Ce FR est le trajet retour d’un déplacement à Stockholm. Le récit du trajet aller, dans des conditions pas si différentes que cela bien qu'en J, se trouve ici (CDG - ARN sur SK).
A l’origine, je devais rester jusqu’au 3 juin, mais j’ai anticipé mon retour à l’annonce de grèves simultanées des contrôleurs aériens et des pilotes d’Air France, les uns et les autres utilisant l’Euro 2016 pour maximiser leurs nuisances envers les passagers qui n’ont pas leur mot à dire au sujet de leurs revendications.
Contrairement aux pilotes d’AF, je ne rechigne pas à faire un effort de 20% de productivité en tassant cinq jours de travail en quatre, à la demande expresse de ma hiérarchie conjugale de tout faire pour ne pas mettre en péril notre week-end ensemble, et la demande non moins expresse de ma hiérarchie professionnelle de tout faire pour terminer mon travail avant le week-end.
Le trajet vers ARN commence par une longue descente par l’un de ces escaliers mécaniques que les Suédois aiment tracer d’un seul tenant jusqu’aux profonds tunnels de leur métro.

Pour aboutir au quai à la voute arborée de bleu de la station T-Centralen, autrement dit la gare centrale.

… d’où l’on remonte par un long escalier mécanique depuis le profond tunnel de métro

Et rejoindre le quai de l’Arlanda Express, cher (540 SEK l’A/R), mais quand même exactement deux fois moins cher qu’un taxi (520 SEK forfait l’A/S)

Arrivée en 20 minutes sur le quai d’Arlanda Sud. AI-je oublié de mentionner que les Suédois aiment les escaliers mécaniques d’un seul tenant depuis leurs profonds tunnels ferroviaires ?

Cet escalier mécanique est prolongé par un autre d’une dénivelée ridicule à l’échelle suédoise.

Le trajet vers le Terminal 2 permet de voir la tour de contrôle d’un côté

Et quelques appareils scandinaves, avec un 738 Norwegian

La dérive de celui-ci honore la mémoire de Fridtjof Nansen, un explorateur valeureux, mais aussi et surtout à mes yeux un homme d’État qui a porté secours à des centaines de milliers de personnes qui n’avaient pas choisi de voyager.

ATR 42 Danish Air Transport à gauche, et Saab 340 NextJet, qui contrairement à ce que le nom de cette compagnie aérienne pourrait laisser penser, est un biturboprop.

Éclairage orangé le long du cheminement vers le Terminal 2, parcouru par un employé en trottinette,

Le corridor suivant n’avait ni couleur ni trottinette

ATR72 SAS et beaucoup de reflets

Avoir tassé quatre jours de travail en cinq m’a fait oublier de m’enregistrer en ligne et il ne restait que quelques sièges milieu. Tant qu’à n’avoir qu’un raté à mon bilan pendant ce déplacement, mieux valait que ce soit cela.

Courte attente au PIF, avec encore un tirage au sort réussi pour avoir un test de détection d’explosifs, sans impact sur le temps de passage, et arrivée à proximité immédiate de la plus grande des boutiques duty-free de ce terminal, contenant un large assortiment de produits aussi peu typiquement suédois que vendus dans la plupart des boutiques d’aéroport du monde.

Rentrer un jour plus tôt que prévu n’est pas une excuse valable aux yeux de ma hiérarchie conjugale pour ne pas rapporter un produit typiquement suédois, dont les spécifications excluent catégoriquement l’emploi de fèves de cacao, ou une utilisation ludique.

C’est après avoir fait deux fois le tour des boutiques que j’ai fini par trouver un rayon bien caché au fond de celle-ci

… où ce trouvait cet assortiment minimaliste de truite et de saumon fumé ou mariné, à des tarifs similaires de ceux de la grande surface de mon quartier, mais d’une qualité qui n’a rien à voir. Ces conditionnements ont de surcroît l’avantage de tenir tout juste dans une valise cabine de dimensions standard.

Après avoir effectué ces emplettes sans intérêt pour les FRistes, je reviens à une activité sans intérêt pour Mme : le spotting.
A320 Air Berlin

Fokker 50 Amapola Flyg, une compagnie aérienne cargo

A319 Finnair

B767 British Airways

Et au loin, des avions cargo dont je vous laisse identifier les modèles



L’extrémité du terminal, là où se trouve la porte 67 pour mon vol, est assez vide


Cette petite fusée est le seul équipement ludique destiné aux enfants, à condition qu’ils n’aient pas plus de trois – quatre ans.

Il y a des blocs de prises électriques de type F ici et là, généralement assez mal positionnées, car rassemblés en n'étant raisonnablement accessibles que depuis un seul siège à la fois, comme ici.

Le vol est plein, et même plus que plein, car l’employée en porte commence par chercher un PAX volontaire pour prendre l’avion du lendemain matin, dîner, hôtel confortable et petit déjeuner naturellement pris en charge, dans cette belle ville de Stockholm où il fait 25°, contre 11° et un temps pourri à Paris (ce n'est pas le verbatim, mais pas loin). Je suppose que le PAX retenu a été plus alléché par les 250 EUR cash ou le bon de 300 EUR valable un an pour tout vol AF que par la perspective de se réveiller suffisamment tôt pour prendre le vol de 6h30 le lendemain matin.
L’employée n’a pas soufflé mot des menaces de grève des contrôleurs aériens et des pilotes AF car entre temps, le gouvernement avait déjà cédé.
Je ne sais pas quelle serait la réaction de Mme si je lui annonce que j’ai accepté la proposition d’une jeune Suédoise m’offrant 250 EUR pour passer la nuit dans un bon hôtel de Stockholm plutôt qu’avec elle à Paris, et je préfère ne pas me porter volontaire.
L’avion étant donc rigoureusement complet, je n’attends pas le dernier moment pour me mettre dans la queue pour l’embarquement, pressentant des difficultés pour caser ma valise dans les coffres à bagages.

Le vol est annoncé avec dix minutes de retard : l’embarquement des PAX non Skypriority commence quelques minutes avant l’heure théorique de fermeture de la porte d’embarquement.

Je n’ai pas pu voir si cet employé était sur une échelle ou passé par la vitre du cockpit.

La cabine a les anciens sièges, avec les célèbres porte-gobelets carrés pour gobelets ronds (qui tiennent néanmoins très bien dedans)

Et une inclinaison, certes symbolique, mais néanmoins réelle

Les têtières et leurs cale-nuques

L’indispensable accessoire pour les contrevenants à l’interdiction de fumer depuis l’époque où les vols AF vers ARN, faisant plus 2h30 à l’horaire, n’étaient pas non fumeur (vieux grief du siècle dernier que je ressors de temps en temps).

Le siège est de largeur standard, mais donne l’impression d’être plus étroit que d’habitude, car au milieu de la rangée de trois et n’ayant donc pas d’espace supplémentaire côté couloir ou paroi.

Pitch standard que je n’ai pas mesuré

Aperçu par le hublot, ce vieux 747-200 a été transformé en hôtel, dont les tarifs sont assez dissuasifs au regard du confort des chambres.

Bien m’a pris de faire un quart d’heure de queue avant d’embarquer : il y avait encore de la place dans les coffres à bagages quelques rangs derrière le mien. Mais pour les derniers à embarquer, la situation était beaucoup plus difficile. En français, puis dans un anglais jonché de gallicismes, la CdB demande à plusieurs reprises aux PAX de se dépêcher, de mettre des bagages à leurs pieds pour laisser un peu de place dans les coffres à bagages, pour ne pas faire perdre le créneau de décollage, ce qui se traduirait par un gros retard. Les PAX ne sont pas très coopératifs, sans parler de ceux qui sont aux issues de secours et qui ont conservé des bagages à leurs pieds.

Bref, quand tout est enfin en place, après d’ultimes optimisations par des PNC pour éviter de descendre en soute des bagages à main, il est quelques minutes après l’heure de départ, retard d'origine compris, et ça ne traîne pas pour repousser et rouler vers la piste.
Quelques photos prises depuis ma place milieu : un 737 KL au contact

Décollage de l’appareil qui nous précède

La piste 08/26, que je n’ai jamais vu utiliser

Vu comme ça, ARN est vraiment au milieu de la forêt.

Je n’ai pas regretté outre mesure de ne pas avoir de siège au hublot : la couverture nuageuse commençait peu après avoir quitté les alentours d’ARN, jusqu’à CDG.
La collation, avant déballage

Et après déballage.

Je n’ai pas disséqué ce wrap pour respecter la pudeur de mes lecteurs. A défaut, en voici sa composition :

Tout cela était correct sans plus, et permettait de tenir jusqu’à mon arrivée à mon domicile.
Préparation de la cabine pour l’atterrissage

Atterrissage, roulage un peu long, arrivée au contact… la routine. Il n'y a pas de contrôle d'identité à l'arrivée, mais il y en a eu un avec celui des BP à l'embarquement.
Descente dans la zone de livraison des bagages.

Arrivée à la station de taxi, d’une affligeante inefficacité pour qui a connu le débit impressionnant des grandes stations de taxi des gares et aéroports chinois.

Dans le terminal comme à l’extérieur, la signalétique rappelle désormais que la langue la plus lue au monde est le chinois (mais la langue la plus parlée au monde est le mandarin, la première des très nombreuses langues chinoises, mutuellement inintelligibles à l’oral, mais identiques à l’écrit).

Les tarifs forfaitaires pour aller à Paris sont une nouveauté pour les taxis parisiens, malmenés par les VTC.

Un chauffeur de taxi qui parle anglais (cf. le discret pictogramme au dessus de la poignée à l’arrière) ? Ça aussi, c’est nouveau pour moi !

C’est une chauffeuse de taxi – une rareté dans une profession très masculine -, sympathique et d’origine cambodgienne (ce qui est moins rare à Paris) qui m’a ramené à mon domicile. Les taxis parisiens ont encore un délai de grâce pour s’équiper enfin de lecteurs de carte bancaire : ce fut la seule dépense en liquide de ce déplacement car tout achat à Stockholm, si minime soit-il, peut être payé par carte bancaire.
Ici se termine le récit de vol, et commence un bonus touristique sur Paris.
J’ai échappé grâce à ce déplacement à un risque de panne d’essence, et grâce à ce retour à un risque d’avion annulé. On peut négocier avec des syndicats, pas avec la météo et à mon retour, les Parisiens avaient de l’essence, mais aussi de l’eau dans la Seine. Beaucoup trop d’eau.
Les crues de la Seine sont récurrentes, mais celles de ce mois de juin sont exceptionnelles. Ce restaurant sur une péniche est inaccessible et sa terrasse sur les quais complètement noyée.

Les journalistes sont en permanence devant quelque quai inondé, répétant les mêmes informations en boucle, comme celui-ci en arrière plan de la photo précédente, juste en amont du Pont des Invalides.

C’est moins la force du courant que le tirant d’air sous les ponts qui paralyse le trafic fluvial

Ces péniches ne risquent pas de pouvoir passer tant que le niveau de la Seine est si haut

Ces péniches qui accueillent bars et restaurant ne circulent pas habituellement

Mais elles sont inaccessibles, les accès étant sous l’eau, et cet hélicoptère sur le pont de celle de droite ne fera pas l’affaire.

Ici et là, des vigiles sécurisent les accès, de peur de pillage quand le niveau descendra un peu et avant que le personnel ne revienne

Des usagers de cette péniche chaussés de bottes passent avec précaution sur cette passerelle provisoire

En amont du Pont de l’Alma, les célèbres bateaux mouche, véritables usines à touristes qui sillonnent la Seine en toute saison sont à l’arrêt.

Pour la même raison : le tirant d’air est manifestement insuffisant

Pour ceux qui ne l’auraient pas deviné par eux-mêmes, il y a un avis dans les trois langues du tourisme à Paris : le français, l’anglais et le chinois. Cette dernière langue ne figurait certainement pas lors de la crue de 1982, lorsque le niveau a atteint 6,15m.

Le Pont de l’Alma n’est pas le plus beau de Paris, mais il est toujours à l’honneur en cas de crue de la Seine

Car c’est traditionnellement le niveau de l’eau à la statue du Zouave que l’on se réfère, et ce 4 juin, il y a foule pour immortaliser le niveau de 6,20 m qui a été atteint cette fois-ci.

Le Pont de l’Alma est aussi célèbre pour son tunnel le long de la rive droite, où la princesse Diana a trouvé la mort en 1997. Cette flamme est antérieure : installée en 1989, il s’agit d’une réplique à l’échelle 1 de celle de la statue de la Liberté de New York, en remerciement pour la restauration de celle-ci.

La passerelle des Arts a été fermée au public, de crainte que sa structure ne soit fragilisée par le courant.

Au Pont Neuf, qui comme chacun sait est le pont le plus vieux de Paris car achevé en 1607, les vedettes sont moins grandes que les bateaux-mouches

Mais elles aussi sont à l’arrêt, même si celle de gauche pourrait peut-être passer sous le pont.

Le Pont Neuf, et la signalétique qui seule rappelle la présence de la voie sur berge

Non, la mairie de Paris n’intervient pas ici ces temps-ci

La vitesse a été réduite largement en-dessous de 30 km/h, et personne ne se hasardera à prendre la sortie Châtelet.

Le Pont au Change, entre la rive droite et l’ile de la Cité


En face, la Conciergerie à gauche et la Cour de Cassation à droite

Et pour finir, un aperçu de Notre Dame

Le Petit Pont ne vous est peut-être pas familier ; voici à quoi il ressemble en temps normal

C’est la fin de ce bonus sur les bords de la Seine, le jour de sa plus forte crue du XXI° siècle à ce jour.
Merci de m’avoir lu jusqu’ici !
Merci pour ce FR, ainsi que les belles et impressionnantes photos de la Seine en crue. :)
Quelques corrections pour la reconnaissance des avions. Pour BA il s'agit d'un B767 et non d'un A321.
Pour les cargos je sais pas trop, j'hésite entre A300 et B757 pour UPS et DHL. Le dernier est un Avro
Ouïe, je suis décidément toujours aussi mauvais en identification d'appareils.
Mais au moins, je ne suis pas le seul à hésiter au sujet de ces appareils de fret qui étaient un peu trop loin.
Merci pour le correctif et le commentaire !
Merci pour ce Fr et également pour ces vues de la Seine.
Les cargos DHL et UPS sont en 757.Le dernier ressemble fortement à un BAE146
Merci pour l'identification des appareils (j'ai été paresseux pour le 757 UPS dont l'immatriculation est très lisible sur la photo originale).
Merci pour ce FR!
Les suédois font la course à l'escalator avec le métro de Londres? ;-)
Bon service sur ce vol! Snack et dessert! Pas mal, en comparaison avec la concurrence.
Merci pour ce bonus...humide dira-t-on...
À bientôt!
Prestation et service corrects dans un appareil complet; la comparaison avec l'aller sur SK en J est éloquente.
Merci pour le commentaire !
Merci François pour ce retour.
" l’un de ces escaliers mécaniques que les Suédois aiment tracer d’un seul tenant jusqu’aux profonds tunnels de leur métro." ===> les Soviétiques adoraient aussi beaucoup cela et, à leur suite, les Praguois et j'en passe...
ARN : aéroport en forêt : Vive le développement durable !
Madame a-t-elle été satisfaite du souvenir ramené par monsieur?
Un vol ni agréable ni désagréable, un petit quelque chose d'un RER un vendredi soir.
Intéressant bonus : ferais-tu des piges le samedi pour les chaînes d'info?
A bientôt !
Il y a aussi un bel escalier mécanique entre les quais des lignes 1 (aérienne) et 5 (souterraine) à la station Zhongxiao Fuxing, dans une ville que je connais bien ;)
La photo de la piste s'avançant dans la forêt est trompeuse : toutes les constructions sont de l'autre côté, mais c'est quand même un aéroport construit en milieu rural, très loin de la ville.
Le souvenir typiquement suédois a été apprécié, beaucoup plus que ne l'aurait été un article de chez IKEA qui n'est pas présent à ARN ;)
La comparaison avec le RER du soir est bien trouvée : c'est un vol utilitaire à un horaire utilitaire.
Le sujet du bonus s'est imposé à moi; il y avait foule sur les quais pour venir observer cette crue qui aura été dévastatrice hors de Paris - on parle d'une facture à un milliard d'euros.
Merci pour le commentaire !
Merci de ce FR. Un vol classique et le siège du milieu que personne n'aime ! La cabine est tout de même vieillote et il serait grand temps que toutes les cabines soient retrofittées. Le reste est plutot bien surtout quand on compare à la "J" de SAS qui n'est pas au niveau. Jolies photos de le crue
Pour un vol de deux heures, le siège milieu était tolérable. Je préfère des sièges un peu vieillots mais confortables à des merveilles de design allégé et aminci.
Merci pour le commentaire !
"Cet escalier mécanique est prolongé par un autre d’une dénivelée ridicule à l’échelle suédoise."-->je me souviens d'escalators encore plus ridicules lors de tes voyages à Taiwan.
Air Mauritius à Stockholm. J'adore ce jeu de code-share.
Collation Air France pas pire que celle de SAS..........en Business. Cherchez l'erreur.
Merci François pour ce FR et pour les photos de la crue à Paris, plus impressionnant que ce qu'on peut voir à la TV. Le zouave est immuable.
Je me suis retenu de mentionner l'inoubliable escalier mécanique de 6 marches du terminal 2 de TPE, mais j'y pensais bien évidemment.
J'ai également apprécié ce code-share du bout du monde.
Tout est dit sur le match AF-SK sur cette ligne. Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR:
Prestation correcte et équipage agréable:c'est efficace,c'est l'essentiel!
Nous avons eu beaucoup d'eau dans le Pas de Calais mais c'est moins médiatique:les ponts et monuments de Paris sont magnifiques,merci pour ce bonus.
L'embarquement aurait été plus efficace si les PAX avaient été plus disciplinés pour ce qui est des bagages à main. On ne peut en tenir rigueur à AF, d'autant que des annonces répétées ont été faites à ce sujet, et au contraire décerner un bon point aux PNC qui ont géré la situation au mieux.
C'est hors de Paris que les conséquences des crues de la Seine et de ses affluents ont été les plus sévères, mais je n'avais pas l'intention de jouer la carte du voyeurisme.
Merci pour ton commentaire !
Les stations de métro de Stockholm rivalisent dans le domaine de la déco. Moscou et Saint Petersbourg restent malgré tout plus belles.
Difficile de trouver une échoppe vendant les produits locaux à ARN, si ce n'est pas triste !
J'aurai peu être succombé à la tentation de rester une nuit de plus en Scandinavie n'ayant pas de hiérarchie conjugale m'attendant en France ^^
Un léger mieux dans le catering sur ce vol, ça reste loin de celui proposé jusqu'à la fin des années 90 sur ce même tronçon, ou on avait droit à un repas complet chaud, avec apéro et digestif compris...
Des progrès avec les taxis parisiens cherchant à contrer Uber, finalement une concurrence utile pour le client.
Paris sous l'eau avec une belle redécouverte des ponts de la capitale
Merci pour ce FR
Le plus frappant, c'est le granite brut des couloirs et stations de métro, un matériau tellement solide qu'il ne nécessite pas de finition.
Mes deux hiérarchies s'attendant à ce que je prenne ce vol, une extension de séjour était difficilement négociable.
Mes souvenirs de vols vers ARN du siècle dernier sont trop lointains pour comparer avec les repas de l'époque.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce bon FR;)
Belle cabine je trouve avec un catering classique.
Sympa l'offre de rebooking!
A bientôt.
Les algorithmes d'optimisation des ventes de billets pour ce vol ont été pris en défaut par cette grève. AF n'a en effet pas lésiné pour que tous ses clients soient satisfaits - ceux qui sont partis à l'heure comme celui qui a empoché le dédommagement.
Merci pour le commentaire !