L'AEROPORT DE VIRACOPOS
C’est une heureuse coïncidence, mais ce qui est ma première visite de cet aéroport en une dizaine de voyages au Brésil (depuis 1977…) va être l’occasion de jeter un premier et dernier coup d’œil à l’ancien terminal de VCP, qui a cessé toute activité passagers la veille mais qui est toujours ouvert au public.

On commence par l’extérieur de ce bâtiment peu engageant, qui a connu ses heures de gloire dans les années 70/80 quand tous les vols long-courriers se rendant à Sao Paulo atterrissaient ici.

Même si ça ne se voit pas au premier abord, c’était l’époque des grands domaines aéroportuaires implantés loin des métropoles et de leurs riverains déjà préoccupés par les nuisances sonores. On sait ce qui est advenu par la suite, comme par exemple à Montréal Mirabel.

Parallèlement à VCP, le Brésil, qui voyait grand de partout à cette époque, avait décidé de construire l’aéroport de Galeao (GIG) à Rio de Janeiro, dont l’existence s’est avérée être moins chaotique que celle de VCP, mais qui est loin d’avoir atteint ½ siècle plus tard la taille qui lui était promise.

En entrant dans la zone des départs, on voit ce que ce terminal a été au cours de la dernière décennie : un espace quasiment exclusif pour la compagnie AZUL, qui a redonné un rôle à VCP dans l’accueil des passagers en se concentrant sur la zone de chalandise de la ville voisine de Campinas, car cet aéroport était tombé en totale désuétude dès lors que Gurarulhos (GRU) a été ouvert au trafic international.

A l’extrémité de cette zone d’enregistrement sombre et basse de plafond, on voit les comptoirs des autres compagnies, notamment TAM…

… qui avait aussi ici un comptoir de ventes comme certaines de ses consœurs.

Curieusement, même si plus aucun passager n’est accueilli ici depuis les dernières 24 heures, il y a encore un semblant de vie, notamment pas mal de commerces ouverts, bien que déserts…

… à l’exception du personnel qui fait les valises et qui s’amuse de voir déambuler cet AvGeek qui photographie tout ce qui bouge…

A l’étage, le food court a bel et bien tiré le rideau.

Tandis que dans la zone « arrivées », c’est tout aussi peu actif que dans celle des départs, même si un comptoir d’info est ouvert pour diriger les passagers qui se seraient trompés.

Retour à l’extérieur avec cette vue de l'ancienne TWR qui ne date pas d’hier.

Comme ce ne sont pas les bagages qui me pénalisent dans cette escapade express, je choisis de me diriger vers le nouveau terminal à pied, plutôt que d’emprunter les navettes qui fonctionnent entre les deux bâtiments, distants d’environ 800 mètres, surtout pour les passagers étourdis et aussi pour ceux qui ont garé leur voiture à l’ancien terminal.

Je vais donc longer ce qui a constitué la raison d’être de VCP entre la période post-ouverture de GRU et la période plus récente où AZUL a décidé de s’établir ici : je veux bien sûr parler du fret, qui n’a jamais cessé d’exister ici vu la saturation de GRU. Un MD-11 LH cargo vient d’arriver.

Petite marche matinale à Viracopos. Attention de ne pas se faire piquer…

La TWR contemporaine de loin,

et de près.

Nous voilà enfin au nouveau terminal.

En fait sa partie gauche, qui accueille les vols internationaux, a ouvert il y a déjà deux ans, marquée notamment par l’ouverture par TAP Portugal d’une ligne depuis Lisbonne.

La nouveauté depuis la veille, c’est donc le transfert depuis l’ancienne aérogare des vols domestiques, effectués à plus de 90% par AZUL, qui compense la distance avec le centre de Sao Paulo par un système de navettes gratuites, fréquentes et très confortables. Il existe cinq lignes différentes à destination des principaux quartiers de la mégalopole brésilienne, plus une vers l’aéroport de Congonhas, mais pas celui de Guarulhos…

… mais n’y accèdent bien entendu que les clients d’AZUL. Il faut montrer patte blanche au rez-de-chaussée.

Afin de mieux situer cette nouvelle aérogare, une maquette vaut mieux qu’un long discours. Voici le côté landside au premier plan…

… et le côté airside.

Un flyer largement diffusé indique que la jetée centrale n’est pas encore tout à fait activée.

Le bâtiment est superbe, ultra-haut de plafond, Il rappelle OSLO Gardermoen, en mieux encore.

Avec des escalators pratiques d’un étage à l’autre, le tout étant très dégagé.

Vu de l’extérieur avec le soleil du matin qui se reflète ça ne manque pas d’allure.

Retour à l’intérieur. Il n’y curieusement moins de choix de restauration qu’à l’ancienne aérogare, mais ceci est sans doute une question de jours.

Cette visite effectuée, je passe à l'enregistrement des vols internationaux d’AZUL, c’est-à-dire d’un des deux vols de la journée, en l’occurrence le matin vers Orlando et le soir vers Fort Lauderdale.

Alors que je demande « un bon siège avec le maximum d’espace », l’agent me démarche pour acheter un surclassement en « Economy Xtra », pour 55US$, doc A4 à l’appui.

Je réalise qu’à part le pitch, les deux autres items proposés (IFE et skyinterior) existent vraisemblablement aussi en Y de base (c’est d’ailleurs limite « tromperie du consommateur »…), et surtout je flaire le vol quasiment vide vu d’une part son affichage « toutes classes grand ouvertes » sur Amadeus, et aussi parce que la zone d’enregistrement est déserte. Ce sera donc Y de base… pour l’instant…

La zone d'enregistrement des vols domestiques est beaucoup plus animée.

Dernière vue landside avec le tableau des départs qui en dit long sur la puissance du réseau qu’AZUL a bâti à Campinas…

Et me voilà airside après un franchissement express des formalités, qui confirme que ce vol s’annonce particulièrement confortable…

… ce qui est conforme au fait que le duty free soit désert…

… et qui est confirmé à la vue de la faible occupation de la salle d’embarquement.

Et voilà le vrai but de mon passage ici : l’A330 AZUL. Il y a celui aux couleurs « AZUL Viajens » (filiale TO de la cie) à droite et celui décoré à la gloire du FFP à gauche : « Tudo AZUL ».

C’est celui là, immatriculé PR-AIT et baptisé "Big Blue Bus", qui va me ramener en Floride…

… une fois des petits travaux terminés sur le winglet de droite.

L’attente sera brève…

… car l’embarquement commence dès H-45’. Les hôtesses présentes en gate tenteront une dernière fois, à force d’annonces répétées à plusieurs reprises, de refiler leur « Economy Xtra » à 55 dols, mais sans succès. Il ne faut pas être un voyageur si expérimenté que ça pour réaliser qu’il y a à tout casser 50 pax dans cet avion qui compte 260 sièges. C’est donc « espaço garanti » pour tous. Ça change de ne pas voir la cohue à cet instant, non ?

Dans la pré-passerelle, je tente une photo du « AZUL Viajens » mais d’horribles reflets vont m’empêcher de faire un truc potable.

Question photo, ce n’est pas mon jour. Aucune chance de voir autre chose que ça du « Big Blue Bus » dans lequel on embarque.

Arrivé à bord le dernier, vieille technique bien connue pour se faire remarquer, je baratine un peu la chef de cabine qui a l’air réceptive : elle me demande mon numéro de siège en disant qu’elle reviendra me voir à la fin de l’embarquement. On s’est compris…

Me voilà donc dans un premier temps dans la cabine arrière, au siège 28K attribué à l’enregistrement…

… puis relogé quelques minutes plus tard en Economy Xtra, au rang 10, sur un bloc de 4 sièges rien que pour moi, grâce à l’intervention de qui vous savez.

Et hop, c’est dans la poche. Pas aussi jouissif qu’un upgrade à l’œil en J mais quand même, entre le confort accru et l’absence totale de promiscuité avec d’autres pax, je sens que les 9 heures à venir vont être plutôt confortables.

Alors, et si en plus il y a un Sky Couch à la NZ ou à la KC, c’est jackpot !

Mais c’est curieux, ni le visuel que m’avait montré la fille du check-in, ni l’inflight qui vante pourtant l’Y+ de la compagnie, ni tout ce que j’ai pu lire à droite et à gauche sur les A330 AZUL ne parlent de ce produit. Et pour cause, il n’est pas en fonction, comme en témoigne le bouton adéquat (à gauche) sur l'accoudoir, qui est en position bloquée. Pas grave, du moment que les accoudoirs se relèvent, j'ai la promesse d'une sieste qui fera honneur à la tradition issue de mes ancêtres corses !

Mystère, mystère, alors que cette modeste trousse confort, qui a quand même le mérite d’exister, est distribuée aux pax Y+ et aux pax Y. Elle contient masque, bouchons d’oreilles et oreillette pour l’IFE.

Quelques instants plus tard, ma nouvelle amie la CCPette me refile discrètement cette trousse de la J…

… dont le contenu est beaucoup plus généreux. Muito obrigado, Senhora.

A suivre, une carte postale d’Orlando au recto…

… qui est au verso le menu non pas du jour, puisqu'il ne donne aucune précision sur le choix du plat chaud, mais de la ligne. Ici encore, pas de différence entre Y+ et Y.

Autre point commun à l'Y+ et à l'Y : les prises "socket" dans les armatures des sièges.

Le départ est imminent. On pushe même avec 10mn d’avance. Citation bien connue de Jean de Lapalice : « Un avion vide a toujours plus de chances de partir à l’heure qu’un avion plein ». Les sièges sont équipés de têtières ajustables en hauteur et en largeur.

Il y a des places vides côté hublot et j’aimerais bien me déplacer pour faire des photos de VCP lors du (long) roulage, mais je ne veux surtout pas me faire piquer mon quadri-place qui est, avec ou sans "Sky Couch", la garantie d’un voyage à l'horizontale. Surtout que plusieurs autres pax ont la même idée et quittent les biplaces côté hublot/couloir pour s’assurer une couchette sur un quadri. Tant pis pour les vues du tarmac de VCP, priorité au dodo à suivre. Couvertures et oreillers ne manquent pas, puisqu'il y en a un lot par siège.

Pour passer le temps après le décollage, finissons-en d’ores et déjà avec la vue de l’inflight…

… et ses pages les plus instructives pour un AvGeek.

Sur les Embraer 190 et 195 d"AZUL, il existe l'équivalent de l'Economy Xtra proposée sur A330. Ca s'appelle "Espaço Azul".

Consigne de sécurité, du grand classique.

L’IFE est de très bonne qualité, tant dans son contenu (pas de films en français mais qui d’autre français que moi a vraiment l’idée de prendre un tel vol…) que dans son ergonomie,..

… notamment la liseuse qui n’est accessible que de manière tactile sur l’écran… ce qui la majorité des pax ignoreront sans doute jusqu’à la fin du vol.

Le repas arrive. Il est bon mais pas très copieux. J’ai choisi poulet/purée de préférence aux pâtes. Hormis ma nouvelle amie CCPette qui s’occupe visiblement surtout de la J et qui ne fait que quelques passages sporadiques en Y+ et en Y en me faisant sourires et clins d’œil, je ne peux pas dire que les PNC d’AZUL m’ont fasciné par leur attitude. Ils ont bien fait leur boulot mais rien d’extraordinaire, comme par exemple sur Virgin Atlantic, compagnie à laquelle on aurait pu imaginer que le positionnement « smart » d’AZUL pouvait donner le change.

Pas de grand choix d’alcools. Vin rouge ou blanc au verre, sinon c’est "cerveja".

Bon, tout ça n’est décidément pas digne du Gault & Millau. Je vais donc profiter de ce que ce vol promet de meilleur : un moment de détente et de repos sans égal pour une éco, tout + qu’elle soit, en "full flat", après une visite des toilettes dont le revêtement du sol, rappelant les trottoirs de Copacabana, est particulièrement réussi.

Ce vol sera quand même beaucoup plus reposant qu’un premier rang d’éco sur A350 TAM complet en vol de nuit. Et ça ne loupera pas : je me réveille cinq heures plus tard, frais comme un gardon, au-dessus de la mer des Caraïbes, alors que la cabine est toujours plongée dans l’obscurité.

Un petit tour dans le galley situé entre la J et l’Y+, superbement décoré par ce motif métallique multicolore représentant le Brésil, pour découvrir les « famosos » (selon le menu…) snacks d’AZUL.

Moins fameux que ce à quoi on pouvait s'attendre. En fait, c'est du même acabit que le célèbre choix « salé ou sucré » d’AF, avec de l’eau comme unique boisson.

J’en profite pour faire une incursion-photo furtive dans la J depuis le rideau arrière. Ca a l'air costaud comme confort.

Retour à mon siège où la collation est servie 90mn avant l’arrivée.

Son contenu est correct, sans plus, à l’image de tout le catering expérimenté pendant le vol.

N’ayant plus la crainte de me faire piquer mon quadri-place lors de la descente, je me déplace vers un hublot.

Ce qui permet de nouveau de détailler la structure de ce "Sky Couch" inerte. Curieux quand même sur un avion en 2+4+2 : si ça fonctionnait, ce ne serait possible que sur le quadri-place central et bien sûr pas sur les bi-places latéraux. A ma connaissance, les deux compagnies qui offrent actuellement ce produit, Air New Zealand et Air Astana, le font sur des tri places sur des avions (787 et 757 respectivement) qui ne comportent que des tri places.

Ceci étant, même sans "Sky Couch", j’ai profité d’un grand confort dans cette cabine aux couleurs très harmonieuses, avec ce cuir gris clair très classe et surtout une assise hyper confortable.

A l'extérieur, ça s’anime à mesure que la descente vers Orlando se poursuit.

Je réalise que ça fait un bail que je ne suis pas passé par MCO, alors ces images de l’approche me remémorent subitement le temps où je « sévissais » bien plus assidûment dans la région. Il est vrai qu’on pouvait encore y faire du Martin 4-0-4, du DC-3 ou du Convair 580 en ligne régulière jusqu’au milieu des années 90…

On se pose dans les temps puisque l’arrivée au parking se fera à 17h55, avec 5mn d’avance. En débarquant, je remercierai chaleureusement la CCPette dont je ne sais même pas le nom et je la complimenterai sur la qualité de cette cabine, de manière tout à fait sincère, et sur le produit AZUL en général. Là, j’avoue que j'ai un peu forcé un le trait.

Décidément, bien qu’il s’agisse d’un vol de jour de bout en bout, je n’aurais pas réussi à photographier ce splendide avion en entier. Zut alors, va encore falloir se la creuser pour trouver une « une de couv » attractive pour ce FR.

Et voilà comment se termine ce vol qui m’a semblé très court vu le temps passé à dormir et surtout grâce à cet « espaço » dont j’ai bénéficié par le faible remplissage, ce qui vous en conviendrez change tout question expérience de voyage. Dans un espace beaucoup plus restreint et une cabine bien moins accueillante, je poursuis dans la soirée vers Fort Laurerdale à bord d’un A321 Spirit en retard, sale et bondé. Tout juste acceptable pour une heure de vol mais ça n’a quand même rien à voir, dans le mauvais sens, avec ce que je viens de vous raconter depuis mon départ de VCP.

Merci de m'avoir lu jusqu'au bout et j'espère ne pas trop me faire massacrer dans vos commentaires pour avoir eu la flemme de faire un FR sur l'A350 TAM, ce dont je m'excuse de nouveau.
Yeah ! Un Fr sur Azul en long-courrier! Et en plus, l'exclusivité sur le nouveau Terminal de VCP.
Je fais parti de ce groupe de Fristes qui regrettent l'absence de FR sur le 350 de la TAM mais tant pis, avec ce retour sur Azul Lucky Luke est pardonné :D
Les prochains 350 viennent en tri-classe? Avec une Y+ a l'américaine j'imagine.
50 pax sur ce vol! C'est vraiment la crise au Brésil.
C'est bizarre que le Skycouch ne soit pas en fonction, vous savez pourquoi? Azul s'en était tellement vanté en l'installant.
Le Kit de la J est plus que correct et en donner un en éco est un bon avantage.
"motif métallique multicolore représentant le Brésil" -> Et est le logo d'Azul au passage :)
La cabine parait bien belle et confortable, que ce soit en éco ou en business.
En tout cas, j'ai pris du plaisir a lire ce FR sur une compagnie que j'adore. Merci!
Bonjour et merci de ce commentaire, y compris l'indulgence à propos du 350 TAM.
Très sincèrement je n'avais pas entendu parler de ce Sky Couch chez Azul avant d'en découvrir inopinément l'existence à bord, puisque la cie n'a fait aucune promotion de ce produit dans ses annonces destinées à vendre sa classe Y+. Il faudra donc suivre ce que cela va donner dans le futur car l'équipement est là mais il n'est pas activé.
A bientôt.
Merci Luc pour ce reportage express toujours aussi élégamment rédigé.
Faute avouée étant à moitié pardonnée, eu égard à ta coulpe longuement battue en introduction, tu évites goudron et plumes mais pas le pilori à la prochaine rencontre FR.
Belle découverte, sous une non moins belle lumière, des VCP d'hier et d'aujourd'hui.
Difficile d'apprécier ou pas ce vol AZUL, la vacuité des lieux et l'effet impulse avec la CCPette s'étant associés pour considérablement améliorer l'expérience. Disons que si l'on se base sur le catering, AZUL ne présente rien de honteux mais rien d'extraordinaire non plus.
En espérant que ton incise sur la sieste ne t'ait pas attiré les foudres du peuple corse.
A bientôt !
Merci de ce commentaire fort teinté d'humour, l'un des points forts de ce site et de ses principaux contributeurs...
Pas de souci, je paye ma tournée lors d'une prochaine rencontre FR et j'espère ainsi avoir expié mon pêché^^.
A bientôt.
Une tournée à la santé des kim ;=)
Ce sera donc deux tournées car celle à la santé des Kim est déjà prévue de longue date^^
Azul, une compagnie estimée au Brésil !
Un très bon vol au dessus de la moyenne d'une classe éco traditionnelle
On ne tiendra pas compte du non report du vol précédent sur un A350 de la TAM, on évite ainsi les 10 coups de fouets, aïe^^
Merci pour ce nouvel épisode
Pilori, coups de fouets, goudron et plumes : je m'étais préparé à la déferlante^^...
Merci du commentaire et à très vite pour de futures aventures.
Merci de ce FR que je n'attendais pas . J'aime bien la notion d'AR express au Brésil.
L'ensemble me parait très bien avec une cabine lumineuse et agréable, un bon IFE et un catering honnête. Le winglet aux couleurs do brasil est superbe. Apparemment tu as tapé dans l'oeil de la CCpette !
Vu les FR que tu as publié précédemment je te pardonne , dans ma grande mansuétude , le non report de l'A350 ! ( pas assez vintage pour que tu en fasse un FR peut être ? ;-))
Merci de ton commentaire et de ton indulgence ! Eh oui, les chemins en direction de Cuba sont parfois sinueux quand on est AvGeek^^. Concernant la CCPette disons que c'est resté très professionnel comme contact, elle avait visiblement envie de faire connaître sa Premium éco et elle a réussi ! A bientôt.
Merci pour ces exclus.
La cabine du 330 est agréable à l'oeil et moderne, le catering pas trop pingre. Voilà de quoi créer la concurrence à LATAM.
Il ne reste plus qu'à Azul de rejoindre une alliance et je pourrai les considérer.
Merci du commentaire. Azul étant désormais liée à TAP par le biais de l'actionnaire, on peut penser qu'elle est pressentie pour rejoindre Star Alliance. Mais son réseau international est sans doute trop faible à ce jour pour être accepté. A suivre.
Merci Luc pour ce FR de derrière les fagots et très bien rédigé, comme d'habitude !
Et vu la qualité et l'originalité de tes contributions sur FR, je ne t'en veux pas pour l'A350 de LATAM ;) D'ailleurs je suis étonné que personne ne l'ait déjà reporté.
A bientôt !
Merci de ta mansuétude. L'A350 TAM est depuis quelques jours en ligne sur GRU-MAD, ce qui le rend plus accessible que sur GRU-MIA où je suis allé le chercher en avril, tandis qu'il avait commencé plus tôt dans l'année par du GRU-MAO. L'inconnue est de savoir pour combien de temps les trois unités portant les couleurs TAM vont le rester. J'espère qu'un FRiste moins flemmard que moi va y consacrer un FR complet avant qu'il ne soit trop tard. A bientôt.
Merci pour ce FR,
Belle exclu que voilà ;)
Bonne négociation dis, 55$ d'économisés !
Plateau repas plutôt sympa et siège qui, Skycouch activés, devrait bien remplir son office.
A bientôt
Ilyes
Merci Ilyes. Oui, c'était mon jour de chance avec cet upgrade "au faciès"... Le vol aurait été sans doute également très confortable en Y basique vu le faible remplissage et le niveau général du produit LC sur Azul. A bientôt.
Merci pour ce(s) très bon(s) report(s) insérés les uns dans les autres!
Comme Christophe, j'aime bcp l'idée de l'AR express au Brésil, qui plus est pour essayer plein de beaux navions! Et qu'est ce que l'A350 est beau!....
Vol en configuration presque privée, assurance d'un repos mérité (du moins j'imagine ;-))
Merci pour ce bon FR et cette exclu!
Belle attitude de la PNC et bonne documentation de l'aéroport de départ!
A bientôt.